Chapitre 29 – La nouvelle génération
Je n’ai pas besoin de voir les regards obliques ou discrets des autres convives dans le restaurant pour me dire que je partage une table avec la femme la plus sexy et la plus belle de l’établissement. J’ai connu cette femme toute ma vie et ce n’est pas parce que c’est ma mère que quelqu’un me dissuadera d’avoir des désirs lubriques pour elle. La vérité est toute simple, j’ai toujours aimé ma mère plus que quiconque et surtout depuis ma puberté ou mon amour a pris différentes facettes. Je n’aime pas seulement Maman, je l’aime passionnément et je désir ma mère.
Maman rayonne par l’intense sexualité qu’elle dégage et il ne serait pas étonnant qu’en la regardant longtemps on devienne aveugle.
Heureusement pour moi, au lieu d’être frappé de cécité, sa beauté ne fait qu’augmenter mon désir pour elle. Mon cur bat sauvagement quand je la regarde, assise en face de moi, jouant avec son collier, ses yeux verts brillants semblant scruter mon âme tout en me souriant presque timidement.
Pour notre soirée, maman a choisi une robe noire bustier avec un décolleté plongeant qui laisse voir une grande partie de sa grosse poitrine. Ses seins lourds sont encore fermes et bien plantés entre ses belles épaules. Après avoir gardé long ses cheveux noirs, maman a fait récemment couper ses cheveux. Elle me rappelle l’actrice Demi Moore dans "Ghost". Hors de ma vue, sous la table, mais néanmoins dans mon esprit, le bas de sa robe courte doit être remonté sur ses cuisses dévoilant ses longues jambes mise en valeur par des escarpins à haut talons.
Maman est une bombe sexuelle, voluptueuse dans sa robe un peu juste pour elle et je suis ravi qu’elle ait choisi celle-ci pour ce soir… pour un dîner intime avec son fils.
Maman me sourit puis elle me dit doucement avec son mélodieux accent du Tennessee.
— Tu es terriblement calme ce soir, mon cur, 1 Dollar pour tes pensées…
Je hausse des épaules, comme mon père le fait souvent, et je lui réponds.
— je suis toujours étonné et songeur quand je suis attablé en face d’une si belle femme, ma maman. Je réalise que je suis un homme qui a beaucoup de chance.
Maman rougit légèrement et me dit.
— Eh bien, je te remercie, Tommy… tu es un charmeur, tout comme ton papa.
Il m’est difficile de l’affirmer dans la pénombre du restaurant italien, mais il me semble que la rougeur des joues de maman se propage vers le bas, sur son cou et sa poitrine exposée. Je perçois même un léger tremblement de ses seins comme si elle respirait plus vite.
-Tu sais mon fils… tu pourrais m’appeler Martine maintenant. Tu as eu tes dix-huit ans… nous sommes deux adultes.
En disant ces derniers mots Maman me regarde avec un regard profond.
Je hoche de la tête et je lui réponds.
— Martine… oui…Je suppose que je pourrais m’y habituer, mais… même quand je t’appelle comme ça, j’ai maman en tête… peut-importe comment je t’appelle…tu seras toujours maman pour moi.
Cela semble plaire à ma mère et elle me dit.
— Je sais mon grand…tu as ma bénédiction pour m’appeler Martine quand tu veux, mais j’aime t’entendre me dire Maman et en vérité, mon cur…J’aime la façon dont tu le dis…Dis-le moi toujours mon chéri.
Elle me prend la main et elle la serre doucement.
— Comme on se dit tout mon fils, je pense qu’il y a un sujet que nous devons aborder…n’est-ce pas ?
— Oui
Répondis-je dans un murmure, ma bouche soudainement sèche et mon cur qui bat plus vite.
