Jétais jeune encore, les glandes me jouaient des tours, javais envie de jouir non plus seul mais avec une autre personne, comme cest la normalité. Jaurais bien aimé baiser une fille de mon âge. Comment convaincre une fille de 16 ans de se donner comme ça.

En attendant je savais toujours me branler en regardant des revues porno, ce qui, réflexions faites me donnaient toujours envie de baiser ma jeune voisine. Je me souviens encore des mouvements de va et vient que je faisais faire à ma main droite enserrant ma queue bandée. Je me souviens aussi quau moment de jouir, je serrais ma main pour que mon sperme ne souille pas mes draps. Jai encore en tête le plaisir trouble que javais quand en me branlant des fois je me mettais un doigt dans le cul. Je faisais coulisser mon doigt avec la même cadence que ma main droite.

Un jour, jen parlais avec mon copain Aimé. Il avait les mêmes désirs que moi. Sauf que pour lui sa préférée nétais pas la même : il aurait bien baisé sa cousine Nicole. Il avait bon goût. Il se masturbait comme tous les copains que nous avions. Avec Aimé nous nous racontions nos masturbation. Le résultat est que nous bandions sans le dire et le soir dans nos lits, nous nous masturbions encore plus, jusquau jour où.

Jusquau jour où devant lui, je sortais ma queue pour lui montrer combien je bandais. Javais simplement ouvert ma braguette, sortis mon sexe du slip. Devant lui, sans honte je commençais à me branler. Aimé excité certainement par ma démonstration en faisait autant : je voyais une belle bite plus grosse que la mienne. Comme moi sa main entourait sa queue pour se donner du plaisir.

Je ne sais comment mest venue lidée de lui prendre la pine dans ma main pour le masturber. Elle me semblait bien meilleure que la mienne. Il a défait sa ceinture pour faire glisser son pantalon et son slip. Jai ainsi pu le masturber avec maestria. Je nai pas mis longtemps pour voir son sperme jaillir de sa bite. Jai eu ma récompense quand il a pris ma bite pour me rendre ce que je venais de lui faire. Je me suis mis contre le mur de ma chambre pour être plus à laise. Je regardais simplement sa main aller et venir sur ma pine. Mon ventre se creusait quand je sentais arriver lorgasme.

Ces nouveaux plaisir nous ont donné envie de recommencer. Régulièrement, soit chez moi, soit chez lui, nous nous déshabillons pour être à laise et mieux jouir. Un après midi il a eu lidée de me demander de lui mettre un doigt dans son anus pendant quil se branlait. Je me suis mis derrière lui, je pouvais juste voir sa main autour de sa queue. Je mouillais un doigt comme je faisais pour moi et cherchais à peine son rectum. Je le faisais aller et venir quand il jouissait.

— Tu mas bien fait jouir salaud.

— Rends-le-moi.

Je me suis mis devant lui pour quil me mette aussi un doigt pendant ma masturbation. Je commençais à peine mes allers et venues. Je serrais bien ma bite dans ma main droite. Je me caressais les couilles de lautre main, je sentais sa main sur mon cul. Je la sentais entrer pour finalement avoir un autre plaisir que dhabitude. Je lui ai demandé de me branler en même temps. Cétait la première fois que mon copain me faisait cette chose désirée.

Bien plus tard, toujours à la recherche du plaisir sans frontière de morale, nous avons été beaucoup plus loin.

Un jour, sachant que la chose était possible nous nous sommes sucés. Quel plaisir que davoir une queue dans la bouche et quel plaisir de lécher un gland si doux. Jai encore en tête quand je lavais dans ma bouche la quantité énorme de bite que je léchais. Nous attendions lorgasme de lautre avec un peu dappréhension. Pourtant la réception de sperme dans la bouche était finalement agréable. Ce liquide chaud de lautre dans la bouche nous donnaient envie de le déguster pour lavaler.

Nous avions lun et lautre envie de sentir un corps autour de nos bites. Le cul de lautre était disponible : nous en avons profité longuement.

Nous devions avoir à peu près 17 ans quand nous avons décidé de nous enculer. Cest moi qui le lui proposais : il était daccord pour me donner son cul, à condition que je le branle. Rien que de savoir que lallais enculer mon copain me donnait une bite plus dure et plus grosse.

Nous nous sommes mis nus dans ma chambre. Il sest couché sur mon lit, les fesses bien en avant. Je le voulais en levrette pour le branler. Jai bien posé ma queue sur sa rosette. Jai forcé beaucoup pour le sodomiser. Nous avions oublié de mettre une pommade sur ma bite.

Nous sommes allés ensemble choisir ce quil fallait à la pharmacie. Nous sommes ressortis avec un flacon de lubrifiant. De retour à la maison, nous étions toujours décidés à continuer notre jeu. Cette fois jétalais sur ma bite une bonne dose de lubrifiant. Cette fois je pouvais pénétrer dans ce cul offert. Jétais à peine sur son cul quand je lai branlé doucement. Son cul suivait les mouvements de ma main. Jai pu entrer facilement dans ses intestins. Jallais et venais dans son cul bien ouvert : il ne se plaignait pas, au contraire. Jarrêtais même de le branler : cétais plutôt fatiguant pour moi de me pencher pour bien le masturber.

Je me régalais de ce nouveau plaisir inconnu dêtre dans un cul. Je sentais mon prépuce accompagner mes mouvements. Je sentais que son cul répondait parfaitement à notre plaisir. Jaimais sentir ses fesses contre mon pubis, il aimait sentir mes poils contre ses fesses.

Jétais étonné de le sentir jouir par des contractions de son anus autour de ma bite, alors que je navais pas encore joui.

— Tu mas bien fait jouir, tout à lheure cest moi qui te la mettrai.

— Bien sur. Attendons de bander.

Nous navons pas attendu longtemps. Nous bandions tous les deux. Jai pris sa bite dans ma main pour lexciter encore plus. Fier de mon expérience, je refusais quil me branle.

Je me suis mis en levrette, les fesses ouvertes à deux mains. Il a mis le produit utile sur mon cul quil caressait avec deux doigts. Il me tardait dêtre sodomisé. Le passage du sphincter a été le plus difficile. Pourtant je bandais comme un âne. La suite a été bien meilleure. Je le sentais entrer dans mon cul facilement et jen ressentais un plaisir trouble, inconnu et agréable, plus agréable quune masturbation partagée. Plusieurs fois par jour, nous alternions les 69 et les sodomies. Nous améliorons les 69 en entrant au moins deux doigts dans le cul du partenaire. Nous devenions de véritables homos.

Seulement nous rêvions toujours de baiser une fille. Nous lavons trouvé un soir, sans la chercher : cétait la sur dun autre copain. A peine plus jeune que nous, elle venait chez moi pour chercher je ne sais plus quoi. Elle nous surpris pendant que nous nous sucions. Elle nest pas parti, elle regardait en faisant des commentaires :

— Vous êtes des salauds, et moi ?

— Quoi toi, tu veux quon tencule ?

— Non je veux que vous vous mettiez tous les deux sur moi pour baiser.

Cétait notre premier contact avec la gente féminine : elle avait à peine 17 ans, à peine moins que nous. Quelle était belle et sexy. Elle savait bien comment faire, en plus elle était plus que dévergondée.

Pour cette première fois, Cathy sest mis toute nue seule. Nous voyons pour la première fois une fille volontaire pour baiser et jolie plus que sexy. Elle est venue devant nous, ses seins pour nos bouches avides. Nous sentions biens ses tétons bander sous nos lèvres. Elle nous a embrassé sur la bouche, sest couchée en nous demandant de la branler.

Si nous savions bien branler un homme pour les filles nous ignorions tout. Elle nous la vite appris en jouissant plusieurs fois. Elle ma fait coucher sur le dos, est venue sur moi, a entré ma bite dans son con. Après sêtre bien couchée sur moi elle a demandé à Aimé de venir lenculer. Notre premier orgasme mixte était avec elle qui jouissait toujours.

Cathy est restée notre fille longtemps, même si souvent nous nous enculions toujours avec Aimé. Elle participait souvent à notre débauche en se mettant sous celui qui se faisait mettre pour le sucer. Elle se masturbait également.

Maintenant 10 ans plus tard nous somme tous casés. Il nous arrive souvent de nous retrouver avec nos conjoints pour nous amuser à plusieurs. Je sais que ma femme aime quand je suce Aimé ou quil mencule comme je lui fais. Elle se régale de temps en temps avec Cathy pour passer une ou deux heures avec elle.

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