Pendant que je la rejoignais, elle s’est assise sur le rebord du bain, a écarté ses cuisses et aspergé sa chatte d’eau chaude avant de bien la savonner. Ensuite, toujours le même grand sourire aux lèvres, elle a commandé : "vas-y et fais du bon travail, je veux qu’elle soit aussi nette et lisse que ta bite, ou le minou de Belina !". Je me suis accroupi pour entamer mon travail de figaro, non sans pouvoir m’empêcher de me demander comment elle savait pour Belina. Était-ce simplement parce qu’entre infirmières, elles avaient déjà partagé la douche,… ou la couche ?!
J’ai toujours adoré raser les chattes. J’avais fait ça avec mon ex-épouse. J’avais réussi à la convaincre de me laisser raser tous ses petits poils noirs, crépus et drus. Petit à petit ses lèvres avaient pris naissance sous mes doigts et finalement j’avais pu admirer son joli sexe, son mont de Vénus lisse comme une patinoire, ses lèvres charnues, et sa vulve rose comme un bonbon ! Par après, c’était devenu un vrai jeu pour nous. À tour de rôle on se rasait, devant et derrière, on en profitait pour se titiller un peu. Très vite aussi, sous l’effet de l’eau, on avait découvert les plaisirs pisseux. D’abord un peu sages puis beaucoup moins…
Je prenais donc mon pied avec la chatte d’Aanja et bandais ferme quand elle s’est relevée et m’a présenté son joli cul. Des deux mains, elle a écarté ses fesses et ordonné "n’oublie pas mon autre trou…". Paf ! Je me suis retrouvé le nez sous sa rosette, un peu sombre quand même, qui semblait se contracter et se détendre sous mes yeux. Son trou de balle me faisait de l’il. Je manquais de suffoquer mais je me suis appliqué pour éliminer tous les petits poils. J’ai lancé un tonitruant "Terminé !", mais elle s’est retournée pour m’ordonner "Tu vérifies bien maintenant…" en se mettant debout sur les rebords de la baignoire. J’avais littéralement sa moule sous les yeux. Parfaitement lisse, avec ses belles lèvres minces, presque collées l’une à l’autre. J’ai passé un doigt au milieu pour bien "vérifier" et j’ai continué vers son sillon fessier pour arriver à son anus, la faisant frissonner. Puis, j’ai pris une éponge naturelle, un gel douche à l’huile d’olive pour soulager sa peau un peu rouge.
Mais elle a fait mine de repousser ma main, m’avertissant "fais gaffe, si tu mets ça sur ma chatte, je vais pisser !". Mais déjà, elle tendait deux doigts pour écarter ses lèvres. Je comprenais enfin que depuis le début, elle jouait une manche avant moi… J’ai eu à peine le temps de lui lancer "T’inquiète, j’adore !" qu’elle avait ouvert la vanne !
Quel jet ! Puissant et chaud ! Après un mouvement de recul instinctif, je me suis rapproché et elle écartait un peu plus ses lèvres pour augmenter le flot. Puis, je me suis souvenu que mon ex aimait pisser directement dans ma bouche, du producteur au consommateur… J’ai alors pris ses cuisses dans chaque main et placé ma bouche sous le robinet, la bouche grande ouverte, comme un oisillon pour sa becquée. Son urine était comme une liqueur, chaude, salée, légèrement acide. Elle a dû se rendre compte de ma jouissance car, l’il espiègle, elle m’a demandé "Tu le trouves comment mon petit Chablis ?!".
Là-dessus, fière de sa petite blague, elle s’est accroupie devant moi. "Tu bandes tellement ! Tu vas pas pouvoir me donner à boire, toi…" Là, elle me connaissait mal. Si de nombreux hommes pensent qu’il est impossible de bander et de pisser en même temps, et on peut même lire ça sur de mauvais sites internet, c’est du "bull-shit". Avec un peu de pratique, cela s’avère tout à fait faisable. Il suffit de prendre le gland à la base et de passer la paume de la main sur son sommet, rapidement, en frottant. Chez moi, ça marche à tous les coups. Cette fois encore ma pine bien dure a joué à la lance à incendie, créant un arc de pisse qui retombait sur la tête et les seins de ma nouvelle partenaire. L’avantage de l’érection est qu’on peut facilement moduler en serrant à la base. On peut ainsi couper le robinet trois secondes et le rouvrir pour un jet plus puissant que l’on peut diriger directement vers la bouche ou les seins de la demoiselle…
Aanja était couverte de ma pisse et je voyais bien que ses doigts s’activaient entre ses jambes, et ses gémissements confirmaient cette première opinion. Mon torrent se tarissait petit à petit et je pensais que nous allions passer à des activités, disons, plus pénétrantes, quand j’entendis tousser derrière moi…
Je me suis retourné, surpris, en envoyant la fin de mon jet dans la pièce, pour voir Belina complètement à poil (et rasée comme me l’avait assuré Aanja). "Je me demandais si vous n’alliez pas utiliser toute mon eau chaude, mais je vois que vous avez trouvé mieux ! ", dit-elle en enjambant la baignoire. "J’espère que vous avez encore une petite soif pour mon Sancerre ?!". Décidément, ces deux délurées s’y connaissaient en vins fins !
Je me suis accroupi à côté d’Aanja et ce fut au tour de Belina de nous arroser copieusement ! D’en bas, je voyais sa belle chatte noire et, les lèvres écartées, sa vulve rose et son clito. Plus haut, ses gros nibards me tentaient honteusement. Tout cela m’a ramené au temps des douches dorées avec sa sur. Parfois, on se faisait des 69 pisseux, ou je pissais directement dans sa chatte qu’elle écartait des deux mains ; quand ce n’était pas elle qui me pissait dessus, moi à quatre pattes… Je commençais à me demander ce que les deux coquines avaient encore en tête… Si par hasard, mon ex n’en avait pas trop raconté à sa sur chérie. Sinon, on allait y passer tout le week-end.
