(Suite)

Ma vie nest plus 2

Les vacances passèrent à une vitesse hallucinante. Je métais promis que ce ne serait quune histoire sans lendemain, une histoire de cul sans attaches, sans relation, sans regrets ni remords.

Dès mon retour à Paris tout redeviendra comme avant, joublierai Laureen et je reprendrais mon train-train quotidien auprès dAlice.

Deux jours avant mon retour nous avons loué un bateau avec Laureen pour nous balader en mer.

Elle se chargea de négocier avec le loueur pendant que je lattendais assis à lextérieur.

Jentendais des rires provenant de lintérieur de la baraque. A y voir de plus près elle savait vraiment comment y faire avec les hommes. Main négligemment posée sur un avant-bras, pose lancinante, regard de braise.le loueur ne faisait pas le poids.

5 minutes plus tard cest avec les clés et un sourire rayonnant quelle arrivait « on a la journée pour le prix dune demie » dit-elle en me sautant autour du cou.

Nous partîmes parcourir locéan atlantique.

Cétait magnifique, calme. Une étendue deau à perte de vue, un soleil de plomb.

Néanmoins un bourdonnement semblable a un bruis sourd de basses se faisait entendre par moment.

Apres un petit ¼ dheure de recherche il savéra quil sagissait dun yacht doù émanait une musique forte et assourdissante.

Nous nous dirigions vers ce navire plus par curiosité que dans lintention dy accoster.

Plus nous nous approchions, plus limage se faisait claire. Le bateau était assez imposant. Il faisait bien 15 mètres de long. Il semblait y avoir pas mal de monde.

En nous approchant plus prêt, une personne semblant être le capitaine ou du moins le propriétaire du bateau entouré de ¾ filles.

Un homme de 35 ans, bronzé, vêtu dun maillot bleu et dune chemise blanche en lin.

« Êtes-vous perdu nous demanda-t-il ? »

« Pas du tout. » Répondis-je en remarquant les filles superbes lentourant.

« Vous voulez nous joindre à nous ? » nous proposa til en sadressant directement à Laureen.

« Je pense que nous devons y aller nous avons prévu de » « Avec grand plaisir. » me coupa-t-elle.

Je lui jetais un rapide coup dil en lui chuchotant « mais quest-ce que tu fais, on les connaît pas ces gens, on ne sait pas ce qui nous attend ». « Arrête de faire ta mijaurée, on va bien samuser, musique, alcool.sil te plaisssssss » me fit elle avec une moue à laquelle je ne pouvais pas résister.

« Bon ok allons y ».

Le capitaine tendit sa main pour aider Laureen à monter et fit de même pour moi.

Le ponton était assez animé, une trentaine de personne vêtus de maillots de bains, dansaient au rythme dune musique assourdissante.

Le capitaine fit les présentations, tous les yeux étaient rivés sur Laureen malgré la présence dautres filles plutôt dénudées. Sa bouche dange, son joli visage et son cul bien ferme faisait des ravages auprès de la gent masculine.

Apres avoir fait le tour du propriétaire le capitaine nous laissa pour rejoindre ses autres convives.

Il savéra quil sagissait dun riche homme daffaire possédant un fond dinvestissement suisseune grosse pointure dans le monde de la finance.

Sa fête était extraordinaire, sans Laureen je naurais probablement jamais pu y assister.

Les verres dalcools passèrent et nous étions de plus en plus déjantés. Au milieu de la poste de danse nous dansions lun contre lautre entourés par les autres invités. Nos bouches ne cessaient de se chercher lune et lautre. Nos langues dansaient elles aussi collées lune contre lautre.

Mon état saggrava rapidement. La chaleur écrasante accentuait leffet de lalcool et jétais en mode pilote automatique. Mes mouvements se faisaient de plus en plus maladroits et javais de plus en plus de mal à danser. Laureen nétait pas mieux non plus.

Je réalisais à cet instant que cette fille me rendait dingue. La voir danser contre moi, son cul se frottant à mon sexe, son déhanché, la courbe de ses reins, tout me rendait fou chez elle.

Je lui susurrais à loreille que javais besoin de me rafraichir à lintérieur du bateau.

Nous nous dirigions vers lintérieur du bateau qui était climatisé. Cest elle qui me guida en mattrapant par la main.

Arrivé à lentrée cest la capitaine du bateau qui nous ouvrit la porte.

Il nous invita à nous installer sur un canapé dangle toujours entouré par ses 4 femmes.

Je tentais de tenir la discussion mais cela savéra plus compliqué que prévu, ma tête tournait, ma vision se floutait . Je sentais à peine mes lèvres et javais énormément de mal à me concentrer.

Laureen quant à elle sesclaffait et papotait sans interruption. Je cru comprendre que la discussion virait vers un sujet plus coquin « Matéplusieurs femmes..exhibition »Voilà les bribes de discussions qui marrivaient.

Au bout de plusieurs minutes je sentais que la discussion prenait fin et que Laureen me tirait hors du canapé pour me guider vers un autre endroit. Une chambre, avec un lit gigantesque.

Je fus projeté dessus.

Avant même que je ne puisse saisir ce qui marrivait sa bouche vint se coller contre la mienne.

Sa langue fouilla ma bouche avec vigueur, elle avait lair dêtre dans le même état que moi.

Mes sensations étaient décuplées à cause de lalcool.

Je bandais déjà fort et dur. Notre embrassade était enflammée. Dun coup elle se mit au niveau de mon entrejambe et entrepris de baisser mon maillot. Ma bite jaillit hors de son fourreau à une vitesse impressionnante. Elle la prit entre son poing serré et se lécha les lèvres.

Sa langue passa sur mon gland « ohhhh putain.. » quelle sensation incroyable. Les sensations étaient décuplées, elle entourait mon gland avec sa lange tout en sévertuant à me masser la hampe.

Puis elle fit glisser cette ci le long de mon manche. Elle la dévorait comme on dévore une glace.

Jétais dans un autre monde. Je me mordais le biceps pour mempêcher de crier.

Elle cracha sur ma pine pour permettre à sa main de glisser le long de celle-ci.

Sa bouche sempara de mon manche quelle sappliqua à enfoncer le plus loin au fond de sa gorge.

Lalcool me libéra de ma timidité et de mes inhibitions.

Je lui attrapais les cheveux et les tenais en queue de cheval afin davoir une vue imprenable sur cette vision de rêve. Ses lèvres se déformaient à chaque fois quelle sortait ma bite de sa bouche. Sa main continuait ses vas et viens le long de mon chibre. Elle me jeta un regard pendant quelle continuait de me branler. Sa main gauche caressait mes couilles.

La bouche à moitié ouverte je sentais que la jouissance commençait à monter.

« Taime ça que je te branle en te regardant.dis le moi que taime ça ».

Je me surpris à lui répondre « jadore que tu sois ma petite pute.que tu me suces comme une petite salope »

Alors que je me relevais pour lembrasser, je remarquais que derrière Laureen était installé une personne que je navais pas distinguée plus tôt. LE capitaine nous observait depuis le début de cette pipe de rêve. Il était confortablement installé sur un fauteuil, le cul de Laureen en face de lui.

Jeu un mouvement de recul et lui demandait « mais bordel quest-ce que vous foutez la »

Laureen avait interrompu sa pipe mais ne semblait pas choqué de le voir là.

« Ne vous inquiétez pas mon jeune ami, je ne suis là que pour mater, voyez-vous largent ma rendu puissant, mais la puissance ne ma apporté que de la frustration. Jai pu avoir toute les femmes que je voulais mais aujourdhui je veux voir celle que je ne peux pas avoir. Cest ce qui mexcite. Et votre copine la, ne veut que de vous »

Elle ne voulait que de moi me dis-je.

« Elle a gracieusement accepté de se donner à vous devant moi, rien de méchant, juste du plaisir en face de lhomme qui vous a généreusement invité sur son bateau »

Laureen sapprocha de moi et me chuchota à loreille « Cest toi que je veux, et toi seul, et je veux que tout le monde le sache, que ce type-là se dise que jamais il ne me touchera comme tu le fais »

Je sentis un pincement au fond de moi. Cétait moi et moi seul.

Elle reprit ses caresses sur ma queue avant que je ne puisse clore la discussion.

Le suisse senfonça dans son fauteuil avec une légère bosse au niveau de sa braguette.

Il ne me fallut pas longtemps pour reprendre de la vigueur, elle savait y faire cette chienne, sa main faisait preuve dune parfaite maitrise de lengin, ni trop fort, ni pas assez. La pression et la vitesse étaient parfaites.

Je mallongeais sur le dos pour profiter à nouveau de cette fellation hors normes sous les regards dun pervers pété de thune.

Elle enfourna à nouveau ma bite au fond de sa gorge avec un bruit de succion très prononcé.

Je savais que cétait destiné à notre spectateur.

Elle me demanda de me retourner afin de positionner ma tête au niveau du bas du lit.

Elle se mit à califourchon au niveau de mon visage et me présenta sa chatte.

La cyprine la rendait luisante. Elle avait ôté le haut de son maillot et avait placé sa jambe en équerre de telle sorte que le capitaine avait une vue imprenable sur ce qui était en train de se passer.

Elle posa sa moule su ma bouche masphyxiant presque.

Je la lui gobais. Un poussa un gémissement de plaisir. Elle leva légèrement son bassin afin de laisser ma langue travailler.

Je lui parcourais la fente de long en large, davant en arrière. Ma langue fouilla son intimité.

Ma main droite remontait sur sa poitrine pour lui pétrir un sein. Je le martyrisais, le pinçait sans ménagement.

Des petits sons incontrôlés sortaient de sa bouche. Elle avait du mal à retenir un orgasme naissant.

Ma main droite remontait vers son cul. Sans ménagement je lui introduisis un doigt dans le cul profondément. Le résultat ne se fit pas attendre. « Plus fort va y .plus fort oui.oui »

Elle était à la limite de la jouissance. Ma langue accéléra la cadence pendant que mon doigt fut rejoint par un second. Son cul se contracta autours de mes doigts et elle se cabra en arrière.

Dans un long râle puissant je finissais de la faire jouir avec mes doigts et ma langue.

A moitié allongé elle reprenait son souffle.

« Encore. »

Ce son venait de derrière nous.

Le capitaine avait été rejoint par une de ses bimbos.

« Je veux te voir la défoncer comme une chienne » me dit-il

Laureen ne se fit pas prier.

Elle se leva de notre position et se dirigea vers le capitaine. Elle se positionne devant lui en posant ses mains sur les accoudoirs de son fauteuil. Le cul tendu vers moi elle se retourna et me dit avec un air salace « vient menculer que ce salaud puisse voir à quel point tu me fais jouir »

Je ne savais pas si cétait lalcool qui parlait ou si cétait son état normal.

A vrai dire je men foutais, jétais excité comme un fou, être observé à baiser Laureen me mettait dans un état dexcitation hors du commun.

Je me dirigeais vers elle mais alors que je positionnais ma bite à lentrée de son cul, la main de la bimbo vint se poser sur la bosse du capitaine. Je crachais sur son cul pour faciliter la pénétration.

Ma bite entra comme dans du beurre, elle mouillait du cul cette salope. Jentrais mon membre centimètre par centimètre au fond de son cul brulant.

La bimbo avait sorti la bite du capitaine hors de son short. Elle branlait sa bite en réaction.

Laureen poussait des petits cris à chacun de mes coups de boutoirs. Le capitaine la regardait fixement comme pour faire croire que cétait elle qui le branlait.

Jenculais Laureen de plus en plus fort. Elle faisait en sorte dêtre au plus près du capitaine pour quil puisse sentir son souffle chaud et alcoolisé à chacun de mes coups de pieux.

Ma bite la ramonait de fond en comble, je maintenais un rythme constant.

Ma main droite sapprocha de son clitoris. Elle rencontra celle de la bimbo qui mavait précédé. Elle caressait la chatte de ma partenaire et la bite du capitaine.

Jen profitais pour introduire 3 doigts dans son petit minou

Je la ramonais avec ma main droite pendant que ma bite lui défonçait le cul.

Je sentais poindre la jouissance.

Ma bite était compressée dans son conduit. Ma main rendait le tout encore plus étroit.

Je la sentais haleter et je savais que sous peu elle me dirait « je viens.. »

Je nen pouvais plus. La bimbo avait quitté la chatte de Laureen pour sucer la capitaine. Il avait la tête en arrière et semblait lui aussi au bord de lextase.

La vue de cette scène me débloqua.

Dans un concert de gémissement je joui dans le cul de ma partenaire alors que le capitaine éjaculais sous la langue de la bimbo. Un des jets atterrit sur la commissure des lèvres de Laureen.

Elle se les lécha avec délectations en regardant le capitaine au fond des yeux.

La bimbo branlait le capitaine avec vigueur pendant que moi je finissais de juter au fond de ses entrailles.

Javais les jambes tremblantes et Laureen les joues écarlates.

Il nous adressa un « merci » avec un air contenté.

Nous nous séparions les uns des autres afin de nous rhabiller

« Je vais demander à un de mes gars de vous ramener, vous nêtes pas en état de conduire ».

« Merci » lui dit je.

30 minutes plus tard nous étions arrivés.

Le type sétait occupé de rendre le bateau pour nous et nous lui avions dit merci pour le déplacement.

Alors que nous nous dirigions vers lhôtel elle accéléra le pas et se mis face a moi.

Je marrêtais.

Elle était là, magnifique, bronzée, extraordinairement belle. Et dans un moment dinsouciance, je prononçais les 2 mots dévastateurs .. « Je taime. »

A SUIVRE

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