Les 12 servitudes d’Hélène : 3e servitude, êta dans la cage dorée –
La jeune et belle esclave fut ainsi menée de par les rues du port, jusqu’au camp, de tentes des Hittites. Au bout du fil si fragile qui la reliait à son nouveau Maître, Hélène sans effort avait su trouver le rythme pour éviter qu’il ne se brise. Elle avançait docilement, admirant l’espace somptueux dont le noble Seigneur qui l’avait achetée à prix d’or avait fait un site somptueux. Les tentes, hautes et vastes, étaient tissées dans les plus belles étoffes et de nombreux esclaves allaient et venaient aux quatre coins du camp afin de porter des plateaux de victuailles, de nettoyer en permanence les allées… C’était éblouissant de luxe et de beauté ! La petite troupe s’arrêta à l’entrée de la plus belle de toutes les tentes, installée juste au coeur du dispositif. Des esclaves mâles, nus et à la peau recouverte d’une fine poudre d’or vinrent se placer aux pieds du palanquin dans lequel était installé Hantili afin de lui offrir un escalier de corps sur lequel il évitait de souiller Ses Pieds dans le sable. Puis il entra dans ses appartements, laissant êta entre les mains de son principal serviteur. Celui-ci vint libérer êta de son collier
— Esclave, je suis Yamkhad, premier eunuque de la Cour d’Hantili. Je vais te préparer à servir ton Divin Maître, dit-il avant d’entraîner êta sous une autre tente.
Tente toute proche mais de dimensions plus modestes. Sous cette tente régnait une ambiance étouffante due sans doute à plusieurs braseros qui emplissaient l’espace d’une fumée parfumée. Trois femmes esclaves attendaient et s’approchèrent d’êta dès qu’elle pénétra en compagnie d’Yamkhad qui alla prendre place dans un large siège de bois sombre garni d’épais coussins… L’eunuque s’installa confortablement et, tandis que les trois femmes entreprenaient de laver et préparer êta, il commentait la nouvelle situation de l’esclave blonde…
— Saches qu’en royaume hittite, l’esclavage est un statut qui n’est pas dénué de droits. Les gens asservis par notre royaume peuvent aller en justice, se marier avec une personne libre, posséder des biens… Mais saches aussi qu’en ce qui te concerne, il n’en est rien ! Tu n’es pas enregistrée sur nos tablettes comme une esclave, mais comme une tête de bétail, ce qui fait de toi une créature animale et sans droit.
Les femmes frottaient le corps d’êta avec de rugueux gants de crin, faisant rougir la peau d’albâtre, mais sans la blesser… puis elles la frottèrent avec des pièces d’étoffe plus douce… Alors que l’une d’elles peignait les longs cheveux d’or, une autre s’appliquait à raser et épiler avec précision sa toison intime… Tandis que l’eunuque poursuivait
— Tu appartiens au troupeau Du Divin Hantili, l’un des plus grands Seigneurs de notre empire. Ton Maître est de trop haute ascendance pour se souiller en t’utilisant lui-même… Mais Le Noble Hantili apprécie que son bétail humain, mâles et femelles soient dressés à satisfaire les caprices les plus improbables de Ses obligés. Je sais que tu as déjà subi l’éducation d’une putain grecque… Mais Nos Goûts sont bien plus raffinés et … exotiques. Il te faudra donc apprendre encore et ne jamais décevoir Le Divin Hantili, car le seul châtiment pour une faute est la mort…