Maman me sourit et me dit:
— Eh bien, mon grand garçon à dix-huit ans maintenant… Tu es loin d’être un idiot…Tu sais ce que je fais avec ton père et maman-Sabine. Comment c’était avec maman-Lilly et maman-Sabine… et ton père et moi. Au fil des ans nous avons parlé à plusieurs reprises de ce qui pourrait arriver lorsque tu deviendrais un homme mon fils. Tu ne m’as jamais posé des questions sur toutes les possibilités qui pourraient arriver, mais je sais que tu as des sentiments pour moi… des sentiments au-delà de ce qui est traditionnel entre une mère et son fils.
Le visage de ma mère est définitivement enflammé maintenant… pour une femme sexuellement libérée, je suis presque étonné que maman semble si gênée. Penchée vers moi, ses doigts si étroitement enroulés autour des miens à m’en faire mal, elle continue.
— Quand… quand tu m’as invité à dîner… comme pour un rendez-vous…j’ai su que finalement… le moment était venu. Tu as dix-huit ans, Tommy. Tu es un homme maintenant. Toi et moi…on peut enfin en parler…
Je souris et en la regardant amoureusement je lui demande.
-Parler de quoi, maman,
Maman à un sursaut et un petit rire avant de répondre.
— Ne joue pas avec moi, Thomas Hamilton ! Nous parlons de nous deux. De devenir amants!
Les yeux verts émeraude de maman étincellent, reflétant une passion charnelle que je ne n’ai discernée que lorsqu’elle regarde papa et maman-Sabine et dans mon lointain souvenir, Maman-Lilly.
Je secoue ma tête lentement et dit.
— Non, maman… Je ne suis pas ici pour parler de devenir amants.
Les yeux de maman s’éteignent et elle a le souffle coupé. Je sens ses doigts se desserrer des miens et elle commence à se reculer sur son fauteuil, mais je la retiens de ma main quand elle me répond d’une voix très calme et fâchée.
— Tu… Tommy, tu n’as pas envie d’être mon amant ?
Sans lâcher sa main, je me glisse hors de ma chaise et je tombe à côté d’elle en mettant un genou par terre. De ma main libre, je sors une petite boîte, fais sauter le couvercle et je lui réponds.
— Je ne veux pas être juste ton amant, Maman. Je veux t’épouser.
J’embrasse la main de ma mère avant de lui tendre la bague de fiançailles et je lui fais ma demande.
— Maman… Martine Hamilton, Acceptez-vous d’être mon épouse ?
Maman reste sans voix, puis plaque sa main contre sa bouche, les yeux grands ouverts de surprise et stupéfaction. Je prends la bague ornée d’un diamant qui comme par magie se met à briller à la lumière vacillante de la bougie sur notre table. Prenant la main gauche de maman je place la bague devant le bout de son annulaire et en la regardant avec passion je lui dis.
— Épouse-moi, maman. Sois ma femme et prend moi comme mari…et amant. Mari et femme pour toujours.
Des larmes coulent sur le visage de maman et pendant un moment je pense qu’elle va refuser. Mais elle hoche la tête furieusement et répond.
— Oh oui, mon cur, je t’aime tellement, fils ! Oui, Tommy, je veux devenir ta femme !
Lorsque je glisse la bague sur le doigt de maman, des applaudissements fusent dans la salle et quelques convives plus proches applaudissent avec des expressions un peu confuses sur le mélange des mots « maman » « fils » au milieu de ma proposition et l’acceptation de maman.
Je m’en fiche complétement et prête peu d’attention au monde qui m’entoure car quand je me relève, maman se lève aussi et se jette contre moi en mettant ses bras autour de mon cou. Son corps se presse contre le mien et ses lèvres s’écrasent contre les miennes.
Je suis au 7eme ciel quand, pour la première fois dans notre vie, ma mère m’embrasse comme un homme et non comme son enfant, ses lèvres s’ouvrent et sa langue glisse dans ma bouche pour chercher ma propre langue ! Maman a un goût délicieux, sa bouche humide vibre de passion pendant que nous nous embrassons comme seulement deux personnes passionnées et amoureuses peuvent s’embrasser.
