CHRONIQUES DU QUOTIDIEN DE JULIETTE
Les premiers jours dans le harem furent consacrés à l’éducation de Juliette … On commença par la convertir à l’Islam. Elle prit un nom à consonnance arabe comme il était de coutume dans ces cas là, Yasmina et ses collègues du harem l’appellèrent ainsi … La conversion à l’Islam était plus une tradition qu’une requête à la dévotion car à part cela, Juliette n’entra jamais dans une mosquée et ne fut même pas soumise à l’obligation de prière cinq fois par jour. Sinon, elle apprit en détail les us et coutumes qu’elle devait savoir adopter dans ce monde.
Comme prévu, Juliette passa toute ses journées dans le harem : une pièce de 2000 m? circulaire. La seule pièce annexe était celle où elles (Juliette et ses partenaires de harem) faisaient leurs besoins : des toilettes à la turque toujours soigneusement tenus propre par les domestiques de l’Emir. Juliette eut du mal à faire besoin dans un tel endroit dont elle n’avait pas l’habitude, mais elle finit par y arriver. Autrement, son univers se limitait à la grande pièce du harem : elle y dormait sur un petit matelas souple (changée régulièrement) posée à même le sol en compagnie de ses partenaires de harem, autour du bassin central qui faisait à peine 1m de profondeur. Dans ce bassin, elles y faisaient leur toute leur toilette : là aussi, l’eau est changée tous les jours faisant presque oublier la rareté de ce liquide dans cette partie du monde … Toute intimité propre était proscrite et Juliette et ses partenaires évoluaient naturellement dans cet endroit sans aucune pudeur. Elles étaient la plupart du temps presque nues, se couvrant juste le corps au mieux d’un paréo transparent qui ne cachait absolument rien de leus corps tous pour la plupart superbes.
La pire difficulté de Juliette était son incapacité à comprendre la langue Arabe et également à se faire comprendre … Seule l’une des filles avait de très rares notions d’Anglais et dans un premier temps, elle aidait Juliette à ne pas être trop isolée. Juliette s’attela à apprendre l’Arabe avec cette fille.
Leur seul contact avec l’extérieur, à part les fois où l’une d’elles est choisie pour coucher avec l’Emir, se fait avec la chef du harem : c’est la grosse femme de plus de 100 kg qui avait percé les seins de Juliette. La chef du harem méritait bien son titre : elle avait les manières d’un sergent-chef et ne s’adressait jamais aux filles sans aboyer ses ordres. Parfois, si les filles n’obéissaient pas à ses ordres assez rapidement à son goût, elle n’hésitait pas à les bousculer. Juliette avec ses difficultés à comprendre l’Arabe se faisait régulièrement maltraiter. La tâche de la chef de harem consistait à se faire le relais des désirs de l’Emir et à choisir un groupe de filles parmi les trente afin que le souverain puisse faire son choix le soir venant … Pour ce groupe de filles nominées, la chef de harem leur faisait elle-même leur toilette, les maquillait et leur donnait les habits à mettre pour la nuit suivante. Les premieres semaines, Juliette était souvent dans ce g roupe de nominées. Chaque fille nominée avait une préparation spécifique qui les différenciait des autres nominées. Pour Juliette, le fantasme des poils blonds de l’Emir était tel que la chef de harem laissait pousser les poils sous les aisselles de Juliette sans jamais l’épiler, à l’inverse des autres filles qui, elles, étaient glabres à part les cheveux et les sourcils. Il en allait de même pour le maillot, si bien qu’au niveau du pubis et des aisselles, une végétation hirsute absolument pas entretenue se dégageait chez Juliette. Celle-ci trouvait cela absolument répugnant mais ce n’est pas elle qui décidait de l’apparence qu’elle devait avoir mais son propriétaire. En tout cas, le corps de Juliette était une source de réalisation de fantasmes sexuels chez l’Emir et il en profitait largement car elle était à chaque fois choisie pour coucher avec lui lorsqu’elle était nominée.
