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Ma nouvelle école – Chapitre 2




Voilà maintenant deux mois que j’avais intégré ma nouvelle école, pour les filles de ma classe, j’étais la petite poupée, elles passaient une grande partie de leur temps libre à me maquiller, me démaquiller, j’ai dû avoir à porter une dizaine de perruques différentes en tout genre et tout style de coiffure. Celle que toutes m’ont dit préférer étant une perruque châtain me tombant sur les épaules. Je me retrouvais avec des nattes, des queues de cheval avec des rubans en satin de toutes les couleurs.

Chaque soir, j’étais convoqué chez la directrice, j’écoutais son sermon, j’avais droit à des compliments au féminin sur mes maquillages, coiffures et autres. Le rituel ne me faisait plus réagir comme les premiers jours et je la laissais me parler comme à une fille.

Pour les cours, le niveau en matière générale me permit d’être rapidement à jour, pour les matières professionnelles, mes camarades étaient d’un grand secours. Mais je prenais le pli, je pus ainsi faire mes premières épilations, sur les jambes, je prenais l’habitude de me maquiller même si on devait encore contrôler mes traits d’eye-liner, les bases étaient là.

Ce qui me contrariait au fur et à mesure que j’avançai est que je portais de plus en plus naturellement mon uniforme. Vous dire que je pourrais sortir ainsi non mais au sein de l’école, je déambulais maintenant sans me soucier d’être accompagnée.

Les professeurs, le personnel, tout le monde avait suivi les consignes de la directrice et naturellement les filles, Paul ainsi que les autres élèves m’appelaient Frédérique, mademoiselle …

Nous arrivions en fin de semaine, les cours finissaient le vendredi soir à 17h00, j’allais savourer une pose car ce samedi, nous faisions avec l’ensemble des élèves restant le WE, une sortie dans la ville voisine. Un bol d’air de 4 heures, je m’imaginais déjà pouvoir m’échapper 5 minutes pour appeler mes parents.

Cette sortie était encadrée par Mademoiselle Agnès et Mademoiselle Isabelle pour les filles, et Monsieur Stéphane pour les 4 malheureux garçons dont je faisais partie.

— Frédérique !

— Oui Mademoiselle Isabelle

— Tenue n° 4 pour la sortie demain, maquillage léger et queue de cheval,

— Bien Madame Isabelle

Bon je ne me formalisais plus du fait de devoir sortir de l’école en fille, je me cacherais parmi les autres filles de l’école. Le plaisir le samedi, nous n’avions pas de sport donc le lever se faisait à 7h pour aller déjeuner, ensuite nous avions une heure de quartier libre avant l’étude de 3 heures,

A midi rendez-vous devant le réfectoire pour le repas ensuite nous avions une partie de l’après midi libre dans le jardin ou les salles de détentes avant de faire le ménage de nos chambres et dîner,

Après le repas de midi ce samedi, nous devions aller nous préparer. La tenue n°4 était constituée d’une jupe plissée grise tombant au-dessus du genou, de chaussettes hautes blanches, d’un chemisier rose pâle et d’un gilet gris. Pour les dessous, c’était culotte en satin rose et son soutien-gorge assorti,

Je me préparais dans ma chambre, je venais de finir de me maquiller, je retournais vers mon lit pour enfiler mes affaires,

— Frédérique !

— Oui

— Pardon oui madame Le Clerc,

— Je suis désolée de t’avoir surprise,

— Ce n’est rien Madame.

— Mademoiselle, je vois que vous appliquez à merveille les consignes aussi j’ai un petit présent.

— Merci Madame Le Clerc.

— Tenez et ouvrez la boite.

— Madame je ne comprends pas ?

— Petite idiote, c’est juste une paire de faux seins afin de garnir vos soutiens-gorges et brassières. Je désespère de vous voir sans forme dans vos tenues que vous portez si bien maintenant.

— Je vous remercie Madame Le Clerc.

— Approchez que je vous montre comment les placer dans les bonnets,

— Oui madame.

Elle me plaça les deux faux seins dans le soutien-gorge et me fis tourner.

— Enfilez le reste de votre tenue que je vois ça

— Oui madame,

J’enfilais jupe, chaussettes, chemisier et gilet en ayant Madame Le Clerc dans ma chambre,

— Parfaite, voilà qui vous fait maintenant avoir les formes adaptées à votre tenue. Coiffez-vous et venez me rejoindre dans mon bureau.

— Oui Madame Le Clerc

Le départ était proche et si je devais faire un tour par le bureau de la directrice, j’allais rester bloqué à l’école.

