EVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 17 : Pipi sur le tapis.

Lorsque je rentre du travail, en fin d’après-midi de ce vendredi du début du mois de juin, je constate que quelqu’un s’est permis de garer sa voiture, qui est une Alpha-Roméo rouge de taille moyenne, devant ma villa sur les emplacements qui me sont réservés. Cependant, et étant donné que cela ne me dérange pas, je ne m’intéresse pas à ce détail pourtant insolite, dans mon quartier qui est très tranquille.

Mais une fois que je suis dans le vestibule, je sens comme une odeur légère et boisée, qui elle aussi, est ici inhabituelle. Il me faut quelques instants pour me rappeler que c’est celle du parfum discret d’Alice. Je n’ai pas trop eu l’occasion de l’apprécier le week-end dernier, étant donné qu’elle s’est rendue chez moi, juste avec ce qu’elle portait sur elle, mais j’ai eu celle de m’en repaître tous les midis de la semaine, lorsque nous nous sommes dit bonjour et au revoir en nous embrassant. Je comprends alors que mon petit bout de femme est venu ici en mon absence, et même si, c’est dans ce but que je lui ai donné les clefs de ma maison, je me prends à regretter de ne pas avoir été là.

Arrivé dans le séjour, je trouve d’autres indices, par exemple, la porte-fenêtre du milieu qu’elle a laissée ouverte. Mais quand je vois une robe rouge posée sur le dossier d’une chaise, son sac à main sur la table, mais aussi un petit sac de voyage posé par terre, qui ne peut que contenir des affaires lui appartenant, je réalise qu’elle est encore là. La joie envahit mon cur, comme si j’étais un adolescent sur le point de retrouver sa petite amie après une longue absence. C’est alors que je l’aperçois, affalée sur la chaise longue dont elle a légèrement relevé le dossier, qui est celle qu’elle a utilisée le week-end dernier et qui n’a pas bougé de la semaine, puisqu’elle se trouve toujours au bord de la piscine.

Bien entendu, elle m’a entendu arriver, d’abord, je pense grâce au bruit caractéristique de mon Alpina, dont je me suis servi tous les jours depuis lundi pour aller travailler, mais aussi, peut-être à celui de la porte d’entrée. C’est pourquoi sa tête est tournée dans ma direction et qu’elle me sourit, son regard à l’abri de ses lunettes aux verres fumés.

Bien que j’attende avec impatience ce moment depuis cinq jours, avant d’aller la rejoindre je prends le temps d’enlever mon costume, et ce n’est qu’une fois que je suis nu que je sors sur la terrasse. Mon sexe s’est déjà dressé, à l’idée que mon amante a anticipé notre rendez-vous dans le but que nous puissions faire l’amour, et lorsque je décalotte mon gland en m’approchant d’elle, son sourire s’élargit.

Les mains d’Alice sont posées sous sa nuque, et elle a largement écarté ses jambes, sans doute pour pouvoir profiter plus pleinement du soleil. Sa vulve quant à elle est lisse comme au jour de sa naissance, et si je sais que c’est parce que Charlène s’en est occupé dans l’après-midi, je ne fais pas de commentaires à ce sujet. Même si je suis soulagé de constater que son petit buisson ébène a été épargné, vu qu’il a exactement la même taille que lorsque j’ai vu mon amante nue pour la première fois, et que les poils qui le composent semblent avoir gardé leur longueur naturelle.

Mais lorsque je réalise que les seins et les hanches de mon petit bout de femme ont à présent une teinte presque aussi foncée que le reste de sa peau, je lui demande amusé :

Tu es venue ici tous les jours sans que je m’en aperçoive, ou est-ce que tu t’es décidé à faire du nudisme également chez toi ?

Elle me répond, en rougissant légèrement :

Si j’étais venue, je te l’aurais dit, et aujourd’hui, je voulais te faire la surprise. Mais il se trouve que notre terrasse est bien abritée des regards indiscrets, alors j’en ai profité.

J’aime beaucoup ça, et dans une semaine ton bronzage sera parfait.

Tant mieux, parce que je dois t’avouer que je m’ennuie un peu lorsque je dois garder cette position.

Je lui fais alors un sourire salace, avant de répliquer :

Dans ce cas, si on allait s’occuper à l’intérieur, en attendant l’heure d’aller au restaurant ?

