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Les gars de la confrérie – Chapitre 2




Vengeance canine.

Coulybaca / Just Plain Bob

Droits d’auteur 2006 Just Plain Bob

C’était peut-être une coïncidence.

Il pouvait y avoir un autre grand danois nommé Max dans les environs.

Ce ne pouvait pas être Stéphanie que les gars de la confrérie s’envoyaient, mais plus j’y pensais plus je me situais dans le déni.

Je n’eus pas le courage de répondre à son invitation afin de ne pas visionner la vidéo.

Encore le déni, je ne voulais surtout pas devoir changer d’opinion.

Je ne me sortais cependant pas de l’esprit que l’histoire de Charlie mettait en scène ma femme Stéphanie et son chine Max.

Ce chien dont je n’avais jamais voulu.

Si l’histoire de Charlie était vraie et que l’héroïne en était Stéphanie ce foutu chien en était la cause.

Si Stéphanie n’avait pas eu de chien et que ce chien ne se soit pas sauvé, cela n’aurait vraisemblablement jamais arrivé.

Lorsque je descendis de l’avion pour rentrer chez moi j’avais à l’esprit de tester l’histoire de Charlie et de vérifier si Stéphanie était vraiment l’héroïne de l’histoire.

**************************************************

L’une des choses la plus difficile que je dus faire fus de me comporter normalement en présence de Stéphanie.

Cela faisait une semaine que j’étais absent de la maison et une des premières choses qu’elle fit, fut de m’entraîner dans notre lit pour faire l’amour, or je ne voulais pas avoir grand chose à faire avec elle tant que je ne pourrais pas m’enlever cette sale histoire de la tête.

La repousser ne lui aurait pas paru normal, mais honnêtement je ne pensais pas pouvoir lui faire ce qu’elle voulait avec ces idées en tête.

J’aurais du cependant savoir que rien ne parvenait à entraver la réaction d’une bite bien dure !

Lorsque Stéphanie se déshabilla, et me prit la bite en bouche je ne pensais plus à rien d’autre qu’à ce qu’elle me faisait.

Je me débrouillais pour ne rien révéler de mes sombres pensées à Stéphanie durant le week-end, et le lundi, après avoir téléphoné à mon patron que je ne pourrais pas me rendre à Atlanta parce que je devais rester chez moi pour régler certains problèmes qui avaient surgi lors de mon absence.

Je quittais mon bureau et me rendais dans une agence de location de voiture et y louais une petite voiture de ville, une voiture qui ne déparerait pas au voisinage d’une fac.

J’appelais Stéphanie et lui dis que je travaillerais tard ce soir, puis je tuais le temps comme je le pus en attendant ma demi-heure précédant son départ habituel de la maison pour son jogging avec Max.

Je me pointais aux alentours de la maison de la confrérie et me rangeais discrètement, puis j’attendis.

Vers cinq heures moins quart je la vis descendre la rue en compagnie de Max.

— Continue ton chemin… Priais-je au fin fond de mon âme.

— Passe devant leur maison sans même y jeter un oil ! Ne ralentis pas !

Ce foutu chien me disait que j’espérais vainement, il courait loin devant Stéphanie, il quitta bientôt son chemin et obliqua vers la maison de la confrérie imité rapidement par Stéphanie qui s’approchait avec lui de la porte du local.

Elle passa le porche de la maison sans même ralentir sa course.

J’étais désappointé, la femme qui m’avait juré un amour éternel n’était autre que la reine du gang bang d’une confrérie voisine.

Elle m’avait planté de solides cornes sur le front alors que confiant, je me réjouissais d’avoir une femme aussi fidèle et aimante !

Plus j’y pensais sur le chemin pour rendre ma voiture de location, plus je me sentais mal !

Lorsque j’eus rendu la voiture et payé la location, je décidais de faire quelque chose qui démontrerait aux yeux de Stéphanie à quel point j’étais malheureux.

*******************************************

Un voyage dans une casse me suffit, je passais ensuite une paire de nuits à bricoler.

Lorsque tout fut prêt je posais mon dispositif dans un coin et le recouvrais d’une bâche.

Puis je me rendis dans un sex-shop et achetais une paire d’articles que je rangeais dans le coffre de ma voiture afin que Stéphanie les voie et commence à se poser des questions !