Ce soir là, Juliette était encore dans le groupe des nominées mais ses collègues ainsi que la Chef de Harem savait qu’elle serait à nouveau choisie. Aussi une attention particulière était faite sur la toilette de Juliette. Celle-ci débuta après manger le midi. Juliette était assise au bord de la piscine et la Chef de Harem lui faisait face, en position du lotus. Malgré le fait qu’elles soient assises toutes les deux, Houria, la chef de harem la dominait largement de la tête et des épaules. Houria saisit Juliette par le menton, la faisant lever la tête et retrousser les babines. Sur ce, elle saisit une pleine poignée de fibre de coprah, l’enduit d’une pâte odorante faite à base de saponification de graisse de dromadaire. Le coprah lui servait de brosse à dents et la pâte, de savon ou de dentifrice car pour tous ces gestes naturels chez des Européens, l’utilisation d’outils modernes était proscrit comme tout ce qui était utilisé dans le harem. Houria frotta avec la fibre les dents de Juliette. L’efficacité de cette méthode était stupéfiante car Juliette après plusieurs semaines avait l’impression que ses dents brillaient plus que lorsqu’elle se brossait elle-même les dents le matin dans sa salle de bain dans son appartement à Paris. A l’issue, Houria d’un geste de la main indiqua à Juliette la surface aquatique derrière elle pour qu’elle puisse s’y plonger. Juliette obéit et Houria la suivit dans l’eau. Debout faisant face à Juliette, Houria lui demanda de lever les bras pour qu’elle puisse lui savonner entièrement le corps, insistant bien sur les parties intimes. Puis elles sortirent de l’eau : le corps massif de la grosse femme luisait d’humidité et Juliette la suivit encore une fois. Celle-ci se mit assise, les jambes écartées de part et d’autre du corps de Houria, toujours assise en lotus face à la jeune femme. Sans aucune émotion, la grosse femme plongea sa main toujours enduite de la pâte nettoyante dans le vagin de Juliette. Celle-ci eut un léger sursautement sous le contact. Houria effectuait des va-et-viens avec sa main pour nettoyer l’orifice reproducteur de la jeune femme. Celle-ci avait maintenant l’habitude de ce genre d’intromission et parfois elle y prenait du plaisir … comme ça allait être le cas sous peu. En sentant le lent pistonnage de Houria, Juliette sentit ses parois internes réagir favorablement aux frottements et, bientôt, vibrer au diapason des mouvements de l’imposante femme. Celle-ci ne supportait pas de tels égarements de la part de Juliette et pour l’empêcher d’avoir un orgasme, elle saisit à pleine main une touffe poils pubiens de la jeune femme et tira. Juliette poussa un gémissement de douleur, et se mordant les lèvres, elle réussit à se calmer. Après cela, ce fut au tour de l’anus de Juliette d’y passer. Houria lui inséra deux doigts et recommença la manoeuvre. Cette fois-ci, Juliette était couchée sur le ventre et levait juste légèrement le bassin pour permettre à Houria de la n ettoyer. Une fois cette manipulation terminé, Juliette s’allongea sur le dos, les mains levées et les jambes bien écartées. Les autres filles nominées s’occupèrent du reste de l’anatomie de son corps tandis que Houria se contentait de hurler ses indications aux filles qui toilettaient Juliette. Une fille peignait longuement les cheveux bouclés de Juliette. Deux autres brossaient consciensieusement les poils blonds qu’elle avait drus sous les aisselles. Une autre fille faisait de même pour les poils pubiens tout aussi blonds. Pour les aisselles et le pubis, les poils accrochaient les brosses faisant un peu mal à la jeune femme. Juliette constata désolée le contraste entre son corps à la pilosité que l’Emir la forçait à développer et ses collègues qui étaient soigneusement épilées