— Parfaite, jeune fille, je suis fière de votre adaptation. Prenez cette pilule avant de partir rejoindre vos camarades.

— C’est pourquoi Madame ?

— Cela m’assurera que vous allez rester avec vos camarades cet après-midi.

— Madame Le Clerc ?

— Oui ma petite

— Pourrais-je avoir l’autorisation d’appeler mes parents ce WE ?

— Vos parents ne souhaitent pas de contact avec vous pour l’instant, je les tiens informés de vos progrès et je leur ai fourni quelques photos et vidéos afin de leur montrer votre avancement. Vous savez qu’ils mettront du temps à vous pardonner votre comportement.

— Oui Madame Le Clerc. Dites-leur qu’il me manque et que je les embrasse.

— Vous êtes mignonne, ne faites pas attendre le bus.

— A ce soir Madame Le Clerc

Alors que je me pressais pour rejoindre le bus, je sentais ma poitrine bouger dans mon soutien-gorge et le poids tirer sur les bretelles et mon dos.

— Whaou canon, tu as fait des implants express ?

— Sonia arrête, la directrice m’a emmené des faux seins pour que j’aie des formes en adéquation avec ma tenue.

— Et alors ?

— Ça tire sur les bretelles et mon dos et en plus ça ballotte quand je cours.

— Remonte ton chemisier je vais régler tes bretelles de soutien-gorge. C’est mieux.

— Oui merci

— De rien copine.

Après 45 minutes de trajets, le bus s’arrête près du centre-ville.

— Jeunes gens, vous avez 2 heures avant de revenir au bus. Nous ne tolérerons aucun retard.

— Sonia, je vous charge de Frédérique, ne la perdez pas, c’est sa première sortie en ville.

— Oui Mademoiselle Agnès.

Je ne me sentais pas très en forme depuis que j’avais avalé cette pilule. Mais bon on avait 2 heures de quartiers libres je voulais en profiter.

— Tu veux faire quoi Frédérique ?

— Je ne sais pas trop je connais pas la ville, je te laisse choisir.

— J’ai besoin de faire quelques courses mais ensuite on fera quelque chose qui te plaît. OK ?

— Ok pour moi.

Sonia m’entraîna dans un super marcher, je compris vite ses achats, nous sommes allez directement au rayon hygiène féminine.

— Tu as de la chance toi au moins pas besoin de tout cela. ALLÔ !

— Pardon

— Je te disais tu as de la change de ne pas avoir besoin de ça.

— Ah oui sûrement

Pourquoi je restais scotché ainsi devant ce rayon à tout regarder ?

— Bon on y va ou tu veux prendre racine ? A moins que tu aies aussi besoin de quelque chose ?

— Ben en fait il m’arrive un truc.

— Quoi ?

Je me penche vers Sonia et lui explique.

— Bon on va te prendre ça et on va voir.

Après le passage en caisse, nous nous dirigeons vers les toilettes. Ma petite culotte est mouillée, je ne comprends comme si j’y avais fait pipi mais en continu, juste quelques gouttes,

— Eh ben petite cochonne

— Je fais pas exprès, je ne sais pas ce qui se passe.

— Bon tu vas mettre une serviette ça va absorber, ça a commencé quand ?

— Un peu après la sortie du bus.

— Bon si ça continue on en parlera à l’infirmière au retour mais pour l’instant avec ça tu seras tranquille.

— Merci Sonia, je ne comprends rien.

Je me mis à pleurer de si longs sanglots que Sonia qui me prit dans ses bras eut du mal à calmer.

— Je vais t’offrir un chocolat chaud ça va te remonter le moral.

— Je te l’offre moi plutôt.

— Si tu veux

Alors que nous allions vers le centre-ville, nous passons devant un magasin de vêtements, dans la vitrine, une jolie robe noire brillante, une jolie robe de soirée, qui attire mon regard, le captive, le scotche. Je m’arrête pour la regarder, quand juste derrière, une autre d’un bleu électrique m’attire.

Je me dirige machinalement vers l’entrée du magasin.

— Bonjour Mademoiselle

— Bonjour

— Je peux vous renseigner ?

— Oui la robe bleue, est-il possible de l’essayer ?

— Mais bien sûr vous faites quelle taille ?

— Je …

— Elle fait du 38 madame

Sonia venait d’entrer dans la boutique et avait l’air surprise de ce qui se passait.

— Tu fais quoi Frédérique ?