êta, les yeux baissés, écoutait attentivement le discours de Yamkhad tout en abandonnant son corps aux trois femmes qui la préparaient. Après avoir lavé ses longs cheveux, les avoir démêlés et coiffés, avoir rendue lisse et fraîche son intimité, elles étaient en train de couvrir son corps d’une fine huile parfumée, tout en le parsemant de poudre d’or. Ses tétons avaient été décorés de somptueux bijoux qui formaient une fleur composée de dizaines de pierres précieuses et dont le pistil était une pince qui mordait cruellement dans la chair érigée. Une fine chaîne d’or soulignait sa taille et un collier d’or pur s’était refermé autour de son cou, directement fermé par la fusion. Celui-ci était destiné à n’être jamais enlevé, définitivement scellé et signifiant son état… Yamkhad n’avait pas fini…
— Ce soir, dans quelques instants, tu vas être menée devant Hantili afin qu’il juge de tes qualités. Tu ne devras ni t’exprimer, ni rechigner… mais au contraire te livrer totalement à tout ce qui sera exigé de toi, docilement, servilement. Si tu passes cette épreuve, alors tu compteras au rang des femelles du troupeau Du Divin Hantili et tu auras le privilège exceptionnel de Le servir de tout ton corps puisque cela seul compte
Terminant sur ces mots, il se leva et quitta la tente sans un mot de plus ni un regard pour le groupe de femmes. Les trois esclaves en finissaient avec la préparation d’êta, lui composant une chevelure haute qui dégageait parfaitement son joli cou ceint du collier d’or et la maquillant au goût des Hittites, avec force couleurs sur les paupières et noir autour des yeux… Enfin, lorsque la belle esclave fut prête, elle fut menée devant Hantili… C’est ainsi qu’êta découvrit la fabuleuse tente d’Hantili… Un espace immense au centre duquel trônait l’adipeux Seigneur hittite, sur un siège surélevé par une volée de marches, entièrement de bois doré et de fourrures… Hantili était assis, quelque peu avachi, avec à Ses Pieds deux esclaves nus à 4 pattes et immobiles; tête baissée… un mâle et une femelle, reliés chacun à un accoudoir du fauteuil par une chaîne d’or. D’autres esclaves nus, placés sur les côtés, agitaient avec élégance des bouquets de plumes afin d’apporter de l’air frais à Leur seigneur qui transpirait cependant à grosses gouttes. Et près du trône, des plateaux étaient disposés, recouverts de victuailles, où une esclave (sur un geste d’Hantili) se saisissait régulièrement d’une part de nourriture à l’aide d’une pince qu’elle présentait ensuite Au Maître afin qu’il s’en saisisse du bout des lèvres… Seules ces pinces d’or étant dignes de porter des aliments à Sa Bouche… Sur le devant de ce dispositif, un vaste espace presque entièrement dégagé, dont le sol avait été recouvert d’épais et luxueux tapis et pour unique meuble une table en bois précieux… C’est là que fut menée êta que l’on fit s’agenouiller au pied des escaliers menant au trône… La voix de Yamkhad retentit derrière elle…
— Oh Divin Hantili, Seigneur d’Hattousa, voici l’humble créature que tu as choisi pour intégrer le cheptel-harem de ton bétail des plaisirs… Qu’elle subisse Sous tes Yeux Merveilleux les épreuves et sache Te contenter en toutes choses !
