Histoires de sexe hétéro Histoires de sexe noir Histoires de tromper

Moi! Katia! 19 ans et nymphomane – Chapitre 9




CHAPITRE IX – DEUX EN UNE.

Je sors de la douche, enfin débarrassée de cette souillure arabe. Mais je ne me sens pas mieux.

Je ne m’habille pas, ne me sèche pas les cheveux, je n’ai envie de rien mis à part de fumer une clope.

Je prends donc mon sac et pour attraper mon paquet, et je tombe sur un objet qu’il n’y avait pas avant. C’est plat, ça ressemble à un CD. Je sors l’objet, c’est effectivement un CD. Sur ce CD il n’y a aucune étiquette, ce qui prouve que c’est un CD qui a été gravé par quelqu’un. Mais qui a bien pu mettre ça dans mon sac.

Ma curiosité habituelle me force à mettre le CD dans le PC pour voir quelle musique peut bien se trouver dans ce CD.

Une fenêtre s’ouvre et je vois alors qu’il ne s’agit pas d’un CD musical. Sur ce CD il y a en fait une vidéo.

Sur cette Vidéo, on voit tout d’abord 4 hommes. 4 arabes dans une pièce sordide. On voit ensuite un lit. Sur ce lit il y a une jeune fille allongée. Cette jeune fille est nue. Cette jeune fille est en train de rouler une pelle à un arabe. La caméra retourne vers les 4 arabes après s’être attardé en gros plan sur la chatte et les énormes seins de la jeune fille. Les tétons sont dressés, ce qui prouve que la jeune fille est excitée.

La caméra se braque donc vers les 4 arabes : Ils sont nus et bandent comme des fous.

La caméra revient sur le lit et filme le visage de la jeune fille en gros plan, l’arabe ayant cessé de l’embrasser.

C’est alors qu’un arabe s’approche de la jeune fille avec son sexe à la main. La jeune fille n’est pas farouche pour un sou, car en le voyant arrivée, elle écarte ses cuisses bien en grand. L’arabe se met à genoux entre ses cuisses. Gros plan : On voit la bite de l’arabe s’enfoncer dans le minou de la jeune fille.

L’arabe s’allonge alors sur la fille, et il va et vient en elle de la même manière qu’un sportif fait des pompes. La jeune fille pousse des gémissements de plaisir. Elle a pris le visage de l’arabe entre ses mains, et de temps à autres, l’arabe s’arrête de faire ses pompes pour lui rouler une pelle phénoménale. Le film est une suite de gros plan maintenant. On voit nettement le sexe de l’arabe aller et venir de plus en plus vite dans la chatte de la jeune fille. Puis on voit le visage de la jeune fille grimaçant de plaisir. Elle secoue sa tête dans tous les sens en poussant des cris de plaisir. Le zoom recule et on la voit en train de se masser les seins. On entend les arabes se parler dans leur langue. On sent nettement qu’ils sont en train de l’insulter. Parfois son baiseur s’adresse à elle en français :

— Tu aimes ça hein chienne de française !

Et la jeune fille de répondre :

— Huumm ouiii ! J’aiiimmme ça ! Baiise moi !

Et les autres éclatent de rire. La caméra recule encore, et on voit un autre arabe s’approcher de la jeune fille. Il va vers la tête du lit, au niveau du visage de la jeune fille. Il se met à genoux, et colle le gland de son sexe contre les lèvres de la jeune fille. Aussitôt, la jeune fille ouvre la bouche et le sexe disparaît en bonne partie dans la bouche. Elle tient le manche dans sa main et pompe la queue comme une folle en poussant des gémissements étouffés.

L’arabe baiseur se retire de la jeune fille et un autre prend sa place. Pendant de longues minutes la fille suce tous les arabes et se fait prendre par chacun d’eux.

Puis un des arabes lui dit :

— Fous-toi à quatre pattes comme la chienne que tu es !

La jeune fille s’exécute illico. Elle a l’air d’en avoir très envie et il semble même qu’elle n’attend que ça, car elle se cambre au maximum en écartant les cuisses pour offrir sa chatte à qui la voudra.

Un arabe s’approche, la queue à la main, il se met à genoux sur le lit derrière elle, et en guidant son sexe avec la main, il s’enfonce en elle, lui arrachant un cri terrible de plaisir. La jeune fille s’est cambrée encore plus en rejetant sa tête vers l’arrière, l’arabe pose ses mains sur les fesses de la petite salope et se met à la prendre comme une chienne. Pendant ce temps, un autre arabe s’est placé devant elle. Elle ouvre la bouche, et l’arabe enfonce sa bite dans sa bouche.

La caméra filme tout. On voit la queue d l’arabe aller et venir en gros plan dans la chatte de la salope, puis un autre gros plan ou on la voit pomper l’autre arabe avec art et immensément de plaisir.

Je sursaute car j’entends quelqu’un qui tousse. Je dirige mon regard complètement affolé vers la personne qui vient de tousser, et je découvre mon voisin.

Il me dit :

— Alors ! Tu aimes te faire sauter par les arabes ?

Et alors je fais ce que j’avais envie de faire depuis le début de la vidéo, depuis que j’ai vu cette jeune fille allongée nue sur le lit, j’éclate en sanglot.

J’éclate en sanglot parce que la jeune fille qui se faisait baiser et qui suçait tous les arabes n’est autre que moi.

Les enculés m’ont droguées et ont profité de moi. Ce que j’ai du mal à comprendre c’est pourquoi je me suis donnée à eux avec autant de plaisir.

Alors je raconte tout à mon voisin en lui posant une question à la fin de mon histoire :

— Comment se fait il que j’ai aimé ça et que je ne me souvienne de rien ?

Lui :

— C’est simple ! Tes petits chéris t’ont fait avaler du GHB, la drogue des violeurs. La fille qui prend ça devient complètement excitée et on peut lui faire n’importe quoi sexuellement et ensuite elle ne se souvient de rien ! Ils auraient pu t’enculer les uns après les autres et tu aurais aimé ça comme tu aimé ça hier avec le gode.