— Je sais pas, quand j’ai vu les robes elles m’ont donné envie, je veux essayer cette robe.

— Ok on va l’essayer, je te laisse faire mais ici les fringues sont pas données tu sais.

— Non je sais pas, je suis jamais venu ici.

— Voilà mademoiselle en 38 je vous laisse aller en cabine

Sonia m’y accompagne, je me déshabille impatiente (oui c’est bien impatiente dans ma tête) de la passer. Lorsque je sors pour me regarder dans le grand miroir, je me trouve très belle, la robe dessine mon corps, suivant les courbes de ma poitrine, galbant mon postérieur.

— Putain comment elle te va bien, tu es magnifique, elle est faite pour toi

— Votre amie a raison, on la croirait dessinée juste pour vous

— Oui mais elle est trop chère pour moi malheureusement.

— Vous êtes à la fondation soleil ?

— Oui madame

— Dites-moi, section esthétique a voir vos tenues ?

— Oui madame

— Dites a madame Le Clerc de m’appeler, vous pouvez garder cette robe je ne peux pas ne pas vous laisser partir avec.

— Mais madame on ne peut pas la payer

— N’ayez pas d’inquiétude

Je me tournais et retournais devant le miroir, je ne pouvais plus m’arrêter de m’admirer.

— Frédérique ! Frédérique !!!

— Oui Sonia, faut te changer.

— Non je veux pas, je veux garder cette robe

— Tu es folle, je vais trouver Mademoiselle Agnès

Sonia revint 5 minutes plus tard à la boutique, j’étais en train de regarder une jupe longue moulante.

— Mademoiselle, voilà, Frédérique a vu la robe et elle l’a essayée mais ne veut pas se changer pour rentrer

— Bonjour Agnès, bonjour Madame Bernard, comment allez-vous ?

— Bien et vous ?

— Très bien merci.

— Une nouvelle protégée du manoir.

— Oui Madame, une élève suivie par madame Le Clerc.

— Je comprends mieux

— Bon j’appelle l’institut, bien sûr il n’y a pas de soucis pour la robe, elle peut la prendre. J’enverrais la facture à l’école.

— Merci Madame Bernard.

— Sonia prenez les affaires de Frédérique dans la cabine et attendez-moi dehors

— Oui mademoiselle.

— Frédérique ?

— Oui mademoiselle Agnès

— Tu te sens bien ?

— Oui mademoiselle.

— Je fais prévenir que nous rentrerons toute les deux et je renvoie le bus

— Oui mademoiselle,

Après un coup de fil à l’institut et à Mademoiselle Isabelle, elle indiqua à Sonia de rejoindre le bus.

— Bon maintenant voyons un peu cela, Madame Le Clerc demande sil est possible de la laisser faire ce qu’elle a envie dans la boutique, je dois prendre des notes et observer.

— Mais bien sûr, laisser moi juste fermer la porte et je suis à vous totalement.

— On doit la laisser enfiler tout ce qu’elle souhaite, je dois voir à quel point sa féminité ressort.

— Bien sûr je ne peux rien refuser à Madame Le Clerc

Mademoiselle Agnès s’approcha de moi,

— Frédérique, la boutique est toute à toi, tu peux essayer tout ce qui te donne envie. Madame Bernard va t’aider.

Durant plus de 2 heures, je passais toutes sortes de tenues, robes, jupes longues courtes, pantalon, leggings, bodys, chemisier petit top, je ne pouvais plus m’arrêter, plus les vêtements étaient féminin et mieux je me sentais. Je finis mes essayages sur une robe moulante rouge, des collants chair et des escarpins rouges également.

— Cette tenue est parfaite,

— Oui madame Bernard

— Madame Le Clerc va être fière de Frédérique, donc cette tenue et la robe bleue.

— Bien Madame Agnès

— Frédérique, nous partons

— Oui Mademoiselle, au revoir Madame Bernard

— Au revoir ma petite et à bientôt.

— Nous rentrâmes en taxi et nous sommes allez directement dans le bureau de madame Le Clerc.

— Bonsoir Mesdemoiselles, alors votre journée ?

— Une réussite Madame Le Clerc, comme vous pouvez le constater, tout sest déroulé comme prévu

— Je dirais même mieux, je m’attendais pas à un tel résultat avec une seule prise, il y a bien le régime mais une telle réaction est formidable.

— Frédérique ?

— Oui madame Le Clerc

— Comment vous sentez vous

— Très bien madame mieux que je ne laie jamais été.

— J’aimerais que vous me fassiez part de ce que vous souhaitez maintenant le plus au monde.

— Je voudrais être comme mes camarades, une vraie fille, avoir une poitrine, un vagin, je veux être une fille.

— Êtes-vous sure de vous Mademoiselle

— Oui madame, cet après-midi j’ai compris ma voie, je nai jamais été un garçon.

— Je vais vous donner une autre pilule et demain nous en reparlerons. Pour l’heure je vous autorise à garder votre tenue et rejoindre votre dortoir.

— Merci madame Le Clerc

— Mademoiselle Agnès raccompagnée Frédérique

— Bien sûr Madame

— Frédérique votre pilule.

— Merci Madame Le Clerc au revoir.

En regagnant mon dortoir, tout le monde m’observait, je ne portais pas l’uniforme et ne semblait pas être punie. Je rentrais dans ma chambre et m’allongeait sur le lit. J’étais détendue, heureuse, je repensais à l’après-midi dans le magasin, tous ces vêtements, les essayages, la robe bleu, il fallait que je l’enfile à nouveau. Je me précipitais sur le sac et enfilait la robe, je pris des escarpins noirs, je détachais mes cheveux et alla me faire un maquillage plus accentué.

— Mademoiselle Agnès vint me chercher pour le dîner.

— Vous êtes ravissante Mademoiselle

— Merci Mademoiselle

— Vous allez faire chavirer les autres élèves ainsi habillée

— Vous souhaitez que je me change ?

— En avez-vous envie ?

— Non Mademoiselle

— Alors comme vous avez l’autorisation de Madame Le Clerc vous pouvez rester ainsi.

Une douce chaleur envahissait mon bas ventre, je me sentais heureuse, belle, femme. Je fus l’attraction du dîner, je sentais les regards sur moi et surtout un.

— Frédérique, eh ben tu es super jolie

— Merci Sonia

— On t’a laissée t’habiller ainsi

— Oui madame Le Clerc me l’a autorisé exceptionnellement, elle a parlé d’une journée très spéciale pour moi.

— Ah bon et spéciale comment ?

— Je t’en parlerais plus tard je dois retourner au dortoir

— Quoi toi qui veux toujours traîner

— Ce soir j’ai des choses à faire

— Ok j’insiste pas

— Bises à demain

— Bises

Je pris tout mon temps pour retourner au dortoir, je voulais profiter seule de ma tenue et parcourir le jardin. Rentrant enfin au dortoir, je rencontrais Paul qui n’était pas parti en we pour prendre le temps de travailler une présentation.

— Salut Paul

— Salut Frédérique, quelle tenue, tu es très jolie.

— Merci (j’en rougis)

— Je te raccompagne ?

— Avec plaisir

Nous marchâmes côte à côte jusqu’à l’escalier du dortoir, il me fit passer devant lui, et sans trop y faire attention, j’accentuai mon déhanchement. Lorsque je loupais une marche, il me rattrapa et je me blottis dans ses bras.

— Frédérique ça va ?

— Oui

— T’en es sure ?

— Oui

— Tu me parais pas dans ton état normal ce soir

— Si au contraire, je n’ai jamais été aussi bien.

— Bon si tu le dis

— Tu peux m’aider à aller au dortoir je me suis fait mal en tombant

— Bien sûr prend mon bras

Il me soutient jusqu’à la chambre et m’aida à m’asseoir sur le lit. Je regardais ce corps musclé, ses yeux profonds, je senti de nouveau mon sexe fuir et cette chaleur dans le bas de mon ventre. Je me précipitais dans la salle de bain. Je regardais mon reflet dans le miroir et de nouveau me mis à pleurer. Que m’arrivait-il ? Je décidais de prendre une douche et de me coucher. En nuisette, je me précipitais dans mon lit en évitant de croiser le regard de Paul. J’avais pris toutes mes précautions avant de me coucher mais je dus me relever dans la nuit pour me changer. Je ne comprenais pas ce qui se passait.

Dimanche matin, j’enfilais l’uniforme de rigueur même si l’envie de porter la robe bleue était grande. Je prenais la direction du bureau de madame Le Clerc. Elle arriva 5 minutes plus tard arborant un beau sourire lorsqu’elle me vit.

— Mademoiselle Frédérique comment allez-vous ce matin

— Bien Madame Le Clerc

— Vous êtes sûr ? Bon entrons on va voir ça

— Oui ça va

— Vous n’avez pas mis votre nouvelle robe, celle qui vous a tant donné envie hier ?

— J’ai mis l’uniforme du jour madame

— Retournez dans votre dortoir, changez-vous et revenez une fois totalement prête, maquillage coiffure comme vous le feriez pour sortir avec votre tenue.

— Oui madame je reviens rapidement Madame

— Frédérique

— Oui Madame ?

— Votre pilule avant d’aller vous changer.

— Merci Madame

J’avalai sans broncher ma pilule et repartais au dortoir me changer, me maquiller et enfiler des escarpins. Après 35 minutes de préparation, je retrouvais la directrice dans son bureau.

— Mademoiselle Frédérique, je comprends que vous ayez craqué sur cette robe, elle vous va merveilleusement bien.

— Merci Madame

— Pour finaliser votre tenue je vais vous faire un petit cadeau. Tenez, mettez ces bas vous verrez comme c’est agréable.

Après avoir enfilé la paire de bas, elle me fit me tourner, prendre des pauses pour faire des photos.

— Maintenant que vous êtes prête, nous allons faire un Skype avec vos parents qui sont impatients de voir vos progrès.

— Madame vous êtes sûr, ils vont me voir en fille

— Frédérique, redite moi ce que vous souhaitez ?

— Être une fille madame

— Ne pensez-vous pas que vos parents seront ravis de voir que vous avez trouvé votre voie.

— Si madame Le Clerc.

— Bon alors installez-vous devant l’écran, ils vous attendent.

Je m’installai devant l’ordinateur et vis apparaître ma mère qui fût surprise et fondis en larme.

— Comme tu es belle

— Ne pleure pas maman (je fondis en larmes à mon tour)

— Madame Le Clerc nous a fait parvenir des photos et des vidéos mais on ne pensait pas que tu étais fille à ce point.

— Je me sens mieux comme ça maman, je ne sais pas pourquoi mais je me sens fille maintenant. Maman je suis désolée d’avoir été si bête et de vous avoir causé tant de soucis.

— Bonjour Frédérique

— Bonjour papa

— Bon j’ai eu du mal à te voir ainsi mais maman et moi avons beaucoup échangé avec Mme Le Clerc. Il semble que tu as trouvé ta voie maintenant.

— Oui papa, j’adore mes cours, je suis heureuse.

— On aimerait savoir si tu veux rester et continuer dans cette voie ?

— Oui papa, je veux plus partir. Papa ?

— Oui

— Tu m’en veux pas ?

— De quoi ?

— Je veux plus être un garçon.

— J’ai eu du mal à l’entendre mais avec ce que je vois tu es plus une fille qu’un garçon maintenant.

Peux-tu appeler Mme Le Clerc ?

— Bien sûr papa

— Madame mes parents souhaiteraient vous parler.

— Bonjour, comme je vous l’avais expliqué, les changements et les progrès de Frédérique sont très importants, elle est épanouie, calme, assidue dans ses études et a découvert sa véritable personnalité.

— Que devons-nous faire maintenant ?

— Je vous propose d’accentuer rapidement ces changements en augmentant les doses du traitement que nous avons commencé. Comme je vous l’avais dit nous faisions un test avec de faibles doses au départ. Nous n’avions jamais observé un résultat aussi fort et rapide, elle cachait ce mal-être avec son corps par rapport à sa personnalité dans son insolence et les problèmes qu’elle vous a fait subir.

Nous pensons obtenir très rapidement avec le dosage adéquat, la transformation totale de sa personnalité. Les hormones vont commencer à donner des résultats sur son corps afin que pour la fin de l’année, Frédérique soit en accord avec sa personnalité.

— Cela lui fera mal ?

— Les transformations sont lentes, elle sentira comme toute adolescente des douleurs quand sa poitrine prendra du volume mais rien qui ne soit gérable. Il restera le dernier point dont nous avons parlé, qui fera de Frédérique une jeune femme définitivement.

— Oui nous comprenons, mais nous avons un peu peur.

— Je ne vous avais pas menti quand nous avons vu les résultats de ses tests, elle ne pouvait continuer ainsi. Vous l’avez toujours vue comme un garçon, elle a dû se découvrir et pour cela la solution de l’électrochoc que l’on a effectué n’a fait que la révéler.

— Oui nous avions compris vos explications

— Nous continuerons a vous donner toutes les informations que vous souhaitez, mais désormais, pensez à Frédérique comme une fille, je vous conseille de refaire sa chambre et sa garde-robe avant qu’elle ne rentre.

— Nous allons le faire, mais que vont dire nos amis et les copains de Frédérique ?

— Nous allons vous envoyer une personne qui vous aidera à tout expliquer, et vous conseillera pour la nouvelle chambre. Ces changements sont indispensables pour elle.

— Bien nous vous remercions de tout ce que vous avez fait pour lui

— Elle, Monsieur, ELLE, vous avez désormais une fille

— Oui madame, pour elle, il faut que je m’y fasse.

— Madame ?

— Oui madame Le Clerc

— Je souhaiterais que vous veniez à l’institut samedi prochain, votre fille a besoin d’accompagnement pour des petites choses féminines et il nous paraît important que ce soit sa maman qui l’accompagne.

— Bien sûr

— Monsieur nous vous demandons d’attendre un peu avant de voir Frédérique, cela pourrait freiner son travail.

— Pas de problème, et la voir ainsi mi-homme/mi-femme ne me plaît pas trop, je préfère qu’elle ait évolué un peu plus.

— C’est exactement la bonne attitude. Vous intégrerez mieux ses changements quand elle aura une féminisation de son visage, de ses formes.

— Je vais vous laisser maintenant nous avons encore des choses à voir avec Frédérique. Je lui laisse le temps de vous dire au revoir.

— Maman, Papa, vous me manquez, je vous aime.

— Nous t’aimons aussi ma fille. Je te vois samedi prochain.

— Je vous embrasse (je fondis de nouveau en larmes),

Au revoir

— Mademoiselle alors maintenant vous avez compris ce qui va se passer ?

— Oui madame

— Êtes-vous prête à devenir plus fille de jour en jour.

— Oui madame

— Très bien ma fille

— Madame ?

— Oui Frédérique

— J’ai un petit souci intime et j’aimerais aller à l’infirmerie.

— De quoi s’agit-il ?

— Je…

— N’ayez aucune honte, nous sommes entre filles.

— Mon sexe coule tout seul, j’ai dû porter des serviettes et me changer toute la journée madame.

— Je vois, expliquez-moi ce que vous ressentez quand ça vous arrive

— J’ai d’abord une chaleur dans le bas du ventre et ensuite cela se produit, je ne comprends pas madame.

— Chez les femmes, quand elles ressentent du plaisir, c’est la réaction qu’elles produisent, on dit qu’elles mouillent. Vous subissez du fait du traitement une augmentation de vos hormones féminine et cela perturbe votre corps, il faut qu’il s’y habitue. Dans quelques semaines cela sera réglé et vous n’aurez ce désagrément que si vous ressentez une attirance pour quelqu’un ou un plaisir sexuel.

— Merci madame de m’avoir expliqué cela.

— Allongez-vous sur le sofa je vais tout de même vérifier que tout va bien.

— Oui Madame.

Je prenais position, remontait ma robe et écartait les jambes comme toute jeune fille chez un gynéco. La directrice baissa ma culotte.

— En effet, vous mouillez beaucoup, nous allons vous changer mais d’abord je vais vous nettoyer.

Elle appliqua une lingette fraîche et commença à nettoyer mon intimité, l’effet fût immédiat et de longs jets de sperme se mirent à couler. La directrice en reçut plein les mains et sur sa jupe.

— Petite cochonne, nettoyez-moi ça immédiatement. Léchez-moi les doigts.

Je me mis immédiatement au travail sans penser à autre chose qu’à rattraper ma bêtise. Je léchais les doigts sans me rendre compte que je buvais mon propre sperme, le goût me donna envie de plus et je finis par nettoyer la jupe de la même façon.

— C’est bien ma fille, vous savez comment vous faire pardonner. Je vais vous remettre votre culotte et une protection épaisse.

— Oui madame.

— Maintenant filez dans votre chambre et restez-y, je vous fais porter une collation pour ce soir, je ne veux pas vous voir ainsi au réfectoire.

— Oui madame, bonsoir madame.

Je regagnais ma chambre, je sentais entre mes jambes cette grosse protection de nuit qui me faisait plus penser à une couche. Je décidais d’attendre ma collation en prenant un livre de cours sur le maquillage. Mademoiselle Isabelle vint me déposer mon dîner accompagné d’un gobelet contenant plusieurs pilules.

— Je dois m’assurer que vous prenez toutes les pilules.

— Bien Mademoiselle Isabelle (j’avalais le tout avec un verre d’eau sans rechigner)

— Vous redéposerez votre plateau devant la porte du dortoir quand vous aurez fini.

