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Ma fille se promène toute nue – Chapitre 1




Je m’appelle Martin, j’ai 48 ans. J’écris cette histoire car je suis très embêté par ma fille, Ariane. 

Elle a 18 ans passé, ce n’est plus une petite fille, mais visiblement il y a un mot qu’elle semble ne pas encore avoir assimilé dans son vocabulaire, c’est le mot "pudeur". Depuis toujours elle adore se balader à poil à la maison, et elle continue maintenant qu’elle est grande. Elle prétend qu’elle se sent plus libre sans vêtements qu’elle est mieux comme ça… Et si on lui fait des remarques, elle nous répond, insolente et exaspérante : "On est à la maison, vous êtes mes parents, je vois pas en quoi ça vous gêne !". 

Le problème c’est qu’en effet ça nous gêne. Moi surtout. Car Ariane est une très jolie fille, elle a toujours été très mignonne. De beaux cheveux longs blonds, des grands yeux bleus, un petit nez retroussé, des lèvres pulpeuses. Mais surtout depuis un certain temps elle a beaucoup grandi, pris de belles formes. Il est impossible, même pour un papa, d’ignorer ce qui est devenu un beau corps de femme. Tout comme sa mère, elle a une très grosse poitrine. Je ne me lasse pas de l’admirer, j’envie l’homme qui un jour mettra son nez entre ses deux fantastiques seins. Quant à son cul, il est plutôt petit, mais d’une rondeur parfaite. Ses hanches, très fines accentuent l’impression de féminité qui s’en dégage.

Alors lorsqu’elle vient me mettre tout ça sous le nez, passe et repasse devant moi dans le plus simple appareil en refusant de s’habiller, ça me rend fou. Je sais que ce n’est pas parce qu’un papa a un petit faible pour sa fille qu’il doit y céder, mais c’est dur de rester insensible.

Je me rappelle qu’un jour, en fin d’après midi, j’avais trouvé Ariane endormie dans le sofa du salon, sans culotte, allongée les jambes grandes écartées. Sa position ne cachait rien de son intimité, sa jolie minette exhibée sans la moindre pudeur. Avant de la réveiller, intervenir pour lui demander de s’habiller, je suis resté quelques secondes pour l’admirer. J’étais fasciné. Pourtant ce n’était pas la première fois que je le voyais, ce minou. Mais je ne l’avais jamais regardé dans le détail. Ariane ne s’épilait pas, contrairement à beaucoup de jeunes filles de son age, et préférait rester au naturel. Mais il ne s’agissait pas de cette toison dure et crépue de certaines filles brunes. Ariane était plutôt blonde et les poils de sa minette étaient fins, doux et longs. Ces poils là donnaient plutôt envie de les caresser, les enrouler autour des doigts, se frotter contre eux, comme le pelage d’un petit animal doux. Cette toison ne cachait pas les lèvres de sa vulve qui était de belle taille. Il était rare pour une jeune fille d’avoir de si belles lèvres, charnues, proéminentes. Du coup son sexe en devenait fascinant, incontournable, omniprésent. Je suis ainsi resté un moment comme ça, à le regarder, avant de m’éclipser sur la pointe des pieds, sans même réveiller Ariane.

Le problème est que l’image de son beau minou est restée gravée dans ma tête. Je n’arrêtais pas d’y penser, y compris le soir même en faisant l’amour à ma femme. Pénétrer le sexe de sa femme en pensant au minou de sa fille, c’est vraiment un comble ! J’avais vraiment honte. Que je mâte discrètement Ariane, admiratif et fier de sa beauté, c’est une chose, mais de là à fantasmer sur elle, c’est un pas que je ne voulais pas franchir.

Il y a peu de temps, j’ai donc décidé de lui parler franchement, lui expliquer pourquoi une jeune fille ne doit pas se promener toute nue devant son père. Un après midi, alors que Michelle, ma femme était sortie faire des courses, je suis donc allé dans la chambre d’Ariane. Je l’ai trouvée sur son lit en train de bouquiner. Conformément à son habitude elle était habillée d’un débardeur mais pas de culotte. 