Je pleure encore plus, car je me souviens avoir eu très mal à l’anus en reprenant connaissance. Le voisin passe ma main dans mes cheveux et ne perdant pas le nord il me dit :

— Je suis venu te chercher car j’ai une surprise pour toi.

Je réponds méchamment que « non ». Il n’insiste pas :

— Bon comme tu voudras, mais si tu veux venir plus tard n’hésite pas ! De toute façon on t’attend, car je sais que tu viendras !

Je ne réponds même pas, car s’il y a bien une chose dont je n’ai pas envie après ce qui m’est arrivé, c’est de faire l’amour.

Ca me dégoûte au plus haut point. J’arrête le film sans en avoir vu la suite et m’allonge sur le canapé, épuisée. Je m’endors.

Je me mets à rêver. Dans mon rêve, je suis à la soirée organisée par le serveur du bar qui m’a sauté chez lui. Je sers les convives, complètement nue. Des mains touchent mes fesses et mes seins, sans que je ne dise rien. Je roule des pelles à ceux qui me le demandent et ils sont nombreux. A une table il y a mon voisin. Il désigne du doigt l’estrade de la salle qui est censée servir à des spectacles.

Sur l’estrade il y a sa machine infernale. Je m’y dirige illico et monte sur l’estrade. Je m’installe sur la machine sous les applaudissements, et un gode s’enfonce dans mon cul. Je gémis comme une dingue sous les à-coups de la machine. J’entends ensuite une voix qui me dit :

— Tu aimes te faire enculer salope !

Cette voix est tout près de mon oreille. Je me retourne et je constate que je ne suis pas sur la machine mais à quatre pattes et que la voix que j’entends est celle d’un des arabes qui m’a violée. Et cet arabe, est en train de m’enculer profondément sous les applaudissements du public. Les quatre autres arabes sont derrière lui, la queue à la main, se branlant et attendant leur tour.

Je me réveille en sursaut.

Je me rends compte alors que j’ai mes doigts dans la chatte et que je mouille comme une salope. Mon rêve a été terriblement excitant. Je suis toute troublée d’avoir été excitée par le fait que l’arabe m’enculait. Je me souviens alors ce que mon voisin m’a dit lorsqu’il m’a expliqué ce qu’était le GHB. « Ils auraient pu t’enculer les uns après les autres et comme avec le gode, tu aurais aimé ça ».

C’est à cause de cette phrase que j’ai rêvé tout ça. En fait il y avait tout dans ce rêve. Il y avait tout ce que j’ai envie de faire. Me faire enculer par la machine, me faire enculer par plusieurs arabes, de faire la serveuse à la soirée organisée par le barman. Je l’avais presque oublié celui là et pourtant il est resté dans un coin de mon cerveau.

Ce rêve m’a fait oublier ma tristesse, ma honte, mes pleurs, mon viol.

« De toute façon on t’attend » m’a dit le voisin. Mais qui « ON ».

Alors, je me dirige vers la porte d’entrée, et sans même m’habillée, je marche nue, sans me presser dans les couloirs de l’immeuble au risque d’être prise en flagrant délit d’exhibitionnisme.

J’arrive la porte de mon voisin, elle s’ouvre automatiquement. Je pénètre à l’intérieur de l’appartement, et il y a là 5 hommes dont mon voisin. Parmi ces hommes il y a le vieux beau dont le vieillard de père m’a fait jouir en me touchant les seins l’autre soir.

Ils sont assis tous les 5 sur une chaise. Devant eux, il y a ma machine, ma machine infernale. Je suis comme hypnotisée par elle, alors sans même dire bonjour à qui que se soit, je marche lentement vers la machine et m’installe en levrette dessus sans aucune hésitation.

J’attends que la machine veuille bien se mettre en marche, que le gode s’enfonce dans ma chatte. Etrangement je n’ai pas envie d’avoir le gode dans le cul. Je sens une certaine gêne de me faire enculer devant les 2 hommes que je ne connais pas. Je considère à ce moment là que me faire enculer par la machine me ferait passer pour la pire des salopes. C’est peut être ridicule car de toute façon mon comportement à ce moment présent est celui de la pire des chiennes, mais me faire enculer me gêne.

Evidement, le petit bruit mécanique tant attendu par tout le monde y compris moi se fait entendre, et le gode se colle à ma chatte. Le gode pénètre en moi. Je pousse un gémissement. Le gode se met alors a aller et venir dans mon ventre lentement. Là il se met à vibrer, je pousse de petits gémissements de plaisir. Le gode accélère et je me cambre pour le recevoir encore plus au fond de moi. Le gode va de plus en plus vite, inépuisable, dans un bruit de machine de plus en plus puissant. Il cogne le fond de ma chatte violement. Je suis dans un état de folie. Je connais cette machine et pourtant, de savoir que les 5 hommes me regardent me donner à cet engin me rend dingue. La jouissance monte très vite, mes gémissements se transforment en petits cris. Le gode accélère encore. Je revois alors mes 5 arabes qui m’ont violée. Encore une fois, dans ma tête, la machine se transforme en homme, en arabe. J’avais oublié le gode devant mon visage tellement j’étais concentrée sur le gode dans ma chatte. Je revois alors les images du film. Je me revois alors en train de sucer un arabe pendant que l’autre me prend en levrette. Je tends la tête vers l’avant et gobe le gode. Je me mets à le sucer comme si c’était une vraie bite, une vraie bite d’arabe. Je suis dans un tel état que je suis persuadée que je suis dans ce film et qu’un arabe me tringle pendant que je suce l’autre.

Alors que je suis au bord de la jouissance, le gode sort de ma chatte. Je pousse un soupir de désarroi tout en continuant à sucer mon autre arabe.