Puis claquant dans les mains, il se retira dans un recoin de la tente tandis que deux guerriers aux luxueuses livrées s’emparaient d’êta et l’installaient sur la table, lui écartant largement les cuisses, le ventre offert, ses membres pendant de part et d’autre du plateau de la table… Un air de flûte s’éleva alors don ne sait où et un grand panier d’osier commença à trembler, avant de tomber sur le sol et que, son couvercle détaché, s’en échappe un énorme et très long serpent à la langue sifflante.. Lentement le reptile progressait vers la table où gisait êta… ondulant au gré des notes de la flûte… Le plus grand silence régnant tout autour… Arrivé tout près de la table, le serpent commença à glisser lentement contre la cheville d’êta, l’entourant avant d’entreprendre de la suivre vers la cuisse… puis remontant lentement, il parvint à l’aine légèrement frémissante d’êta qui ressentait l’humide fraîcheur des écailles sur sa peau tiède. La tête du serpent se rapprochait maintenant du pubis, tandis que le reste de son énorme corps luisant était remonté sur le corps de l’esclave et se lovait tout autour, tandis que peu à peu, le museau de l’animal glissait lentement entre les lèvres intimes…
Immobile, êta subissait cette présence sans réagir, sentant la froideur des écailles fouissant dans ses chairs, l’ouvrant lentement, s’immisçant doucement en elle tandis que le reste du corps reptilien l’enserrait et la paralysait totalement. Lorsque sur un son plus aigu de la flûte, son corps se raidit sous une poussée entre ses cuisses, elle ne fit en fait aucun mouvement, prisonnière du serpent qui la pénétrait…Puis l’instrument de musique changea de ton et, docilement, le serpent abandonné le corps chaud et doux de l’esclave pour regagner son panier. Déjà, des tambours avaient remplacé le son aigrelet… Et des esclaves mâles noirs de haute stature, totalement nus et exhibant d’épais sexes tendus dansaient autour du corps exposé d’êta… Ils étaient six et deux d’entre eux s’approchèrent, soulevant l’esclave et la tendant au-dessus de leurs têtes, à bout de bras, avant de la passer à d’autres tout en poursuivant leur danse virevoltante. êta passait ainsi de mains en mains,jusqu’au moment où, un ultime fracas des tambours laissa place au silence… êta fut alors lentement descendue et tenue à bout de bras par deux des hommes ébènes… Ils lui tenaient les épaules et les cuisses, écartant largement celles-ci… les quatre autres immobiles attendaient, avant de reprendre leur sarabande lorsqu’à nouveaux, les tambours retentirent. Alors, chacun à son tour, ils vinrent près êta et la pénétrèrent pour la saillir longuement…
D’abord presque indifférente, êta devenait peu à peu plus réceptive… et les danseurs devaient faire preuve de force afin de contenir les tressaillements du corps de la blonde esclave qui se livrait avec de moins en moins de retenue à la plus expressive des jouissances… Lorsque vint le sixième, celui qui arborait le plus épais et le plus long des phallus ayant jusqu’ici pénétré êta, elle était comme prise de spasmes et ouvrait d’elle-même ses cuisses encore plus largement afin qu’il la prenne… êta ne pouvait pas contrôler ses appétits sexuels depuis qu’elle était le jouet des plans d’Une déesse vengeresse. Cette dernière avait fait d’elle une femelle aux appétits insatiables, capable de se livrer aux plus folles pratiques. Le supplice était qu’êta, bien qu’ignorante quelle avait été la Belle Hélène de Troie avant son amnésie provoquée, était consciente que ses actes dans son divin et sublime corps étaient les plus avilissants que l’on puisse imaginer. Et pourtant, elle n’en avait jamais assez, elle désirait ardemment être ainsi possédée, sans aucune limite, sans aucune retenue, dans les plus impudiques des situations…
Le sixième homme venait d’entrer en elle… elle le comprit au feu qui s’emparait de son bas ventre… elle ne put contenir un long gémissement tandis qu’il allait et venait en elle, poussant son pénis démesuré jusqu’au plus profond d’elle en dincroyables et puissants coups de reins virils… Elle se cambrait et gémissait bruyamment sous ces coups de boutoir, couvrant même parfois le chant pourtant puissant des tambours. Et lorsqu’il se retira au bout de très très longues minutes dune cadence infernale, c’est par des hurlements de plaisirs sans fin qu’elle signala sa jouissance qui s’était saisie d’elle, alors qu’elle glissait dans une sorte d’inconscience lucide…
