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Sissy Brigade – Chapitre 2




2.

Cela faisait maintenant quelques semaines que jétais arrivé dans cet endroit, quils appelaient « la brigade ». Les hormones féminines commençaient à avoir un effet visible : mes seins grossissaient, je devais atteindre un petit B maintenant, et il me semblait que mes tétons devenaient plus sensibles aussi. Mon visage saffinait, et ma taille changeait un peu. Mes journées étaient sur le même rythme, chaque jour : chaque matin, je perfectionnais mes techniques de maquillage, de coiffure, japprenais à marcher avec des talons aiguilles, à mhabiller de sous-vêtement sexy, comprenant soutien-gorge, jarretelles, corset, slip et string de toute sortes, bas de toutes sortes laprès-midi avait lieu les séances physiques : apprentissage de self-défense, de plusieurs techniques de combat à la main, techniques de filature, de camouflage et les après-midi se terminaient toutes par des séances de sexe, avec 06 et 09 ils me prirent dans toutes les positions, et je devins assez rapidement une experte pour les sucer mes techniques sexuelles samélioraient aussi ! Et le soir, avant de dormir, je devais regarder les vidéos dhypnose, de bien meilleure qualité que celles que je hackais avant, avec des sons subliminaux géniaux et des images sensationnelles. Sans que je le sache, ces vidéos maidaient à améliorer mes techniques, dhabillement, de maquillage, de séductions, mais aidaient aussi à ma soumission et à ma dégradation personnelle.

Eric V. était loin, tout à fait disparu. Erika avait pris sa place. Je commençais à penser au féminin. Les vidéos dhypnose et les discours de 06 me convainquirent que ma place était de servir. Jétais un outil, de plus en plus joli. Plutôt non, pas un outil, un sextoy. Si au début javais dur à ladmettre, maintenant, je trouvais cela normal. Plus besoin de réfléchir, de penser, juste donner du plaisir. Et chaque fois que je donnais du plaisir, tout mon corps en ressentait, une explosion de plaisir sans fin, dont je devenais complètement accro dailleurs mon sexe-clitoris ne bandait plus, il éjaculait constamment, mon anus palpitait en voyant un sexe bandé, et javais limpression que mon cul-vagin mouillait, enfin, dès quils me prenaient, mutilisaient sexuellement, jétais comme dans un orgasme non-stop et vraiment, jaimais ça, je ne savais plus men passer !

Ils mavaient aussi fait comprendre ma place de sextoy en me faisant faire des exercices de plus en plus humiliant. Pour faire disparaître petit à petit le sentiment de honte, de pudeur, que je navais pas à ressentir. Je me souviens, ces exercices avaient commencé un après-midi, après mes cours physiques. Je rentrais avec 06 dans ma chambre. Jattendais avec anticipation la séance de sexe. Comme dhabitude, je devais attendre quil donne les ordres. En entrant, il me demanda de me déshabiller. Ce que je fis. Il me demanda de me mettre à quatre pattes, mais au lieu de me présenter son sexe si appétissant, il vint vers moi, et accrocha un collier autour de mon cou. Il attacha une laisse au collier, puis mit dans mon derrière un petit plug anal, avec comme une queue derrière. Et il me promena, ainsi, nue et en laisse, la queue et mon clitoris qui ballottait à chaque pas, dans le complexe. Les autres agents et personnel me regardaient. Certain me désiraient, dautre me lançaient un regard dégoutté, ou moqueur. Au début jétais rouge de honte, mais au fur et à mesure quil réitéra lexercice, ma honte devint moins forte.

Un autre jour, avant notre séance de sexe et après mavoir demandé de me déshabiller, il mamena dans la salle de bain. Je me demandais ce quil attendait de moi il me demanda de masseoir sur le WC jobéis sans poser de question, et massit sur la lunette, comme si je devais aller à la toilette (car il métait interdit de faire pipi debout) mais il me demanda de me mettre dans lautre sens jobéis, masseyant face au bloc de chasse, mon clitoris pendant dans le WC et mes fesses vers lui soudain, je sentis un jet chaud sur mes fesses ! Il urinait ! Son jet ricochait sur mes fesses avant de couler dans leau du WC Au début jétais dégoûtée mais nosais bouger mais au fur et à mesure quil répétait lexercice, je trouvais cela de moins en moins déplaisant le jet était chaud, cétait même un peu agréable un jour, jétais tellement excitée que quand il commença, jécartais les fesses il visa mon petit trou, son urine y ricochait, un peu entrait, avant de couler vers le WC cétait tellement excitant que ce jour-là il me prit là, moi accroché au bloc de chasse, lui me prenant par les jambes, et me sodomisant au-dessus du WC mon clitoris éjaculait dans le WC même, mon sperme se mélangeant à son urine

Ces exercices dhumiliation montèrent en puissance Un jour, après les exercices physiques, ils me bandèrent les yeux, et nous sortîmes de la « brigade ». Lorsque il enleva le bandeau, je vis que nous étions dans un grand parc, dans une ville que je ne connaissais pas et là, il me fit me déshabiller, me mit le collier, le plug « queue de chien », la laisse, et me promena il y avait quelques personnes dans le parc, et je vis les mêmes regards, soit moqueurs, soit dégoûtés, soit concupiscent. Là aussi, si au début jétais super gênée, au fur et à mesure de la faire, ma gêne disparaissait Un jour, au cours de la ballade, il me demanda duriner contre un arbre, en levant la patte, comme un chien jobéis, honteuse et excitée à la foi. Un type me mata sans vergogne, se caressant lentrejambe.

Un autre jour, il me fit revêtir une combinaison de latex, qui me recouvrait de la tête aux chevilles, avec deux trous pour les yeux, un trou pour le nez, et un trou au niveau de mon derrière une sorte de préservatif rigide était attaché à mon sexe, avec un tuyau qui était relié à un gag que javais dans la bouche Il me mit juste le collier et la laisse, et me promena dans la « brigade ». Je navais pas vu lécriteau sur mon dos « BAISEZ-MOI ! ». Chaque fois que nous croisions un employé ou un agent, 06 sarrêtaient, je sentais alors le gars passer derrière moi, puis un gland contre mon anus il me pénétrait, me baisait, se déchargeait dans mon cul et hop on continuait, jusquau suivant et nous croisâmes une dizaine dagents, qui me sodomisèrent tous à tour de rôle cela me fit jouir, beaucoup et mon sperme venait directement à ma bouche, à cause du tuyau et de la sorte de pompe, et je devais lavalais à cause du gag

Une autre fois, il mattacha dans un des urinoirs de la « brigade », face contre le mur, cul à disposition là aussi certains urinèrent, visant mes fesses, faisant ricocher leurs jets chaud sur mon sillon, ou une fesse en particulier dautre mécartèrent les fesses pour me sodomiser, vite fait Lorsque 06 vint me rechercher, après quelques heures, mon cul gouttait durine et mon anus de sperme

Puis, ils me promenèrent nue, en ville, dans les bas quartiers. Je dus traverser une allée remplie de sans-abris, avec lécriteau « TOUCHEZ-MOI » Des dizaines de mains tâtèrent mes fesses, mon sexe-clitoris, mes seins, mon ventre, mes jambes je sentis même un qui osa me doigter le cul et je le laissais faire quelques instant avant de hâter le pas Nous y retournâmes quelques fois un jour, un des sans-abris prit ma main et la posa sur son pénis bandé il nétait pas propre, bien sûr, mais il était chaud, et dur. Avec des testicules bien remplis. Au point où jen étais arrivé, je navais plus honte. Plus de pudeur ni de morale. Jétais un sextoy, mon rôle était de donner du plaisir. Et ces pauvres gens en recevaient si peu Je marrêtais donc, et commença à doucement branler son engin. Puis je me mis à quatre pattes, et lamenais à ma bouche. Malgré lodeur forte, je pris sur moi, et le suçais. Et ce fut la curée les autres, en voyant ça, se regroupèrent autour de nous en moins de cinq minutes, un gros sexe passait mon anus, me prenant en levrette, deux autres frottaient leur sexe sur mon dos, un autre dans mon cou le jeune que je suçais éjacula bien vite dans ma bouche. Pauvre ou pas, sale ou pas, le goût du sperme ne varie pas beaucoup. Et jaimais le goût du sperme. Il fut vite poussé sur le côté et un autre sexe bandé pris sa place, directement dans ma bouche Celui qui allait et venait dans mon cul éjacula aussi, ainsi que ceux qui branlaient leurs sexes contre mes fesses leur sperme éclaboussa mes seins, mes joues, mon cou, ceux qui se frottaient sur mon dos vinrent juste après, éclaboussant mon dos de sperme. Mais ils furent remplacés par dautres Mon rectum fut à nouveau rempli de sperme lui aussi, avant dêtre remplis par un autre membre dur et raide moi jétais en état dorgasme permanent, mon sexe-clitoris bavant son sperme liquide sans arrêt Je pense même que lun deux le pris en bouche, me suçant quelques instants, mais jétais dans un tel état second que je nen suis pas sûre Lorsque 06 et 09 vinrent me chercher, ne me voyant pas sortir de lallée, ils durent faire preuve de violence pour écarter les gars de moi jétais pantelante, au sol, couverte de sperme de la tête aux pieds Jentendis juste 06 dire à 09 « Je crois quelle est fin prête pour aller en mission »

Après cela je pris la plus longue douche de ma vie. Mais je nétais absolument pas dégoutté. Je devais reconnaître que javais aimé donner du plaisir. Cétait mon rôle. Ma mission. Je ne servais quà ça, et je devais le faire bien et consciencieusement. Rien dautre ne comptait plus dans ma vie.

* *

— Tu as bien compris Erika ?

Jhochais de la tête. 06 me regardait droit dans les yeux. Jétais prête pour ma première mission. Javais bien compris le plan, et était habillée en conséquence Des escarpins fermés noir, avec un talon dune dizaine de centimètre, des chaussettes blanches, relevée jusquen-dessous de mes genoux, une jupe détudiante, rouge et noirs à carreaux, mais plus courte que les jupes conventionnelles, plutôt du style mini-jupe, un string en dentelle noire en-dessous. Un chemisier blanc, qui arrivait à mon nombril, et léger, on voyait mon soutien noir à dentelle par-dessous. Javais une perruque brune, avec les cheveux lisses et ramenés en queue de cheval, et un maquillage léger, mais qui faisait le regard profond. Bref, un look détudiante nympho

Le hall de la petite gare était désert. 06 me passa un smartphone, noir.

— Le but de la mission est simple, tu subtilise le téléphone de la cible, et tu le remplace par celui-ci. Mais attention, les frères Clive ne sont pas des rigolos. Ils sont impliqués dans plusieurs trafics, et ils sont suspects dans plusieurs meurtres à larme blanche, guerre des gangs, etc. Tu dois agir avec prudence, et procéder à léchange au bon moment.

— Jai bien compris agent 06.

— Lavantage, on sait par un indic dans son entourage quils flashent sur les jeunettes, surtout les étudiantes. Tu nauras donc pas de mal à les approcher.

Un bruit lointain de train, qui se rapprochait, se fit entendre.

— Le train arrive. A toi de jouer Erika. Ils sont dans le troisième wagon, compartiment 39.

Je pris le gros sac en toile avec le signe « peace and love » cousus dessus, et me dirigeais vers le quai. Le train entra en gare, sarrêta. Je montais dans le troisième wagon. Je vis le premier compartiment, le 35. Une porte coulissait, et le compartiment avait 6 places assises, des banquettes de 3 places qui se faisaient face, avec la place pour les bagages par-dessus. Ce compartiment était occupé par plusieurs hommes, qui tournèrent la tête en me voyant. Je sentis leurs regards sur ma poitrine, mes jambes jaimais tant être reluquée ! Le suivant, le 36 était occupé par une famille, le 37 par deux hommes daffaires, le portable ouvert sur les genoux, le 38 était vide. Jarrivais au 39. Les deux frères étaient là. Lun des deux était assis sur le siège du milieu de la banquette de droite, lautre était assis sur la banquette de gauche, sur le siège près de la fenêtre. Il faisait tourner son smartphone sur la tablette. Ma cible. Je fis glisser la porte pour entrer dans leur compartiment. Au début, en entendant le bruit de la porte coulisser, ils se tournèrent avec un regard hostile, ils voulaient sans doute rester seuls dans le compartiment, mais lorsque ils me virent, leurs yeux sagrandirent, et ils me reluquèrent de la tête aux pieds

— Je peux ?