Notre baiser à la française semble durer éternellement et je me sens un peu étourdi et essoufflé quand il prend fin et que maman murmure.
— Je n’arrive encore pas à croire que tu me demandes ça ! Toi mon fils, mon amour ! Elle rit et ajoute.
— Et à notre premier rendez-vous !
Je serre très fort le corps de maman contre le mien savourant la sensation de ses gros seins contre ma poitrine. Même à travers sa robe, ma chemise et veste, je peux sentir le battement de son cur libéré.
— Je ne veux que toi, maman… je tiens à t’aimer et être avec toi pour toujours et je ne veux pas perdre un instant!
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Je suis sûr que beaucoup d’entre vous qui vont lire ce chapitre vont penser que ce n’est qu’un recommencement de l’histoire de papa et se dire que je vais raconter la même chose. Je baise maman et maman me baise.
Je suppose que oui, mais en vérité vous deviez bien vous douter que cela devait arriver ! Vous connaissez l’histoire de mon père et de sa mère et de ma mère et tout le clan Hamilton, eh bien… je crois que vous ne pouvez pas faire de réclamation car l’inceste est dans mon sang et que l’inceste a toujours été mon destin.
C’était fatal avec une famille comme la mienne que maman et moi deviennent amants.
Appelez-moi Tommy… Je suis le fils de Martine, Lilly et Dany Hamilton. Martine est ma mère de naissance et pendant environ huit belles années, elle a été mariée à ma mère-Lilly avant son décès. Dany est le neveu de Lilly et l’amant de maman. Et, papa était aussi l’amant de maman-Lilly et papa est marié à Sabine Hamilton, sa femme et sa mère. Ouais, c’est un peu compliqué et pour ajouter à la confusion, papa et maman-Sabine ont aussi une fille… ma demi-sur, Pauline.
Avant d’aller plus loin, je vais simplement parler sur le mot controversé… INCESTE !
On peut dire que les membres de ma famille sont des experts dans l’inceste. Maman -Sabine dit que c’est naturel entre nous, que c’est dans notre sang et génétique. Rappelez-vous, Grand-père Tom et sa mère Pauline étaient amants. Maman-Lilly et maman-Sabine étaient amantes quand grand-père Tom couchait avec les uns avec les autres quand ils étaient adolescents. Papa et maman-Sabine ont perpétré la tradition familiale quand papa était au collège, et ont permis que maman-Sabine et maman-Martine se rencontrent et deviennent amantes, puis tous les trois avec papa. Maman- Martine a rencontré Maman-Lilly et elles sont tombées amoureuses et elles se sont mariées. Maman-Sabine a épousé son fils, Dany (mon père), quelques mois plus tard. Dans l’année, je suis né, fils de papa et maman-Martine et papa et sa maman ont eu une fille, Pauline, ma demi-sur.
Pendant notre adolescence, mes mamans et papa nous ont expliqué à Pauline et moi, leurs relations familiales…et les conséquences sur notre éducations sentimentale… Cela m’a un peu amusé et je pense que ça a fait un peu flipper Pauline jusqu’à ce que papa et maman-Sabine lui ont assuré qu’elle n’était pas obligée de poursuivre la tradition familiale. Quant à moi, j’étais assez troublé mais cela a réaffirmé mes sentiments et mes désirs envers toutes ces femmes. J’ai vite compris lors de ma puberté que si j’adorais ma mère, j’étais aussi très amoureux d’elle.
Peut-être que le fait d’avoir perdu maman-Lilly quand j’avais huit ans nous a conduit à nous rapprocher…peut-être que c’est le sang des Hamilton qui prend le dessus, mais j’étais déjà attiré par ma mère et je me demandais quand je serais en mesure de prendre ma place aux côtés des adultes dans leurs ébats amoureux. Maintenant, pour être honnête, ni maman ou maman-Sabine ou papa, n’ont jamais suggéré une telle chose…néanmoins, je pense et je suis même sur que constamment, par inadvertance ou non, mes parents (tous les trois) ont contribué d’alimenter mes fantasmes et désirs.