— Ariane, ma chérie. J’ai bien réfléchi. Il ne faut plus que tu continue à te promener toute nue, tu n’as plus l’age. Tu es majeure maintenant !

— Pourquoi papa ? Je ne comprends pas où est le problème.

— Ca ne se fait pas, voilà tout.

— C’est faux, papa. J’ai des tas de copines qui se promènent à poil chez elles.

— Ce que font tes copines ne me regarde pas. C’est gênant pour ta mère et moi que tu sois toute la journée à poil, un point c’est tout.

— Gênant ? Mais peut être que c’est juste TOI qui est gêné, non ? Tu joues au papa choqué, mais si ça se trouve peut être que ça te plaît, au final, de me voir toute nue ! Hein ? Tu me regardes tout le temps avec des yeux de merlan frit. Je suis plus une gamine, tu sais, j’ai bien compris ! Avoue que ça te déplait pas tant que ça, de voir mon cul !

Je suis resté bouche bée, stupéfait par l’aplomb de ma fille. Elle était insolente mais elle avait raison. En effet, j’étais fier d’avoir une fille avec ce corps parfait, si excitant, ces beaux gros seins et ces fesses superbes. Elle avait bien remarqué mes regards admiratifs. Mais il m’était bien sûr impossible de l’avouer.

— Ecoute, Ariane. Cette conversation est stupide. Je suis ton père, ne l’oublie pas. Et puis referme tes jambes, s’il te plait, on voit tout, là ! 

Ma fille me regarda droit dans les yeux. Je n’aimais pas ça, ce regard provocateur. Au lieu de m’obéir, la petite peste ouvrit alors encore plus les jambes, dévoilant complètement sa chatte blonde. Elle souriait, arrogante et provocatrice.

— Non. Je vais pas arrêter, papa ! Je vais même faire mieux…

Elle commença alors à se caresser, passer les doigt dans ses poils. Puis elle se rapprocha de sa vulve, passa les doigts entre ses lèvres, qu’elle écarta. J’étais stupéfait, incapable de bouger ou de dire quoi que ce soit et, il faut bien l’avouer…complètement fasciné aussi…

Puis Ariane passa les doigts autour de son clitoris. L’opération semblait très agréable et elle ne put contenir un petit gémissement de plaisir. Elle commença alors à s’introduire un doigt tout au fond de la chatte, le remuant en soupirant.

— Mmmh, c’est bon ! Ca t’excite, hein papa ? Montre moi, que ça t’excite, s’il te plaît ! J’ai envie de voir ta queue, je suis sûre que tu bandes.

Là Ariane allait trop loin dans la provocation. Certes je bandais dur, mais je n’admettais pas qu’elle me parle comme ça. Il fallait que je réagisse vite, car je me sentais tellement excité que bientôt je n’en aurais plus la force de résister.

— Ariane ! Si tu veux pas arrêter, c’est moi qui vais te faire arrêter !

Je grimpais sur son lit pour l’attraper. Je cherchais à lui bloquer les bras, l’empêcher de continuer à se caresser. Il s’ensuit une brève lutte entre nous deux. Soudain, par un souple volte face elle réussit à se dégager de mon emprise et me fit basculer du lit par terre. Je m’étalais lourdement au pied du lit. Prestement, Ariane sauta à son tour du lit et se précipita sur moi. Elle s’assit sur ma tête, accroupie, les fesses sur mon visage, en tenant fermement mes bras pour m’empêcher de bouger. C’était une prise de judo que je lui avais apprise à l’époque. Sauf que contrairement à ce qui se pratique au judo, là elle était toute nue et avait la chatte sur mon visage. Elle l’avait fait exprès bien sûr.