— Mais volontiers, mademoiselle

Cétait ma cible qui venait de parler. Le plus âgé des deux frères. Son crâne était entièrement rasé, il portait un T-shirt avec des manches très courtes, ses bras remplis de tatouages. Il portait un jeans et des converses. Il avait une barbichette qui tirait entre le roux et le blond. Son frère était tout à fait roux, les cheveux très court. Il était aussi en jeans et converse, et portait un singlet. Ses bras aussi étaient remplis de tatouages, ainsi que son cou. Ils devaient avoir tous les deux la trentaine.

Je fis mine de masseoir sur le siège du milieu de la banquette gauche, à côté du plus âgé des frères, et face au plus jeune, puis me relevais, pour mettre mon sac dans la place prévue au-dessus de mon siège. Le geste fit remonter ma mini-jupe, leur laissant une jolie vue sur mes fesses, et la bande noire et dentelée du string qui passait entre, cachant à peine mon petit trou Puis je me rassis. On sentait la tension sexuelle monter dans le wagon. Ils me mataient. Je me trémoussais sur mon siège, comme si javais le feu au cul, puis écartais mes cuisses. Mon genou toucha celui du plus âgé des frères, qui ne fit rien pour reculer le sien, tandis que le plus jeune ne fit rien pour être discret en regardant ma petite culotte, bien visible, cest vrai. Une sonnerie de GSM se fit entendre dans mon sac je me levais à nouveau, pris mon sac et le déposais sur mon siège. Je me penchais pour fouiller dedans, mes fesses à nouveau bien à la vue des deux frères qui ne perdaient pas une miette du spectacle. Jen profitais pour cacher le GSM que je devais leur laisser dans mon soutien. Je me relevais pour de nouveau ranger mon sac, lorsque le train prit un virage un peu plus serré que les autres. Nous avions étudié la ligne avec 06, tout cela était prévu. Debout, je fus déstabilisée par la secousse, et tombait en plein sur les jambes du jeune frère !

— Frérot, jai limpression que cette poule essaye de nous allumer, tu crois pas ?

— Cest vrai ! Mais mon petit copain à un petit sexe, et il jouit après trois minutes. En vous voyant, jai vu des hommes. Des vrais. Et je suis totalement en manque de sexe !

Disant cela, je frottais mon cul sur lentrejambe du jeune frère, je sentais son sexe grossir sous le jeans. Son frère posa sa main sur mon genoux, le caressa, puis caressa lintérieur de ma cuisse.

— On est des vrais hommes, oui dis moi, salope, cest quoi ton plus grand fantasme ?

— Mmmm me faire sodomiser dans un train, pendant quun autre gros sexe me ramone la bouche

Avec un sourire évocateur, je me levais, et me penchais sur la tablette, relevant ma mini-jupe, écartant mon string

— On passe à laction, messieurs ?

Le plus jeune se leva, ouvrit sa braguette, sortit son membre raide, et le fit aller et venir contre mes fesses

— Faut pas me le dire deux fois, ça !

Le plus âgé se leva, et présenta son sexe à ma bouche. Il était gros ! Plus gros encore que celui de 06 ! Je léchais le gland, la hampe, descendis jusquà ses testicules, puis remontait, ma langue langoureuse, jusquà me retrouver sur son gland, que jentourais de mes lèvres Son frère poussait son gland contre mon anus il était occupé à écarter mes fesses pour faciliter le passage de son membre, tandis que son frère fermait les yeux, au moment où jaspirais son gland dans ma bouche jen profitais pour pousser son GSM, qui était toujours sur la tablette, près de mon coude. Mon coude le poussa, et il tomba sur la moquette usée du train Je poussais un petit cri pour couvrir le bruit de la chute, et parce que le jeune frère avait passé la porte de mon anus, et son membre, aux belles dimensions aussi, senfonçait dans mon cul Je suçais le plus âgé, avec gourmandise, ne quittant pas ses yeux, je sais que les hommes aiment ça, tandis que le plus jeune allait et venait en moi, ses mains me tenant fermement par les hanches, et lui senfonçant violemment en moi

— Haaaa elle est bonne la salope, cest pas sa première fois en plus, elle est pas vierge du cul, la salope, han, salope, haaaaa

— Et elle suce super bien, cest trop bon

Le plus âgé pris ma tête entre ses mains, pour augmenter le rythme de la fellation, poussant son bassin en avant en même temps que quil poussait ma tête contre lui javais mon front contre son bas ventre

— Putain, regarde, elle prend tout mon engin dans sa bouche

— Oh voit même la grosseur de ta bite au niveau de sa gorge !

