Le lendemain, je suis debout de bonne heure. C’est avec une motivation de feu que je me décide à enfiler le seul jogging que j’ai pour aller courir. Cela me fera le plus grand bien, et comme Franck a mis cela en condition pour une prochaine entrevue… Je vais même encore plus loin que ce qu’il m’avait demandé. Je fais des courses, et je modifie radicalement mon alimentation : légumes, fruits, poisson et plus du tout de cochonneries.
Le seul hic, c’est que je n’ai pas le numéro de téléphone de celui qui m’a sauvagement defoncé le cul. Notre seul moyen de communiquer est via le site internet de rencontre. Et aucune nouvelle de lui depuis notre rencontre, soit une semaine. Mais cela ne me décourage pas du tout.
Nous arrivons à la mi août et voilà deux semaines que je n’ai plus de nouvelles de Franck.
Mes journées sont rythmées entre le sport, mon travail à la supérette et détente. Je réussis à m’affiner un peu et à perdre presque 3 kilos. Je me sens plus svelte, plus tonique et cela se ressens. Il ne me manque qu’une seule chose… mais qui ne daigne vouloir arriver !
Et puis, le weekend suivant, je reçois enfin un mail :
"Coucou ma petite pute ! Je suis sur que tu crèves d’envie de me revoir… tout comme ton petit trou. J’espère qu’il est toujours aussi serré ! Je serai chez toi ce soir à 21h."
Je regarde l’heure. 20h33. Branle bas de combat !!! Mon appartement est en bordel total. Je m’active et fais ce que je peux pour ranger au minimum, quand tout à coup l’interphone retentit. Je me précipite et répond :
— Oui ?
— C’est Franck. Ouvre.
Je m’exécute et le voilà dans mon studio 2 minutes après.
— Dis donc, mais tu n’aurais pas perdu quelques kilos toi ?
— Si. J’ai suivi ton conseil et voilà.
— Putain ! Ton cul est encore plus bandant que la dernière fois ! Je sens que l’on va s’éclater. En t’éclatant le fion.
Classe me dis je. Mais bon, je m’en fous royalement. Tout ce que je veux, tout ce que j’attend, c’est sa bite.
Sans aucun ordre de sa part, je me mets à genoux devant lui et baisse son pantalon, boxer compris. Son sexe sort d’un coup, prêt à l’emploi, et je le gobe entièrement. Je joue avec ma langue, mes lèvres. Je suce, je lèche, j’aspire, je titille son gland et joue avec ses bourses, pour les gober.
Il apprécie énormément. Cela s’entend. Puis je le reprend en bouche pour continuer cette fellation que j’estime royale.
Après quelques minutes de ce traitement, il me saisit la tête en plaçant ses mains de chaque côté et commence à me baiser littéralement la bouche.
Pas très à l’aise, il s’interrompt et s’assoit sur le lit.
— Enlève ton jean.
— Je n’ai rien en dessous, lui répondis je
— Tant mieux.
Je m’exécute et vient le reprendre dans ma bouche. Ses mains se baladent sur mon postérieur et viennent titiller mon petit trou, mais seulement lui. Il me rentre un doigt, puis deux et me doigte sauvagement l’anus.
Puis sans prévenir, il lâche tout en se contractant et tout en maintenant ma tête sur sa queue. Je prend trois giclées abondantes que j’avale sans broncher. Cela a un goût plutôt agréable.
— Nettoie moi bien la queue petite pute, me dit il en me regardant
Je fais du mieux que je peux et lui lustre la queue, pour la lui rendre brillante et propre.
Après cela, satisfait, il se lève et va se servir un verre d’eau. Il me montre un comprimé, ce que je prends pour un bonbon.
— Dans 15 minutes, c’est ton tour.
— C’est quoi ? Lui dis je
— Viagra.
Et il avale la pilule magique avec un verre d’eau. Et effectivement, 15 minutes plus tard, le voilà de nouveau au garde à vous, prêt à reprendre du service. Il me désigne le lit du doigt, et je m’exécute. Je m’y mets à quatre pattes, il vient se positionner derrière moi et me verse dans le cul une quantité impressionnante de lubrifiant. Pour ensuite y rentrer sa queue chaussée d’un préservatif.
Je la sens bien plus dure et bien plus vigoureuse que la dernière fois. Ou alors c’est qu’effectivement mon cul est plus serré…
Il commence donc à me labourer violemment tout en me maintenant fermement par la taille. Je plonge alors ma tête dans l’oreiller pour crier mon plaisir sans retenu et sans risque de déranger mes voisins.
Cette sodomie dura de longues minutes, pendant lesquelles mon partenaire ne ménagea pas ses efforts. Dans un ultime sursaut, il se retira de mon cul, ôta la capote et balança sa semence sur mes fesses et même mon dos.
Satisfait, il se leva et se rhabilla, prêt à me quitter une nouvelle fois.
— Je peux avoir ton numéro de téléphone s’il te plaît ? lui demandais je, tout en rougissant
— À ce que je vois tu es accroc à ma bite.
Il fit mine de réfléchir et me dit enfin :
— À une condition.
— Laquelle ? répondis je du tac au tac
— Tu vas faire un test VIH, j’aimerai bien te défoncer sans capote. Et te remplir le cul.
— C’est d’accord.
Il pris congé de moi et avant de partir, sur le pas de la porte, il me roula une pelle mémorable et me donna une petite fessée sur mon cul encore nu.
— Continue ton régime ma petite pute. Ce petit cul ferme te va à ravir.
Il disparu une seconde fois dans la nuit, mais j’avais enfin son numéro de téléphone.
Et c’est sous une douche bien méritée que je me masturba, tout en le doigtant l’anus encore bien dilaté.
Je me coucha à 23h, dans un état second. Et vous n’imaginez pas quels genres de rêves j’ai fait cette nuit là.
Et vous ne savez toujours pas si je suis un homme ou une femme. Mais promis, je vous le dis dans mon prochain épisode.