à tel point que celles-ci avaient les aisselles et le pubis lisse : c’est la rançon de l’exception dont elle faisait l’objet. Encore heureux que ses jambes soient mieux traitées : à ce niveau, l’Emir voulait qu’elle soit épilée comme les autres. Juliette avait l’impression d’être une chienne qu’on toilettait entre les mains de toutes ces femmes … Une fois la question des poils et cheveux règlés, les autres nominées s’attaquèrent aux énormes anneaux mammaires soudés et passant dans les énormes perçages à peine cicatrisés des mamelons roses de Juliette. Le frôlement involontaire des doigts de ses préparatrices les fit fripper puis redresser furieusement, pointant vers le plafond comme s’ils voulaient s’échapper du corps ferme de la jeune femme, lui faisant délicieusement mal à nouveau. Mais les autres filles ne s’occupaient pas du plaisir de la jeune Française, elle astiquaient avec leur salive et un chiffon l’or des deux anneaux. Deux autres nominées opéraient de même avec les bracelets soudés aux chevilles de la jeune femme. Au bout d’un moment, ses parures brillaient de mille feux … Congédiant les autres filles pour qu’elles aillent se préparer entre elles, Houria ajouta la touche de maquillage sur Juliette qui allait constituer la finition. Houria lui ponça légèrement les ongles puis les lui vernit d’un rouge-ocre qui résultait de teinte spéciale d’une poussière d’argile humidifiée pour l’application. Ensuite, la grosse femme plongea le pointe d’un pinceau à base de fibres traditionnelles dans les yeux de Juliette. Le bout était enduit de fard noir qui lui envahit la pupille lui arrachant des larmes … Il lui fallait vraiment souffrir pour être la plus belle … Le fard noir se fixa à l’intérieur de ses paupières en découlant, lui maquillant durablement les yeux. Elle fut ensuite parée de bijoux divers : lourdes boucles d’oreille ornée d’améthyste, bracelets certis de rubis ou saphir, encore de l’améthyste fut incrusté dans son nombril avec une sorte d’armature en métal qui, en se déployant, lui lacérait la chair pour maintenir le bijou en position. La douleur de l’égratignure était parfaitement supportable pour Juliette. Divers ann eaux lui furent passés aux doigts et aux orteils. Comme les dessous féminins lui étaient définitivement proscrits depuis son entrée au harem, en guise d’habillement, Juliette fut enveloppée d’un pantalon bouffant en dentelle transparente. Comme haut, elle fut habillée d’une brassière format mini, brodée de fils d’or et de paillettes. Sur ses cheveux, Houria la couvrit d’un tchador doré opaque qui laissait juste apparaître son visage et quelques mèches blondes. Tout cet habillement ne cachait absolument rien en fait car à travers son pantalon transparent, on voyait clairement son pubis doré se dessiner et d’autre part, les mailles de la brassière en or faisaient apparaître les auréoles roses des seins de Juliette. Juliette était fin prête à redevenir l’objet sexuel qu’elle a toujours été depuis quelques semaines et elle était superbe … Une fois prête ainsi, Juliette devint l’ouvrière qui aidait les autres nominées à se préparer pour la parade du soir à partir de laquelle l’ Emir allait faire son choix pour baiser. Juliette était une fois de plus favorite …