Des larmes me venaient aux yeux, lair me manquant doucement il relâcha, je revins en arrière, son sexe sortant à moitié de ma bouche, luisant de salive, un peu doxygène me parvint, mais directement, il reprit ma tête et senfonça en moi, son membre allant plus loin dans ma gorge quaucun autre Il me relâcha et recommença le manque doxygène me fit tourner la tête, mais jétais hyper excitée, les sensations étaient démultipliée par ce manque dair et lautre qui savait y faire, me prenant le cul de façon dominante, brutale, mais en massant bien ma prostate de son gland gonflé Alors que le gros sexe replongeait dans ma bouche, mon front à nouveau contre son ventre, je le sentis battre au fond de ma bouche, puis il éjacula, directement dans ma gorge Jexplosais aussi, maculant mon string de mon sperme

— Oh putain, elle jouit, je sens son cul se contracter, il palpite oh, cest trop bon, cest trop boooooon ! Il avale mon zob, il palpite encore plus fort ahaaaaaaaaaaaah

Et je le sentis éjaculer dans mon cul, son foutre chaud me remplissant jétais aux anges, tout mon corps était orgasmique

Le plus âgé passa derrière moi, pour voir son frère se vider dans mon cul, et lorsque il sortit son membre, mon cul palpitait, du sperme en coulant Tandis quils jouissaient du spectacle, je vis son GSM au sol cétait le moment dagir Je me penchais, les jambes tendues, le cul ouvert face à eux, ils navaient dyeux que pour le sperme qui en coulait

En me penchant si fort, le GSM dans mon soutien glissa quasi au sol. Je ramassais le GSM du type, et le mis dans mon soutien, le subtilisant avec lautre, que je pris en main. Le tout en quelques secondes. Me relevant, je déposais le GSM substitué sur la tablette.

— Tu te fous de nous ???

Dos tourné, ils ne me virent pas déglutir mince, métais-je fait repérer ? Mavaient-ils vu échanger les smartphones ?

Le grand frère me tourna violemment.

— Alors, tu te fous de nous ???

Un des deux frères me poussa violemment vers le siège, tandis que lautre écartait le string plus loin, dévoilant mes testicules glabres

— Tu es un homme !

— Non, je suis une trans. Jai pas limpression que ça vous gênait quand vous jouissiez en moi !!!

— Salope ! Menteuse ! Prend tes affaires, et dégage dici ! Putain, un mec déguisé en fille ! Jai baisé un mec ! Pouah !

— Cest dégueulasse ! Un gars déguisé en fille ! Et il a pris mon sexe dans sa bouche !

Voyant leurs regard mauvais, je pris mon sac et méclipsais, passant entre eux et leurs regards dégoûtés connards !

Ils claquèrent la porte coulissante du compartiment. Je méloignais, et sortis le GSM de mon soutien, pour le mettre dans mon sac. Mission réussie ! Javais encore une demie heure jusquà la prochaine gare, où mattendait 06. Soudain, je sentis une présence derrière moi, et une main me caressa doucement la fesse.

— Moi, ça me dérange pas que vous ayez quelque chose entre les jambes.

Je me tournais, voyant le visage dun homme qui devait avoir la cinquantaine, un des gars du compartiment 35. Il se colla à moi, et sa main passa à lavant, sur ma cuisse, il la caressa, avant de remonter à mon entrejambe. Il attrapa mon sexe, par-dessus le tissu du string, imbibé de mon sperme, et le branla doucement être branlé par son string mouillé de sperme, quelle sensation étrange, excitante

— En passant dans le couloir, je vous ai vu quel cul ! Tu es parfaite, je trouve

Et il lécha mon oreille, embrassa mon coup Malgré que jétais en mission, je noubliais pas que jétais un sextoys, un dévidoir à couille en plus il savait y faire je mabandonnais, mon derrière se collant à son entrejambe, quil frotta contre mes fesses, que je puisse sentir son membre bandé

Tout en me branlant comme il faisait, je remarquais à peine quil nous faisait avancer, jusquau moment où je le vis ouvrir la porte du compartiment 35 les trois autres quinquagénaires qui étaient dedans nous regardèrent, étonnés.

— Je nous amène de la compagnie les copains !

— Pffff, encore une étudiante nympho qui veut goûter à lexpérience dhommes mûrs ?

— Oui, mais celle-ci à quelque chose en plus !

Avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, il baissa mon string, jusquà mes chevilles et leva ma minijupe

— Oooooh, je navais encore jamais vu un trans en vrai !

— Elle est jolie !

— Cest original ! Et ça change des nymphettes habituelles !

Des mains palpèrent mon sexe, mouillé de mon sperme, à moitié bandé, mes fesses aussi, ma poitrine Celui qui mavait amené sassit sur une banquette, le sexe à lair, tendu, et me fit masseoir sur lui, mon dos contre son ventre il écarta mes fesses, et je mempalais facilement sur son membre raide, plus petit que celui que mon anus avait déjà reçu de plus le sperme dans mon cul facilita la pénétration lhomme me prit par les fesses, et me fit aller et venir le long de son membre. Mon sexe à moi ballottait de haut en bas, au gré des coulissements le long de cette verge lexcitation me prenait de nouveaux, et jappelais les autres Un des types, le plus svelte, ôta ses chaussures, et monta sur la banquette, saccrochant aux grilles où on déposait les bagages, son sexe face à ma bouche je le pris directement, gobant son sexe pas très grand en entier, ma langue pouvant encore jouer avec ses testicules alors que son sexe était dans ma bouche Les deux autres sassirent un à droite, et un à gauche, ils prirent chacun une de mes mains, la déposant sur leurs sexes, que je branlais sans attendre jétais une chose, prise en sandwiches par quatre pervers, et jaimais ça Allant et venant le long de la verge, ses coups de boutoirs chassaient le sperme du frère du compartiment 39, qui coulait sur mes testicules cétait chaud, mouillé le bruit de succion humide au niveau de mon anus et de ma bouche ajoutaient une touche Le petit sexe dans ma bouche jouis le premier, javalais le tout. Puis je sentis le jus chaud gicler sur ma main gauche puis ce fut ma main droite qui fut recouverte de sperme chaud. Enfin, le dernier arrête de me faire coulisser sur sa verge, la cala bien au fonds de moi, et lâcha tout son jus en moi, qui se mélangea avec ce qui restait du sperme du jeune frère, tandis que je me léchais les mains du sperme laissé par les deux autres

Je me rendis compte à ce moment que le train entrait en gare Je me levais, le sexe du quinquagénaire retombant mollement sur le fauteuil de la banquette, avec une belle traînée de sperme, je remontais mon string et attrapais mon sac, et me ruais dehors, lançant un « Cest ma station » Je sentis du sperme couler de mon derrière le long de ma cuisse, mais pu sortir du train et trouver lagent 06 javais rempli ma mission et bien occupé la demie heure qui me restait !

* *

Je fus félicitée pour le succès de cette mission. Non seulement la brigade avait tous les contacts des frères Clive, et put ainsi faire surveiller et arrêter de nombreux dealers ou membre de gangs divers, mais en plus la puce électronique dans le téléphone permis à la police de suivre les frères qui préparaient un grand coups, de les arrêter, et de saisir dans leur cache un nombre impressionnant darmes à feu de de devise étrangère.

Enhardie par ce succès, jacceptais sans hésiter la seconde mission. Qui devait sattaquer à une autre forme de criminalité, celle « en col blanc ». Le but de ma mission était un peu plus compliqué, cette fois, car je devais voler un ordinateur portable. Pas un grand, certes, mais quand même celui-là, impossible de le cacher dans mon soutien !

Je me retrouvais donc sur le bord dun beau boulevard, au centre-ville, habillée de chaussure en toile rose, de petite chaussette blanche, courte, dun mini short en jeans, qui mettait en valeur mes fesses, dun mini top blanc, qui sarrêtait au-dessus de mon nombril, avec des dentelles sur le dessus, dessus qui laissait apercevoir le haut dun soutien-gorge en dentelle rose vif. Par-dessus le top, je portais une chemise à carreaux bleu et blanc, non boutonnée, mais le bas attaché en un nud juste en dessous des seins. Mes cheveux blonds étaient noués en couettes, une de chaque côté. Jattendis un moment, puis vis au loin une grosse limousine, une voiture avec chauffeur. Limmatriculation correspondait à ce que mavait dit 06. Je levais ma main et mon pouce, comme si jétais une jeune, innocente et jolie fille qui faisait du stop sur le bord de la route La limousine passa devant moi sans sarrêter

« Merde ! Cest foutu ! Sils ne me prennent pas en stop la mission va capoter ! » Mais mes vêtements sexy avaient eu leur effet. La berline sarrêta quelques mètres plus loin. Je ramassais mon sac à dos, et courus vers la limousine, dont la fenêtre côté passager descendais doucement. Un homme très distingué, la cinquantaine, me regardait de haut en bas.

— Vous faites du stop ?

— Oui monsieur.

— Pour aller où ?

— Oh je sais pas trop, nimporte où vous allez, loin de cette foutue ville en tout cas jy ai tout raté, alors

La fenêtre remonta lentement. Tout allait se jouer ici. Si la voiture démarrait, cétait foutu pour la mission après quelques secondes, qui me parurent une éternité !, la porte souvrit. Je mengouffrais dans la voiture. En me penchant pour entrer, le string en dentelle rose vif, assorti au soutien, remonta un peu au niveau du derrière, laissant apercevoir ce fameux y de dentelle qui rend les hommes si fou. Le quinquagénaire mâta en connaisseur. Je massis face à lui, claqua la porte, et la voiture redémarra aussitôt. Une séparation en verre teinté séparait le chauffeur de lhabitacle.

— Et vous navez nulle part où aller ? Plus de famille, de petit-amis où vous réfugier ?

— Non monsieur, ils mont tous laissé tomber, tous. Il ny a que ma grand-mère qui me reste, mais je peux pas aller la voir comme ça, jai besoin de me refaire un peu dabord. Gagner un peu dargent. Déjà quelle ma élevé, je peux pas retourner chez elle les mains vides

Lhomme hocha la tête. Ses cheveux, tout blanc, lui donnaient un air sage, mais son corps en forme athlétique, son bronzage perpétuel, ses yeux bleus perçants et intelligents ne permettaient pas quon le traite de « vieux ». Il était un es financiers les plus riches du pays et même du monde, et entretenait son corps. On disait quà la maison cest madame qui commandait. Cest elle qui lavait emmené vers le blanchiment dargent et autres délits financiers. Elle aussi, insatiable en homme, qui organisait les parties fines dont la rumeur sulfureuse se répandait au sujet du couple dans la jet set. Lui rabattait, elle organisait Il regardait pensivement la jeune fille face à lui.

— Et que ferez-vous donc en attendant de retourner chez votre grand-mère ? Cette nuit par exemple ?

— Je je ne sais pas je je nai plus un dollar en poche, et je je ne sais pas

Et Erika commença à pleurer, comme une jeune fille naïve en pleine détresse. Lhomme changea alors de place, et vint sasseoir à côté delle. Il la prit dans ses bras, très paternaliste, tout en reluquant dans le décolleté. Elle était comme un oisillon pour le chat, pensa-t-il.

— Allons, mademoiselle, allons. Ne pleurez plus. Je naime pas voire une aussi jolie jeune fille pleurer

— Je vous vous me trouvez jolie ?

— Bien sûr !

Tandis que sa main reposait protectrice sur son épaule, son autre main, veinée et bronzée, se posa délicatement sur le genou de la jeune fille, commençant à doucement caresser le genou, puis la cuisse Elle séloigna doucement de lui…

— Non pitié non, ne profitez pas de la situation déjà que les hommes mûrs me jai un faible pour eux nen profitez pas

Il sourit. Elle avait déjà avoué avoir un faible pour lui. La petite sotte ! Cétait du tout cuit. Il reposa sa main sur son genou, instinctivement elle ferma les jambes, les tenant bien serrées

— Ecoutez mademoiselle, vous navez nulle part où aller je peux vous accueillir chez moi vous aurez un bon repas, un bon lit pour dormir et si vous vous montrez coopérative, il y aura peut-être même beaucoup dargent à gagner

Il caressa sa cuisse, plus hardiment, mais sa main ne pouvait continuer, bloquée par les jambes fermées et serrées.

— B beaucoup dargent ???

Elle jouait bien, comme si un combat faisait rage en elle

— Ma femme et moi aimons organiser des parties fines si vous vous joignez à nous, et que vous vous laissez faire, pour tout, je vous paye 1000 dollars, en cash 500 avant, 500 après

Les jambes se desserrèrent et souvrirent, la main put caresser lintérieur de la cuisse, lentrejambe, avant de remonter vers ses seins Il palpait sans vergogne « la marchandise », puis posa ses lèvres sur celle de la jeune fille. Un chaste baiser, mais sa main caressa plus fort le sein de la demoiselle, par-dessus le top, sein qui nétait pas gros mais semblait sensible, car elle laissa aller un petit gémissement, entrouvrant les lèvres, il en profita pour appuyer son baiser, et faire entrer sa langue dans sa bouche dabord rétive, il ne lui fallut que cinq minutes et quelques caresses mammaires pour quelle lui rende totalement son baiser, leur langues tournoyant follement ensembles. Lhomme sourit, son charme avait encore frappé

Elle senti la bosse qui déformait son pantalon de marque et de style. Elle descendit de la banquette, se plaça entre ses jambes et ouvrit doucement et habilement son pantalon Elle caressa son caleçon, puis sorti le membre dressé du slip. Elle le caressa contre son visage, le lécha lhomme était aux anges. Elle leva alors le visage vers lui

— Vous êtes si gentil avec moi et si beau si viril

Elle lécha son sexe de haut en bas, sans oublier ses testicules, imberbes, avant de remonter et denfourner le gland dans sa bouche puis de le ressortir, plantant ses yeux dans ceux de lhomme

— Pour 1.200 dollars, je ferai tout tout tout ce que vous me demanderez

— Mmmm, ooooh tu sais y faire, hein, je men doutais vendu !

Elle replongea sur son sexe, lenfourna, le suça il ne fit que quelques aller et venue en elle avant de déjà éjaculer ! La rapidité de léjaculation la surpris, mais elle ne fit semblant de rien, avalant tous le sperme, pas très abondant non plus, puis léchant et pourléchant son gland jusquà ce quil ait tout à fait débandé, et que la voiture freine doucement. Il se rhabilla vite fait, et elle sinstalla à côté de lui.

Par la vitre, Erika vit les deux grandes portes souvrirent, et la voiture entrer dans la propriété. Un haut mur cerclait le parc. La voiture roula à faible allure quelques minutes sur un chemin en gravier. Au milieu du parc se trouvait un manoir énorme, la propriété du couple. La voiture sarrêta devant le perron. Le chauffeur vint ouvrir la portière. A la bosse qui déformait un peu son pantalon, Erika nota quil avait soit vu, soit entendu, en tous cas compris ce qui sétait passé dans la voiture. Ils passèrent la porte dentrée, et arrivèrent dans un hall fabuleux, pleins de marbres, de vase dorés, de chaises dépoque, tout était rutilant. A ce moment une dame descendait lescalier monumental face à eux.

— Aaah Charles, vous êtes enfin rentré. Je ne vous attendais pas si tard, Darling. Et quest-ce donc que vous nous ramenez là ?

— Mon Amour, cette petite faisait du stop sur la route. Nest-elle pas jolie ?

La dame approcha dErika. Elle avait la quarantaine, de superbe cheveux blonds, un visage ressemblant à celui de Marylin Monroe, mais en plus dur, dureté accentuée par des yeux gris acier. Elle portait un tailleur de marque, qui mettait ses jolies jambes en valeur, et un décolleté qui faisait de même avec son opulente poitrine. Elle toisa Erika de haut en bas. Il n’y avait pas de doute, cétait elle le boss à la maison. Elle passa devant son mari, qui lui murmura au passage : « elle sera des nôtre pour ce soir », avec un regard appuyé.

La dame toisa encore plus profondément Erika, sapprocha delle Elle lui mit sans hésitation la main aux fesses, les palpas. Puis lui caressa les seins. Erika était à la fois honteuse, et sous le charme de cette femme de poigne.

— Joli morceau ! Vous avez toujours eu bon goût Charles oui, elle pourrait être divertissante Vous ne lavez pas sautée dans la voiture au moins ?

— Mais non ma mie, enfin !

La dame ouvrit le premier bouton du mini short, et passa sa main dans le short, sur lentrejambe de la jeune fille elle tâta et senti directement le sexe à demi bandé et les testicules dErika. Elle la regarda, surprise. Erika, dans un souffle, lui murmura

— Il na pas vu pitié jai besoin de cet argent

Elle regarda Erika plus intensément

— Oui, ce sera vraiment très divertissant. John, conduisez-là aux cuisines, quelle prenne un repas, et un verre de vin, ensuite, vous la mènerez à la chambre, quelle puisse se changer !

Un homme sortit de lombre, il portait un costume très strict.

— Si vous voulez bien me suivre, mademoiselle

Je le suivi. Il memmena aux cuisines, qui étaient quatre fois plus grande que ma chambre à la brigade ! Sur un coin de table, on me servit un très bon dîner. Arrosé dun très bon vin. Il y avait une femme aux fourneaux. Lhomme, lui, devait sans doute faire le service, il sortait de la cuisine avec des plats pleins, revenait avec les plats vides. Je sentais quil me mâtait à chaque passage. Elle prélevait dans les casseroles une part pour moi, avant de dresser les plats. Je mangeais donc au même rythme que le « patron et la patronne », comme ils disaient. Le dessert terminé, il me demanda à nouveau de le suivre. Nous revînmes dans le hall et montâmes lescalier monumental. Il me mena jusquà une chambre. Avec un grand lit. Sur le lit un paquet.

— Veuillez vous déshabiller entièrement, et vous vêtir de ce quil y a dans le paquet. Je viens vous chercher dans un quart dheure. Nous passerons ensuite par le bureau, là, qui communique avec la chambre des patr de Monsieur et de Madame

Puis il sorti et referma la porte. Bien. Un quart dheure cétait pas énorme pour trouver lordinateur portable des « patrons ». Jouvris mon sac à dos, qui ne mavait pas quitté, et sorti lordinateur portable qui y était caché. La réplique exacte de lordinateur des « patrons ». Sauf quun autocollant transparent donnait au miens une impression dusure, avec en plus deux autres autocollants style ’Hello-Kitty’, comme mettrait une jeune sur son portable.

A ce moment, je vis sous la porte, que le majordome mavait indiqué être celle qui communiquait avec le bureau, la lumière sallumer. Tout en me déshabillant, je mapprochais de la porte, et regardais par le trou de la serrure. Je vis le « patron » à moitié caché derrière une armoire un coffre ! Ils avaient un coffre, et lordinateur portable sy trouvait. Bon sang, nous navions pas pensé à cela ! Je navais pas lappareil de cassage de code de coffre avec moi. Le « patron » prépara une liasse de billets. Puis il sorti lordinateur du coffre ! Il linstalla sur un bureau de style, et voulut louvrir. A ce moment, jentendis une voix, celle de son épouse.

— Charles que faites-vous encore ?

— Jarrive, je voulais juste vérifier si le transfert bancaire

— Shhhht bon sang ! Nous avons des invités, ne parlons pas de ça maintenant. Nous vérifierons cela demain matin. Maintenant venez vous changer, pour la petite fête de ce soir.

— Mais

— Jai dit : venez ! Immédiatement !

Il haussa les épaules, pesta à voix basse, et sorti de mon champ de vision. Un peu après la lumière fut éteinte et jentendis une autre porte claquer. Cétait le moment où jamais ! La chance me souriait, il fallait en profiter

Je terminais de me déshabiller, et jetais en boule mes vêtements sur le lit. Nue, je pris le portable contre moi. Je mapprochais de la porte communiquant avec le bureau. Je baissais doucement la clenche un petit déclic et la porte souvrit ! Normal quelle nétait pas fermée, puisque le majordome mavait dit que nous passerions par là après. Jentrais dans le bureau, refermait la porte derrière moi. Il faisait sombre, mais en deux bonds souples je fus près du portable. Heureusement quil y avait de gros tapis moelleux, car sans ceux-ci le plancher aurait risqué de faire du bruit sous mes pas Derrière une porte dans le fonds, jentendais des voix étouffées. Je fis vite léchange, prenant lordinateur portable des « patrons » et déposant le mien à la place. Lautocollant ne tenait que par électricité statique, je le décollais donc facilement de mon pc portable, et le collais avec application sur celui des « patrons ». Sils fouillaient mon sac, il penserait avoir affaire à un autre pc portable, plus ancien, avec des autocollants de jeunes mission accomplie ! Plus quà le ranger et à discrètement méclipser dici

Soudain, la porte du fonds souvrit. En un bond, comme appris à la brigade, et en serrant ma cible, leur pc portable, contre moi, je me fis rouler silencieusement sur le sol, et me cachais derrière un fauteuil. La lumière se fit dans la pièce.

— Mais que faites-vous encore, Charles !

— Jai juste oublié de fermer le coffre. Nous ne sommes tout de même pas à trois minutes près !

Il était en robe de chambre, et en trois pas il fut au bureau. Il prit le portable que javais laissé. Sil tournait la tête sur la gauche, cétait foutu, il me verrait. Mon cur battait si fort dans ma poitrine que javais peur quil lentende de là où il était. Heureusement, il ne tourna pas la tête vers la gauche. Il prit le portable, le fourra dans le coffre, et prit les billets quil avait laissé sur la table, et les mis dans la poche de sa robe de chambre. Il referma le coffre, repoussa le meuble pour le cacha, et séloigna. La lumière séteint, et la porte du fonds se referma derrière lui.

Jattendis quelques secondes que mon cur sarrête de battre. Puis me levais. La pièce était bien vide de toute présence. Je me ruais sur la porte communiquant vers la chambre où je devais me changer, louvris puis la referma sans bruit. Je fourrais en vitesse le pc portable dans le sac à dos, et massis sur le sol, les jambes tremblantes il sen était fallu de peu que je me fasse pincer. Bon sang !

Après quelque minutes, ayant repris mon calme, je me dirigeais vers le lit. Il ne devait plus rester beaucoup de temps avant que le majordome ne vienne me chercher Je déballais le paquet. Il y avait dabord un string noir, en cuir. Je le mis immédiatement. La bande de cuir plus étroite passait entre mes fesses, mais sur lavant du string il y avait quelque chose qui nallait pas il y avait une longue fente si jétais une fille avec un vagin, la fente devait laisser un accès libre et direct au vagin mais comme jétais une fille avec un pénis ce dernier sortit par la fente, mes petits testicules aussi en un coup dil ils sauraient Ensuite venait un corset de cuir, noir également, avec deux ouvertures pour les seins. Les miens, forts petits, ne dépassaient pas beaucoup des ouvertures, mais je remarquais que cet accoutrement provoquant faisait pointer mes tout petits tétons Je trouvais aussi un collier en cuir, du genre de celui quaimait me mettre 06 avant de me promener en laisse. Je le passais autour du cou. Ensuite venaient des bottines de cuir, avec des talons extravagants. Enfin un masque de cuir, lui aussi noir, avec deux trous pour les yeux, un pour la bouche, et deux trous sur le côté pour mes couettes je mis donc les bottines, et était occupée à mettre le masque lorsque le majordome entra. Il était entièrement nu, ou presque il nétait habillé que dun nud de papillon noir !

— Et alors, pas encore prête ? Vous nêtes pas très rapide, mademoiselle !

Il maida à mettre mon masque. Il devait certainement avoir vu mon pénis pendouiller du string noir, mais rien ne troubla limpassibilité de son visage Comme je lavais pensé, il attacha une laisse au collier, puis me tirant par la laisse, memmena vers la porte du bureau. Il louvrit, je le suivi, nous traversâmes le bureau pour nous rendre à la porte du fonds. Il toqua à la porte, et lorsque on linvita à entrer, nous entrâmes. Leur chambre était vraiment immense. Dans le fonds, un immense lit à baldaquin. Dans la partie de la pièce où nous nous trouvions, un petit salon, avec des sofas. La patronne était habillée de longe cuissarde en cuir noire, qui remontait au-dessus de ses genoux, et un corset en cuir noir qui sarrêtait sous ses seins. Ils étaient rond, généreux. Son sexe était rasé. Elle partageait une coupe de champagne avec trois hommes. Ils étaient tous les trois nus, sauf une cagoule en cuir noir, qui ne laissait voir que les yeux et les bouches. Leurs membres étaient déjà semi raides, et ils avaient une belle taille. Une autre dame était présente, elle aussi entièrement nue, excepté le masque qui cachait son visage, et elle discutait avec un quatrième homme, nu lui aussi, et avec un masque de cuir également. La dame avait une couronne de poils pubiens, rasé court, sur son pubis, et des seins très généreux, lourds, et légèrement retombant. Mais où était le patron ?