J’avais les lèvres de sa vulve humide sur le nez, et ses poils qui me rentraient dans les narines.

Elle profita alors de cette position, accroupie assise sur mon visage, me bloquant tout le haut du corps, pour agripper mon pantalon et le pousser vers le bas. Ma queue jaillit comme un diable de sa boite.

— J’avais raison, Papa ! Tu bandes ! j’en étais sûre ! 

Ariane avait elle déjà vu un sexe d’homme en érection, aussi excité ? Je n’en savais rien. Ecrasé par les fesses de ma fille, les bras bloqués, j’essayais une dernière fois de bouger. En vain. 

Je sentis alors quelque chose de très doux envelopper mon sexe. Le temps que je réalise ce que c’était… Trop tard, la petite chipie avait ma queue dans sa bouche. Elle se mit à me sucer avec délice. 

— Mmmh ! Oui, c’est bon ça, papa ! 

J’abandonnais le combat. Lorsqu’une si belle nymphette vous fait ce genre de choses, même si c’est votre fille, il est impossible de résister.

Il faut dire aussi que sa bouche était d’une habilité surprenante. Son abondante salive lubrifiait parfaitement ma queue, et Ariane dosait parfaitement la nécessaire pression des lèvres sur le corps de mon sexe, tout en restant légère, délicate. C’était divin. Mais terrible aussi : ma propre fille, ma petite Ariane chérie en train de me faire une fellation, et en plus elle se débrouillait bien ! Et moi qui la laissait faire !

Je pensais à Michelle. Elle était partie faire des courses, elle en avait pour deux heures au moins. Ariane le savait. A présent, elle s’était à présent retournée est s’était assise sur mon ventre, ma queue droite et dure derrière ses fesses.

— Viens papa ! J’ai envie de baiser ! Et j’ai envie que ça soit toi qui me baise ! 

— Tu es folle, ma chérie, arrête ça tout de suite  ! 

— Pourquoi ? T’as pas envie de moi ? 

Bien sûr que si, j’avais envie d’elle. Ariane était magnifique. Elle était extraordinairement excitante. J’avais au dessus de moi la jeune fille la plus bandante que je connaisse. Et pour mon plus grand tourment elle se trouvait être ma propre fille ! 

Comme j’hésitais encore, à nouveau ce fut Ariane qui pris l’initative. Elle n’eut qu’à lever les fesses pour les redescendre au dessus de ma queue. Sans que je comprenne comment, elle avait guidé mon sexe vers sa vulve et je le sentis glisser doucement à l’intérieur de son vagin. Ariane ouvrit des yeux ronds de surprise, comme si elle ne s’attendait pas du tout à ce genre de sensation, d’avoir ma queue en elle.

— Putain, papa, que c’est bon de te sentir ! Pourquoi avoir attendu aussi longtemps ? 

— Je sais pas, ma chérie…Je n’ai jamais osé. 

— Bon, pas grave, mais maintenant que tu y es, vas y, fais moi l’amour !!!!

L’impensable était en train de se produire : moi, le père de famille respectable, cadre dans une grosse entreprise et époux attentionné, j’étais en train de baiser ma propre fille. Et en plus je me régalais. Ariane, toujours au dessus de moi, se mit à monter, descendre sur mon sexe, d’un rythme lent et suave. Qu’elle était belle ! Yeux fermés, toute entière concentrée sur la jouissance de sentir mon sexe en elle. Puis elle se dégagea sur le coté, s’allongea jambes grandes écartées. 

— Viens dessus moi, papa !

Je lui obeissais et pénétrais à nouveau sa petite chatte.

Mes va et vient à l’intérieur d’elle étaient au début un peu timides, délicats, j’y allais doucement. Je poussais jusqu’au bout. Ariane gémit de plaisir. Peu à peu j’accélérais. Finalement, je la bourrais de coups de rein bien sentis qui auraient démonté des moins solides que ma fille chérie.

