Histoires de non consentement Histoires de sexe travesti

cadeau pour moi – Chapitre 1




l y a quelques semaines, jétais invité pour mon anniversaire chez ma cousine BATOMA. Je ne refuse jamais rien à BATOMA. Elle est très jolie et franchement elle ma toujours un peu troublé. Cest une blonde aux yeux olive qui sait admirablement bien mettre en valeur sa taille de jeune chatte. Elle samuse énormément à magacer en prenant des poses toujours plus provocantes et en portant des vêtements qui ne cachent rien de ses formes fermes et aguichantes. Elle sait bien trop que jen pince pour elle. Cest donc avec plaisir que jacceptai linvitation.

Lorsquelle mouvrit, elle était moulée dans une robe de tulle noire à travers laquelle je pus nettement discerner les cercles roses de ses mamelons ainsi que le pâle filet de son poil pubien. Elle sourit devant mon étonnement et mintroduisit auprès de ses autres invitées. Étrangement, il ny avait que des filles: une Jolie, vêtue dune salopette sans chandail ni bustier, ce qui me laissait une vue sans entraves sur sa poitrine magnifiquement généreuse, une Elsa qui affichait des airs de gamine avec son pull au dessus du nombril et un jeans hyper serré et enfin une ASSITAN au regard émeraude, un peu à létroit dans un tailleur très chic dont la jupe était si courte que ses fesses rebondies en débordaient. On me servit à boire et je dînai en compagnie de ces quatre magnifiques spécimens, en entretenant des conversations plus ou moins futiles.

Cest alors que minuit sonna et que mes compagnes me semblèrent soudain bizarres. Je vis dabord dans un coin la belle et grande ASSITAN, debout derrière JOlie, lui caressant les seins sous la salopette. Elle en titillait les pointes, les faisant rouler entre le pouce et lindex tout en lui mordillant le cou. Cette constatation me fit bander. Je me retournai du côté de BATOMA qui sétait hypocritement approchée de moi. Je sentis sa main sur ma cuisse et des lèvres se posèrent sur ma nuque. Je sursautai et me retournai pour voir la mignonne OUMOU qui me prit le menton et membrassa avec gourmandise. Ses lèvres pleines engloutissaient les miennes et sa petite langue fouillait ma bouche avec acharnement. Pendant ce temps, la main de BATOMA avait grimpé de ma cuisse à ma braguette et palpa mon sexe déjà dur. Du coin de lil, jentrevoyais toujours les deux filles qui entremêlaient leurs langues tout en se caressant mutuellement les seins. Dailleurs les bretelles de la salopette de JOlie venaient de sauter et jadmirais pleinement sa lourde poitrine pétrie par les caresses de ASSITAN. BATOMA avait dégagé ma bite de son caleçon et semblait très impressionnée par sa grosseur. Elle offrit mon obus à la belle OUMOU. Je sentis sa salive chaude et abondante parcourir mon gland et elle se mit à me sucer en me prenant très profondément dans sa bouche. Je ne croyais pas ce qui marrivait, quand ma superbe cousine se campa devant moi et entreprit de se dévêtir en suivant le rythme dun blues très cochon. Ma queue grandissait sous les coups de langues habiles dOUMOU pendant que javenturais ma main dans son décolleté. BATOMA venait de défaire la première ganse de sa robe et faisait onduler sa longue crinière dorée dans la douce lumière des bougies. Je détachai les agrafes du jeans de la petite OUMOU et le glissai jusquà ses chevilles. Mon sexe mouillé palpitait toujours dans sa bouche chaude mais comme je voulais prolonger tous les plaisirs qui soffraient à moi, je la relevai et me mis à lui manger la chatte à travers sa petite culotte alors que lune de mes mains lui agaçait les aréoles et que lautre lui tâtait les fesses. Jentendais un peu plus loin Julie gémir des obscénités à lendroit de ASSITAN, elle lui disait de lui lécher les bouts et de lui caresser la vulve et ça me rendait complètement dingue. Les fesses dASSITAN étaient tendres et je ne pus mempêcher de faufiler mes doigts sous la culotte pour les écarter et mintroduire dans son petit anus tout chaud. BATOMA, tout en se frôlant le corps de touchés provocants avait laissé tomber la robe à ses pieds me laissant découvrir un porte-jarretelles rouge assez affolant. Les parfums de chattes mouillées emplissaient la pièce et javais presque le vertige tellement je bandais. Je ne savais où regarder tant le spectacle était excitant. Japercevais maintenant les deux filles se chevaucher, devinant que ASSITAN pénétrait son amie de ses doigts puisque Julie lui demandait tout haut de senfoncer plus loin. Jétais fou de désir et ma grosse queue allait leur en faire voir. Cest alors quOUMOU, à qui javais finalement enlevé sa petite culotte afin de mieux caresser sa fente toute humide, sassit sur moi. Son sexe baigné par la cyprine glissait sur ma bite détalon. Son visage trahit létonnement lorsquelle se sentit pleine de ma grosse queue et je voyais ses jolies lèvres qui cachaient à peine son clitoris puisquelle navait aucun poil. Nen pouvant plus, jenfournai plus profondément ma torpille dans lalléchante fente de la rousse OUMOU et la possédai avec ardeur tout en bavant devant BATOMA qui enlevait suavement ses bas de soie. Ses mouvements étaient si sensuels, si provocateurs et en même temps elle me faisait comprendre quelle ne voulait pas que lon sapproche. Si ses amies essayaient de la toucher, elle leur jetait des regards repoussants. Et pourtant elle effleurait les autres avec une indécence qui les attisait. Mon énorme gourdin allait et venait entre les cuisses dOUMOU et jétais très excité mais je les voulais toutes. Je retirai la belle rouquine de moi pour aller vers les deux filles, qui décidément semblaient avoir besoin dune belle grosse queue juteuse pour les assouvir. Jentendais Julie qui me suppliait de venir la prendre et je ne demandais pas mieux. Je pouvais voir ses cuisses ouvertes, sa vulve pourpre à force dêtre léchée et sa copine qui lui dévorait les tétons pour la garder torride jusquà ce que je la couvre de ma puissante étreinte. Je me dirigeai vers elles mais je fus stoppé par Sophie qui me poussa sur un canapé et marracha mes vêtements. Elle me regardait droit dans les yeux et jeus le violent désir de la baiser sur le champ. Je voulus lattirer à moi, elle me résista avec force. Il ne lui restait sur le dos que son soutif rouge sang et sa culotte de dentelle noire. Javais la bite comme une torche et je brûlais de sauter ma belle cousine mais voilà que ASSITAN et Julie me réclamaient. BATOMA me sourit et commença à tourner autour dOUMOU, la provoquant par des attouchements pervers, effleurant la pointe de ses seins de sa langue puis la prenant à revers comme si elle la sodomisait. Mais Julie et ASSITAN mavaient rejoint sur le canapé et toutes deux me suçaient avec énergie, entremêlant leur jolie langue sur mon gland au bord de lexplosion. Julie sétendit alors devant moi, jambes écartées, prête à me recevoir en elle. Son regard bleu acier, posé sur ma bite chargée à bloc en disait long sur son désir. Je mallongeai sur elle et la pénétrai dun grand coup de hanche. Cétait trop bon, JOlie gémissait avec enthousiasme et mon ardeur la dévastait de spasmes. Je sentais la chair de son vagin souvrir sous la charge de mon engin que je lui engageais bien au fond. Pendant ce temps, la délicieuse ASSITAN tâtait mes bourses pleines à craquer et je frissonnai lorsque je sentis quelque chose de tiède et mouillé me fouiller lanus. Elle me forçait de sa petite langue dure et cette nouvelle saloperie me fit contracter les reins tant la sensation était démesurée. La garce devait pourtant me payer cette effronterie. Je délaissai Julie pour me tourner vers ASSITAN qui me jetait des regards de vierge farouche quand je la saisis fermement pour lasseoir sur moi. Je pris bien soin denduire ma bite de salive et je lui enfouis mon gland dans lorifice anal. Je poussai car elle navait vraisemblablement pas lhabitude, sa chair me résistait et je devins malade de désir. Je poussai encore pour percer ce cul délicat et je vins à bout de sa ténacité lorsquil céda enfin à ma charge dans un petit déchirement juteux. ASSITAN poussa un léger grognement aussitôt suivi dune longue plainte jouissive qui malluma à men faire perdre la tête. Je venais de la déflorer Son corps ramollit de plaisir se plia aux saccades que mon dard faisait en la forant, jétais un sultan !

