Toujours lors de l’année de mes 16ans.
Je passais après le lycée à l’appart voir s’il y avait mes potes. Après cette fameuse soirée avec Emilie, nos rapports ne paraissaient pas avoir beaucoup changé. Pourtant je sentais bien quelque chose. Comme des regards plus complices, plus ambigus, un rapport tactile plus présent entre nous.
L’appart semblait vide, Ced ne devait pas être encore rentré des cours. Le salon en bordel comme d’hab avec les rideaux à moitié tirés et une sorte d’opacité brumeuse. Des bouteilles de bière qui jonchaient la table basse entre jeu de cartes et cendrier. Notre mur des trophées comptait déjà une bonne trentaine de polas. Ils commençaient à s’étendre au dessus du canapé flanqué contre le mur.
Je posai mon sac sur le fauteuil et j’allais me coucher dans le lit de Ced me reposer un peu attendant mes potes.
Quand j’ouvris la porte je découvris Samy nu allongé sur le lit. Il dormait paisiblement sur le ventre. Ses fringues étaient balancées sur le fauteuil du coin de la chambre. Je ne pus, les premières secondes, faire quoi que se soit d’autre que le contempler. Il avait un an de moins que moi mais son corps était pourtant mieux formé que le mien ; dû probablement à la piscine qu’il pratiquait fréquemment. Son dos musclé, taillé en v chutait délicatement sur ses fesses rebondies, musclées. Il avait une jambe pliée de sorte à ce que je puisse observer une fine toison noire entre ses fesses. Les muscles de ses cuisses détendus promettaient une vigueur jeune, fraîche. Ses jambes fines s’achevaient sur des pieds fin et gracieux. Ses couilles apparaissaient entre ses jambes.
Je me suis lentement allongé à côté de lui, sur le dos, l’observant timidement de haut en bas. Son corps m’éblouissait de beauté, je n’osais rien faire. J’entendais sa respiration lente, son dos se levait lentement à intervalle régulier. Ma bite me faisait mal dans mon jean tant je bandais fort. Je décidais alors de la sortir de ma braguette et, à la vue de Samy, je commençai à me caresser lentement. J’approchais ma main sur ses fesses, je les frôlais tout doucement jusqu’à les poser délicatement sans qu’il se réveille. Sa peau ambrée était chaude et douce. D’une main je caressais son cul tandis que de l’autre je commençais sérieusement à me branler.
Mes mouvements l’avait alerté, il se réveilla et retourna son visage vers moi. J’avais direct enlever ma main.
-Tiens, t’es là toi ? me dit-il plissant fiévreusement les yeux.
-Euh ouais, j’viens d’rentrer des cours.
-Et tu t’branles tranquille à côté d’moi comme ça là ?
-Ouais, répondis-je gêné, j’en pouvais plus d’la journée et.
-T’inquiète Jo, tu fais s’que tu veux.
-Et. toi ? qu’est-ce tu fous à poil ?
-Bah j’ai pas cours aujourd’hui, et quand j’dors bah. j’dors à poil, c’est plus décontract. Dit-il en riant. Il se mit sur le dos et commença à se caresser tranquillement avec moi.
-Ouais j’vois ça, j’eus le sourire et je ne pus m’empêcher de mater sa teub. Il le remarqua mais ne dit rien, gardant son sourire fier aux lèvres.
-Jo, tu t’souviens d’ma voisine ? Mme Lombard ?
-Ouai.
-Bah t’imagine même pas comme elle me chauffe ! l’autre fois s’te plaît, elle s’est foutue au balcon en string, les nibards à l’air. J’étais là devant elle, j’bandais grave gars !
-Et après ? qu’est-ce qu’elle a fait ?
-Bah la meuf elle m’a regardé en me souriant la salope ! genre reluque moi mon beau j’attends qu’ta pine dans la bouche ! tu vois l’genre ?
-Ouais ouais. le dard de Samy avait doublé de volume, bien épais et bien dur. Il m’excitait de plus en plus j’me branlais un peu plus vite.
-Bah du coup moi j’en pouvais plus ! j’ai sorti ma teub devant elle, cash ! et j’me suis paluché tranquille devant ses miches. J’peux t’dire qu’elle a bien apprécié le spectacle derrière ses lunettes !
-Jure ! et t’as giclé devant elle ?
-Nan. ma mère est rentrée, j’ai tout remballé et j’ai déguerpi du balcon.
-Merde ! dommage, t’avais peut-être une chance de la rejoindre.
-Carrément ! Enfin j’aurai pu la baiser cette chienne ! ch’uis sur qu’elle raffole des bonnes teub d’arabes ! un peu comme toi n’est-ce pas ? il se moquait de moi en m’faisant un clin d’oil.
-Touche là si tu veux.
-Nan c’est bon.
-Allez vas y, depuis t’à l’heure tu la mattes ! vas-y branle-moi ! ce s’rait pas la première fois.
-J’peux t’es sur ?
-Allez j’te l’dis ! j’aime bien quand tu m’branles. Tu m’fais bander avec ton regard lubrique. Pourtant j’t’assure, les mecs ça m’dit pas, mais toi t’es mon pote.
J’ai pris sa pine dans ma main, j’en faisais difficilement le tour tant sa bite était large ! j’ai commencé à le masturber.
-hummm, ouaii ! continue Jo !
-t’aimes ? lui demandai-je timidement.
-hummm ouaiii. raconte-moi tes expériences ? Ca fait depuis combien de temps qu’tu suces des bites ?