— Ah, mais voici notre petite surprise du soir !

La patronne venait de parler, me faisant signe dapprocher. Tous les regards convergèrent vers moi. Et tous sarrêtèrent sur mon petit pénis, qui commençait doucement à se redresser. Jétais terriblement gênée dêtre ainsi le centre dattention, mes parties à lair, mais en même temps, me montrer, mexhiber, mexcitait terriblement. En avançant dans la pièce, je vis le patron. Il avait un gag en bouche, était entièrement nu, et attaché à une chaise, un peu en retrait. Il avait le regard baissé des gens brimé. Un préservatif trop grand pour son sexe moyen lui avait été mis, tiré jusquà la moitié de la hampe, le reste du préservatif pendouillant

Le majordome donna la laisse à la patronne, qui mattira à elle Elle pinça fortement mes tétons.

— Dommage quils soient si petits mais ils ont lair sensible, non ?

Les hommes caressaient mes fesses, mon dos, mes épaules, mes cuisses Ces caresses, ajoutés au pincement de mes tétons me faisait maintenant totalement bander Elle attrapa mon sexe dur dune main, le serrant fort, lui aussi.

— Cest fort petit aussi, de ce côté. Même plus petit que celui de mon innocent mari, jespère quil ne vient pas aussi vite

Un rire gêné parcouru lassistance Je vis que lautre dame suçait le majordome, tandis que le monsieur avec qui elle discutait introduisait son membre raide dans son vagin offert. La patronne sassit dans un fauteuil de style, ses jambes sur les accoudoirs, fort écartées. Javais une vue sur son sexe épilé. Elle tira fortement sur la laisse, et vu la taille des talons aiguilles, je perdis léquilibre, et me retrouvais au sol, à quelque centimètre de son vagin, déjà un peu mouillé Elle tira sur la chaîne de la laisse, et mon visage sapprocha de son sexe.

— Lèche

Cest la première fois de ma vie que je voyais un sexe féminin de si près heureusement, les vidéos dhypnose mavaient enseignées la technique pour satisfaire une maîtresse. Ma langue se posa délicatement sur le milieu de sa fente intime, descendit, puis remonta lentement, jusquà son petit bouton damour, légèrement caché sous un repli de peau. Ma langue le trouve, le dégagea un petit peu, tournoya, agaça le petit bouton, avant de redescendre le long de la fente, léchant cette fois ça sa lèvre intime gauche, en descendant, et sa droite, en remontant Je refis cela, une seconde fois, avant de retourner à son bouton damour Je moccupais de lui, avant de redescendre vers sa fente, et ainsi de suite à chaque passage, jappuyais un peu plus la pression de la langue, écartant également ses lèvres intimes lorsquelle fut suffisamment mouillée, lors dun de mes passages le long de sa fente intime, je la pénétrais de ma langue, entrant dans sa moiteur humide, mon nez sur son clito, et je léchais, lapais, tournoyais à lintérieur delle Son bassin sagita, remua, elle appuya sur ma têtes, son nectar devint plus abondant

— Pas mal du tout

Elle me rejeta en arrière Un des hommes sapprocha delle, et elle attira son sexe vers sa bouche. Je vis den bas ce membre raide pénétrer dans sa bouche, cétait une vue tellement excitante ! Jen voulais aussi un ! Elle attira de nouveau mon visage vers son sexe mouillé, et je recommençais à la lécher Après un moment, elle me rejeta en arrière, puis tira à nouveau sur la laisse, mais cette fois pour poser ma tête sur sa cuisse. Je vis alors une verge raide passer à quelque centimètre de mes yeux, et la pénétrer, senfonçant dans son vagin mouillé avec un bruit de succion humide érotique au possible. Il senfonçait en elle, et elle gémissait tout en suçant lautre. Le troisième type se branlait doucement en voyant la scène Le type qui allait et venait en elle sortit à un moment son sexe mouillé de ses sécrétions intimes, et le présenta à ma bouche enfin un qui pensait à moi ! Je le suçais avec délectation, quelques instants, avant quil ne replonge en elle Puis, quelques minutes après, il revint à moi, je le suçais, il avait le goût de son sexe à elle sur son membre raide, avec le parfum de sperme quon toutes les bites, cétait un mélange de goûts détonnant, érotique et excitant Soudain, celui quelle suçait se retira en arrière, et présenta sa queue à la main de la patronne. Lautre quitta son vagin pour faire de même. Elle les branla quelques instants, et ils jouirent dans ses mains Elle me présenta ses mains pleines de sperme chaud

— Nettoie-moi bien tout ça !

Je léchais sans hésiter, tout ce bon sperme chaud, ma langue lapant sa paume, passant entre ses doigts, suçant ses dix doigts, un à un, jusquà ce quil ny ait plus une goutte de sperme sur ses mains

— Mais quelle gourmande ! Hans, récompenser-là, elle a bien travaillé !

Le troisième homme présenta son membre raide à ma bouche, et je le suçais avec délectation, puis le sorti de ma bouche pour pouvoir lécher sa hampe, ses boules, qui semblaient bien remplie, à nouveau la hampe, le gland, puis je le repris en bouche. Cette verge dure qui senfonçait dans ma bouche me remplit dun soupir daise, dun sentiment de contentement je le suçais avec gourmandise, et il maidait dadroits mouvements de bassins, jusquà ce quil éjacule un sperme abondant dans ma bouche. Javalais le tout avec bonheur

Derrière moi, lautre dame gémissait fortement, tandis quelle jouissait. Le majordome et lhom

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