— Oui mademoiselle bonne soirée

— Bonne soirée à vous Frédérique et dormez bien

Je prenais le dîner mais à chaque boucher, le goût me paraissait fade. Je repensais au goût de mon sperme sur les doigts de la directrice, sur sa jupe, je voulais à nouveau avoir ce goût en bouche.

Je me masturbais et récoltait mon sperme dans un gobelet. J’y trempais mes doigts et les léchais en savourant chaque fois. C’est à ce moment où je léchais de nouveau mes doigts que Paul entra dans la chambre. Surprise en pleine action, je restais sans bouger.

— Tu fais quoi ?

— Rien

— Tu plaisantes, je viens de te voir faire.

— Je… j’ai pas pu me retenir, c’est venu comme ça.

— Et tu aimes ?

— Oui

— Tu as goûté celui d’un autre ?

— Non, c’est la première fois que je fais ça, ça a commencé chez la directrice et j’ai eu envie de recommencer, de goûter à nouveau.

— Depuis une semaine je t’observe, tu deviens de plus en plus féminine chaque jour, tes attitudes, ta façon de parler, tu t’en es pas rendu compte mais tu parles de toi au féminin maintenant.

— Je me sens fille de plus en plus et je désire en être une.

— Tu le deviens et tu es de plus en plus belle.

— Merci

— C’est sincère, je te regarde tous les jours et tu es très séduisante.

— Je te trouve très beau aussi.

— Merci Frédérique

Je me levais, me mettais sur la pointe des pieds et déposais un baiser sur ses lèvres. Surpris il se recula avant de venir vers moi et d’en déposer plusieurs avant que j’ouvre les lèvres et laisse sa langue entrer en contact avec la mienne. Je ferme les yeux, m’abandonne à la douceur de ce baiser, de ses mains qui glissent sur ma robe, mon sexe coule, je sens ma protection s’imbiber.

— Je suis désolé

— De quoi ?

— Je voulais pas, mais tu es trop excitante. Ton odeur, le goût de tes lèvres, j’ai…

— Moi aussi j’ai envie, j’ai envie de te sentir, de caresser ton corps viril

— Mais tu es un garçon

— Je ne le suis plus, je suis une fille maintenant et je suis amoureuse de toi

— Tu es…

— Oui tu as bien entendu, amoureuse, je te regarde dormir, sortir de la douche, envie de te découvrir.

— Frédérique on peut pas

— Chut, laisse-moi faire

Je me mis à genou face à Paul, je saisis sa braguette et la descendis, je défis le bouton de son pantalon qui tomba sur ses chevilles, je saisi son boxer pour laisser son sexe libre. Je l’admirais, avant de commencer à le caresser. Entendant les gémissements de Paul, je le poussais sur mon lit et m’installais entre ses jambes, je me penchais sur son sexe pour le mettre dans ma bouche. Je mis à le sucer, cette première fois pour moi était naturelle, je me délectais du sexe de Paul. Les gémissements de plus en plus forts de Paul me fit comprendre le bien que je lui prodiguais, j’aspirais, léchais. Son sexe prenait de l’ampleur dans ma bouche. J’avais de plus en plus de mal à le prendre en entier et je salivais beaucoup. Son sexe se contracta et son sperme coula dans ma bouche. J’avalais le tout sans sourciller et gardais ce sexe en bouche pour ne pas en perdre.

— Mon dieu, c’était trop bon, c’était divin ma chérie

— J’ai adoré ton sexe dans ma bouche et boire ta liqueur.

— Comment tu suces bien

— Je ne l’avais jamais fait avant, j’ai juste suivi mon instinct

— Eh ben sacré instinct de petite salope.

— Je vais prendre une douche mon amour je suis trempée.

— Ok

Je filais dans la salle de bain, ôtait mes vêtements pour me glisser sous la douche. Paul en profita pour me rejoindre. Il prit la pomme de douche, ôta l’embout et m’enfila le tuyau entre les fesses. Je sentis mon ventre se remplir, cela commença à devenir douloureux. Je le suppliai de stopper.

A peine il coupa l’eau que je me précipitai sur les toilettes pour me vider. J’y restais 15 minutes et mes intestins se sont vidés. Il me dit de revenir et recommença. De nouveau je finis sur les toilettes. Il renouvela encore une fois avant de m’attirer dans la chambre.

— Enfile ta robe rouge, tes bas et ta perruque blonde

— Oui Paul

Je suivais les instructions de Paul y rajoutant une petite culotte blanche, je finissais de me préparer en allant y ajouter une touche de maquillage et une pointe de parfum.