Le soir, toutes les nominées devaient servir à la table de l’Emir qui avait avait invité quelques membres de son gouvernement ainsi que deux blancs occidentaux que Juliette soupçonnait comme étant des financiers. Les deux blancs levèrent chacun un oeil étonné en voyant Juliette évoluer au milieu de ces naïades de rêve. Mais ils n’eurent le loisir que de la contempler de loin car elle était au service exclusif de l’Emir qui était en bout de table. Celui-ci en profitait pour peloter abusivement la jeune femme lorsqu’elle passait à proximité, insérant même parfois ses doigts, à travers la dentelle transparente du pantalon, dans le vagin offert, qui s’humidifiait à chaque passage. La transparence de la matière ne cachait rien de l’état de Juliette ni de son anatomie aux autres convives. Les deux blancs faillirent d’ailleurs s’étrangler en voyant le spectacle. A la fin du repas, Juliette était complètement ouverte : on voyait à travers le pantalon en dentelles, sa chatte rosie par le malaxage de l’Emir, la fente largement ouverte, le fond du pantalon totalement trempé par la lubrification naturelle de l’ancienne business-woman parisienne. Après qu’elle eut débarrassé l’assiette de son maître, celui-ci tout en restant assis sur son sofa, lui entoura des bras les hanches pour la tenir immobile. Juliette resta docilement debout à droite de son propriétaire, attendant d’exécuter ce qu’il désirait. Pendant ce temps là, l’Emir, en Anglais, demanda aux autres convives de choisir parmi les autres filles nominées celle avec qui ils allaient passer la nuit. Par son attitude, l’Emir restreignait évidemment la recherche aux autres filles, se réservant l’occasion de faire l’amour à sa blonde favorite. Une fois les choix réalisés, Juliette reçut une petite tape sur les fesses de la part de l’Emir et elle s’éclipsa pour aller rejoindre à travers les dédales des couloirs du palais, la chambre de l’Emir. C’était une grande pièce avec au milieu un tapis persan sur lequel étaient jonchés des coussins. Deux des quatre femmes officielles étaient là, elles s’adressèrent violemment à la jeune Française en Arabe sans qu’elle ne sache absolument pas de quoi elles parlaient. Juliette se contenta de baisser la tête en se tenant debout à l’embrasure de la porte, acquiésant de la tête à chaque fois que cela lui semblait nécessaire. Ces femmes étaient une sorte de supérieur hiérarchique pour elle dans cette société où elle vivait, de part leur statut de femme officielle. C’est la raison de l’attitude soumise de Juliette … Une fois leur diatribe terminé, les deux femmes officielles allèrent s’asseoir par terre au fond de la pièce : ainsi, elles auraient une attitude spectatrice lors des futurs ébats de l’Emir et de Juliette. Ce voyeurisme avait gêné la jeune Française blonde dans un premier temps, mais elle avait également appris à s’en accomoder. Juliette se débarrassa des rares vêtements qu’elle avait sur la peau : tchador, brassière et pantal on tout en gardant le reste des parures. Elle alla s’allonger sur le lit dans la position préférée de l’Emir : sur le ventre, la tête enfoncée dans un coussin, le bassin légèrement relevé et les jambes écartées laissant le spectacle de sa chatte ouverte et en chaleur à la libre vision de son maître et de ses femmes officielles dans l’ombre. En attendant l’arrivée du maître des lieux, les deux femmes officielles surveillait en permanence l’attitude de Juliette sur le lit. Tout écart de conduite (relâchement, rebellion ou mauvaise volonté) était rapporté à l’Emir qui chargeait ensuite Houria, la chef de harem, de punir impitoyablement la fautive. Pour avoir parfois fait preuve de mauvaise volonté devant ces règles barbares et contraignantes, Juliette avait déjà plusieurs fois tâté du fouet. Houria s’était parfois acharné sur les parties intimes de la jeune femme dans ce cas, et Juliette cédant à ses pulsions sado-masochistes avait joui violemment, expulsant sa cyprine sur le s ol derrière elle, ce qui accentua la fureur de Houria … Dans ces cas, au début, Juliette s’en sortait avec le dos et les fesses profondément meurtris et, pendant quelques jours, elle ne pouvait même pas s’asseoir … Mais ce soir, elle était docilement immobile attendant de recevoir le pénis qui lui était promis.
L’Emir arriva une demi-heure plus tard accompagné des deux dernières femmes officielles encore non présentes. Celles-ci lui débarrassèrent de ses riches vêtements et il se tenait enfin debout tout seul au milieu de la pièce tout nu tandis que les deux femmes rejoignirent les deux premières assises plus loin par terre. L’Emir à son âge avancé (plus de 70 ans) avait la peau un peu frippée et se tenait voûté mais Juliette savait que son énergie sexuelle était inusable : il était capable d’éjaculer encore trois fois d’affilée sans faiblir. Sans autre formalité, le vieil homme s’attaqua au vagin offert de Juliette, plongeant son pénis déjà bien dressé dans la fleur d’amour de la jeune femme, humide et chaud. Il lui saisit les hanches et la pistonna en levrette rapidement pour finir par éjaculer dedans. Il débutait toujours par ce rituel car son but (il le lui avait dit) est de lui faire le plus vite possible un enfant et augmenter ses chances de perpétuer sa descendance. D’autr e part, il lui dit qu’il adorait faire l’amour à une femme enceinte au ventre rebondi … Il avait vraiment des fantasmes bizzares ! Si ce n’était au dépens du futur état de Juliette, elle aurait également apprécié mais elle avait tellement de mauvais souvenirs de sa première grossesse … En cinq minutes, Juliette avait reçu sa semence féconde et, à l’issue, elle pourrait enfin s’atteler aux jeux sexuels dont l’Emir Ibn-Al Khaldun était friand. La rapidité de la première action avait laissé Juliette totalement de glace. Elle en était même frustrée, mais elle savait que la suite allait la combler …
En attendant de reprendre son souffle et arriver à nouveau à produire une érection, l’Emir lèchait la jeune femme sur tout son corps, n’épargnant aucune surface de sa peau. Il insistait bien à lècher le pubis et les aisselles abondamment poilues de Juliette ; il adorait ça, même le léger goût salé de la sueur qui y perlait, n’abandonnant que lorsque les poils de la jeune blonde étaient complètement humides de la salive de l’Emir. Cette lèche émoustillait beaucoup la jeune femme car elle était de nature chatouilleuse : avec l’habitude, son cerveau assimilait cela à une carresse érogène et maintenant, ça l’excitait beaucoup. Jugeant le travail incomplet, l’Emir recommença la manoeuvre : Juliette écarta bien les jambes et le bras pour laisser la langue de son maître explorer tout son corps. Enfin, il redescendit au niveau de la chatte encore dégoulinante du sperme qu’elle venait d’engloutir. Juliette éspèrait secrètement que cette lubie allait l’empêcher d’être engrossée mais elle se faisait peu d’espoir … Une heure plus tard, après ce traitement délicieux l’Emir présenta son pénis encore au repos à la bouche de Juliette. Celle-ci l’engloutit docilement jusqu’au fond de sa gorge, suçant, mastiquant la hampe de chair de plus en plus dure. Le pénis que Juliette avait en bouche était maculé de sperme séché qu’elle dégusta comme un met précieux : contrairement à beaucoup de femmes, Juliette adorait le goût fade mais à l’odeur forte et entêtante du sperme de ses partenaires et elle espérait que son maître allait lui éjaculer dans la bouche mais celui-ci avait visiblement d’autre desseins. Une fois sa taille maximale retrouvée, l’Emir s’arracha de la bouche accueillante de la jeune femme, la retourna comme un vulgaire sac de son, puis présenta son pénis à l’entrée du petit trou anal de Juliette. Ce dernier après des années de pratique quotidienne de sodomie était devenu d’une élasticité incroyable et était près à recevoir n’importe quelle objet, sel on le bon vouloir de son maître. Celui-ci s’enfonça d’un violent coup de rein se projeta dans les entrailles de Juliette, lui arrachant un petit cri de satisfaction. L’Emir, immobile, admirait cette croupe généreuse, striée du récent marquage au fer rouge, vibrer au rythme du simple battement de coeur de son pénétrant, relayé par le pénis profondément enfoui … Il commença alors lentement, comme s’il prenait bien soin que toutes les parois intestinales de la jeune femme sentent le frottement de son passage, puis au fur et à mesure, il accéléra petit à petit, inéluctablement, le mouvement, faisant du même coup monter le plaisir de la jeune femme. Après dix minutes de pistonnage, Juliette explosa d’un coup : une violente houle de plaisir lui laboura entièrement le ventre, secouant un par un chacun de ses organes internes. Durant ce laps de temps, elle ne put absolument pas ouvrir les yeux comme si les nerfs de ses paupières échappaient à son contrôle à cause de l’orgasme. Ell e trembla comme une feuille, expulsant par petits jets sa cyprine en témoignage de sa délectation. Elle réfrena un cri assourdissant, se contentant de gémir longuement son bonheur. Il était vrai que l’Emir n’aimait pas trop les manifestations bruyantes de ses femmes de harem. Voyant son esclave réagir comme il le voulait, l’Emir se retira des reins de Juliette sans éjaculer. Pour ce faire, il la prit à nouveau en levrette par le vagin et recommença à la pomper rapidement comme en début de nuit. Il ne tarda pas à y éjaculer par saccades abondantes. Il n’oubliait pas son but de tenter de féconder la jeune femme par tous les moyens possibles. Celle-ci recevait sa semence sans broncher. Elle avait l’impression d’être une jument qu’un éleveur faisait saillir par un étalon pour son élevage … En tout état de cause, toutes ces pratiques confortait Juliette dans sa position de dominée à la disposition d’une autre personne. Du coin de l’oeil, Juliette apercevait les quatres femmes o fficielles de l’Emir observer sans broncher cette esclave blonde se faire saillir par leur mari, comme si elles assistaient à une retransmission sportive à la télévision. Après ce deuxième orgasme, l’Emir retomba lourdement aux côtés de Juliette et s’endormit comme une masse. Juliette inspecta son corps : elle était couverte de sueur mais absolument tous ses bijoux sont restés en place ; elle apercevait son sexe gonflé et rose se fermer et garder dans son ventre la semence de son maître, suintant à peine du sperme de ce dernier. Elle n’avait pas le droit de bouger sans que l’Emir ne l’ai officiellement congédiée, aussi elle resta immobile, reprenant doucement son souffle arraché par son violent orgasme qui faisait encore vibrer un peu son corps. A quelques mètres de là, les quatres femmes la scrutaient toujours, guettant le moindre écart de conduite de la jeune femme. Juliette s’endormit également en pensant ne rejoindre le harem que le lendemain. Au cours de la nuit, l’Emir se réveilla encore une fois et prit Juliette en missionnaire. Cette fois-ci, il la pistonna longuement ; Juliette dans un demi-sommeil apprécia, levant bien les bras, évitant de saisir l’Emir par les épaules car ce geste était trop familier pour ce dernier … Celui-ci apprécia d’autant qu’il enfouit son visage sous les bras de la jeune femme, humant et lèchant à nouveau les aisselles poilues qui lui étaient offertes. L’Emir arriva au bout de 10 minutes à l’orgasme et il se déversa à nouveau dans le vagin de Juliette. Cette dernière sentait le sien arriver à son tour et pour accompagner son plaisir, elle se tendit, arquant son dos, soulevant le chétif vieillard qont le dard vibrant en saccades était toujours enfoncé dans son vagin. Ils retombèrent brusquement sur le lit. Les mains de l’Emir, dans le même mouvement était fermement accrochées aux seins de Juliette, les comprimant fortement comme s’il pouvait extraire une substance de ces mammelles volumineuses …
Quelques minutes après, il jeta un ordre en Arabe et comme par miracle, Houria apparut de derrière une tenture et saisit Juliette par le bras et l’entraina toute nue vers le harem. Celle-ci avait mal au hanches à cause des deux fabuleux orgasmes qu’elles avaient produit en quelques heures, et avait quelques difficultés à marcher mais Houria la trainait presque lorsqu’elle faiblit … A l’intérieur du harem, Houria entraina Juliette dans la piscine et lava elle-même le corps sublime de la jeune femme, prenant soin d’éviter le vagin comme si l’Emir avait donné l’ordre de tout faire pour que la fécondation se fasse. Des semaines durant, le même rituel était imposé à Juliette : chaque fois qu’elle était choisie pour coucher avec lui, il prenait soin de lacher son sperme dans la partie reproductrice de la jeune femme.
Ce qui devait arriver arriva : ses règles disparurent ; son ventre augmenta petit à petit de volume après quelques semaines, quelques mois. Juliette était tombée enceinte selon les désirs de son maître. Cet état décuplait encore l’ardeur de ce dernier : Juliette devait tous les soirs subir ses assauts sexuels. Malgré son état de grossesse, après quelques mois, Juliette était restait superbe et désirable : ses jambes et ses hanches ont gardé leur finesse première. Il n’y avait que son ventre et ses seins qui augmentèrent de volume. A l’inverse de la plupart des femmes, se relâchant lorsqu’elles étaient dans cet état, la jeune Française grâce à un régime draconien et du sport tous les matins (dirigée par Houria dans la grande pièce du harem) gardait un corps ferme et désirable. Elle était même plus sexy dans cet état selon l’Emir, ce qui fit pâlir Juliette, inquiète de se retrouver durablement dans cet état s’il décidait de renouveler l’expérience après l’accouchement …
(à suivre)
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