Inconsciente, êta avait été transportée sous une tente et une autre esclave tamponnait son front à l’aide d’une éponge parfumée lorsqu’elle reprit ses esprits. La cascade d’orgasmes qu’elle avait ressentis lorsqu’elle avait été livrée aux danseurs à la peau d’ébène l’avait totalement extraite de toute lucidité. Dun orgasme à l’autre, elle avait ressenti une incroyable série de "décharges" qui avaient peu à peu anéanti sa capacité à raisonner pour ne faire d’elle qu’un réceptacle du plaisir qu’ils lui offraient… elle avait été emportée, annihilée, dissoute dans ce flot de plaisirs qui l’avait comme éparpillée avant que, lentement, elle ne retrouve et ses esprits et un minimum de contrôle sur son corps. Elle était nue et lavée des onguents dont son corps avait été oint avant qu’elle ne soit offerte en spectacle à son Maître Hantili… La femme esclave qui s’occupait maintenant d’elle gardait les yeux baissés et ne prononçait pas le moindre mot. Elle se contentait de nettoyer avec douceur le corps d’êta, en s’appliquant à agir avec légèreté, car certains contacts vrillaient encore le corps de la sublime blonde, plusieurs heures pourtant après la fin de cette danse érotique. Yamkhal se tenait à proximité, confortablement installé dans un fauteuil dosier de qualité posé à proximité de la couche sur laquelle reposait êta. Yamkha apparaissait encore flou à l’esclave, mais tandis qu’elle recouvrait sa lucidité, elle parvint mieux à saisir ses traits…
— Ne dis rien ! ordonna-t-il sans bouger de son siège, ton Maître est satisfait de ta prestation. Tu es la première qui parvient à enchaîner ainsi orgasmes sur orgasmes aussi longtemps et sans aucune interruption, jusqu’à jouir plutôt (il sourit) sauvagement sous les coups de boutoir de l’ultime danseur… Tu as manifestement acquis une belle endurance et lorsque ton dressage sera achevé, tu pourrais devenir une parfaite servante pour le Divin Hantili… Mais tu as encore beaucoup à apprendre et pour commencer, tu vas être châtiée pour avoir osé perdre connaissance en présence de ton Seigneur et Maître sans qu’il y ait préalablement consenti…
Puis Yamkhal se leva et quitta la tente… laissant êta encore chancelante, entre l’angoisse et l’ivresse… Une heure plus tard, êta totalement nue, était suspendue à un haut portique, en plein centre du campement hittite. Des chaînes écartelaient ses bras et ses jambes, exposant son corps lisse et pâle dans la plus totale impudeur. Ses cheveux, lourde masse aux reflets d’or, avaient été ramenés en un haut chignon afin de dégager parfaitement ses épaules et son dos. Ses seins d’albâtre se révélaient d’une merveilleuse fermeté et ses lèvres intimes, roses et gonflées étaient exhibées par la façon dont ses cuisses étaient largement ouvertes par la position imposée… Des dizaines de membres de la délégation hittite étaient rassemblés autour du portique, à l’exception d’un côté où avaient été regroupés les esclaves, mâles et femelles mêlés, tous à genoux et les poignets entravés dans le dos. Sous la surveillance de guerriers brandissant de longs fouets de cuir tressé, ils fixaient la nouvelle esclave ramenée la veille et exposée aux yeux de tous afin de recevoir une sévère volée de coups… Proche de l’esclave punie, Yamkhal lisait l’acte de punition, afin que la peine infligée serve d’exemple à tout le bétail humain appartenant au Divin Hantili. Il lisait depuis un long, long moment, la liste des Titres et Lettres de Noblesse d’Hantili, infligeant ainsi une première punition à tous les présents. Enfin, il en termina et loua Les Dieux d’avoir permis à tous ceux ici réunis de servir le Plus Exceptionnel des Maîtres…
— L’esclave êta va subir le fouet de feu pour avoir indisposé son Seigneur et Maître, Le Divin Hantili, en osant perdre connaissance sans qu’Il lui en ait accordé la permission. Tous, esclaves, ne doivent le droit de vous mouvoir, de vous nourrir, de respirer uniquement quà la Bonté de votre Maître ! Il n’est aucun geste qui ne dépende de Son Bon Vouloir et agir sans Son Consentement est passible des pires tourments. Cette esclave, lorsqu’elle aura reçu son juste châtiment, sera livrée aux dix guerriers les plus méritants ayant prouvé leur courage, leur dévouement et leur virilité au cours de la dernière bataille… (il s’éloigna…) Bourreau, commence ton office !
