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Une famille sexuellement débridée – Chapitre 7




Pour la première fois depuis notre baise inaugurale, je me retrouvai seul avec mes parents le mardi soir. Il ne fut question à table que de banalités. Personne ne revint sur l’expérience vécue avec Stéphane. Je me retirai dans ma chambre après le repas pour bosser.

Vers 22 H 00, les cris commencèrent. Papa déboitait maman d’importance à en juger par le ramdam qu’elle faisait. Je n’osai pas aller les rejoindre mais je ne pus demeurer insensible. Et puis d’ailleurs, ce n’était pas parce que nous pouvions baiser en famille que je devais forcément y aller à chaque fois. Il fallait bien leur laisser de temps en temps des moments d’intimité. J’eus donc recours à la veuve poignet pour m’accompagner.

Le lendemain, maman me prévint. Le soir, Thierry et Jean-Michel, le patron de papa,  seraient de la fête. On risquait donc d’être un peu plus longs mais on commencerait plus tôt.

Maman ne m’invita pas à me joindre mais, au diner, les plaisanteries graveleuses et les claques sur le cul que les mecs donnèrent à ma mère me prouvèrent qu’ils savaient au moins que je savais.

Ils attendirent cependant que je me sois réfugié dans ma chambre pour commencer ce plan à quatre et restèrent dans la salle à manger pour faire moins de bruit et avoir plus d’espace je suppose. Mais même toutes portes fermées, entre les cris de la femme, les jurons et les éclats de rire des mecs, je participai à la scène. J’eus recours au même expédient que la veille pour diminuer ma tension. Je jouis et éjaculai abondamment sur mon ventre.

Le patron devait dormir à la maison dans la chambre de mon frère, pour passer au hangar le lendemain matin et partir avec papa sur un chantier.

Je ne fus pas surpris, en passant devant la porte de voir ce que je vis car, bien évidemment ils n’avaient pas fermé. Maman était à quatre pattes sur le lit et le type debout derrière la tirait énergiquement. Mon pyjama se tendit immédiatement et j’arrivais dans cet état à la cuisine où mon père prenait son petit déjeuner.

–  Bonjour p’pa.

–  Salut fiston.

–  J’suis passé devant la piaule. Y’a du sport ! Tu ne t’es pas joint ce matin ?

–  Couilles vides… gaule et pipe du matin. Et toi, tu t’es pas arrêté ? T’as la bite toute dure. Tu vas crever ton pyj’.

–  Pas le temps. Trop pressé.

–  Vas te faire sucer au moins… profite !

–  Non, vraiment pas. Une bonne branlette devrait suffire.

–  Bon, ben tiens, branle-toi là-dedans.

–  C’est le bol de maman !

–  Justement ! elle adore le café au sperme.

J’attendis que mon père sorte et fis comme il avait dit. Je jutais dans le bol.

Je repassai devant la piaule. Ils avaient changé de position. Jean-Michel était allongé sur le dos et maman le chevauchait. Elle me vit et me fit un petit coucou de la main.

J’entendis l’orgasme malgré le bruit de la douche. Puis je repassai dans ma chambre et partis. Je ne les revis plus. Maman n’avait pas encore pris son café et le bol était toujours sur la table. Allait-elle vraiment faire ce que papa avait dit. Impossible de le savoir.

Le soir je devais dormir chez Stéphane.

Pendant toute la soirée je matais sa mère. Elle n’étais pas aussi belle que maman mais encore bonne à tirer. Mais, la famille étant au complet je ne trouverais sans doute pas une occasion de le faire.

Elle profita néanmoins d’une circonstance où nous nous trouvâmes seuls tous les deux pour me mettre  la main au paquet.

–  Hmm tu es tout dur, susurra-t-elle. Je te fais envie ?

–  Clairement, répondis-je.

En fait pas tant que ça. Mais j’avais tellement envie de baiser que j’aurais sauter la première venue.

–  Mets ta main entre mes jambes !

Elle souleva sa jupe et mes doigts sentirent la culotte… toute humide.

Je m’enhardis à lui dire

–  Salope ! Tu mouilles.

Elle eut un petit rire gêné. Sans doute ne s’attendait-elle pas à l’insulte.

Pour dissiper l’embarras que j’avais fait naître par cette remarque, je repris :

–  Steph a baisé ma mère.

–  Quoi ?

–  Steph a baisé ma mère.

Elle allait sans doute me demander des précisions quand un bruit nous fit reprendre une attitude plus normale.