Alice devient immédiatement écarlate, ce qui ne l’empêche pas de faire glisser ses lunettes sur son front, et de tendre un bras dans ma direction, pour que je puisse prendre sa main et l’aider à se lever. Une fois qu’elle est debout et qu’elle enfile ses mules, je constate que ce ne sont pas celles que je lui ai achetées la semaine dernière, mais une nouvelle paire, avec des talons larges en bois, d’une dizaine de centimètres de haut. Elles sont étrangement semblables à celles que porte habituellement Charlène, ce qui me fait penser que notre amie ne doit pas être complètement étrangère à cet achat, mais cette fois encore je me tais. Je me contente de sourire, en pensant que mon petit bout de femme est probablement content de gagner de cette manière trois nouveaux centimètres, puisque les autres n’en mesuraient que sept.

Nous prenons le chemin de la maison, et je suis amusé lorsque j’entends les clacs-clacs joyeux que font ses chaussures sur les dalles, tandis que ses cheveux coiffés en queue-de-cheval haute se balancent en rythme. Ensuite, nous nous rendons directement dans la chambre à coucher, et une fois que nous y sommes, Alice affiche un petit sourire, lorsqu’elle voit que le miroir sur pied s’y trouve, puisque je l’ai descendu non sans transpirer pendant la semaine. Le tapis imperméable que j’ai commandé sur internet, qui se marie bien avec le bleu de la moquette, est posé juste devant, comme pour nous inviter à aller dessus. Les chaussures que j’ai également reçues sont toujours dans leur boîte, planquée dans le placard, et maintenant que le moment est arrivé de les lui donner, j’hésite à aller les chercher.

Remarquant mon indécision subite, mon petit bout de femme me demande :

Il y a un problème, mon Amour ?

Eh bien, lorsque tu es entrée dans mon bureau samedi dernier, et que j’étais sur mon ordinateur, tu m’as demandé ce que j’étais en train de faire…

Oui, je m’en souviens. Tu avais l’air d’un enfant, pris la main dans un pot de confiture.

C’est que, j’étais justement en train de regarder quelque chose qui me plaisait, en me disant que ça t’irait très bien. Lorsque je me suis retrouvé seul dimanche soir, j’ai passé commande. Mais maintenant, j’ai peur de t’offrir ce cadeau, parce que, vois-tu, à chaque fois que j’en fais un, ça me pose effectivement un problème.

Ah bon ? Lequel ?

Lorsque c’est moi qui en reçois un et qu’il ne me plaît pas, je suis obligé de feindre le contraire, et je déteste ça, parce que mentir n’est pas dans ma nature. Et dans la même logique, lorsque c’est moi qui fais un cadeau, j’ai toujours peur que la personne qui le reçoit soit déçue, et qu’elle fasse semblant de l’aimer.

Je te comprends, étant donné que moi aussi je déteste l’hypocrisie. Lorsqu’il s’agit de faire des cadeaux à mes filles, que ce soit pour Noël ou pour leurs anniversaires, je leur demande toujours avant ce qu’elles veulent. Comme ça, tout le monde est content.

Justement, c’est ce que j’aurais dû faire, mais j’ai craqué avant, et c’est pour ça qu’à présent j’ai des doutes.

Alice réfléchit quelques instants, puis elle me dit :

Tu sais, je crois bien que si je suis tombée amoureuse de toi, c’est parce que tes beaux yeux sont francs comme un coup de hache. On voit tout de suite que tu ne sais pas tricher avec.

C’est, je pense, le plus beau compliment qu’une femme m’ait jamais fait, et sur le coup c’est moi qui rougis, ne sachant pas trop quoi répondre. Par conséquent, elle poursuit, amusée par le fait que les rôles soient inversés :

Si ça peut t’aider, je te promets de ne pas faire semblant d’aimer ton cadeau, si ce n’est pas le cas.

Bien évidemment, je la crois sur parole, et c’est pour ça que je me décide à aller chercher la boîte dans le placard. Étant donné que je n’ai pas mis de papier cadeau, mon petit bout de femme comprend immédiatement qu’il s’agit de nouvelles chaussures, et elle sourit lorsque je les lui donne. Au moment où elle enlève le couvercle, qu’elle jette sur le lit, son magnifique visage devient presque aussi rouge que les sandales, et elle s’exclame :

Elles sont superbes mon Amour !! Mais tu es fou, car je connais cette marque et comme dirait Léo, elles valent leur pesant de cacahuètes !