— Superbe Frédérique

Il m’attira avec force contre lui, m’embrassa, caressa ma croupe, de nouveau cette chaleur dans le bas de mon ventre, la directrice disait vrai, ma culotte était trempée, mon cur palpitait mais pas que lui. Je m’abandonnais totalement. Quand il m’allongea sur lit en remontant ma robe, il me découvrit trempée, totalement prête à le recevoir, il se positionna et sans attendre me pénétra jusqu’à la garde. Je fus comme déchirée mais heureuse, sentir ce sexe plein de vie en moi, je chavirai et me mis a gémir fortement. Paul en profita pour commencer ses aller/retours en moi, plus il allait vite et fort en moi, plus je gémissais. Lorsque Paul jouit en moi je hurlais de plaisir, mon corps tout entier était pris de soubresauts. Il s’écroula sur moi et y resta. Quand il sortit, le vide, l’émotion je fus prise d’une crise de pleurs. Il m’abandonna ainsi et quitta la chambre après avoir enfilé son pyjama. Je sortis de ma torpeur quand une voix de femme m’interpella.

— Frédérique ! Frédérique ? Vous allez bien ?

Mademoiselle Agnès s’assit au bord de mon lit, me prit par les épaules et je me calais contre sa poitrine.

— Que vous est-il arrivé ?

— Je….. Mademoiselle je ne peux pas le dire.

— Vous pouvez tout me dire, je suis là pour vous.

— Paul, il… nous… (je fondis de nouveau en pleures)

— Vous aimez Paul ?

— Oui mademoiselle et nous…

— Vous avez fait l’amour, je vous ai entendue jouir, Frédérique. Il n’y a pas de honte à avoir, vous voilà femme tout simplement.

— Mais pourquoi il est parti ?

— Il doit avoir un peu honte de vous avoir fait l’amour, plus tard il vous verra comme vous êtes, une jolie jeune femme. Pour ce soir, enfilez une chemise de nuit je vous emmène dans le dortoir des filles, il y a une chambre libre près de la mienne.

— Oui mademoiselle

Alors que je me changeais pour enfiler une chemise de nuit du sperme coula de mon postérieur.

— Passez une culotte et prenez une protection.

— Oui mademoiselle

Tel un zombie, mademoiselle Agnès me montra ma chambre, je m’y installais.

— Nous prendrons vos affaires demain, maintenant dormez et si vous avez un souci je suis juste à côté.

Le lendemain matin, on me fit venir mes affaires et je me préparais dans ma nouvelle chambre, peinte en rose, avec une coiffeuse et un lit recouvert d’une couette rose, elle m’apaisa. Mme Le Clerc my retrouva.

— Bonjour Frédérique, votre soirée a été agitée d’après ce que l’on m’a dit.

— Oui madame

— Ne vous excusez pas et ne m’expliquez pas. Pour aujourd’hui je vous dispense de cours, prenez le temps de vous organiser dans votre nouvelle chambre, vous me rejoindrez dans mon bureau à 16h00. D’ici la promenez-vous dans le parc, profitez de cette journée de détente seule pour réfléchir.

— Merci madame

— Nous avons des sujets à aborder ensemble et je vous sens réceptive. Vous avez connu votre première fois, je ne pensais pas que vous y seriez prête tout de suite mais il faut penser à votre position de femme maintenant. Je fais venir votre mère pour que nous en discutions toutes les trois.

— Bien madame Le Clerc

— Prenez votre temps et rendez-vous à 16h précises.

— Oui madame

Je m’enfermais dans la chambre, ordonnait mes affaires et enfilais la tenue de rigueur. Lorsque je sortis pour le parc, je croisais Sonia qui se précipita sur moi

— Alors tu as un souci ? On nous a dit que tu serais pas en cours aujourd’hui. Tu t’en vas ?

— Non pas du tout, tu peux me retrouver au kiosque après le déjeuner je te dirais tout.

— Ok à tout à l’heure.

Je déjeunais dans la cuisine avec Mademoiselle Agnès qui fût bienveillante envers moi, si je chipotais sur mon repas, on ne me donna aucune punition. Je rejoignis Sonia au kiosque.

Après lui avoir raconté la soirée et ce qui sétait passé, elle me quitta fâchée. J’avais couché avec le garçon sur lequel elle avait des vues depuis 2 ans. Je me retrouvais seule et en profitais pour penser à ce que j’allais bien pouvoir dire à ma mère. Quand à 16h00 je frappai au bureau de la directrice, ma mère était assise dans le sofa, elle pleurait, Madame Le Clerc lui avait tout dit.

A suivre

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