Puis vint le vendredi soir. Après une semaine d’absence, je ne doutais pas un instant que mon frère veuille baiser…. et peut-être tout le monde espérait de chaudes retrouvailles.

J’étais d’ailleurs là quand mon frère rentra et il confirma tout de suite mon opinion en embrassant maman, non pas de la bise chaste d’antan, mais d’une embrassade appuyée avec main écrasée sur le sein.

–  Et bien mon gaillard, t’es tout émoustillé.. dit maman.

–  Une semaine de privation à se pougner… j’suis chaud… on fait quoi c’soir ?

— Demande à ton père… j’crois qu’il a prévu quelque chose.

–  Et toi Tonio, tu vas bien p’tit frère ?

–  Cool.

–  Du cul cette semaine ? T’as profité d’être seul avec les parents ?Dit-il en clignant de l’il d’un air entendu.

–  On te racontera.

Effectivement, quand nous fûmes à table, tous les cinq réunis, la conversation après avoir porté sur le boulot ou les banalités de la semaine, dévia immédiatement sur le cul.

–  Alors, y’a eu de la baise cette semaine ? demanda Gilles .

–  Oui, un peu… Tonio a fait venir son pote là, comment… Steph. Ils sont arrivés quand votre mère finissait de sucer Thierry…. T’aurais vu la tête du gars… à se pisser dessus.

Et maman raconta après comment mon copain l’avait baisée.

–  Et c’est un bon coup ? Demanda mon frère.

–  Pas mal, pas mal…

–  Grosse bite ? Dit ma sur.

–  Pas extraordinaire mais dure et bien dessinée…

–  Et t’as pas peur que ton pote nous fasse une demi-frère ?

–  T’es con Gillou, reprit maman. Y’a longtemps que je me suis fait ligaturer, tu penses !

–  Dis-donc Tonio, reprit mon frère, tu devrait pas sauter sa mère par souci d’équité.

–  Ben, j’l’ai déjà fait, y’a longtemps, mais il est pas au courant, alors silence.

–  Elle est bonne ?

–  Ouais, ça va.

Ma sur précisa que le garçon était musclé et viril et que ça lui donnerait envie. Elle se demandait s’il voudrait bien la sauter aussi comme maman.

–  Mais tous les mecs veulent te sauter ma belle, dit papa.

–  Je sais pas, repris-je. Je lui ai pas demandé… mais tu n’as qu’à le prendre par surprise coomme maman a fait. Il a pas résisté. Gaulée comme t’es Patou, tu le feras bander au quart de tour.

–  Du coup on pourrait avoir un neveu, dit encore Gilles qui ne quittait pas son idée.

–  Faut que sa bite dépasse le stérilet alors ! répondit Patou

–  Oh mais j’y pense , continua Gilles. Je pourrai t’amener des potes aussi.. hein maman ?

–  Ouais ce serait cool… mais bien montés et clean et discrets quand même… hein Gillou ?

Papa demanda :

–  Et qu’est-ce que tu vas leur dire à tes potes ? Venez à la maison pour baiser maman !

–  Ben, euh… pourquoi pas.

–  Tu les vois eux te dire la même chose ? Alors ils te croiront pas.

–  Ah ouais… p’t’êt pas !

–  T’as qu’à les piéger suggéra maman que l’idée semblait émoustiller.

–  Oh ouais, on se fait un strip et tu débarques…

–  Par exemple…

–  Auquel je me joindrais bien sûr, imposa papa.

–  Super, j’organise ça ! S’exclama Gilles aux anges.

–  OK, mais clean et bien foutus les gars , hein.

–  T’inquiète !

Et de fil en aiguille, papa et maman racontèrent leur soirée avec Jean-Michel et Thierry avant qu’on en vienne au sujet de fond, sujet de fion, qui baise ce soir ?

Personne ne semblait avoir envisagé que notre soirée soit consacrée à autre chose. D’ailleurs, papa avait prévu les choses en ordonnateur des réjouissances sexuelles qu’il se proposait d’être.

La table débarrassée, les ablutions prescrites par l’hygiène la plus élémentaire observées, nous disposâmes des matelas au sol dans le salon-salle à manger, pour avoir plus de place.

On commença par les femmes. Elles devaient se gouiner pendant que nous regardions, spectacle auquel je suis peu sensible mais dont raffolent mon père et mon frère.

Elles se mirent en ciseaux et se stimulèrent le clitoris au point de jouir très vite et de commencer à mouiller le matelas. Nous étions assis tous les trois autour à mater. De temps en temps, papa ou mon frère se levait pour venir caresser les seins, puis chacun reprenait sa place.

