Nous étions partis Pascale et moi passer un we réparateur à Casablanca. Pascale est une belle femme brune qui attire beaucoup le regard des hommes, mais sont seul défaut est parfois d’être un peu hautaine.
Nous avions une sexualité assez forte, basée sur des rapports dominant-soumise, mais dans la vie il en allait tout autrement.
Dons nous nous promenions dan un souk.Pascale avait revêtu une robe légère , boutonnée sur le devant et des sandales. Nous entrâmes dans une boutique de poterie et le marchand fut très affable. Pascale, à son habitude, le rabroua un peu, et je lus dans les yeux de cet homme la tristesse et la colère mélangée. pendant qu’elle regardait les objets il me dit qu’il savait comment rendre docile les femmes comme elle. Et il me présenta un fouet court, tréssé jusqu’au manche qui, lui, était de forme oblongue en bois sculpté. Nous échangeâmes un regard complice.
Une discussion s’engagea entre Pascale et moi, et je réussis à la convaincre d’aller s’excuser, d’autant que me marchand voulait lui présenter un objet particulier.. Elle le fit, en baissant un peu les yeux, et l’homme, nous emmena
dans son arrière boutique pour lui montrer, elle le suivit , poussée par la curiosité.
La pièce était sombre chichement éclairée par une ampoule, et le neveu du marchand s’affairait à rager des étagères. C’était un beau garçon , brun, musclé. Son regard se posa sur Pascale. Il la déshabilla des yeux. je voyais son regard aller de ses jambes à sa bouche ( elle a une belle bouche aux lèvres charnues).
Le marchand présenta son fouet . Surprise, Pascale pris l’objet et entendit le marchand lui dire "avec ça on dresse les femmes fières comme vous, après dix coups elles sont dociles". Pascale eut un petit rire nerveux Et après m’avoir adréssé un regard , il lui ordonna de se déshabiller et comme elle ne bougeait pas il la pris par le poignet.
Le neveu vint aider son oncle.Pascale se débattait mollement, "non, laissez moi", mais le neveu avait entrepris de lui défaire sa robe, et elle fut nue devant nous. Ses seins lourds avec leurs gros bouts attiraient le neveu, qui les pinça. Pascale poussa un cri de gémissement, et il continua à lui tordre les bouts, malaxer la chair, pendant que le marchand lui liait les poignets.
Elle se retrouva pendue à une poulie, les bras au dessus de la tête. Le claquement du fouet sur son dos me surpris. Elle poussa un cri de surprise, et le deuxième coup vint mordre la chair de ses fesses. Elle se tortillait un peu et écarta ses jambes, le marchand en profita pour appliquer la morsure des lanières à l’intérieur des ses cuisses. Elle gémit plus fort, en baissant la tête et cambra ses reins.
Le marchand habille fit retomber le fouet sur son beau cul offert. "alors, on fait moins la fière, hein chienne. Tu vas être docile maintenant". J’entendis un faible oui.
Le neveu la fit mettre à quatre pattes, et le marchand me tendit le fouet.
Je m’appliquai à taper sur ses seins qui pendaient. Pascale commençait à haleter.
Je vis le marchand défaire son pantalon, et sortir un sexe court mais épais qu’il présenta devant sa bouche. Il prit sa tête et la força à engloutir son membre épais." Suce , chienne, suce" lui ordonna-t-il.
J’entendais les bruits de sucion du sexe dans sa bouche.
Le neveu s’était déshabillé, pendant que le marchand éjaculait sur le visage de Pascale. Elle poussa un cri de surprise. Et leva son visage couvert de sperme.
Je lui déliais les mains et la présentait au neveu. "suce mes pieds". Pascale s’exécuta, et commença à lécher les pieds bronzés. Elle passa ses mins derrière les mollets musclés, remonta en baisant les genoux , les cuisses, se retrouva au sexe du jeune homme. Un sexe long, gros , sombre. Il lui prit la tête pour qu’elle avale ses couilles. " oui, c’est ça suce mes couilles, applique toi, comme une bonne salope.
Je pris les bouts des ses seins entre mes doigts et les tordis. Pascale gémit la bouche pleine des couilles du jeune arabe; Je les tirait, les tordait. .
Le jeune frotta son sexe contre son visage,. Il lui tapotait le visage de sa grosse queue, et elle poussait de petits cris.
Elle engloutit la queue et pompa. Je voyais le visage du jeune envahit par le plaisir. J’étais fasciné par le va et vient de ses lèvres charnues sur la queue noire.
Je repris le fouet et lui claquait le cul. Je voyais son sexe humide. Je redoublais sur ses chairs rondes. Je la taritais de cienne en chaleur, et sans préparation, enfonçait le manche dans son cul. Elle étouffa un cri, retenu par la grosse queue qui envahissait sa bouche.
Je changeais de place avec le jeune arabe, et lui mit mon sexe dans la bouche, pendant que lui la sodomisait avec ardeur. Pascale criait, et j’avais du mal à la maintenir sur mon sexe. Pour la maintenir, j’agrippais ses seins, la tirait vers moi. "Hein salope, tu aimes, hein tu aimes?". Et je sortis ma queue de sa bouche pour gicler sur ses seins.
Elle cria un grand " ouiiiiiiiiiiiii", et la queue de l’arabe déversa son flot de sperme sur son cul.
Elle resta un grand moment allongée parterre. Je me baissait près d’elle et enfournait mes doigts dans sa chatte, elle poussa un cri rauque. Nous la mîmes à plat ventre sur une table et le jeune arabe la pris encore une fois par derrière, elle poussa encore plusieurs cris de jouîssance.
La soirée à notre hôtel fut très douce !