Pendant mon adolescence j’espérais…non je savais que j’étais destiné à devenir l’amant de maman… mais moi je voulais être son mari et son amant. Je défie tout homme normalement constitué qui a une mère aussi sexy et belle que la mienne de ne pas ressentir les mêmes sentiments.
Elle transpire de sexualité et je l’ai vu plus d’une fois rendre les hommes et les femmes sans voix quand elle les regarde avec le désir qui brille dans ses yeux vert. Lorsqu’elle sourit avec un air gourmand, je sens mes genoux faiblir et mon sexe devient instantanément dur.
Maintenant, il ne fait aucun doute que je suis sexuellement attiré par ma mère. Maman et moi sommes proches émotionnellement… elle est ma meilleure amie et confidente la plus proche. Bien souvent, il me semble lire dans ses pensées et deviner ses humeurs. Elle aussi doit lire dans mon esprit et bien qu’elle a remarqué à quel point je la désir, elle n’a jamais fait quoi que ce soit pour m’encourager.
Je me rappelle que j’avais eu l’intention de déclarer mon amour et mon désir pour maman quand j’étais plus jeune… Je m’étais branlé comme un fou toute la nuit après l’avoir entendu faire l’amour et je n’en pouvais plus !
Ma sur Pauline m’a conseillé d’attendre. Elle a, elle aussi, été très tentée par ses envies face à la nature des relations de notre famille. Mais elle avait peur malgré sa curiosité d’engager nos parents sexuellement et de toute façon papa et maman-Sabine lui on dit qu’ils parleraient de çà que lorsqu’elle aura dix-huit ans. Moi aussi je pouvais bien attendre !
J’ai fait la grimace et répondu.
— Je ne vois pas pourquoi. Je sais ce que je veux et trois ans de plus ne fait pas une grande différence.
Pauline hausse les épaules et baissant ses yeux et sa tête entre ses longues tresses blondes me dit.
— Je pense comme toi mais ça paraît important pour eux.
Elle relève la tête, ses yeux brillent à la lumière de la pleine lune et elle ajoute.
— J’aimerai aussi faire l’amour avec eux mais ils pensent que ce sera mieux pour nous d’attendre.
Je repense à nos conversations intimes et même si nous étions deux adolescents avec profusion d’hormones et plein d’amour l’un envers l’autre, nous n’avons jamais batifolé ensemble. Pauline vivait sa vie de son côté mais je savais qu’elle était attirée sexuellement par son papa. Pauline est très réfléchie, contrairement à moi qui est plus impulsif et la patience n’est pas ma meilleure vertu.
En attendant d’avoir mes dix-huit ans c’était très frustrant de côtoyer journellement deux femmes très sensuelles et une jolie fille adolescente très sexy. Maman et Maman-Sabine sont comme je l’ai déjà dit comme une mère et sa fille, presque identique. A la fois avec de beaux seins dodus, un corps voluptueux, des fesses d’une rondeur parfaite prolongées par de longues jambes. Toutes les deux un peu exhibitionnistes et avec bien souvent leur sexe sans petite culotte.
Je serais probablement devenu fou si je n’avais pas trouvé une diversion dans le travail. Je n’avais même pas 14 ans quand je découvris que j’avais un talent pour travailler dans les jardins et les champs. A 16 ans mon choix était fait, l’aménagement paysager serait mon métier. Je travaillais autant que je le pouvais, ne prenant du temps que pour dormir, l’école, les devoirs et le base-ball. Je travaillais tellement que maman-Sabine pensait que j’avais hérité des traits de feu le père de papa ce qui avait pousser Maman-Sabine dans les bras de son fils en négligeant sa femme pour ne penser qu’à ses propre besoins, travail, chasse et pêche.
Je pense que Papa était aussi un peu inquiet, tout au moins jusqu’à ce qu’un jour, lorsque nous revenions d’un match et qu’il a décidé que nous devions parler d’homme à homme.
