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Police polissonne – Chapitre 28




« Allumer le feu, allumer le feu ! »…

Les premières flammes mordent les petites branches de bois sec et s’attaquent rapidement aux bûches. La chaleur monte dans la pièce aux murs de pierres de cette maisonnette qui semble sortir d’un autre âge. Le mobilier y est très spartiate : une cheminée entièrement en pierre et un chaudron posé sur le sol habillent le mur le plus large. Au centre de la pièce une table en bois brut et deux bancs peuvent largement recevoir et sans gène toute l’équipe. Face à la cheminée se tient une sorte du buffet à deux portes et un seul tiroir, en ouvrant les portes, on peut découvrir de la vaisselle poussiéreuse. Face au mur ne comportant qu’une fenêtre, une échelle de meunier passe à travers le plafond soutenu par des poutres en bois noircies par la fumée. Elles sont largement décorées par quelques toiles d’aranéides égarées, mais au garde-manger bien garni. L’échelle donne accès à un étage mansardé éclairé par une seule lucarne et bas de plafond. Sur le plancher sont disposées des paillasses en nombre suffisant pour tous qui attendent calmement que l’on vienne s’y coucher.

On frappe à la porte en bois brut, et le sergent accompagné de deux militaires entrent avec un sac isotherme dans chaque main.

Choses promises, choses dues ! s’exclame-t-il en déposant les sacs sur la table. Je vous offre tout ceci en récompense de votre investissement dans les exercices, profitez-en pour reprendre des forces ; je reviendrai demain matin vers huit heures. Bonne soirée, conclut-il en quittant la maisonnette.

Merci chef, à demain et bonne soirée, s’exclame toute l’équipe.

Ils inventorient le contenu des sacs et découvrent des pizzas encore tiède, des boissons sans alcool et aussi des bières. Olivier qui était sorti rentre avec à la main un trépied et une plaque d’acier en s’écriant :

Regardez ce que j’ai trouvé, nous allons pouvoir réchauffer les pizzas là-dessus et au feu de bois ; le grand luxe ! Non ?

Ah oui, ça c’est cool, enchaîne Myriam en dévorant son amoureux des yeux avec gourmandise.

Oui, c’est une magnifique idée, nous allons nous régaler ; et cette initiative mérite une récompense, annonce Christian.

C’est vrai, et que pourrions-nous lui faire pour le remercier ? interroge Sonia.

Oui, et c’est moi qui choisis ; pas vrai mon chéri ?

Tout ce que tu veux, je le ferai, répond Olivier.

Je sais, enchaîne Myriam. On va faire un truc super. Tu vas regarder Simon me sauter pendant que Romain te sodomisera, pas vrai que tu aimes te faire enculer ; mon salaud.

OK, alors à poil ! s’écrie Romain en commençant à se déshabiller.

Non, on baisse le froc et c’est tout ; on fait un truc vite fait, et les autres vous nous matez, rectifie Myriam.

Si tôt dit, sitôt fait. Myriam baisse son pantalon de treillis, Simon a déjà la bitte dehors en érection et empale sa partenaire qui s’accoude sur la table en offrant sa croupe au vit enflammé. Olivier excité par cette action si soudaine bande comme un Turc, car depuis qu’il a découvert le candaulisme ; il prend deux fois plus de plaisir en voyant sa copine se faire baiser pendant que lui se fait enculer. Il ressent un mélange de jalousie en voyant Myriam se faire sauter devant lui, de honte en se faisant enculer en public, ce qui déclenche à chaque fois de puissants orgasmes chez les deux amants. Sonia serre ses jambes car une envie de se faire prendre lui taraude de plus en plus le vagin, mais la consigne est là : ils ne doivent que regarder.

Le feu a perdu de sa vigueur et la lueur des flammes diffuse sur les murs la danse en ombres chinoises des acteurs de cette mise en cul. Sonia transpire à cause de la chaleur du feu mais aussi à cause du fait qu’elle a du mal à contenir son envie. Elle décide de se mettre à l’aise et enlève presque tout ses vêtements de guerrière pour se présenter en boxer et bandeau sur la poitrine. Il faut admettre qu’avec tous les entraînements de sports et tous les exercices pratiqués ; elle a pris des formes qui enchantent les garçons. Sa métamorphose est flagrante. Grâce au développement de sa cage thoracique et de ses pectoraux, son tour de poitrine a considérablement augmenté. Avec ses abdominaux parfaitement bien dessinés, ses bras musclés et ses cuisses puissantes ; elle prend plaisir à se mirer dans une glace quand elle le peut. À la caserne cela lui vaut aussi beaucoup de compliments et de propositions salasses, auxquelles elle ne répond plus. Mais ce soir elle est prête à se laisser faire et compte bien se faire « démonter » selon son expression, car son succès à vaincre ses peurs l’a remotivé ; elle est maintenant certaine de finir cette formation.

Pour se changer les idées, elle met en place le trépied et la plaque au-dessus de la braise. La plaque chauffe rapidement et en attendant que la première pizza soit prête, ils trinquent tous à leur succès. L’ambiance est chaleureuse et la résurrection de Sonia remotive toute l’équipe ; c’est décidé : ils feront corps afin de finir cette formation ensemble.