Je sens alors le gode contre mon anus. Je me tortille pour l’empêcher de pénétrer en moi. Je sors le gode de ma bouche et cri :

— Non pas par laaaaaaaaaaaaaaaaaa !

Le gode insiste, mais je remue tellement qu’il ne peut pas pénétrer dans mon cul. C’est alors que je vois le vieux beau avec sa chaise à la main. Il la pose devant moi et s’assoit dessus. Il me regarde fixement. Il a des yeux magnifiques, perçants, irrésistibles. Il me fait un effet fou ce mec malgré ces 60 ans.

En le voyant, je suis hypnotisée. Je reprends le gode dans ma bouche et me met à le sucer comme une dingue. Cette fois, ce n’est pas un arabe que je suce, mais cet homme devant moi, qui me regarde fixement. Il a un pouvoir dingue sur moi.

J’entends un bruit mécanique. Le gode se colle à nouveau sur mon anus. J’essaie de le repousser.

— Noonn pas çaaa ! Pas çaaaaa !

Mais ce refus est bien faible. Faible parce que cet homme me rend dingue. Faible, parce que j’ai envie de lui, de me donner à lui, de tout lui donner. Je sais qu’il veut que la machine m’encule.

Je continue :

— Nooonn pas çaaa ! Passs çaaaa !

Son regard se fait plus insistant, plus dominateur. Son regard me rend dingue. Le gode est contre mon anus maintenant et force dessus car malgré mon refus, je ne remue plus du tout des reins pour l’empêcher d’entrer dans mon cul.

J’ai mes yeux dans les siens, son regard de plus en plus enivrant. Son regard semble me dire : « cambre toi et laisse toi sodomiser par la machine devant nous ». Il semble dire « montre nous comme tu es salope ». Il semble dire « je t’ordonne d’être la plus salope des salopes ».

Je continue de sucer le gode et suis complètement impuissante face à sa volonté. Tout en continuant de dire « Nonn pas çaa », je me cambre malgré moi, et le gode a tout le loisir de pénétrer dans mon cul.

Je sens mon anus s’ouvrir. Je ferme alors les yeux et suce le gode de plus belle. Le gode pénètre lentement en moi. Mon anus s’ouvre de plus belle. Je pousse un petit cri. Le gode poursuit son chemin. Il est désormais bien enfoncé en moi. Ce que je ne voulais pas, je n’ai pas pu y résister. Je me fais sodomiser par cette machine devant ces hommes et surtout devant ce vieux beau envoûtant.

Le gode est entré alors entièrement en moi. Je pousse un long cri, car le gode est en train de vibrer au plus profond de moi. Alors la course infernale commence. Le gode, sans cesser de vibrer, se met à aller et venir dans mon cul. Il accélère au fur et à mesure et ça me rend folle. J’oublie tout. J’oublie ces inconnus devant lesquels je me donne en spectacle. Je n’ai qu’une chose dans ma tête, c’est cet homme qui me rend dingue et ce gode qui défonce mon cul à une vitesse folle.

Il y a de nouveau un bruit mécanique, mais je n’y prête presque pas attention. Je sens quelque chose contre ma vulve. J’écarquille les yeux tout en continuant de pousser des petits. Je regarde toujours mon homme qui m’envoute. La chose, n’est autre qu’un 2ème gode. Et là, l’impossible, ce que je n’aurais imaginé se produit. Ce deuxième gode s’enfonce dans ma chatte alors que le premier continue de m’enculer. Je me sens humiliée, soumise, mais ces sentiments me rendent dingues d’envie. Je ne résiste pas une seconde. Je laisse ce gode aller venir dans ma chatte en vibrant pendant que le premier continue de m’enculer de plus en plus fort. Je suis prise par les 2 trous et je pousse des cris fous. Je suis remplie de partout ou presque. Je deviens dingue, ma jouissance est à son comble. J’ai envie d’avoir tous les trous bouchés. Alors j’ouvre la bouche et reprend le gode devant moi dans ma bouche. Ca y est, j’en ai partout, je suis prise de partout. Mon corps est parcouru de spasmes incessant au fur et à mesure que les godes accélèrent et deviennent plus violent.

Je regarde une nouvelle fois l’homme dans les yeux, et j’explose de jouissance. Les godes et son regard me font exploser de plaisir.

Les godes sortent de mes trous, je retire ma bouche du 3ème et m’écroule sur la machine.

Les hommes se lèvent, y compris celui qui me rend dingue. Il me dit :

— Appelle-moi quand tu veux !

Puis ils s’en vont. Je reste avec mon voisin et lui demande :

— Qui c’est ce Monsieur qui s’est assis devant moi ?

Il sourit et me dit :

— Ah tu le trouves irrésistible ! Tu as son nom sur la carte qu’il t’a donné l’autre jour ! C’est un homme très puissant et si tu as besoin de lui, n’hésite pas ! Appelle-le !

Puis il rajoute d’un ton inhabituellement gentil :

— Allez rentre chez toi maintenant ! Tu as l’air épuisée ! Va dormir !

Une nouvelle fois je ne croise personne en allant jusqu’à mon appart. J’obéis à mon voisin, je me couche.

Décidément, je suis complètement décalée par rapport au temps, car lorsque je me réveille, il est 22 heures et il fait déjà nuit.

J’ai faim. Très faim. Je regarde dans le frigo : rien ! Je suis bonne pour aller dans un resto pour manger. Je regarde dans mon sac pour attraper ma carte bancaire, elle n’est plus là. Je cherche mon porte monnaie, il ne reste que 10? à l’intérieur. Les salauds d’arabes ont dus me dépouiller après m’avoir baisé.

C’est alors que saute à mon esprit, le barman qui m’a baisé et proposé d’être serveuse lors d’une soirée « cabaret » pour gagner 500?. Je n’ai pas le choix. Il faut que je retourne dans ce bar, et faire la serveuse dans son fameux cabaret.

Je passe une longue veste et reste nue dessous.

Le bar n’est pas très loin. J’y arrive et m’installe à une table.

Je n’attends pas longtemps. Mon serveur s’approche et prend ma commande. Je suis vexée car il fait comme si j’étais une cliente normale. Je me sens humiliée de m’être donnée aussi facilement à lui l’autre jour. J’ai envie qu’il s’intéresse à moi, et pour cause, j’ai besoin de fric.

Il arrive enfin Je tremble comme une feuille. C’est à moment là qu’une folle excitation m’envahit. Il va me dire quelque chose c’est sûr. Il dépose mon verre et repart vers le bar.

Quel salaud ! Pas un mot ! Pas un regard ! Il m’ignore complètement !

Je me sens con, idiote.

Après avoir fini mon verre, j’attends qu’il passe pour lui demander l’addition. Je le vois, je tends le bras en l’air et dit :

— Je peux avoir l’addition ?

Lui :

— Pas de problème !

Il entre dans le bar. Je suis toute excitée. J’espère que cette fois il fera attention à moi. Je ferais tout pour en tout cas. Je ne sais pas trop quoi, mais je le ferais.

J’entends alors une voix :

— Voici la note Mlle ! Ca fait 2 euros

Je me retourne brusquement et constate ce que je craignais lorsque j’ai attendu cette voix. Ce n’est pas mon serveur, mais un autre.

Je prends 2 euros dans mon sac. Le serveur s’en va avec le fric. Je me lève et je ne sais pas pour quoi, je prends la note qu’il a déposée sur la table. Il n’y a aucun prix dessus. Il y a juste écrit :

— Dans 5 minutes au 23 de cette rue !

Je suis sûre que c’est mon serveur. Je n’hésite pas une seconde. J’ai trop besoin de cet argent. Je passe ma veste. Prend mon sac et me dirige vers le 23 de la rue.

Il y a de la musique sourde qui en sort. On dirait que cet endroit est une boîte de nuit.

J’attends 5 minutes et je vois mon serveur qui arrive. Je me sens toute excitée et une envie folle de lui me prend. Il ouvre la porte. La musique se fait plus présente. Il ne me dit pas un mot, il entre en laissant la porte ouverte pour que je le suive.

Je n’hésite pas, j’obéis. Nous marchons dans un couloir très peu éclairé. Il ouvre une autre porte. Il entre, j’entre.

Le serveur me dit :

— Déshabille-toi ! Il faut que tu te mettes en tenue !

Je deviens rouge de honte car il va falloir que je me mette nue devant lui. Hésitante, je retire ma veste, dévoilant mon corps nu, à la merci du serveur!

Je suis immobile, pétrifiée. Le serveur prend une bobine de ruban jaune. Il passe le ruban autour de mon cou, le fait descendre en le faisant passer sur mes tétons. Le ruban se déroule encore. Les 2 bouts du ruban, arrivent sur mon minou, se croisent et passent entre mes cuisses. Chaque bande de ruban passe de chaque côté de mes grandes lèvres, laissant mon clitoris et mes grandes lèvres à l’air libre. Puis les bouts du ruban remontent dans mon dos. Le serveur attache alors les 2 bouts du ruban au morceau qui passe autour de mon cou. Il tend bien les bouts du ruban, pour qu’ils serrent bien mes seins, et fait un noud.

Moi

— Mais je ne peux pas y aller comme ça !

Lui :

— Non ! tu n’iras pas comme ça ! Ca c’est pour cette nuit! Je viens de me fabriquer un paquet cadeau !

Un paquet cadeau. Quel salaud ! Je suis sûre que tant qu’il ne m’aura pas baisée il ne me donnera pas l’argent ! Mais entre vous et moi, ça ne me dérange pas tellement.

— Maintenant tu vas mettre ta tenue !

Il attrape un cintre dans un casier vestiaire et me la tend.

C’est un boléro noir qui se ferme avec des scratch et une jupe courte noire se fermant des boutons pressions.

La jupe est très étroite ce qui mets en avant la finesse de mon corps. C’est très joli, sexy, mais très convenable.

Je suis rassurée. Le serveur me dit :

— Tourne-toi !

C’est alors que je sens le boléro se serrer, et me compresser le buste. J’entends un léger bruit de craquement, les scratchs sont à bout de force et prêt à lâcher. Il est certain qu’au moindre faux mouvement les scratchs vont se séparer petit à petit.

Pourquoi y a-t-il des lanières derrière ce boléro. Pourquoi m’a t-il saucissonnée ainsi !

Il me dit :

— Allez va dans la salle et prends les commandes !

J’ouvre la porte donnant sur la salle. Celle-ci est très mal éclairée. Tout ce que je peux voir, c’est que cette salle est blindée, et blindée à 95% d’hommes. Une musique lancinante joue. J’aperçois alors qu’il y a une scène et je comprends pourquoi la salle est sombre. Sur cette scène il y a une jeune fille en train de faire un striptease d’enfer, en prenant des positions des plus provocantes.

Je commence à être inquiète, car je suis la seule fille à prendre les commandes. Les autres sont tous des serveurs et se contentent d’apporter les plateaux. Moi je dois me promener dans toute la salle et me contenter de prendre les commandes.

Ce qui me fait peur, c’est que les hommes doivent très excités par le spectacle de la stripteaseuse, qui est inaccessible alors que moi je suis à leur merci.

En passant devant une table je vois un couple un peu spécial. Le mari est en train de toucher la chatte à sa femme. On ne le voit pas vraiment, mais la femme aux yeux a demi fermés et pousse des gémissements.

— Mademoiselle !

Je regarde vers la table d’ou l’on m’a appelé et, munie de mon calepin et de mon stylo, je m’approche de la table.

A cette table, il y a 4 mecs. Ils sont à moitié bourrés. Ca me fait frémir. Ces hommes doivent être de vieux garçons et franchement pas ragoutant.