Je ne vais pas prétendre le contraire. Mais étant donné que c’est la première fois que je t’offre quelque chose, autant que ça vaille le coup. D’autant plus que leur nom est Forever, ce que j’ai trouvé très symbolique.

Puis j’ajoute sur un ton malicieux :

Je suis content qu’elles te plaisent, parce que ça, c’est des pompes de baiseuse de haute-compétition.

Tandis qu’elle rougit, je me mets à genoux devant elle, et elle me donne les sandales une à une pour que je les glisse à ses pieds, les trois courroies du bas étant fixes et les deux du haut s’attachant avec des boucles. Pendant que je fais ça avec autant de douceur que possible, mon sexe qui avait donné des signes de faiblesse se redresse lentement, pour finir complètement raide une fois que j’ai terminé, tant ses mignons petits pieds sont à présent bien mis en valeur.

Lorsque je me relève, Alice me demande en devenant écarlate et tout en décalottant mon gland :

Tu crois que ce sont également des pompes d’enculée ?

Toutes les baiseuses de haute-compétition en sont. Mais dis-moi, tu as fixé un prix pour ton pucelage anal ?

Oui, monsieur. Et il correspond à celui d’une paire de chaussures rouges, fabriquées par un grand bottier parisien.

Cette réponse me fait sourire. Tandis que je pose doucement mes mains sur ses joues, elle place les siennes sur ma taille, et je l’embrasse à pleine bouche. Ensuite, nous nous enlaçons, et nous mélangeons nos salives pendant une dizaine de minutes, ne nous arrêtant que pour reprendre notre souffle. Bien entendu, j’en profite pour caresser ses fesses charnues. Lorsque ma langue est repue de celle de mon amante, nous nous séparons, et je lui dis en désignant le tapis :

Tu sais ce qu’il te reste à faire ?

Sans dire un mot, et en rougissant, elle se met à quatre pattes face au miroir, pendant que je vais chercher du lubrifiant en spray, que j’ai acheté cette semaine et que j’ai rangé dans le tiroir d’une des deux tables de chevet. En revenant avec, vers mon petit bout de femme, je lui explique, tandis qu’elle me regarde à travers la glace :

Certaines femmes ne veulent pas entendre parler de la sodomie parce que ça les dégoûte, d’autres, parce qu’elles ont peur d’avoir mal, et enfin, il y a celles que ça rebute pour ces deux raisons. Mais étant donné que tu es motivée, pour toi, ça va très bien se passer. Le pire qu’il puisse t’arriver, c’est que tu n’aies pas d’orgasme.

Mon amante hoche la tête pour me faire savoir qu’elle a compris, et je continue :

Vu que ce sera ta première fois, je vais quand même utiliser de la vaseline, de façon à ce que tu n’en gardes pas un mauvais souvenir. Parce qu’il y en a aussi qui ont voulu essayer, mais qui n’ont jamais recommencé parce qu’elles ont souffert. Et s’il y a bien une chose dont je n’ai pas envie, c’est de te faire du mal.

J’ai droit cette fois à un petit sourire, et je poursuis tout en me mettant à genoux derrière elle :

Je pourrais te dilater la rondelle avec ma langue, ce qui ne me déplairait pas, mais ce spray est légèrement aphrodisiaque, par conséquent, il sera beaucoup plus efficace. Par la suite, on verra si on peut s’en passer, et c’est ton anus qui nous le dira. Parce que, vois-tu, il va se souvenir de cette première fois, et pour la deuxième il réagira en conséquence. Ah, dernière chose. Il ne faudra pas t’inquiéter si le spray te chauffe un peu parce que ça sera normal, car le but est que tu sois le plus détendue possible.

Alice hoche une deuxième fois la tête, alors je vaporise du lubrifiant sur sa rondelle, avant de faire pareil sur mon sexe toujours dressé. Ensuite, je l’attrape par la taille en ne mettant aucune pression dans mes mains, de manière qu’elle puisse se dérober en cas de problème, puis je pose le bout de ma queue contre son illet.

Lorsque je pousse lentement, mon membre commence à s’enfoncer sans aucune difficulté, et l’anus de mon amante se déride pour lui laisser le passage. Une fois que mon gland est entré, je demande :

Ça va ma chérie ?

Oui mon amour. Ça me fait un effet bizarre, différent de quand tu me prends par le cul, mais ce n’est pas désagréable.