Alors les filles, en forme ?

Moi oui, répond Sonia. Ce soir je veux bien un petit coup de bitte en guise de somnifère.

Moi aussi, enchaîne Myriam.

Bien, mangeons et nous irons nous coucher pour satisfaire ces dames, s’exclame Christian qui n’est jamais le dernier pour profiter des largesses des deux filles.

Dans la pièce, il fait chaud et tous ôtent leurs treillis pour une tenue plus décontractée. Les pizzas défilent. Ils sont tous ravis du cadeau fait par le sergent, preuve que cet homme n’est pas si sévère avec eux. En réalité c’est une des méthodes pour obtenir de bons résultats et par conséquent : une formation réussie. Il sait que son équipe sera encore plus motivée pour la suite des exercices, et le fait de les laisser seuls et libres de tout mouvement laisse présager une belle soirée. Lui passera sa soirée seule sous la tente, la bitte à la main en pensant à Sonia et son corps parfait. Depuis qu’il l’a vu nue au matin de leur petite fête, et il y a peu, lorsqu’il lui a remonté son pantalon, effleuré ses cuisses et vu de très près sa fente imprimée sur son boxer ; il n’a qu’une envie : la basculer et lui faire l’amour à la hussarde. Mais il n’en fera rien, le risque de tout perdre est trop grand. Si la jeune femme en parle, ce sera la cour martiale et la fin de sa carrière ; alors il préfère s’agiter le poireau en imaginant tout un tas de fantasme, tous les plus fous les uns que les autres. Ce soir il s’imagine nu devant elle, les mains liées dans son dos, et lui à genoux. Elle lui tend son pied nu, il est long et fin, l’odeur de la sueur lui remplit les narines.

Lèche ! lui ordonne-t-elle, d’un ton sec et autoritaire.

Elle tient un fouet à la main, il se courbe en avant pour atteindre du bout de la langue les orteils aux ongles décorés de vernis rouge. Le fouet claque sur le sol, il bande. Dans sa tête la lanière de cuir siffle et s’abat sur son dos, puis elle passe entre ses fesses frappe son anus et l’extrémité bardée de pointes lui lacère la hampe puis les couilles. Il aime être malmené, et jouir dans la douleur ; alors tout en pensant encore plus fort à Sonia, il saisit ses baloches d’une main tire dessus comme pour les arracher et se branle avec force. Il éjacule et continue à se masturber jusqu’à ce que la douleur soit insoutenable.

Dans la maisonnette, les ventres se remplissent, les bières défilent. La bonne humeur est bien là, ils chantent quelques airs de chansons paillardes bien connus ; comme « La digue du cul » ou « Le curé de Camaret » et bien d’autres encore. Sonia excitée par le concours de chant se lève, jette au feu les derniers cartons de pizza vide et saute sur la table.

Elle offre aux convives une danse sensuelle, et vu le peu de vêtements qu’elle porte ; son effeuillage est rapide et se termine en nu intégral. Myriam aussi excitée que son amie, propose un jeu :

J’ai une idée : toutes les deux on passe sous la table et on suce les bittes et si on trouve celle qui correspond à son propriétaire ; alors, il pourra sauter la gagnante.

Belle idée, poursuit Sonia. Mais il faut nous bander les yeux et vous mélanger.

Ah Ouiii… ! s’exclament les garçons.

Elle saute de la table et pour exciter les garçons, et tout en déshabillant Myriam ; elle lui roule une pelle digne des plus beaux films lesbiens. Les hommes au paroxysme de leur forme bandent les yeux des filles puis s’assoient sur les bancs de chaque côté de la table. À tâtons elles passent sous le meuble et embouchent la première bitte. Elles sucent, goûtent, palpent le membre et ses valseuses. Sonia annonce :

Ça, c’est Simon !

Oui, et pourquoi ?

Au goût, on dirait du sucre d’orge.

Puis c’est au tour de Myriam de nommer le propriétaire du vit embouché :

Olivier !

Ouiii…

Et ainsi de suite jusqu’au dernier, et le score tombe : Sonia, trois sur quatre ; Myriam seulement une bitte reconnue est déclarée perdante.

Bravo Sonia ! félicite la perdante. Comme tu en as trouvé trois et que tu as trois trous ; ils te prendront tous en même temps.

Sonia trop contente de cette annonce demande à Simon de s’allonger sur la table de façon à ce qu’il puisse lui enfoncer sa bitte dans le con pendant que Christian l’enculera. Olivier sera sucé à genoux au déçu du visage de Simon. Les hommes s’activent rapidement pendant que Romain lime Myriam à grands coups de reins.

Romain est un rapide, il éjacule d’un coup dans la moule de Myriam, ce qui lui donne une belle idée. Elle saute sur la table, et attrape les tétons de son amoureux pour les lui maltraiter à coups de pincements avec les ongles, si friands de ce genre de supplice ; il s’écrie :

Oh Ouiii… ! Je vais venir…

Myriam repousse la tête de Sonia, récupère le membre de son chéri pour le plonger dans la bouche de l’enculeur d’Olivier, Simon. Celui-ci à la fois surpris et masturbé se retrouve avec sa bitte au fond de la gorge de Simon qui suffoque à l’arrivée des giclées de sperme gluantes d’Olivier. Sonia qui n’a pas perdu une miette de ce spectacle, se retrouve secouée par les spasmes d’un orgasme puissant. Mais le sommeil les gagne.

Quelques bûches supplémentaires dans le foyer pour essayer de tenir la nuit et tous se couchent sur les paillasses. Par galanterie, les garçons placent une fille entre eux pour soi-disant, leur tenir chaud si le feu venait à s’éteindre. Sonia se retrouve blottie entre Christian et Romain, elle sent dans la raie de ses fesses le sexe en demi-érection de Romain qui semble chercher à s’infiltrer dans l’un de ses deux orifices. Elle choisit de diriger l’intrus dans son anus, et l’empoigne pour lui montrer le chemin. Romain s’installe et place sa main sur la hanche de la belle qui en profite pour attraper le sexe de Christian et le masturber négligemment. Ils finissent par s’endormir, le silence règne dans la nuit, seul quelques cris de bêtes sauvages se font entendre.

Au petit matin Sonia est réveillée par le froid glacial qui règne dans la pièce. Elle secoue Romain et lui demande de la prendre dans ses bras pour la réchauffer, il accepte de bonne grâce.

Ah, la vache ; ça caille ce matin, lui chuchote-t-elle dans l’oreille.

T’as raison, je pense que le feu est crevé ; je vais aller voir.

Je viens avec toi…

Comme leurs uniformes sont restés à l’étage du dessous, ils descendent donc entièrement nus. Sonia serre ses bras sur sa poitrine pour tenter de se réchauffer, malgré la puissance de leur lampe torche ; ils n’arrivent pas à trouver leurs fringues toutes entassées pêle-mêle dans un coin de la pièce. Alors ils décident de rallumer le feu.

On refait un feu, ainsi nous aurons chaud et nous pourrons chauffer de l’eau, propose Sonia.

Tu as raison, allez ; dépêchons-nous avant d’être congelés.

Oui, prépare le feu, je vais chercher du bois.

Elle ouvre la porte d’entrée et un vent glacial s’engouffre dans la maisonnette ; mais un sublime spectacle s’offre à elle. Durant la nuit, la neige est tombée et elle entrevoit dans la pénombre du jour naissant le sol et les arbres recouverts d’un manteau blanc immaculé. Grelottante de froid, elle interpelle Romain :

Viens voir comme c’est beau !

Elle pose un pied dans la neige, et se dépêche d’aller prendre du bois sur le tas situe à une dizaine de mètres de la petite maison. La neige crisse sous ses pieds nus, et bizarrement elle n’a plus froid malgré le givre qui se forme sur ses lèvres. Elle a même envie de se rouler dans la neige, comme ça, toute nue. Alors elle rapporte à Romain une brassée de bois et cours vers une étendue un peu en pente et se roule au sol. La neige ? Elle ne l’a vu qu’à la télé, pour elle c’est une découverte ; alors elle s’en donne à cur joie. Quand elle rentre dans la maisonnette, tous sont levés, elle est accueillie par des applaudissements et une énorme bouffée de chaleur émanant de la cheminée.

Tu es folle de te rouler dans ma neige, tu vas attraper la mort, dit Simon.

Mais non, il paraît que c’est très bon pour la santé ; regarde en Norvège. Les gens se baignent à poil dans des trous creusés dans la glace. D’ailleurs, il y a un comme une petite gravière, je vais m’y laver ; des volontaires ?

Je viens avec toi, s’exclame Myriam. Les garçons, vous venez avec nous ?

Non merci…

Eh…, tu as vu ces caguettes ; alors vous préparez le petit-déj.

Les deux filles courent vers l’endroit et plongent dans l’eau glacée. L’eau est si froide qu’elles ont le souffle coupé, mais pour éviter les railleries des garçons et par fierté elles ne disent rien. Elles se lavent rapidement, sortent de l’eau et prennent le chemin en sens inverse pour rentrer à la maisonnette. Le froid les fait frissonner et pointer leurs tétons, ce qui ne déplaît pas du tout au sergent qui vient de faire son apparition au croisement de deux chemins. Les filles ne se démontent pas et vont à sa rencontre pour le saluer. Le sergent surpris par la vision des deux nymphettes marque un temps d’arrêt, et admire les deux filles avant de dire sur un air de reproche :

Mais que faites-vous dans cette tenue ?

Nous laver à la rivière, vous voulez qu’on vous montre ? Et nous pourrions aussi vous laver…

Le sergent balbutie quelques mots, car la situation est quasi insurmontable ; les deux filles nues dans la neige le font bander et pour cacher son érection ; il poursuit son chemin. La vision des deux nanas à l’air innocent et dans cette nudité naturelle lui fait chavirer la tête. Il a soudainement envie de faire demi-tour et de se laisser entraîner vers cet endroit.

Alors il se retourne et…

[À suivre]

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