Ils ont l’air vicieux au possible et laids comme pas possible.

Je m’approche timidement et méfiante de la table.

— Que désirez-vous Messieurs ?

— Pour moi ce sera un whisky !

Dis l’un d’entre eux.

Et je sens une main très haut sur ma cuisse. J’ai un mouvement de recul, et dans la précipitation, j’entends le scratch du boléro craquer.

Mais le pire de tout c’est que j’en échappe mon calepin. Je n’ai pas le choix, il faut que je le ramasse. Je me baisse donc lentement en essayant de ne pas faire de mouvement brusque. Peine perdue, je sens les scratch craquer et se séparer au niveau de la poitrine, créant ainsi un magnifique décolleté.

Je me relève rouge de honte, et les scratch se séparent un peu plus.

L’homme qui a touché ma cuisse, la repose dessus, et là je décide de repartir vers les cuisines sans prendre les commandes.

Une fois arrivée, mon serveur me dit :

— Donne-moi la commande !

Moi :

— Heu j’en ai pas !

Lui en colère :

— Qu’est ce que tu fous là alors ?

Je réponds :

— Il y a un homme qui m’a touché la cuisse et j’aime pas ça, en plus le boléro est trop serré et les scratchs ne tiennent pas !

Lui, franchement en colère et passant derrière moi:

— Écoute-moi bien ! Tu es ici pour bosser et fermer ta gueule ! Si tu n’es pas d’accord tu dégages et tu t’assois sur tes 500 balles ! J’ai pas envie de perdre des clients à cause de toi !

Puis je sens qu’il saisit les lanières derrière mon boléro, et les tends encore un peu plus. Je suis complètement oppressée et les scratchs qui avaient déjà commencé à s’ouvrir, se séparent encore plus presque jusqu’à mon nombril et l’on commence à voir les rubans jaunes qui passent sur mes tétons. J’ai honte. Je suis prête à tout abandonner. Mais, j’ai tellement faim, et je ne sais pas quand Jacques va rentrer, je ne veux pas crever de faim. A part la solution présente, je n’ai aucun moyen d’avoir de l’argent.

Alors, le boléro quasiment ouvert, j’ouvre la porte.

Mon serveur me dit :

— Reviens à la table du mec qui t’a touché la cuisse, excuse toi et prend sa commande sans rechigner ! Si tu ne reviens pas avec sa commande, tu dégages !

Putain, moi qui n’avais jamais bossé jusque là, je suis franchement dégoûté du travail.

L’autre con a tellement serré les lanières, qu’au fur et à mesure que je fais un pas, les scratchs craquent. Si ça continue, le boléro sera complètement ouvert lorsque je vais arriver à la table.

J’arrive à la fameuse table.

— Ah te voilà toi ! Je croyais que tu avais disparu ! Tu ne fais pas bien ton boulot ! Si tu me refais ce coup, on s’en va et vous perdrez 4 clients.

Et je ressens sa main sur ma cuisse, très haut. Je ronge mon frein et essai de me séparer en douceur de sa main en m’écartant de lui, mais le pourri ne l’entend pas de cette oreille. Il me prend par une hanche et me ramène près de lui.

Sa main revient sur ma cuisse et se met à la caresser. Je prends les commandes en notant rapidement et en tremblant sur le carnet. Pendant ce temps, je sens la main passer carrément sous ma jupe et se coller à mes fesses. Je suis rouge de honte et hyper en colère. J’ai une envie folle de foutre une claque à ce vieux porc, mais. j’ai besoin de mes 500 euros.

Ouf ! J’ai noté toutes les commandes ! Toutes ? non ! Il manque celle de celui qui est en train de me toucher les fesses.

Le salaud fait durer le plaisir. Ses mains touchent mes fesses. En plus la jupe est tellement serrée, que 2 boutons pressions viennent de lâcher.

Enfin il me dit :

— Pour moi ce sera une bouteille de champ et j’espère qu’elle sera offerte par la maison, en dédommagement de ton comportement de tout à l’heure.

Je repars vers les cuisines avec une trouille phénoménale de me faire engueuler et foutre à la porte. Quand mon serveur, que je peux désormais appelé le patron, va savoir qu’il doit offrir une bouteille de champagne à cause de moi, il va être fou.

J’ouvre la porte de la cuisine et entre toute penaude. Le patron est là. Il me dit :

— Donne-moi ton carnet !

Il lit à haute voix :

— 3 whiskies et une bouteille de champagne ! Putain génial ! Je suis content de toi ! Tu vois quand tu veux !

Là je flippe. Je vais devoir lui dire que la bouteille de champ, le mec la veut gratuite, et il va falloir que j’explique pourquoi.

Je me lance :

— Heu je suis désolée, mais la bouteille de champagne, ils veulent que vous leur offriez !

Je ne sais pas pourquoi je le vouvoie maintenant alors qu’il y a quelques jours je le tutoyais. Sans doute à cause de son statut de chef.

— Leur offrir ? Pourquoi leur offrir ! Haha ils plaisantaient, je commence à les connaître ceux là, de très bon clients qui adorent rigoler !

Moi, il faut que j’aille au bout des choses :

— Ils menacent de ne plus revenir, parce que je ne me suis pas laissé toucher la première fois !

Je baisse la tête car je sais que la réaction va être violente.

— Connasse ! Je savais bien que tu allais faire des conneries ! Écoute-moi bien ! Tu vas leur amener la bouteille de champagne ! Tu ne les feras pas payer, ni même les whiskies ! Mais je te préviens, la bouteille et les whiskies c’est toi qui va les payer sur ta paye, et tu vas les payer tout court si tu fais une seule petite connerie de plus et que je te foute dehors !

Puis il me prend violement par le bras. Les scratchs du boléro cèdent complètement et les pans s’ouvrent.

— Ne me refais jamais plus ça salope !