-euh.
-Allez vas-y, tu nous en as jamais parlé ! Pourtant ton frère n’arrête pas d’nous dire qu’tu baises à tout va !
-Il vous a dit ça ?
-Bah ouais, à ce qu’il paraît tu les fais crier dans ta chambre quand t’en ramène chez toi !
J’savais pas qu’t’étais domin’ avec les mecs, t’as l’air du contraire pourtant.
-Bah.(j’étais gêné d’en parler avec Samy, car il est vrai d’habitude je domine les mecs, je les baise à la volée, mais bizarrement avec Samy ou mes autres potes, j’ai toujours voulu me soumettre à eux.) tu sais, Samy fin. c’est pas pareil avec vous tu sais. Fin z’ètes étéros et t’sais, c’est pas comme si j’avais affaire à quelqu’un que j’connais pas, z’ètes des potes quoi.
-bah ouais, justement Jo. C’est parce qu’on est tes potes que tu dois pas avoir honte de nous dire c’que t’aimes ! Attends t’es en train d’branler ma tige alors j’pense bien qu’tu peux m’dire ça !
-OK. bah.. tu sais. depuis la nuit avec Emilie bah. J’ai grave envie de vos queues, j’ai trop envie d’les sucer à chaque fois que j’les vois. Trop envie d’être votre garage à bite tu vois ? Ca m’excite quand vous me parlez de c’que vous faites avec vos nanas et fin j’m’imagine toujours être à la place de la meuf.. sans être une meuf tu vois, toujours moi. Mais que vous me traitiez comme un esclave, une chienne quoi… tu vois ?
Après un petit silence où Samy garda les yeux fermés, moi le branlant toujours, il me répondit :
-Bah qu’est-ce t’attends tite pute ? suce moi !
Je ne savais pas quoi faire, je ne savais pas s’il rigolait ou non. Il ouvrit les yeux et me regarda avec son éternel sourire à la fois espiègle et complice.
-Bah alors, tu n’écoute pas ? SUCE MA GROSSE TEUBE ptit pd !
Il me prit par les cheveux et enfonça mon visage entre ses cuisses. Direct je repris sa bite en main et je la mis dans ma bouche.
-hummm c’est ça, oui. suce ! tain bébé tu pompe comme un pro !
Je continuais de laper son gland avec un regard de chienne qui rencontrait celui amusé de Samy.
-tain. tu va m’faire jouir si tu continues comme ça !
-Samy ?
-Qu’est-ce tu fous pourquoi tu t’arrêtes ?
-Je te propose un truc ? Je veux que tu m’encules. ça te dit ?
-Bah. euh Jo j’adore quand tu m’suces c’est vrai mais de là à t’enculer …
-Samy… tu m’as dit d’te dire c’que j’voulais faire. et fin c’est pas comme si t’étais pd, c’est juste que tu vas t’faire plaise un moment.
Il refléchit longuement pendant que je le suce. puis il me prend le visage comme la dernière fois et m’enfonce sa grosse pine au fond de la gorge. Il me lime la bouche.
-Allez déshabille-toi.
Je me suis foutu à poil et j’ai rejoint Samy sur le lit. On était dès lors tous deux hésitants sur nos mouvements. Il s’est redressé, s’est assit et m’a regardé longuement, tout le corps. Puis d’un élan décidé, il m’a pris le bras et m’a allongé sur le ventre. Il s’est allongé sur moi, retenant mes poignets d’une main, et titillant mon trou de ses doigts libres. Dans l’oreille il me chuchota :
-tu vas voir comme je vais te baiser.
Il a léché ses doigts, a lubrifié mon cul que j’écartais le plus possible dans un succinct gémissement puis il déposa son gland à l’entrée. D’un coup sec, il la rentra direct me laissant échapper un cri de douleur.
-HUMMM, t’aimes ça la teub de rebeu ? t’aimes ça, sale batard ?! me braillait-il en enfonçant par coups secs et rapides son pieu large. Tain ton cul !
Il commençait à faire des vas et viens rapides, me limant profondément toujours en m’insultant. C’était bon ! je sentait sa peau contre la mienne, et sa bouche qui par moment ne pouvait s’empêcher d’embrasser ma nuque dans un tic de tendresse inconsciente.
Il me lima ainsi durant un bon quart d’heure quand d’un mouvement il se retira puis logea sa teub sur mon trou. Je tentais de me retourner mais il me força à rester de dos. Dans un enchaînement de branle sur sa tige, il gicla de longs jets de foutre sur ma rondelle. Trois, quatre. cinq ! Je remarquais en me retournant qu’il soufflait, souriant, quand il prit sa teub pour la passer sur ma raie, afin de bien étaler son sperme sur mes fesses puis de la renfoncer en moi. Il fit ainsi la manouvre deux trois fois puis plongea sur le lit de fatigue.
Je le pris un instant dans mes bras quand il se retourne soudain et vient m’embrasser sur la bouche, succinctement.
Nous nous étions assoupis à poil sur le lit, l’un contre l’autre. Cédric rentra et nous découvrit ainsi sur son lit :
-Putain les gars ! Ca pue le sperme à plein nez !
-mmm, quelle heure il est ? demandais-je dans mon éveil.
-bah 20 heures les gars ! qu’est-ce que vous avez foutu ?! vous schlinguez le sexe à trois kilomètres !
Sur ces paroles, Ced se mit à poil et se cala entre nous, la teub a la main.
La suite si cela vous dit.