— Tommy, vos mamans et moi sommes inquiets car tu travailles trop,
— Pourquoi, papa ? J’ai de bonnes notes et je fais des tâches à la maison.
— Ouais… Je… nous… n’avons rien à redire là-dessus mais…fils, je m’inquiète pour toi…tu devrais sortir plus, t’amuser, prendre du plaisir…
Il fait une pause et ajoute.
— Tu ne dépenses même pas tout l’argent que tu gagnes. Tu devrais te relâcher de temps en temps.
Comme Papa je hausse mes épaules et dit.
— J’économise mon argent pour quelque chose de spécial, papa.
Mon père me regarde curieusement et répond.
— Comme quoi ?
Je ne suis pas prêt à lui dire et j’essaye de changer de sujet.
— Papa, tu penses que maman se remariera un nouveau ?
Pris de court Papa reste silencieux pendant quelques minutes avant de me répondre.
— Je ne sais pas, Tommy. Martine… ta mère se sent toujours marié à ta maman-Lilly.
Il attend quelques minutes avant d’ajouter.
— Je lui ai demandé de se joindre à moi et à…euh, maman-Sabine… D’une certaine façon, nous sommes comme un couple marié…je vois ça comme ça…
Il semblait en fait un peu gêné pour en discuter.
-Et ta mère dit que les choses sont bien comme elles sont.
Depuis que mes parents nous ont révélé à moi et Pauline la vraie nature de la relation de chacun, j’ose lui poser la question suivante.
— As-tu déjà… regretté d’avoir épouser ta mère, papa?
Mon père se racle la gorge puis il se met à rire avant de prendre une expression sérieuse pour me répondre.
— Devenir l’amant de maman et de l’épouser ensuite pour en faire ma femme, c’est la chose la plus merveilleuse qui m’est arrivée dans ma vie, à l’exception d’être ton père et celui de Pauline.
Comme je ne dis rien, il réalise qu’il n’a pas tout à fait répondu à ma question.
— Non, fils… je ne regrette pas du tout d’avoir épousé ma mère…elle est tout simplement le grand amour de ma vie.
Je hoche la tête et je lui dis.
— Je sais comment, toi, Maman-Sabine et maman vous êtes, mais penses-tu qu’il pourrait y avoir une autre femme ou….
Ma voix se brise un peu pour finir.
-…Un autre homme dans la vie de maman ?
Papa me regarde une seconde, puis il sourit alors que ses yeux semblent exprimer la reconnaissance d’une âme sur avant de dire.
— Je ne sais pas, mon fils… Je pense qu’il faudrait que ce soit une femme spéciale ou un très jeune homme vraiment très spécial.
Il me sourit, puis il me serre dans ses bras.
Dans la voiture, en cours de route après un long moment de silence, je lui repose une question.
— Papa, sais-tu quel genre de pierre précieuse maman aime ? Tu vois…comme une bague…
Papa me regarde, surpris à nouveau par une de mes questions.
— Euh… je crois qu’elle aime le diamant, genre solitaire taille Princesse. Pourquoi ? Tu envisages d’acheter une bague à ta maman ?
Je souris perfidement à Papa et je lui réponds.
— Un jour… peut-être. Mais ne le dit pas à maman, s’il te plaît. Je veux que ce soit une surprise.
— Pas un mot, Tommy… Je te le promets.
Répond papa et il ajoute.
— Tu sais, ces bagues coûtent cher. Si tu as besoin d’un peu d’argent….
Je secoue ma tête et dit.
— C’est bon Papa. J’ai économisé mon argent pendant des années.
Papa me regarde avec un air de fierté et d’étonnement avant de sourire. Moi aussi je souris en pensant au futur, quand j’offrirais cette bague à ma mère. Je ne me suis jamais senti plus près de lui et par moments nous savons que nous sommes si semblables et si proche.
Et ce jour est enfin arrivé !