Ariane gémissait, criait, gesticulait, jouissait. Visiblement son papa lui faisait les choses qu’elle semblait beaucoup aimer.

Elle se retourna, se mit à quatre pattes.

— Papa, viens, maintenant prends moi par derrière, en levrette, comme maman !

Comment ma fille savait elle que c’était la position favorite de ma femme ? Peut être le soir nous espionnait elle, par le trou de la serrure de notre chambre, tout en se masturbant ? Peu importe. J’accédais à son désir. A nouveau je la pénétrais, avec le même incroyable plaisir. 

Puis Ariane se retourna à nouveau. J’écartais, levais ses jambes bien haut, puis revenais en elle pour lui faire l’amour encore et encore.

Ce n’est qu’au bout d’une demi heure de plaisir et de positions variées que je sentis la jouissance monter, impossible à controler. 

— Ma chérie, je vais…

— Non papa ! Ne jouis pas à l’intérieur de moi. Je ne prends pas la pillule !

Quel idiot ! Quel triste papa je faisais ! Bien sûr qu’elle ne prenait pas la pillule !

— Viens jouir dans ma bouche papa ! J’ai envie de ça. Après on verra, pour une prochaine fois. 

Y aurait il une prochaine fois ? Visiblement Ariane y comptait bien.

Elle mit ma queue dans sa bouche, et moins de 30 secondes après j’explosais dans une jouissance extatique. Quel bonheur ! Je déversais des litres de sperme dans la bouche de ma petite chérie, puis sur son visage. J’en eu honte, mais que c’était bon ! Ariane en avait partout, le sperme coulait sur ses seins, son ventre, et elle se l’étalait sur le corps avec un plaisir non dissimulé. 

C’est à ce moment là que nous entendimes le bruit de la voiture de Michelle qui rentrait à la maison.

— Merde, c’est maman ! Pourquoi elle rentre si tôt ?

— Va vite dans la salle de bain, Ariane, dépêche toi ! Va te laver.

Ariane avait plein de sperme partout. Ma femme l’aurait remarqué, immanquablement… Le temps qu’Ariane s’éclipse, que j’enfile mon jean et un t shirt, Michelle ouvrait la porte. Elle me trouva assis, l’air de rien, dans le canapé du salon.

— Philippe, tu es là ? Je croyais que tu rentrais tard ? 

— Non, ma chérie, ma réunion a été annulée cet après midi. 

— Et Ariane elle est là ?

— heu… oui, elle prend une douche je crois …

Quelques minutes après, Ariane sortit de la douche. Bien sûr, comme à son habitude, elle était à poil, avec juste sa serviette qui lui couvrait les seins, mais pas les fesses. Ce qui ne surprit pas ma femme. 

— Ariane, ma chérie, dit Michelle, ton père a raison, tu devrais arrêter de te promener toute nue !

Ma respiration s’arrêta et je devins rouge comme une pivoine. J’eu peur que ma femme ne s’aperçoive de quelque chose ou qu’Ariane, par une parole imprudente ne lui mette la puce à l’oreille sur ce qui venait de se passer. Mais ma fille répondit de façon admirable : 

— Ok maman, rigola Ariane, c’est bon, je vais mettre une culotte.

Ma femme fut agréablement surprise de cette bonne volonté apparente. Elle regarda Ariane qui quittait la pièce.

— On dirait qu’elle devient un peu plus raisonnable ces derniers jours, tu trouves pas, mon chéri ? C’est agréable.

Par bonheur me femme ne fit pas attention à mon trouble. Mais si elle avait pu lire dans mes pensées, elle aurait découvert que bien plus que sa bonne volonté, c’était le minou de ma fille que je trouvais agréable. Et j’avais bien l’intention d’y goûter à nouveau…

— Oui, ma chérie. En effet, je la trouve très aimable ces derniers temps, vraiment gentille…Pourvu que ca dure !

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