Je suis au bord des larmes. L’enfoiré me redit :

— Tourne-toi !

Je me tourne de dos à lui. Le salaud se met alors à serrer les lanières. Je me dis que ça ne sers pas à grands chose puisque les scratchs sont séparés, mais je comprends vite pourquoi il fait ça.

Ainsi serré les pans du boléro sont carrément attachés dans mon dos et je suis torse nu avec juste les bretelles du boléro qui vont de mes épaules à mon dos en passant sous mes aisselles.

Mes seins ne sont plus couverts que par les bandes de 3cm du ruban qui passent sur les auréoles de mes seins sans vraiment les cacher entièrement.

Il va falloir que j’aille comme ça dans la salle. J’ai envie de tout lâcher, de tout abandonner et tant pis pour les 500 euros, je me débrouillerais autrement. Mais le problème, c’est que si je m’en vais, je vais devoir payer les consommations des 4 connards et ça je ne le peux pas.

Je n’ai donc plus du tout le choix.

Le patron appelle un serveur et lui dit :

— Prend 3 whiskies et une bouteille de champ ! Tu vas la suivre, elle va t’emmener jusqu’à la table !

Le serveur me regarde avec des yeux écarquillés. Il est en train de loucher sur mes seins nus et il en bave presque.

J’ouvre la porte de la cuisine. Je respire un grand coup, et j’entre dans la salle. Le serveur est derrière moi. Je suis rouge de honte.

Je ne regarde ni a gauche ni a droite. Je suis raide comme un piquet. Les convives doivent me regarder et baver sur mes seins nus.

J’arrive à la fameuse table. Les mecs sont en train de discuter entre eux. Une fois de plus je respire un grand coup.

Je dis :

— Messieurs ! Le patron vous offre non seulement le champagne, mais aussi les whiskies !

C’est étrange, mais j’ai l’impression qu’il trouve tout à fait naturel que je sois seins nus avec juste les rubans sur mes tétons.

L’autre connard me remet les mains sous la jupe, et fait sauter 2 pressions de plus.

— C’est un mec bien ton patron ! Il sait s’occuper de ses clients !

Puis en insinuant le bout de ses doigts dans la raie de mes fesses, il dit au serveur :

— Posez le plateau sur la table, la demoiselle va nous servir !

Je frémis. Je vais devoir subir les attouchements de ces enculés. Le serveur s’exécute et disparaît.

Je prends la bouteille, alors que l’autre enculé continue faire monter et descendre ses doigts entre mes fesses et je le sers.

Je tremble comme une feuille. Il retire sa main et me dit :

— Allez, va servir les autres maintenant !

Je bouge donc pour aller vers un autre mec et le servir, mais, je sens une retenu au niveau de ma jupe, les boutons pressions sautent, et la jupe tombe sur le sol. L’autre salaud a tenu un pan de ma jupe, et quand j’ai avancé, les pressions ont lâchées.

Je me retrouve donc nue, avec les rubans qui passent sur mes seins et de chaque coté de mes grandes lèvres, laissant ma fente et mon clitoris apparaître.

J’ai une envie folle de partir. Pourtant je continue de servir dans une colère noire, les yeux pleins de larmes. Une fois que j’ai fini, les hommes me laissent partir.

Je suis soulagée. A part l’autre enculé qui m’a touché et enlevé ma jupe, tout s’est bien passé.

Je rejoins la cuisine presque en courant car je suis nue, j’entends une voix féminine :

— Mademoiselle !

Je suis rouge de honte, je me retourne, il y a un couple à la table. Le fameux couple dont l’homme touchait la chatte à sa femme tout à l’heure.

Elle a l’air de s’être remise de ses émotions. Je suis rassurée, car si ils doivent me prendre pour une salope, moi je sais que la femme est aussi salope que moi et le mec un gros vicelard.

La femme doit avoir un 26 ans, brune, maghrébine, très très belle avec de beaux yeux. Le mec lui est brun, les yeux verts, d’une beauté extraordinaire et il doit avoir 10 ans de plus que la femme.

Je m’approche de la table :

— Vous désirez !

La femme :

— Une commande un peu spéciale !

Moi ;

— Laquelle ?

Elle :

— Suivez-moi ! Je vais vous montrer !

Je sens le coup fourré, mais je garde en tête les menaces du patron.

La femme se lève et passe un bras sous le mien, son mari faisant la même chose avec mon autre bras. Nous marchons ainsi bras dessus bras dessous, jusqu’à une porte.

L’homme ouvre la porte et s’esquive pour me laisser entrer.

La pièce est minuscule, et un matelas en occupe une grande partie.

Sur la partie libre, il y a une chaise un mini bar et des verres. Je regarde la pièce et je sens 2 mains sur ma taille. Je comprends que je vais devoir faire l’amour avec l’homme devant sa femme.

Alors je me retourne. A mon grand étonnement, c’est la femme qui a mis les mains sur ma taille. Ses mains vont de mes hanches à mes aisselles tendrement doucement. Son mari passe derrière elle, et je vois la robe de la femme tombée : Elle est nue, entièrement nue devant moi.

Elle est belle, très belle, tellement belle.

Ses mains sont désormais de chaque côté des globes de mes seins. Je sens mes pointes s’allonger, mon corps frémir. Elle est belle, excitante, je me surprends alors à mouiller. Je suis dans un état second, c’est inexplicable. Elle prend mon visage entre ses mains, dépose sa bouche sur la mienne. Je n’ai aucune résistance, j’ouvre lentement les lèvres, elle fait de même, nos langues se rencontrent, et nous nous embrassons tendrement. Elle a porté sa main à mon minou en m’embrassant, et je la laisse me caresser le clitoris avec ses mains expertes.

Jamais je n’ai pris autant de plaisir en me faisant toucher. Elle plie légèrement les genoux et ne pouvant me séparer de sa bouche et de son baiser merveilleux, je la suis. Nous nous retrouvons à genoux sur le lit en ne cessant pas ne nous embrasser, enlacées, ses merveilleux seins contre miens. Puis lentement elle me fait aller en arrière et je me retrouve le dos allongé sur le matelas.

Elle a cessée de m’embrasser. Son visage est dans mon cou et le dévore littéralement. Pendant ce temps ses mains courent sur ma peau. Je respire très fort. Cette douceur est extraordinaire. Jamais mon corps n’avait eu droit à autant de douceur. Sa tête descend lentement. Il est maintenant contre ma poitrine. Elle dépose de doux baiser sur mes globes, en les caressant bien avec sa langue. Puis sa langue glisse jusqu’à mes tétons, avec un doigt, elle écarte le ruban qui passe sur mes tétons, et se met à donner de petits coups de langues sur mes pointes allongées.

Je me mets à gémir doucement, c’est merveilleux. D’autant plus merveilleux qu’avec son autre main, elle a écarté le ruban passant sur mon autre sein et titille le téton avec son pouce et son index.

La première main prend la place de la langue sur mon téton et de la même manière qu’elle excitait le second, elle se met à exciter celui qu’elle léchait.

Sans cesser de donner du plaisir à mes seins, elle laisse glisser sa tête sur mon ventre, toujours en embrassant ma peau, toujours en la caressant et la mouillant avec sa langue. Sa tête descend, descend encore. Sa bouche est sur mon pubis, s’arrête et s’attarde sur cet endroit alors que mes gémissements s’amplifient. Puis enfin, j’ai un sursaut de plaisir, je me cambre sous ce plaisir en poussant un petit cri d’amour. elle vient de poser sa langue sur mon clitoris.

Elle referme ses lèvres autour de mon bouton d’amour et se met à l’aspirer à le sucer, à le titiller avec sa langue. Jamais je n’aurais cru qu’on puisse prendre tant de plaisir en se faisant manger le minou par une femme. Moi c’est la première fois que je me fais manger. Jusque là les hommes me prenaient sans attendre, sans aucun préliminaire et je dois avouer que c’est comme ça que j’aime baiser avec les hommes.

Mais là cette femme me fait gémir. Je me tortille sur le lit en gémissant. Sa langue cours sur ma chair rose, essaie de pénétrer dans ma chatte. Elle lèche ma vulve merveilleusement bien.

Puis, sans cesser de me lécher le minou, elle se déplace sur le lit, jusqu’à ce que nous soyons tête bêche. Elle m’enjambe alors, et son minou est au dessus de ma tête. Je n’ai qu’à tendre la langue et je touche sur merveilleux clitoris rose. Je comprends ce qu’elle veut et étrangement, j’ai très envie de le faire. Je tends alors ma langue et effleure son clitoris. La femme pousse un gémissement et baisse légèrement les fesses. Je tiens alors ses hanches entre mes mains et je me mets à lécher son minou comme une dingue. Je fais exactement ce qu’elle me fait. Le goût de sa cyprine est merveilleux et je prends un pied fou à la manger.

Je vois alors une ombre au dessus de moi. Une ombre qui se déplace. Puis, un frisson terrible parcours mon corps. Un frisson tellement fort que je manque jouir.

Au dessus de mon visage, il y a une magnifique bite, et cette bite, elle se colle sur l’anus de la femme. Je gémis de plus en plus fort. La femme gémit de plus en plus fort. Mon corps frissonne. Je vois le sexe disparaître dans le cul de la femme. Moi je ne peux m’empêcher de lui lécher la chatte de plus belle. Les couilles de l’homme sont sur mon nez et vont et viennent en caressant mon front. J’arrête alors de lécher la femme, j’ouvre la bouche, et je gobe les couilles qui se balancent au dessus de moi. Mais presque aussitôt, je sens une main attraper mon bras. Je comprends alors qu’il faut que je sorte de dessous la femme pour la laisser se faire sodomiser. Je me retire donc et le mari me dit gentiment:

— Il faut la laisser maintenant ! C’est son cadeau d’anniversaire !

Je hoche la tête en signe d’approbation. C’est alors que je vois un 2ème homme s’allonger tant bien que mal sous la femme.

L’homme qui l’encule s’arrête d’aller et venir, et c’est alors que l’incroyable se produit.

La femme se cambre, le sexe du 2ème homme se colle à sa vulve et son sexe pénètre dans sa chatte alors que le premier homme est dans son cul.

La femme est prise par ses 2 trous comme moi je l’ai été avec les godes. Elle pousse des cris de plaisir incroyables. Je l’envie, je suis jalouse, terriblement jalouse. Ca dure au moins 20 minutes. Les hommes alternant entre l’anus et la chatte. La femme est dans tous ses états, elle gémit crie, jouie plusieurs fois. Cette salope se donne à fond. Ses reins sont bien cambrés. Elle est belle, tellement belle. Je suis terriblement excitée et j’ai une envie folle de lui faire l’amour, de la lécher.

Je vois alors les 2 hommes se présenter devant elle en se branlant près de son visage. La salope ouvre la bouche en grand, et reçois des jets de spermes au fond de gorge. Elle rejette ensuite le sperme qui coule sur son menton. Comment une si jolie femme peut être aussi salope.

Les 2 hommes s’en vont. En partant, l’un d’entre eux jette un regard vers moi qui me donne des frissons.

Le mari me dit :

— Elle te plait hein ma Malika !

Moi :

— Oui, elle est très belle !

Lui :

— J’aimerais que tu passes la nuit avec nous, tu veux bien ?

Moi :

— Je ne sais pas, je vais réfléchir !

Je suis un peu fâchée contre eux de m’avoir laissé regarder ce merveilleux spectacle sans que je puisse y participer.

Je quitte la minuscule chambre après avoir rajuster mon ruban, et reviens dans la salle.

Je vais vers la cuisine.

Le patron est furax.

— Espèce de conne ! Je te demande de prendre les commandes et toi tu te barres pendant ½ heure. Les serveurs ont été obligés de tous faire ! Allez, repars dans la salle !

J’obéis et prend mon calepin et mon stylo.

C’est encore les 4 connards qui m’interpellent. J’en ai marre de ces cons qui vont encore me toucher.

Je m’approche de la table. Aussitôt, comme prévu, le salopard de toute à l’heure pose sa main sur mon cul nu, avec juste le ruban qui disparait entre mes fesses.

J’en ai marre, je devrais l’envoyer chier, mais je suis tellement excitée par ce que je viens de vivre, que je n’en ai pas la force.

Le salaud :

— Ah tu ne dis plus rien maintenant !

Je sens alors ses doigts glisser sur mes grandes lèvres, et malgré mon dégoût, lorsque son index touche mon bouton d’amour, je ne peux m’empêcher de gémir doucement. Je suis bien incapable de prendre la commande, car le salaud vient d’enfoncer 2 doigts dans ma chatte, me faisant gémir une seconde fois. J’ai une envie de baiser extraordinaire, et je suis dans un tel état que je ferais l’amour à n’importe qui.

Le salaud enlève sa main de ma chatte. Il écarte sa chaise de la table. Son pantalon est ouvert et son sexe turgescent jaillit de sa braguette. Lui est horrible, mais son sexe est tellement beau qu’il me fait oublier sa laideur.

Il me tire par le bras, me fait passer devant lui. Je me retrouve debout de dos à lui, entre ses jambes. Je n’ai plus qu’à m’asseoir pour m’empaler sur son manche.

Alors, doucement je plie les genoux. Je sens son gland contre ma vulve au bout de quelques secondes. Je m’arrête de m’asseoir, puis, ne pouvant plus me retenir, je m’assois, laissant pénétrer son membre merveilleux dans ma chatte.

L’enfoiré pose ses mains sur mes seins, ses doigts passent sous les rubans, et se mettent à masser mes globes vulgairement. Moi, je pose mes pieds sur les barreaux de la chaise et commence à monter et descendre sur le manche. Je pousse des gémissements pour le plaisir que je prends à m’empaler sur ce manche, mais aussi parce que j’ai ses 3 potes devant moi qui me regardent me baiser moi même sur leur copain.

Je vais et viens de plus en plus vite. J’ai collé mon dos contre son torse, et je tourne la tête pour lui rouler une pelle merveilleuse. Une pelle qu’il ne refuse pas bien au contraire. Il sent l’alcool, sa langue fouille ma bouche vulgairement et ça me rend dingue de plaisir. Lorsque je retire ma bouche de la sienne, je vois Malika qui me regarde en souriant avec un air d’envie.

Elle s’approche de moi lentement. Moi je me mets à pousser des petits cris de plaisir. Elle se penche vers moi, sa bouche se colle à la mienne et elle me roule une longue pelle merveilleuse. Puis elle se redresse et s’assoit sur la table devant moi. Elle écarte ses cuisses relève sa jupe et sa petite chatte épilée apparaît. Je n’ai qu’à me redresser un peu, qu’à me pencher un peu en avant et ma tête est entre ses cuisses.

Je me redresse tout en continuant sur me donner sur la bite du salaud, je me penche en avant. Mon visage est à quelques cm de sa chatte et je sens déjà l’odeur de sa liqueur d’amour. Je ne peux plus me retenir, j’approche ma tête encore plus près, je tends la langue, et elle se colle sur son clitoris. Malika a un sursaut de plaisir. Je suis tellement excitée, tellement proche de la jouissance, que je dévore son minou comme une dingue. Sa cyprine coule dans ma bouche, c’est bon c’est délicieux. En même temps je me démène sur le salaud en tournant des reins. Ca le rend dingue ce salaud. Malika toujours les cuisses écartées et avec ma bouche sur sa chatte me susurre gémissant :

— J’ai envie que tu te fasses sodomiser !

Moi :

— Non pas maintenant !

Malika qui a de plus en plus de mal a parlé :

— Pourquoi !

Et moi de tout sortir :

— Je veux que ce soit un arabe qui m’encule le premier !

J’ai dis ça, oubliant qu’elle aussi est arabe et que j’aurais plutôt du dire « magrébin ». Mais au lieu de s’offusquer, Malika pour un cri de plaisir et jouie comme une dingue. Le fruit de sa jouissance coule dans ma bouche et un frisson de jouissance parcours mon corps. Je donne alors 2 ou 3 coups de reins et le salaud pousse un cri :

— Aaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh ! Saaaaaaaaaaloooooooooooooooppppppppppe !

Son sperme inonde ma chatte et je jouis comme une dingue en m’agrippant aux hanches de Malika.

Au bout de quelques secondes de récupération, nous nous séparons tous les 3. Je me lève et regarde le salaud d’un air dédaigneux en le toisant :

— Alors ? satisfait ?

Le connard ne répond même pas. Il est abasourdi par mon aplomb.

Malika sourit et me prend par la taille. En déposant un baiser sur mes lèvres, elle me dit :

— Tu viens avec nous ?

Moi, je ne peux pas résister et dit :

— Oui !

Toute la nuit m’a dit son mec. Je vais faire l’amour toute la nuit avec Malika et sans doute aussi son mec.

Elle me dit :

— Partons de suite !

Moi :

— Mais je n’ai pas fini mon service et le patron doit me donner 500 euros, j’en ai besoin, j’ai plus rien pour manger !

— T’occupes pas des 500 euros, on s’arrangera ! Partons de suite ! J’ai trop envie de toi !

— Oui mais il faut que je récupère ma robe, c’est un cadeau !

— Tu la récup

Related posts

Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie – Chapitre 5

historiesexe

Un jour de chaleur – Chapitre 1

historiesexe

Des vacances bien remplies. – Chapitre 4

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .