Chapitre 3 : Le bain de Marylou
Encore dans mon trip je dis spontanément :
— Tu veux que je te prépare ton bain ?
— OK je vais me déshabiller dans ma chambre.
Dans la salle de bain, entrain de faire couler leau, je mimagine déjà la voir nue dans la baignoire et de lui laver sa petite chatte avant que Chantale rentre à la maison. Une odeur de sexe dune ado qui traine dans lair et sest lenfer !
Quelques minutes plus tard, le bain est prêt et jappelle Marylou. Sans aucune gêne, ma nièce arrive toute nue et monte dans la baignoire.
— tu veux que je te fasse un shampooing ?
— oh oui tonton, jai transpiré de la tête, ça me fera du bien
Après le rinçage je regarde vicieusement le corps de ma jolie nièce. Mon dieu quelle est belle ! Ça me ramène 20 ans en arrière quand jadmirais ma jeune belle sur.
On dirait son clone mais avec une beauté rayonnante. Sa peau de pèche est magnétique et attire le mâle que je suis. Sa poitrine est un peu plus ronde que celle de sa mère et plus bas sa petite chatte, maintenant fermée, avec des poils châtain clair, probablement épilée car on dirait une chatte de petite fille.
Cette beauté juvénile fait monter ma tension et surtout ma bite qui pointe le bout de son nez et comme elle est au même niveau que les yeux de Marylou, elle ne peut manquer de la voir. Elle rie quand le renflement prend de lampleur et tend sa main pour la caresser.
— Marylou ! Dis-je sévèrement. Tu as promis de bien te comporter !
— Pas exactement répond Marylou, et avec beaucoup de dignité elle ajoute :
— J’ai promis de ne rien dire à personne pour ce que nous avons fait. Mais je nai pas promis que nous ne le fassions pas de nouveau !
Je ne peux nier la vérité de ce qu’elle vient de dire, et alors que je pense à ma réponse la main de Marylou tire vers le bas mon jogging et laisse ma bite sortir comme un ressort.
Déplaçant son visage vers elle, elle rie et levant les yeux elle vers moi:
— Dis donc petit cochon de tonton, ta bite sent le con de jeune fille!
Malgré moi jaime lentendre utiliser des mots grossiers comme ça, et je me rends compte que la vision de films pornos lui à appris le langage cru utilisé souvent par les acteurs. Pendant que ma pensée décode le comportement de cette vilaine fille elle sest encore rapproché de moi et aspire la tête de ma bite dans sa bouche.
— Doux Jésus… Oh dieu…que cest bon…!
Sa technique nest pas tres évoluée, mais elle y met tout son cur à la façon daspirer bruyamment ma queue et balançant sa tête rapidement, elle imite ce qu’elle a vu dans les films pornos.
Pendant quelle me pompe ma bite, une de ses mains descend plus bas et sempare de mes couilles en les pressant tendrement. Parfois, une dent accroche la chair sensible, me faisant légèrement mal et jappuie avec la paume de ma main sur l’arrière de sa tête pour ralentir sa cadence.
— Doucement mon bébé damour, voila, comme ça, lentement et assure-toi que tes petites dents ne touche pas ta sucette. Il te suffit d’utiliser juste tes lèvres et ta langue et tu suce.
Elle recul son visage avec un plop et de la salive sécoule sur les coins de sa bouche et goutte sur sa belle poitrine. Sa main n’a pas lâché mes couilles et elle sourit en me regardant et me demande,
— Alors pourquoi on appelle ça une pipe si je ne peux que sucer. Mon grand-père il mordille sa pipe lui !
— Là tu me la coupe ! Je nen sais rien !
Et remettant ma bite bien tendue dans sa bouche, je lui dis :
— mais… suce et tait toi!
Mon amour de nièce fait du mieux qu’elle peut, lèche et suce mon sexe et je pense qu’elle va probablement me faire jouir si elle le garde assez longtemps en bouche. Cependant d’autres idées en tête car jai encore envie de revenir dans sa jeune chatte serrée et chaude.
Tirant doucement ma bite de sa bouche, je la regarde et dit:
— Loulou, ma petite salope, jai encore envie de te baiser.
Souriant avec bonheur, ma nièce sort rapidement du bain
avec l’eau qui dégouline en cascade sur sa peau et dit :
— Okay. Tu me sèche et on va dans ta chambre à coucher !
Mes yeux parcoure sa peau dange et s’attarde sur son trou à foutre qui comme par magie commence à sentrouvrir et je grogne,
– Pas du tout, bébé. Ici ce sera très bien.
je la prend dans mes bras et immédiatement, elle enroule ses bras autour de mon cou et ses jambes autour de sa taille. C’est exactement la même position qu’elle a eu quand elle ma dit bonjours à mon arrivé. Mais cette fois je nai aucune réserve à soutenir son cul à deux mains et à mettre mes doigts dans sa chatte et égalent dans son trou du cul étroitement fermé.
Elle gémit à se contact et ferme les yeux quand, baissant légèrement mes hanches je place ma queue à l’entrée de son con. Comme elle est toujours humide avec son jus, je réussi à la pénétrer beaucoup plus facilement que sur le canapé du salon.
Marylou pousse quand même un petit cri, mélange de douleur et de plaisir, mais je ny prête aucune attention et faisant quelques pas en avant je la pousse contre le mur. L’eau sur son corps ruissèle et mon jogging est trempé, mais je men moque tellement je suis occupé à la pénétrer à fond.
Je prend ses fesses humides et glissantes a pleines mains et je commence à la baiser en projetant son dos contre le mur à chaque poussée. Je la baise tellement fort qu’elle ne peut pas garder ses jambes enroulés autour de ma taille et elle les écarte comme si elle faisait le grand écart. Abaissant ma bouche sur la sienne, je l’embrasse sauvagement, écartant ses lèvres je fouille sa bouche avec ma langue le plus profondément à lintérieur.
Ma nièce répond avec enthousiasme et elle gémie et râle sous les coups de boutoir de ma queue qui pilonne sa jeune chatte qui na surement pas vu le loup souvent. Elle se sent surement baisée comme jamais elle ne laurait imaginé tellement je la prends violemment.
Je suis content davoir déjà baisé cette salope de nièce quelque temps auparavant car jai envie que cette baise dure un peu plus longtemps. Je sens bien mon gros pénis qui la pilonne comme un marteau piqueur et je savoure encore plus mon grand plaisir de baiser une petite chatte si étroite qui était surement vierge il y a peu de temps.
Marylou participe avec joie à cette baise, mais elle est impuissante à prendre une part active. Le carrelage de la salle de bain est, dans un premier temps, froid sur son dos nu mais maintenant il se réchauffe et elle est coincée entre le mur et mon corps en rut. Son petit clitoris dur il est continuellement stimulé par le frottement de ma grosse queue et je sens quelle va bientôt jouir de nouveau.
Elle a surement déjà eu de nombreux orgasmes avant dans sa jeune vie, mais rien de comparable à ce que sa chatte subit maintenant, pleine dune vraie et grosse bite qui va et vient dans son con avec une puissance quelle na probablement jamais connu. Elle a une montée d’adrénaline qui vient de son ventre, entre ses cuisses et elle tourne sa langue dans ma bouche pour bien sentir la mienne.
Je pense quelle se maitrise parfaitement quand elle joue elle-même avec son corps. Elle doit pouvoir se masturber longtemps, juste pour se sentir bien, mais jai déjà remarqué deux endroits particuliers qui très vite la font jouir. L’un est son clitoris quand il devient un peu dur et l’autre cest lintérieur de sa chatte au dessus de son trou à pisse.
Avec ma queue et mon gland qui frotte très souvent sur son clitoris, elle ne va pas tarder à atteindre son point culminant, et l’intensité du frottement de ma bite dans sa chatte augmente la pression sur ses points sensibles. Tout son corps frémit et elle est au bord dun orgasme dune telle intensité que sa jouissance naissante est devenue presque insupportable. Chaque tendon et nerf sont tendus comme les cordes d’un instrument de musique et ses narines évasées battent la cadence sous sa respiration saccadée.
Tout à coup, son orgasme explose à l’intérieur de sa chatte. Son corps se raidit au point qu’elle ne peut pas crier et une vague indescriptible de pur bonheur traverse son corps de jeune fille. Elle frémit et elle est bouleversée de cette baise rapide et sans préavis.
je sens tout ça et sais quelle apprécie car sa chatte écrase ma bite par des spasmes continus et mes couilles sont arrosées par sa chaude cyprine qui dégouline de son trou dilaté.
Marylou arrive finalement à se détendre et reprendre sa respiration. Elle sexprime maintenant par des cris pendant que je maintiens sa jouissance en continuant de la labourer à fond.
— Ouuuuiiiiiiiiii…….. Aaaaaaaahhhhhhh…..
Sa tête bat de droite à gauche et les yeux fermés elle attend courageusement le moment ou elle sentira mon sperme chaud jaillir de ma queue.
Je sais que je ne peux retarder ma propre jouissance beaucoup plus longtemps et pourtant je serre les dents !
Mais je ne peux plus me retenir et je lâche tout mon foutre dans le sexe brulant de mon amour de nièce pendant quelle orgasme de nouveau.
Je la garde plusieurs minutes contre moi mon phallus palpitant dans sa chatte merveilleusement baisée et puis je la laisse tombée sur le sol avec un bruit de bouchon qui saute quand ma bite sort de son vagin.
Marylou à ses jambes qui flageoles et je dois la soutenir pour quelle se remette dans la baignoire. Elle narrête pas de métreindre pendant que je savonne son corps et efface toutes traces de sueur, de sperme et de cyprine sur elle.
Jai vicieusement accordé une attention particulière à laver son trou damour et je massure en la rinçant minutieusement quaucune trace de foutre napparaisse.
Je ne peux faire quoi que ce soit sur les ecchymoses autour de sa chatte maltraité, mais je ne veux surtout pas que sa mère sente ou trouve des traces de sperme.
Une fois séchée je lui dis :
— Tu feras attention que ta maman ne voit pas ta petite chatte comme ça, mon bébé damour. Sinon elle saura que tu tes fait baiser sauvagement !
— C’est bon oncle Dany, je vais essayer… mais je ne peux pas tassurer qu’elle ne me voit pas nue, mais si elle le fait, je vais lui dire que je jai joué un peu fort avec son gode ! Elle sait que je le fais souvent !
Un peu estomaqué par cette révélation, je stock dans ma tête cet élément pour l’avenir, mais il y a plus urgent à faire.
Il était déjà un 9:45, et Chantale peut arriver dans quelques instants ! Un frénétique nettoyage me prend quelques minutes et quand Chantale ouvre la porte, Marylou est dans son lit et moi dans le salon à lire un journal.
Elle sexcuse darriver si tard, mais je lassure que Marylou ne ma posé aucun problème et quelle est bien sagement dans son lit.
Je suis néanmoins un peu inquiet lorsque Chantale va dans la chambre de sa fille pour lui dire bonne nuit et quelles passent un long moment à parler. Quand elle est de retour en bas, elle est tout sourire et me remercie à nouveau davoir pris soin de sa petite fille.
Je pense alors que les mamans ne voient pas grandir leurs enfants !