Un long sifflement, qui fit sourire l’assistance et trembler les esclaves agenouillés, car ils connaissaient le sens de cette terrible musique. Et, brusquement, un bref mais puissant claquement… êta bien qu’immobilisée avait tressailli de tout son corps. La douleur avait fini de la ramener à la réalité… le deuxième coup lui arracha un cri ! Le sifflement, puis le claquement du cuir tressé sur la peau, les cris d’abord, puis peu à peu les gémissements… telle était la mélodie qui raisonnait dans le campement depuis de longues minutes. Sous les coups, êta souffrait, mais paradoxalement elle éprouvait aussi une incroyable sensation d’abandon, dun plaisir lequel elle aurait été incapable de lui donner un nom si ce nest celui de lexcitation sexuelle… Elle savait que son corps se couvrait de sanglantes estafilades, et elle ressentait la terrible morsure du fouet marquant sa chair fragile… Mais cette cruelle douleur l’excitait aussi jusqu’au plus profonde de son être… elle aimait cette souffrance, cette humiliation de son corps tourmenté, offert aux coups et aux regards concupiscents. Si elle gémissait de douleur, c’était aussi de désir. Un désir qui brûlait entre ses cuisses, dans son ventre, plus cuisant encore que la longue lanière de cuir qui frappait et frappait, laissant de sanguinolentes zébrures sur son dos, sur ses épaules, sur ses cuisses et son cul ! Lorsque s’abattit l’ultime coup, elle hurla… hurla autant de souffrance que de plaisir intense, car elle jouissait à l’instant même où cessait le châtiment, oui elle jouissait dun si violent orgasme que son cri orgasmique se confondait avec celui de la douleur … le sang gouttait lentement des plaies de son dos et de sa chatte coulait la preuve de sa jouissance… Le plus absolu silence avait gagné toute l’assistance, tant toutes et tous avaient ressenti ces forces qui luttaient en elle… Souffrance et plaisir, humiliation et jouissance… Yamkhal s’approcha d’elle et passa sa main entre ses cuisses souillées de sa mouille gluante… Impressionné, il sourit…
— Je n’ai jamais vu une pareille catin ! Vraiment incroyable Tu es la première qui jouit ainsi sous les coups… Peut-être en faudrait-il encore ?
êta ne put répondre… elle gémissait, la tête branlante… les lèvres tremblantes… le pire était passé, car elle savait, sans le comprendre, que son corps pouvait subir les pires tourments. Elle en ressentait la douleur comme toute autre comme tout être humain, mais les effets de cette douleur s’estompaient presque immédiatement comme selon la Volonté des Dieux. On pouvait ainsi la tourmenter de multiples façons, et disposer promptement d’elle, ce qui avait été l’une des raisons de son succès lorsqu’elle n’était qu’une pornaï du port… Cette étonnante constitution (dont elle ignorait bien sûr qu’elle faisait partie de la Divine Malédiction dont elle était frappée) offrait à ses tourmenteurs tellement de possibilités ! On la détacha du portique et on l’installa sur une sorte de chevalet, le corps penché en avant, les cuisses largement ouvertes et le cul idéalement accessible… Une dizaine d’hommes s’approchaient, échangeant des sourires graveleux…Yamkhal prit encore la parole…
— Ces hommes ont combattu bravement, ils ont pris une part essentielle à notre victoire contre les barbares. Tu es leur récompense. Ils peuvent disposer de toi jusqu’au coucher du soleil… il n’y a aucune limite à ce qu’ils peuvent te faire… sauf t’abîmer… Mais tu leur ouvriras docilement tous tes orifices et tu satisferas toutes leurs exigences… d’ailleurs tu n’es pas en position de t’y refuser… Alors ouvre-toi largement et reçois les… qu’ils jouissent de tes services et t’inondent de leur glorieuse semence, pour La Gloire du Divin Hantili !
Et l’eunuque s’éloigna… tandis que les dix guerriers s’approchaient, appréciant la proie qu’on leur livrait ainsi, citadelle docile qu’ils allaient investir sans aucune mesure !…
(A suivre)