Javais le chibre si gros, si luisant du foutre de ces femmes et je cherchais BATOMA des yeux, BATOMA qui jusque là mavait échappé. Je lapercevais près de lâtre, encore occupée du sexe dOUMOU quand je me rendis compte quelle ne portait plus sa culotte mais plutôt une ceinture munie dun godemiché. Je voyais clairement sa langue se tortiller entre les lèvres de la jolie rousse quand je la vis se lever tout à coup et introduire sa queue de plastique entre les cuisses de sa partenaire. Sen était trop! Il fallait que je la baise, que je la possède ma trop belle cousine. Je me défis de Julie et ASSITAN au bord de lorgasme et, parfaitement étourdi par tous ces relents de vulves en feu, je me glissai jusque derrière BATOMA que je caressai avec ardeur. Toutes ses formes que je désirais tant depuis des années, ses petits seins si durs, son superbe cul quelle mavait si souvent promit sans jamais me le donner Mes mains se gavaient delle, se délectant de chaque centimètre de son corps voluptueux. Ma queue au bord de lextase cognait doucement contre son anus mais cest sa chatte que je voulais remplir. Elle était si mouillée. Elle a laissé OUMOU, ôté sa ceinture et sest collée contre le mur : Prends-moi quelle ma dit, alors je me suis agenouillé pour goûter sa minette, jen avais tant rêvé et je la lui léchai avec une gourmandise débridée, son clitoris titillé à lexcès par mes coups de langue répétés, mon majeur sengouffrant allègrement dans son petit trou arrière et tout son bassin suivant ma cadence déchaînée. Elle continuait de mouiller abondamment et son visage resplendissait de lextase que lui procuraient mes caresses. Ne pouvant plus minterdire davantage de la culbuter, je poussai mon gland entre les lèvres de son vagin, lagaçant un peu jusquà ce quelle me supplie de la prendre enfin, de la dominer, de la posséder, de la dompter. Sentant sa chatte se resserrer sous limpact de mes coups de reins, jai poussé plus loin, encore plus loin, plus fort, plus vite et je lui arrachais des cris et elle en redemandait si bien que jai senti les autres sapprocher de nous et que des lèvres, des mains, des doigts, des langues se sont mêlés à nos spasmes, à nos râles de plaisir et dans un dernier sursaut, je me suis retiré de ce corps splendide afin de les asperger toutes les quatre de mon sperme chaud. Elles avaient le visage luisant de ma semence et jétais heureux comme un dieu. Cétait le jour de mes TRENTE DEUX ANS

Related posts

Les minettes du Val de Saône – Chapitre 1

historiesexe

Bal masqué – Chapitre 2

historiesexe

TOUT NATURELEMENT – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .