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Un oncle bienveillant – Chapitre 4




Décontenancé, presque abasourdi par cette nouvelle discussion, je laisse Serge à ses fourneaux pour le déjeuner, et m’affale dans un des fauteuils de la salle. J’arrive pas à organiser mes pensées, c’est trop nouveau. Je traîne, comme un somnambule.. Serge, tablier, torchon en mains, vient me voir :

— Ben dis donc Marc ! Faut te remettre ! Tu veux pas boire un coup ?

— .. Si, léger. T’as de la pêche ? Un kir, je veux bien.

— Cool garçon ! Je vais appeler ta meuf, qu’elle se prépare pour le déjeuner.

«Ma meuf» ne tarde pas. Je la trouve un peu pâle, malgré les heures au soleil. Elle m’a l’air un peu faible, tristounette. Je me lève, la prend dans mes bras, la câline, la dorlote, des mots doux, elle me sourit. Mais nom d’une pipe qu’est-ce que je l’aime,… et qu’est-ce qu’elle est séduisante, sensuelle.. – «Je t’accompagne chérie ?» – «Non mon cur, ça va, merci». Ça va nettement mieux, je devrais pas mais je me ressers un kir, bien frais, hmm.. Et puis des clopes sur la terrasse, peinard, mais à l’ombre, ça rigole plus.

Douce torpeur, dring dring, c’est le pote de Serge. Un effort, je me lève, m’ébroue un peu, présentations, Marc, le fiancé de ma nièce, Richard, un voisin, un ami. Punaise quelle baraque le mec ! Costaud, rugueux, mais bonne gueule bronzée souriante, les yeux vifs. Grosse poignée de mains, yep, apéro ! Son clébard, un superbe labrador, fait la fête à Serge et file dans le jardin.

— Brigiiitte ! Mon ami est arrivé. Tu nous rejoins ?

— (aux lointains) J’arriive !

Et v’là le p’tit canon qui débarque, toute récupérée, décontractée, fraîche, belle (et séduisante) comme tout. L’autre, le Richard, la dévore des yeux, mais, très classe, la salue élégamment. On s’installe, mais pour éviter ce qui s’est passé hier, et que le gros Richard ne mate le cul de ma Brigitte, c’est moi qui vais faire le service, et rejoindre ma meuf sur le canapé. Ainsi soit-il. Il fait déjà bien chaud dehors, j’en suis à mon troisième kir, béatement content. La discussion a l’air sympa, elle ne m’intéresse pas. Je me fais câlin avec Brigitte, tout doucement, main sur sa nuque l’attirant vers mon épaule, main sur sa main, caressante, comme on fait quoi quand on est amoureux !

Sursaut. Faut pas que je me laisse aller, ça se fait pas. Je reviens au réel. J’aurais pas dû.. Le balourd, vautré dans son fauteuil en face de Brigitte, la bouffe des yeux.. La mettant à poil. Et imaginant le reste. Mais c’est bien sûr ! Serge lui aura parlé d’elle, je vois ça.. Envolée ma jalousie.. Je commence à bander. Gentiment, innocemment, je rentre dans la conversation et pose ma main sur le genou de ma belle. Je persiste doucement, pour lui écarter tout lentement la jambe vers moi. Hmm.. Pas trop tout de même, qu’elle ne se rende pas compte. Suffisamment quand même pour que le pervers en ait pour son compte. Il a du mal à suivre la conversation, les yeux vrillés sur l’entre-jambes de ma douce, sa toute petite culotte et ce qu’elle ne dissimule pas trop.. Je me demande qui de l’autre ou de moi bande le plus. Je croise le regard amusé et encourageant de Serge – «Bon ! Si on passait à table ? Qu’on profite de la journée pour faire un tour en forêt. Brigitte, tu m’aides ?». Ils filent à la cuisine nous laissant à nos verres.

— Ta copine est délicieuse Marc..

— Ma fiancée ! (en montrant mon alliance)

— Ok ok ! Tu vas la marier alors ?