Rassuré, je continue à m’introduire en elle, lorsque j’en suis à un tiers de la longueur de mon membre, je reviens en arrière pour ensuite, m’enfoncer un peu plus profondément, puis je recommence jusqu’à ce que mes bourses viennent au contact de sa vulve. Bien évidemment, à chaque instant, j’ai surveillé les réactions d’Alice grâce à son reflet dans le miroir, pour m’assurer qu’il n’y avait pas de problème, et si ses sourcils sont froncés, c’est, je pense, à cause de sa concentration. Pour m’en assurer, je lui demande à nouveau :

Ça va toujours ?

Oui mon Amour. Ce n’est pas vraiment du plaisir que je ressens, c’est toujours étrange, mais je n’ai pas mal.

Jugeant que sa façon de réagir est tout à fait normale pour une première sodomie, je me recule tout aussi lentement, et mon sexe commence à coulisser comme un piston dans son tube. Au départ, ma partenaire reste passive, sans doute pour pouvoir analyser ses sensations, puis peu à peu, elle se met à bouger elle aussi en geignant doucement. Petit à petit, elle imprime à son corps un mouvement de balancier, venant à ma rencontre lorsque je m’enfonce plus profondément en elle, et s’éloignant lorsque je me retire. Bien évidemment, sa lourde poitrine se met à osciller pour suivre la cadence. La regarder dans le miroir pendre sous son buste et venir buter contre ses bras est pour moi un vrai régal.

Je raffermis alors ma prise sur ses hanches, dans le but d’éviter que mon gland ne ressorte, et nous continuons à nous mouvoir d’une manière parfaitement accordée. Les râles que pousse Alice deviennent de plus en plus longs, sans pour autant augmenter d’intensité, et loin de me contrarier, ils me ravissent, parce que je suis certain qu’ils sont provoqués par le plaisir qu’elle ressent à présent, et que ce dernier va en s’intensifiant.

Bien entendu, il en va de même pour moi, et mes sensations physiques sont accrues par la stimulation cérébrale, non seulement de savoir que la femme que j’aime s’est entièrement offerte à moi, mais qu’en plus, je vais lui procurer une jouissance, qu’elle n’a jamais ressentie avec aucun autre homme avant moi.

C’est pour cette raison que j’ai à présent un mal fou à me retenir d’éjaculer, d’autant plus que mon amante n’a pas dès le départ éprouvé la même excitation que moi, et que de ce fait, j’ai pris de l’avance sur elle. Par conséquent, lorsque ma partenaire s’immobilise et que je sens son anus se resserrer autour de mon sexe, tandis qu’elle pousse un long gémissement, je m’enfonce avec bonheur une dernière fois en elle. Au moment où je me vide dans son fondement en grognant de plaisir, je sens du liquide chaud et légèrement gluant, venir asperger mes testicules.

Bien entendu, j’ai pu observer sur le beau visage d’Alice tous les stades de l’orgasme, et une fois que la longue décharge électrique qui a traversé son corps s’est calmée, c’est sans surprise que je vois ce dernier se détendre. C’est pourquoi je passe à présent mes bras autour de sa taille, et que je l’entraîne avec moi lorsque je me couche sur le côté.

Tandis que nous sommes allongés collés l’un contre l’autre, j’attends qu’Alice reprenne ses esprits en caressant doucement son corps de madone. Au bout de quelques instants, elle me dit en prenant une voix de petite fille :

Ze crois bien que zé fait pipi sur le tapis tout neuf.

Nous éclatons alors tous les deux de rire, et lorsque nous nous sommes calmés je lui réponds :

Oui mon Amour. Tu as eu une très bonne idée, lorsque tu m’as fait remarquer qu’il faudrait qu’on en achète un, pour que tu puisses te vider aussi souvent que tu en as envie.

Tout à coup, mon petit bout de femme se redresse, en s’exclamant :

Foutre !! Mes nouvelles chaussures !!

Je la retiens, avant de lui demander :

Quoi? Elles te font mal ?

Elle me répond d’une voix plaintive :

Pas du tout, mais il y a du jus qui a coulé le long de mes jambes jusqu’à mes pieds ! Alors, j’ai dû les abîmer !

J’éclate à nouveau de rire, avant de répliquer :

Je pense que vu le prix qu’ils les vendent, le cuir doit être imperméabilisé à la pluie. Par conséquent, il doit l’être également à plein d’autres liquides.

À suivre…

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