*******
Maman ne peut détacher ses yeux de sa bague tout le long de la route qui nous ramène à la maison. Elle admire son scintillement à la lumière de la planche de bord. Elle est recroquevillée à côté de moi sur la banquette de son vieux break, la main droite posée légèrement sur le haut de ma cuisse à deux doigts de la bosse qui déforme mon pantalon.
— Tommy, chéri… Je ne pouvais pas espérer plus que ça.
Me dit-elle doucement en me regardant dans la pénombre de la voiture et en crispant ses doigts sur ma cuisse.
— Je sais bien qu’il y a quelque chose entre nous de très fort et je pensais que tu avais envie de devenir l’amant de ta mère. Mais… Seigneur dieu, mon ange, je ne m’attendais pas à cette demande en mariage ! Depuis combien de temps tu as décidé que tu veux m’épouser ?
Je hausse les épaules et répond.
— Je crois bien que toute ma vie je t’ai toujours aimé. D’un amour fou et de jour en jour plus passionné.
Maman hoche de la tête et ne dit plus un mot pendant le reste du parcours. Sa tête est posée sur mon épaule pendant que je conduis, regardant toujours sa bague sur sa main gauche tandis que sa main droite caressa doucement ma cuisse.
Arrivé à la maison, je vais ouvrir la porte pour maman. A la lumière de la pleine lune, je ne peux m’empêcher de regarder le haut de ses cuisses découvertes lorsqu’elle balance ses jambes hors de la voiture, m’offrant un aperçu de son slip noir très sexy.
Mis à part la lumière du porche, la maison est sombre et paraît calme mais je perçois des gémissements qui passent d’une fenêtre ouverte à l’étage quand je m’approche du porche d’entrée. Je souris quand j’aide maman à sortir de la voiture en sachant que Papa est entrain de donner du plaisir à sa mère, ma mère-Sabine.
Maman, debout dans mes bras, me serre contre elle et en riant légèrement elle me murmure.
— Embrasse-moi, Tommy! Embrasse ta mère, ici, sous cette lune qui brille pour les amoureux !
Je me colle un peu plus contre son corps et elle enroule une de ses jambes autour de la mienne. Son corps semble ramper sur le mien et ses seins glissent sur mon torse. Ses lèvres douces s’appuient sur les miennes et sa langue me donne un avant-goût des promesses impies à venir. Humide et ferme elle plonge dans ma bouche et tourne autour de ma langue.
Nous restons enlacés et serrés l’un contre l’autre. Pour la première fois de ma vie je prends la liberté de laisser mes mains errer sur son corps, glisser sur sa robe douce comme de la soie, passer sur ses fesses rebondies pour attraper le bas de sa robe et le soulever. Son cul est dévoilé et je peux toucher sa peau nue car elle porte un string. En caressant ses fesses, maman ronronne d’approbation dans ma bouche.
Ses mains quittent mon cou pour me caresser les épaules, puis mes bras, ronronnant à nouveau en caressant mes biceps, bien marqués par des années de travail acharné. Lorsque Maman palpe mes fesses, sa langue explore ma bouche plus furieusement puis c’est mon tour d’ haleter lorsque maman frôle mes couilles et palpe la bosse dans mon pantalon, comme pour essayer d’en évaluer sa longueur et sa circonférence. Maman casse notre baiser pendant un moment pour soupirer.
— Oh mon cur…oooh mon dieu !
Nous nous embrassons sensuellement de nouveau et mes mains trouvent naturellement l’échancrure de son décolleté pour libérer sans effort ses gros seins bien fermes. Mon pouce trouve un téton de bonne taille de forme allongée, élastique et dur par son excitation.
Nous continuons à nous embrasser et je ne me souviens même pas comment nous nous sommes retrouvés sur le vieux canapé sous le porche. Maman est recroquevillée contre moi, à moitié sur mes genoux et nous continuons de nous embrasser fougueusement avec nos mains et nos doigts, qui lentement, presque prudemment, explorent chaque partie de nos corps.