— Ben oui, quand j’aurai un avancement à mon boulot

— Et t’as pas peur d’être cocu ?

— Non.. On s’aime (dit le fourbe en rougissant un peu)

— Parce qu’elle est franchement bandante ta fiancée..

— Oui, je sais (en rougissant carrément plus)

— C’est à cet âge-là qu’elles sont les meilleures..

— Oui.. (sa vulgarité me fait honte, mais..)

— Moi, je me la ferais bien ta gonzesse, tu vois.. Un p’tit cul pareil..

Sauvé par le gong : Serge nous invite à passer à table. Pendant tout ce temps l’autre vicieux n’a cessé de lorgner Brigitte en train de mettre le couvert, en effet affriolante. Je suis dans un drôle d’état..

À table je me retrouve à côté d’elle, Serge en face de moi, l’autre face à elle. Bon déjeuner, nouvelle conversation qui ne m’intéresse pas du tout, la tête bien ailleurs. J’évite de boire trop de vin avec ce que je me suis déjà enfilé, mais le Richard ne cesse de resservir Brigitte, faut dire que ce petit Saumur est excellent. Tout ce petit monde m’a l’air un peu éméché et voilà les blagues grivoises qui arrivent.. Même Brigitte rigole de bon cur, et, bing !, Richard renverse son verre.. Serge va pour se lever mais Brigitte a déjà filé à la cuisine, revient avec éponge et sopalin. Elle passe à côté du Richard qui a un peu reculé sa chaise et elle commence à éponger, un peu penchée en avant.. Je n’en crois pas mes yeux.. Il est en train de lui passer la main sous sa jupe.. et elle ne moufte pas, toute appliquée à nettoyer la table.. Et ce salaud qui me fixe dans les yeux.. Je vois sa main insister.. et d’un seul coup Brigitte sursaute, relevant brusquement la tête, poussant un petit cri.. Ah.. Il l’a doigtée.. Elle n’essuie plus la table, s’y appuyant des deux mains, les bras tendus.. Elle se mord les lèvres.. Il accélère le mouvement.. Bon dieu ! Elle va jouir.. Ouiiiii.. Elle se redresse, chancelante, s’éloigne vers la cuisine. Le pervers me regarde souriant, en se foutant de ma gueule, il me murmure «Cocu..». Serge : «Bon, ça c’est fait ! Café ?».

Je reste scotché sur ma chaise. Non seulement j’ai laissé faire, mais ça m’a excité grave. Le pire encore : elle a joui, en si peu de temps.. Richard devient aimable, presque amical : «Remets-toi Marc ! Viens on va sur la terrasse». Serge nous apporte le café, et une bouteille d’Armagnac, pas de refus : «Je vous laisse, je range, et on va faire une balade». Richard m’entretient, calmement, «Faut t’y faire. Elle est comme ça. J’en ai connu quelques-unes de ces jeunes femmes. Pour des vieux cochons comme moi c’est un luxe ! Tu sais comme elle est bien foutue, et rien qu’à voir ses yeux et sa bouche, n’importe qui va bander ! Ce n’est pas une pute ta gonzesse, juste un peu nympho sur les bords.. Va falloir que tu fasses quelque chose..».

— Oui, oui. Serge n’arrête pas de me le dire. Faut que je réfléchisse..

— Perds pas de temps, avant de la perdre..

— Tiens, je te passe la carte d’un copain, agriculteur comme moi. Il est plus loin, mais il a un chouette petit gîte dans sa ferme, juste une chambre, pour des couples qui ont besoin de prendre le grand air. Quand tu as envie, appelle-le de ma part. Ça fera le plus grand bien à ta meuf.. Et à toi..

Serge vient nous dire que Brigitte se repose un peu, et qu’on va se balader dans un petit moment. Ouais.. Des clopes et de l’Armagnac, et silence dans ma tête, surtout. Mais ça trotte là-dedans.. Un petit moment et je vais à notre chambre. Brigitte est déjà habillée, jupette évasée et débardeur. Elle a récupéré, fraîche et souriante, ouf !

— Tu veux bien me faire plaisir chérie ?

— Pourquoi pas ?

— Ne mets pas ta culotte et ton soutif s’il te plaît..

— Hé bé ! Tu fais le coquin !

— Un peu, oui. Et il fait tellement chaud, tu seras plus à l’aise.

— Si ça t’amuse mon loup, d’accord ! Allez, sors d’ici que je me prépare.

Je rejoins les deux lascars, Brigitte se pointe, et zou ! En forêt. Magnifique, le printemps est en avance, les feuilles aux arbres, c’est cool, mais quelle chaleur (et quel Armagnac!). L’allée n’est pas assez large pour être quatre de front. Nous sommes devant, les loustics à quelque distance derrière, se racontant leurs trucs, le labrador gambadant dans les sous-bois. J’y suis.. Allez ! De l’audace..

Nous marchons, enlacés par la taille, gentiment, Brigitte à ma gauche. De ma main droite, tendrement, je viens lui empaumer son sein droit. J’en effleure la pointe, qui se dresse instantanément. Je le pince plus fermement, elle sursaute un peu, je me porte à son sein gauche, qui n’attendait que ça.. Je me penche un peu pour un baiser sur sa bouche que, sans tarder, je fouille de ma langue. Nous continuons à marcher, ma main gauche quitte sa taille, descend sur sa jupette, sous sa jupette, se glisse entre ses cuisses. Hmm, ça mouille un peu là-dessous.. J’en sors un instant, le temps d’attraper le bord de la jupette, de le remonter, et de l’accrocher dans la ceinture. Le cul nu, quoi.

Elle va pour me dire.. Non, chut, ne dis rien. D’ailleurs, derrière nous ils ne se disent plus rien.. Quelques pas encore, et je m’arrête dans l’allée, et me mets face à Brigitte, qui reste de dos aux vicieux. Je lui prends le cul à pleines mains, le pétrit, le malaxe, le claque. Et je la doigte, un doigt, deux doigts, trois doigts, je la branle. En regardant les deux autres dans les yeux. Elle est à moi les mecs, t’as vu ?

Essoufflée par cet orgasme, il me faut la soutenir par la taille. Je l’avais vu de loin, je nous dirige vers un gros tronc d’arbre abattu en bordure de l’allée. Hop ! En un tour de mains j’y bascule Brigitte à plat ventre, sans ménagement, lui écarte largement les pieds, sa vulve rebondie, sa fente luisante de mouille, offertes au premier venu. Ce sera Richard.. Je me suis retourné et lui ai fait signe que ma fiancée était disponible. Punaise ! L’engin qu’il sort.. Mais quel mandrin ! Il fait trois pas, empoigne les hanches de Brigitte avec ses grosses pattes, et vlan ! d’un seul coup d’un seul l’enconne jusqu’aux couilles. La femelle se cabre, crie.. Hmm.. Je sors ma bite et me rapproche. Je me branle au-dessus de ses reins, reluquant cette énorme bite qui la pilonne, et va et vient, à grands coups de reins, lui tirant des orgasmes incessants, et fort bruyants. Serge, tout proche, intervient : «Arrête Marc ! Attends ton tour !».. Ah… Je n’y avais pas pensé..

Le baiseur besogne, encore et encore, et ça vient, il râle, râle, elle gueule, gueule, je comprends, une, deux, trois, plus encore, des giclées puissantes, il devait avoir les couilles pleines, ou alors c’est Brigitte qui lui fait cet effet. Pff ! Sa tronche est rouge, luisante, il halète encore le bougre, se retire, repu, s’écarte. Ah.. Tellement de foutre dans son vagin.. Ça commence à couler, épais, visqueux.. Ma meuf, repue elle aussi, est comme inerte. Serge avait raison, à mon tour.. Ma queue n’a pas la même taille, et alors, à moi de jouir dans le con de cette salope, non ? Mais quelle sensation ! Ça glisse, mieux que dans du beurre, et l’enconnant je vois que je fais sortir le sperme du sauvage.. Punaise.. En dix coups de reins j’éjacule à mon tour, plus modestement, mais m’en fous, j’l’ai spermée, moi aussi. Cocu, mais content.