–  Ben, Tonio, tu bandes pas !

–  Non, non, moi voir des meufs se brouter la pelouse, ça m’excite pas.

–  Qu’est-ce qui t’excite alors ?

–  Moi, répondis-je un peu vivement, ce qui m’excite, c’est de voir des bites en action, de bons gros morceau s’enfoncer dans les trous…

–  Ah si t’aime voir de la bite, regarde, v’la la mienne !

Et aussitôt, mon frère m’attrapa par la nuque et écrasa sa queue contre mon visage. Je me dégageai le plus vite que je pus mais pas assez rapidement toutefois pour rester indifférent à l’odeur de son sexe, car, il faut le dire, Gilles était le seul d ’entre nous qui ne s’était pas douché. Il sentait fort l’homme et je dois reconnaître que j’ai une véritable passion pour les odeurs de cul. Comme maman, je ne déteste pas sniffer un bon slip porté après une journée bien chaude et même les miens qu’il m’arrive de garder deux ou trois jours. Je dois avouer que j’ai souvent reniflé les culottes familiales et que j’ai une préférence pour les arômes de mâle. Et, tant que j’y suis, autant confesser aussi qu’il m’est arrivé de me shooter avec le slip de Stéphane ou de piquer discrètement des boxers dans les vestiaires pour pouvoir en profiter en cachette. J’aime, avant la douche, passer mes doigts entre mes jambes, sur la peau humide du scrotum et presque jusqu’à la rondelle et m’enivrer de cette fragrance virile quand je passe mes doigts sous mon nez.

On comprend dès lors que  sentir le sexe de mon frère dont le fumet puissant rayonnait,  réveilla le désir et que je me mis à bander.

–  Eh, je t’excite, hein, je t’excite, ça te plait une queue, mon Tonio? J’suis sûr que t’aime bien la bite !

–  Arrête.

–  J’suis sûr que t’as déjà fait ça avec un mec.

–  N’importe quoi !

–  T’es gay ? Bi ?

–  J’suis pas gay, me défendis-je.

Mais, par contre, il me faut bien reconnaître, sans que je songeasse à l’avouer encore,  que la vue d’un bel homme me trouble presque autant que celle d’une belle femme.

–  Y’a pas de honte… Allez, tiens, fais toi plais’, prends ma bite !

–  No way !

Maman et ma sur intervinrent.

–  Tu peux bien le sucer. Nous on se bouffe bien le cul entre filles pour chauffer les vieux dégueulasses que vous êtes, alors vous pouvez bien nous rendre la pareille.

–  C’est pas pareil justement !

–  En quoi ça diffère? Deux mecs qui se baisent ou deux nanas ?

–  C’est vrai Tonio, en quoi ? Allez suce-moi !

–  T’as qu’à me sucer toi !

–  OK !

Et avant que j’ai le temps de dire ouf, mon frangin que je prenais pour le parangon des hétérosexuels s’était agenouillé devant moi et pompait mon dard.

Tout le monde applaudit. Les filles reprirent leur place et papa louchait dur mais s’arrêtait plus sur les femmes.

Quand mon frère se releva et se mit debout, c’est tout naturellement que je saisis son sexe quand il l’approcha de mes lèvres. C’était super bon. Je kiffai la douceur de cette grosse sucette, l’ourlet du gland, l’odeur captivante du mâle, la dureté du manche et je m’appliquai à le satisfaire comme je l’avais vu faire dans des films de boules.

–  Putain mais il est doué ce con là ! T’es une vachement bonne petite suceuse Tonio ! T’as déjà sucé un mec toi, c’est pas possible autrement.

–  Non j’te dis, jamais ! Répondis-je avant de reprendre ma fellation.

–  J’suis sûr que tu mens, tu t’es déjà tapé un mec, hein!  Amène-moi ta rondelle que je la regarde de plus près et que je vérifie ça !

— Vas- te faire !

–  En tout cas quelle suceuse !

–  Fais voir ! dit le père .

J’étais pas chaud du tout pour pomper mon père mais je n’eus pas le choix. Saisi par les cheveux, papa m’imposa une irrumation en bonne et due forme.

–  Putain, c’est vrai que c’est une bonne petite chatte buccale… Bon ça vaut pas la femme. Allez! Cessons les enfantillages, et baisons ces deux bougresses.

–  OK, mais j’e r’viendrai entre les lèvres Tonio, tu peux me croire.

Je ne répondis rien et m’approchai des femmes que mon père faisait mettre à quatre pattes.