Puis je me préoccupais de me procurer la dernière chose dont j’avais besoin pour mettre mon plan, en ouvre.

Cela me prit à peu près un mois pour trouver cet article, je le payais cash et le remportais chez moi.

Cette nuit même, après souper, J’ai dit Stéphanie que j’avais déposé quelque chose pour elle au sous-sol.

Elle me suivit jusqu’à l’endroit ou j’avais déposé mon dispositif, et je retirais la bâche, je reculais d’un pas et lui demandais :

— Qu’en penses-tu ?

Elle me jeta un coup d’oil confus et me dit :

— Qu’est ce que c’est ?

— C’est un jouet sexuel ! J’ai toujours désiré posséder un des ces articles sexuels qui pendant du plafond, mais le plafond est trop bas pour l’installer, aussi ai-je bricolé ce dispositif ! Enlève ton caleçon et tu vas pouvoir l’essayer ma chérie !

Elle enleva caleçon et culotte et je lui indiquais :

— Couche-toi en travers de la selle et agrippe ces deux poignées !

Elle s’exécuta, et avant qu’elle ait une chance de protester, je lui ligotais une des mains au piton proche de la poignée avec les menottes que j’avais acheté au sex-shop, j’opérais de même avec l’autre, puis je lui fourrais une poire d’angoisse dans la bouche, je lui plaçais alors les pieds lui écartant les cuisses en grand dans les étriers, et les y rivais avec des bandes velpo.

Cela m’avait plus facile que ce ne l’était en réalité, dès que je l’avais menottée elle s’était mise à décocher des coups de pied, mais je parvins tout de même à mes fins.

Une fois qu’elle fut bien rivée au dispositif j’empoignais une chaise et m’assis à coté d’elle.

Je lui racontais alors l’histoire que je tenais de Charlie et l’avisais que j’en avais vérifié la véracité.

J’ajoutais que cela m’avais pris un bon mois pour peaufiner une vengeance qui me satisfasse, mais je pensais que j’avais trouvé un excellent moyen de venger mon infortune.

— Reste bien calme, je reviens !

Je gagnais le garage pour y prendre mon achat de cet après-midi : c’était un gros chien, un chien comme ceux que je ne voulais surtout pas avoir chez moi auparavant., Ce chien faisait partie de ma vengeance.

— Puisque tu t’es comportée comme une chienne en chaleur avec les gars de la fraternité, j’ai décidé de traiter comme une chienne en rut ! Je te présente Brutus ! Poursuivis-je en faisant avancer le grand danois devant elle.

Elle écarquilla les yeux abasourdie en commençant à se débattre pour se libérer, je me contentais de lui sourire saisis une vieille chaussette et un rouleau d’adhésif que je fixais aux pattes avant du chien.

Brutus se mit à pleurnicher alors que sa mentule se déployait, visiblement ce n’était pas la première fois que Brutus se préparait de tels ébats. On m’avait assuré qu’il avait coutume de copuler avec des femmes.

Une fois que j’eus recouvert ses pattes avant, je le laissais tourner autour de Stéphanie, j’enduisais l’entrejambe de Stéphanie de beurre et pressais la gueule du chien contre son entrecuisse, puis je reculais d’un pas impatient de voir ce qui allait arriver.

Brutus pointa la langue et entrepris de lécher la raie culière ma femme, du clito au trou du cul.

Je souriais béatement en la voyant se débattre, pour se libérer, en poussant des cris étouffés par la poire d’angoisse.

Le chien la lécha pendant quelques minutes alors que ses cris se transformaient en gémissements étouffés. Je repoussais Brutus et ajoutais une bonne dose de beurre, il reprit alors ses léchouilles, je contournais alors Stéphanie et m’agenouillant la regardais droit dans les yeux.

— Alors aimes-tu ça ma chérie ? Je me suis laissé dire que certaines femme ne peuvent plus se passer de ces plaisirs hors normes une fois qu’elles y avaient goûté… Nous saurons ce qu’il en est demain matin !

Je vis ses yeux se vider d’horreur, je lui souris ironiquement.

— C’est bien ça ma chérie, tu es sa chienne pour la nuit, Brutus peut faire de toi ce qu’il veut ! Peut-être bien que demain tu aimeras tant cela que tu lui suceras la queue lorsque je t’enlèverais ton baillon.

Je me reculais et regardais Brutus continuer à lui lécher l’entrejambe.

Elle se tordait sous ses caresses labiales et gémissait sourdement, une chose surprenant survint alors, la voir maltraiter par Brutus me provoqua une intense bandaison.

Je repoussais Brutus, il pleurnichait et soupirait jusqu’au moment ou je lui levais les pattes avant le mettant en position de coït.

Dès qu’il sentit les babines brûlantes de sa chatoune il commença à donner des coups de rein de façon à la pénétrer. Elle criait au travers de son baillon, alors qu’il la pénétrait de toute sa longueur.

Brutus referma ses pattes sur le dos de sa partenaire et se mit à la marteler de furieux coups de boutoir, elle gémissait alors qu’il la baisait à couilles rabattues.

Je souriais béatement en voyant la fine mentule de Brutus coulisser allégrement dans sa chatoune, je me demandais si à cet instant elle pensait encore aux gars de la fraternité.

Les griffes de Brutus griffaient le sol alors qu’il tentait de se maintenir en place, je tendais le pied et lui bloquai les pattes lui fournissant un appui sur.

Je parlais au chien, je savais pertinemment qu’il ne pouvait pas me comprendre, mais mon discours s’adressait surtout à Stéphanie.

— Vas-y Brutus… Baise jusqu’à l’os ! Plonge ta pine bien au fond de sa chatte de femme infidèle ! Fais en ta chienne mon Brutus ! Baise à couilles rabattues, donne lui un avant goût de ce qui l’attend cette nuit ! Allez mon gars, encore, encore !

Brutus poussa un bref hurlement et je vis sa semence fluide dégorger de la chatte de Stéphanie pour goutter sur le sol, il continua à coulisser en elle pendant une bonne minute et chercha à se retirer.

Sa pine était enfoui dans la foufoune de Stéphanie il ne parvenait pas à l’en déloger.

Le poids de l’ensemble était trop lourd pour qu’il puisse entraîner Stéphanie en arrière, et la croupe de Stéphanie était trop haut levée pour lui, aussi dut-il se contenter de gigoter en pleurnichant.

Il se détacha soudainement avec un "pop" sonore alors qu’un flot de crème aqueuse dégoulinait de sa chatte asservie se répandant dans sa raie culière jusqu’à son trou du cul.

Brutus recula de quelques pas et s’assit au sol commençant à lécher sa pine.

Ma bite était dure comme le rock alors que je descendais ma braguette et me postais derrière Stéphanie, je riais aux éclats alors que je fourrais ma bite dans sa caverne engorgée de foutre canin et de cyprine, juste quelques secondes après le chien… Quelle perversion !

**************************************************

J’abandonnais Stéphanie et Brutus dans le sous-sol et remontais dans la cuisine me servir une bonne bière.

Je m’assis dans le salon sirotant ma bière pensant que ce chien valait bien chaque euro que j’avais dépensé pour l’acquérir.

Au départ j’avais pensé utiliser Max, mais je ne savais pas si Max aurait participé sans avoir jamais été entraîné à ce genre de pratique.

Je n’avais aucune idée de la façon d’entraîner un chien à ce genre de pratique et par ailleurs je ne voulais pas perdre de temps.

J’avais réfléchi : devais-je l’installer dans le sous-sol pour qu’il puisse voir agir Brutus et avoir l’idée de l’imiter, mais je ne savais pas comment ils réagiraient si je les mettais en présence l’un de l’autre.

Je voulais punir Stéphanie, pas organiser un combat de chiens, aussi le gardais-je en dehors de tout cela.

A peu prêt une heure plus tard j’entendis hurler Brutus, je me levais et descendis au sous-sol, Il la grimpait à nouveau;

Je le regardais faire pendant une bonne minute, ma bite se déploya illico. Je me dégrafais, empoignais ma mentule et m’agenouillais face à Stéphanie lui enlevant son bâillon.

Je la regardais encore quelques instant le temps que ma bite se déploie à fond.

Elle respira profondément à plusieurs reprises et avant qu’elle dise un seul mot, j’insérais mon chibre dans sa bouche et agrippais sa tête et je la maintenais fermement en place tandis que je la baisais en bouche.

Je regardais le chien dans les yeux alors que je violentais sa bouche et qu’il dévastait son con et pensais qu’il était dommage que j’y pense si tardivement.

Brutus en eut terminé avant moins cette fois il se retira aisément de sa chatoune, il recula à nouveau de quelques pas et s’assit se léchant la bite.

J’extirpais ma bite de la bouche de Stéphanie et lui dit que je ne lui remettrais pas son baillon si elle se taisait et ne hurlait pas à l’aide.

Elle ne dit pas un mot, se contentant de grommeler, je me postais dans son dos.

Je fourrais ma bite dans sa chatoune enfiévrée et engorgée de foutre, puis me retirais, alignais ma bite sur son trou du cul et m’enfonçais dedans.

Elle gémit, j’ignorais ses plaintes et la bourrais aussi profondément que je le pus, son trou du cul était étroit, bien plus serrant que sa chatoune cela ne me prit qu’une douzaine de coups de boutoir avant de balancer ma gourme au fin fond de son intestin.

Je me retirais et remontais à l’étage déguster une nouvelle bière.

Une quarantaine de minutes passèrent lorsque je crus entendre Stéphanie crier :

— Oh mon Dieu !

Je m’empressais de descendre au sous-sol pour voir ce qui arrivait.

Brutus la grimpait à nouveau et elle gémissait sourdement.

— Oh oui… Oh oui… baise-moi !

Ces gémissements se firent plus sonores, puis son corps trembla de toutes ses fibres, elle se tortilla alors qu’elle succombait à un intense orgasme sous les coups de boutoir de Brutus.

Puis elle le supplia de continuer à la baiser, l’implorant de ne pas cesser et je réalisais soudain que Stéphanie adorait sa punition.

Alors que je croyais la punir de son comportement de salope avec les jeunes de la fraternité, elle en tirait un plaisir intense.

Je m’approchais d’elle et dégrafais les bandes velcro qui rivaient ses chevilles au sol, lui enlevais ses menottes puis remontait à l’étage la laissant terminer sa petite affaire avec Brutus.

Je gagnais notre chambre et commençais à remplir des caisses que j’avais ramenée, j’avais trouvé pas mal d’additifs au contrat d’achat de la maison, je passais une bonne partie de la journée à les étudier.

La maison appartenait à Stéphanie, aussi cherchais-je une option me permettant de l’en éjecter.

Lorsque je sortais le nez de ces papiers, la nuit était tombée et je me couchais.

************************************************

Je m’étais couché mais ne parvenait pas pour autant à dormir, les hurlements de Brutus me tenant éveillé.

Je n’avais aucune idée du nombre de fois que Brutus avait grimpé Stéphanie lorsque je m’endormis enfin.

Cela devait bien faire une bonne vingtaine de fois !

Lorsque je m’éveillais au petit matin, Stéphanie était allongée à mes cotés, blottie contre mon dos un bras posé sur ma taille.

Je jetais un oeil sur l’horloge et vis qu’il était six heures du matin, trop tôt pour me lever, aussi tirais-je les couvertures sur moi.

Elle ne bougeait pas, aussi lui donnais-je un coup de cul, ne lui provoquant qu’un sourd grognement.

Je levais la tête et vis Brutus allongé au pied du lit, je reposais ma tête sur l’oreiller et me rendormis. J’avais le sentiment que lorsque je me lèverai la journée serait des plus intéressantes.

Je me réveillais lorsque la main de Stéphanie glissa sur mon ventre empoignant ma pine.

Je cherchais à la repousser, mais elle m’agrippa encore plus fermement.

— Ne me repousse pas ! Murmura-t-elle dans mon oreille.

— C’est à moi et je ne la laisserais pas tremper n’importe où !

— Arrête Stéphanie !

— Non !

— J’ai vu les valises et je sais ce que tu veux faire ! Mais je ne veux pas que tu partes ! Pas avant qu’on en ait discuté !

— n n’a plus rien à se dire Stéphanie… Tu m’as fait cocu ! Non seulement tu m’as trompé, mais pas avec un seul amant, mais avec large groupe de jeunes gens !

— C’est vrai je t’ai trompée, et je n’en suis pas fière, mais ton ami Charlie ne t’a-t-il pas dit que j’étais droguée ?

— Oui il me l’a dit !

— Ainsi tu sais que ce n’était pas ma faute la première fois !

— D’accord, mais les fois suivantes… Tu n’étais plus droguée !

— Bien sur que si !

— Bordel, Charlie m’a dit que c’était toi qui était revenue de ton plein gré ensuite !

— C’est vrai, c’était ça la drogue ! La première fois je n’avais pas eu le choix, mais j’avais tant aimé cela que je devais recommencer encore et encore et encore… C’était comme une drogue… Je devais le faire, je n’avais que deux options : rentrer à la maison tout te dire et te demander de laisser couler pour éviter les ennuis, ou garder tout pour moi et continuer à leur céder !

— Pour moi la solution s’imposait : Si j’étais rentrée pour tout te raconter, tu aurais insisté pour que j’appelle les flics et on se serait retrouvé dans un drôle de merdier ! Et ce pour une bonne raison : ils auraient diffusé la cassette qu’ils avaient enregistrée et j’aurais été couverte de honte, je n’aurais plus jamais osé sortir de la mai-son, de crainte d’être pointée du doigt par des gens qui auraient vi-sionné mes exploits, peu importait alors d’avoir été droguée, rien n’apparaissait sur la cassette !

— Et deuxièmement si ces gars s’étaient retrouvés en taule, où aurai-je pu me rendre pour renouveler ces expériences ? Et j’avais vraiment envie de recommencer !

— Je t’aime à plus que tout mon chéri, au moins autant que tu m’aimes, mais au lit tu ne pourras jamais me procurer ce que cette demi-douzaine de gaillards m’offrent ! Mais tu ne perds dans ce marché, j’ai continué à te donner tout mon amour et mon affection sans te faire prendre de risques. Le marché que j’ai passé avec ces jeunes gars stipulait que personne ne pouvait me posséder sans un avis médical… Ils devaient se tester chaque semaine et prouver qu’ils se surveillaient.

— C’était simple, je les avais prévenus que si l’un d’eux me trompait, je me refuserai à tous tant qu’ils n’auraient pas pris de bonnes dispositions ! Tu n’en savais rien et tout se passait très bien ! C’est vraiment un manque de pot évident que tu connaisses Charlie !

— Je t’aime mon chéri et je ne veux pas que tu me quittes !

— Tu n’as pas vraiment le choix ma chère Stéphanie ! Je n’entends pas te partager avec cette meute de jeunes étudiants au simple propos que tu ne peux pas te passer d’eux !

— Bien sur que si, je pourrai me passer d’eux ! Ils m’ont menti lorsqu’ils m’ont promis que personne d’autre que les membres de la fraternité ne profiterait de mes charmes, pour moi cela voulait dire personne autre que ceux qui savaient ! Ils m’ont profondément déçue et ils peuvent maintenant aller au diable !

— Cela ne change pas grand chose ! De ton propre aveu si tu les quittes il te faudra trouver d’autres gars qui te partouseront !

— Non, je ne le veux plus !

— Veux-tu bien m’expliquer pourquoi ! Jusqu’ici tu m’as juste dit que tu avais besoin de te faire partouser !

— Oui je te l’ai dit ! Mais je n’ai plus besoin d’aller voir ailleurs ! J’ai maintenant ce qu’il me faut à la maison…

— Tu as aussi fini par me dire qu’aussi performant que je sois au lit ce ne sera jamais assez pour toi !

— C’est vrai, je t’ai aussi dit cela ! Mais tu m’as apporté la solution ! Entre toi et Brutus je pense que j’aurai mon content de sexe… Ne me regarde donc pas comme ça, j’ai bien vu tes réactions la nuit dernière, voir Brutus me sauter te faisait un sacré effet tout autant que cela m’excitait qu’il me grimpe ! Et il y a encore Max ! Il pourra prendre part à mes agapes si on l’amène à participer… Il ne sera que trop heureux de se faire sa maîtresse !

— T’es vraiment une sacrée salope !

— Moi ?

— Et toi, dis-donc, il me semble avoir un outil bien raide en main !

Le 21 avril 2008

Coulybaca ([email protected])

Auteur Just Plain Bob (Literotica)

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