Ouf.. Mais voilà le labrador qui s’approche.. Ah, non ! Pas question ! Et puis je le vois venir la truffe en avant, renifler la vulve dégoulinante. Hmm.. Ça le tente. Et il lappe.. À grands coups de langues.. Ma meuf sursaute, gémit, crie.. Tu parles, une telle langue bien râpeuse, qui vient te nettoyer de tout ce foutre, comment tu peux résister, hein ? Hmm.. Je pourrais bien rebander. Comme le clébard dont j’aperçois la bite sortie de son fourreau. Pas question de ça ! Deux coups de latte dans le ventre, et il se barre. Tout de même !

Hé bé.. Je flagelle sur mes jambes. Trop de boissons, trop de chaleur, et tant et tant de sexe, de sperme, de grosses cochonneries.. Je vais pour m’asseoir sur le gros tronc, tiens ! les deux lascars se sont éclipsés discrètement avec le clébard. Et ma Brigitte, comme inanimée.. Je lui fais redescendre sa jupette, la prends doucement par les aisselles, la redresse prudemment pour l’asseoir sur le tronc. Les yeux clos, elle est comme hébétée. Tout près d’elle, accolé, je lui tiens l’épaule, elle incline lentement sa tête sur la mienne. Je lui enlève les petits morceaux d’écorce restés accrochés à son débardeur. Heureusement elle n’a pas l’air d’avoir été égratignée malgré les assauts forcenés. Un long moment, silencieux, apaisé, confiant.

«Tu viens chérie ? On rentre ?». Elle prend appui sur le tronc, je la soutiens par la taille, nous avançons, tendrement. La maison de Serge est ouverte, et déserte. J’accompagne Brigitte dans notre chambre, et à la salle de bains. Je la laisse sous l’eau chaude, bienfaisante. Sur la table de la salle, un petit mot de Serge : «Tiens-moi au courant» avec son numéro de mobile. Je retourne près de Brigitte, elle est déjà en train de ranger notre sac.

Je suis crevé, Brigitte a un peu incliné son siège, elle s’endort. C’est un peu plus long, mais je vais prendre la 4 voies, moins compliquée. Il fait encore grand jour, mais tant d’émotions.. Je me concentre sur le volant, vitesse réduite. Ça tombe bien, un petit parking, désert, je vais récupérer un peu : «Je vais souffler un peu. Tu veux venir ?» – «Merci mon Marc, je dors». Il fait encore si chaud, dis-donc ! Les vitres de la voiture restent ouvertes. Une clope, et direction pipi-room. J’en avais bien besoin en fait.. Je sors de là, me balade un peu en fumant, et je reviens vers la caisse. Ah ben ! Juste derrière la nôtre s’est garée une sacrée belle bagnole, et là, y’a un type qui s’est accoté, l’avant-bras gauche sur le toit de notre voiture, et je vois bien que son bras droit est à l’intérieur.. Et pas un bruit. Ah.. Ce salaud doit lui tripoter les seins..

Partagé à nouveau, jaloux mais bandant, je reste figé. Mais le type se penche en avant, il a dû lâcher les seins pour l’entre-jambes.. Noon, pour aujourd’hui, c’est bon ! Je tousse un grand coup, et m’avance. Il vient à ma rencontre. Pas tout jeune, bien fringué, et un je-ne-sais-quoi de.. perversion ? Un peu ironique, il me tend un billet de 100 et une carte de visite : «Quand vous voulez». Je reviens au volant, Brigitte s’endort gentiment à nouveau..

Il est temps de rentrer dans notre petit studio. Demain c’est lundi. Ça bosse.

(à suivre).

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