Il fallait monter nos mère et notre sur chacun à notre trou. Elles s’étaient tellement mignotées qu’elles étaient toutes mouillées et chaudes comme un barbecue. Ça glisserait tout seul !

Papa comptait les points pour savoir qui était le meilleur. Puis on changeait de position. Tout en jouant l’arbitre, papa se faisait sucer par l’une ou par l’autre voire simultanément quand la position le permettait, par exemple en mettant les femelles face à face et coinçant sa bite entre les deux pendant que nous labourions leur cul.

Es femmes coopéraient. Elles ne dissimulaient pas leur plaisir et nous encourageaient de la voix et du geste. C’était de la putain de bonne orgie. Ça dégoulinait de sueur et de cyprine.

J’éjaculai en premier, bien au fond de la chatte de ma frangine. Mon père prit ma place en la couchant sur le dos et demanda à mon frère d’en faire autant avec ma mère.

Etant hors-jeu, je fus chargé d’aller chercher la caméra et deux gros godes.

Quand mon frère, à son tour, se vida les couilles, sur la poitrine maternelle, et fut lui aussi inapte à la baise, mon père nous ordonna de goder maman dans les deux trous de façon à être bien visible, pendant qu’il achevait la frangine dont les gémissements envahirent toute la pièce.

–  Faites jouir votre mère avec ces chibres en plastique !

Nous nous déchaînâmes. Elle était à quatre pattes. Je m’occupais de la chatte et mon frère du fion.

–  Faudrait les monter sur perceuse ces machins là… ça pilonnerait plus vite. Dit Gillou.

Mais nous ne fumes pas assez efficace. Mon père jouit avant que nous n’ayons comblé ma mère d’une nouvelle jouissance.

Il récupéra alors les deux godes pour les plonger tour à tour dans la chatte pleine de sperme de Patou, puis chacune eu le droit d’en sucer un.

Mon père, après avoir décrété que nous étions exæquo avec mon frère, qui montait mieux les femmes mais qui ne suçait pas contrairement à moi, proposa de récupérer et de remettre ça un peu plus tard. Mais ma sur et moi n’étions pas chauds, nous en avions assez, et chacun se retira dans sa chambre. Je restai un long moment à consulter mes mails, à chatter avec des potes jusqu’à ce que des cris assourdis d’orgasme me parvinrent aux oreilles. Papa et Gilles étaient de nouveau d’aplomb et s’occupaient de ma mère. Je me couchai et j’étais déjà dans un demi sommeil, quand mon frère rentra dans ma chambre.

Il ouvrit la couette et s’allongea contre moi.

–  Qu’est-ce que tu fais ?

–  J’ai envie de dormir avec toi pour que tu me suces demain matin au réveil.

–  Tu fais chier, lui dis-je en lui tournant le cul.

Alors il baissa mon pyjama et colla son sexe contre mes fesses et se frotta. Il était mou et humide.

–  T’inquiète, tu crains rien… Mais demain matin tu me suces.

–  OK, mais tu peux retourner dans ton lit non ? Là, on va mal dormir. Tu n’auras qu’à te déplacer en te réveillant.

–  Promis ? Je reviens demain matin et tu me suces ?

–  Promis !

— T’aime ça  ?

–  Sucer ?

–  Oui !

–  C’était pas désagréable. dis-je en conclusion.

–  Bon frérot ! me dit-il en me donnant une grande claque sur le cul. Moi je préfère être sucé que sucer. Puis il sortit.

J’allais m’endormir et je songeai à la bite que j’allais sucer. J’avais aimé ça plus que je n’aurais voulu l’admettre et je me rendis compte que, probablement, la fascination qu’exerçait sur moi le spectacle d’un couple faisant l’amour tenait autant à l’homme qu’à la femme. J’aimais voir un corps vigoureux et bien membré s’enfoncer dans un orifice. J’aimais regardé la bite se tendre et gonfler en virant presque au violacé quand l’éjaculation était imminente. J’aimais voir le sperme fuser. Une belle queue en érection me plaisait autant qu’une jolie paire de lolo dansant au rythme du coït.  J’étais peut-être bi. Cette pensée soudain éclata comme une évidence. Manger une chatte, enfoncer un pieu dans ma bouche jusqu’au pubis bien velu, tout cela me procurait un égal plaisir. L’image des corps musclés de mon père et de mon frère s’imposa…. puis celle de Stéphane. Mon sexe se durcit. Je me relevai, allumai l’ordi, me branchai sur mon site de cul favori et y cherchai une scène de cul bi. Je joui au bout des 23 minutes… bien décidés à profiter de la vie par les deux bouts.

A suivre.

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