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Christine IV : Turpitudes adultères – Chapitre 4




En octobre, je me retrouve seul durant une semaine, durant les vacances scolaires. Christine part avec les enfants chez une de ses tantes dans le sud de la France. Monica est également partie, en Tunisie avec son fils. Après le départ de ma femme et des enfants, je me dis alors que je vais mettre à profit cette semaine pour mettre les choses à plat et effectuer une remise en question personnelle. Mais cela ne va pas se dérouler comme prévu.

Le mardi matin, lors de la séance hebdomadaire de direction, Sofia, responsable des ventes, avait demandé de l’aide pour un important mailing à effectuer en fin de journée. Devant le manque d’enthousiasme et sans obligation en fin de journée, j’avais levé la main, ainsi qu’une des assistantes du service de formation. Seulement, à 18h, après une demi-heure de travail, l’assistante nous avait fait faux bond et je m’étais retrouvé seule avec Sofia.

Sofia, 53 ans, sportive, mariée et jeune grand-mère, souffrait à son poste de travail où la charge était très importante. Il n’était pas rare de la voir sortir quelques minutes du bâtiment pour pleurer. Et pendant que nous mettions sous pli, elle m’avait tout raconté. Et beaucoup pleuré. Pour tout dire, si j’avais eu pitié d’elle au début de son récit, cela m’avait ensuite ennuyé jusqu’à l’agacement. Il était passé 20h et nous arrivions au bout de notre labeur lorsque je lui avais dit assez sèchement ce que je ressassais depuis deux heures :

— Sofia, si tu n’es pas heureuse ici, cherche du travail ailleurs et démissionne !

Ce qui m’avait valu des "tu es comme les autres", "tu ne comprends rien", etc. La goutte d’eau.

Sofia venait de fermer l’armoire et elle rangeait la clef dans son bureau. J’avais craqué. Face à elle, je lui avais dit :

— Ça fait deux que tu te plains, ça fait deux heures que tu pleures, que tu chies sur tes collègues, tes chefs, ton boulot ! Maintenant tu vas la fermer, Sofia !

Elle était bouche béé et je n’avais pas fini.

— Quoique tu en dises, il y a des personnes de qualité dans cette boite et la première de ces personnes, c’est toi. Il est temps que tu te respectes un peu, que tu respectes le travail que tu effectues et que tu te reprennes, bordel ! Sincèrement, je peux te dire qu’ici, on en a marre de te voir faire la gueule à longueur de journée !

Sofia rougissait et je sentais que j’étais à deux doigts de la gifle.

— Et moi, j’en ai aussi sacrément marre que tu te laisses aller côté fringues. Depuis la rentrée, il y a un putain de laisser-aller !

Passant derrière elle, pris dans un accès pervers, je lui avais mis une grande fessée. Elle s’était tournée, vivement, sans dire un mot. Son regard n’était pas apeuré, non, pas du tout. Plutôt vicieux.

— Ça, par exemple, c’est une putain de belle jupe que tu n’avais pas portée depuis le printemps ! Elle te fait un de ces culs ! Pour tout te dire, c’est pour ça que j’ai accepté de t’aider, pour mater ton cul chaque fois que tu lèverais !

Environ trois secondes. Ça avait été la durée du silence dans la pièce avant que Sofia ne saute littéralement au cou.

— Baise-moi ! Baise-moi ! Vite !

S’en était suivi un maelström de mouvements désordonnés et vifs émanant de corps affamés et avides de sexe. Elle avait fait sauter tous les boutons de ma chemise en l’ouvrant, j’avais déchiré son chemisier, arraché son string. En un éclair, son bureau avait été "débarrassé" de tous ses dossiers et même de l’écran de son ordinateur. Sofia y était couchée dans le sens de la longueur, les jambes sur mes épaules, réclamant plus de vigueur alors que je la baisais déjà comme un fou.

Sans ménagement aucun, je l’avais descendue du bureau et agenouillée sur son fauteuil. Elle s’était cambrée, avait ronronné et dirigé ses fesses dans ma direction. Je l’avais enfilée en levrette et astiquée avec vivacité, ma main droite tirant ses cheveux, la gauche la fessant violemment.

— Fais-moi mal, Florent ! Depuis le temps que j’ai envie que tu me casses les reins !

Je l’avais alors pistonnée bien fort. Ça claque, ça halète, ça jure ! Brusque, je lui avais planté mon majeur dans le cul. Elle n’était pas propre mais j’en avais rien à foutre. J’avais très vite ajouté mon index et cela l’avait à peine fait réagir. J’avais sorti mes deux doigts plein de merde que j’avais essuyé à son chemisier avant de pénétrer avec rudesse ma bite dans son cul.

Ça avait été très brutal mais Sofia prenait son pied. Lui tirant à nouveau les cheveux jusqu’à amener sa tête à côté de la mienne, je l’avais fait se cambrer comme jamais.

— T’es une belle salope J’étais sûr que t’aimais te faire prendre comme ça et enculer sans ménagement !

— Ferme-là et défonces-moi !

Je tirai plus fermement sur ses cheveux.

— Tu ne me parles par comme ça, cochonne !

J’avais finalement lâché ses cheveux, agrippé ses hanches et enfoncé ma bite entièrement dans son cul. Mes coups de rein avaient été d’une rare violence et j’étais enfin parvenu à calmer ma partenaire qui avait imploré le ciel avant de me prier de calmer mes ardeurs. J’avais joui, intégralement empalé.

En me retirant, j’avais observé avec un certain dégoût ma bite pleine d’excréments. Sofia s’était tournée, assise dans son fauteuil et m’avait dit :

— Pisse-moi dessus.

Je n’en avais pas cru pas mes oreilles. Sofia avait commencé à se masturber doucement en attendant. Il m’avait fallu quelques secondes pour réussir à uriner sur son ventre, ses seins, puis elle avait approché sa bouche. Elle avait bu. Quelques instants plus tard, l’odeur était insupportable. Sofia était alors sortie d’un état second et avait pris conscience des dégâts.

Il nous avait fallu plus d’une demi-heure pour tout nettoyer et tout remettre en place sur le bureau. Nous étions ensuite descendu au sous-sol pour nous doucher et je l’avais à nouveau baisée. Elle m’avait envoyé chercher une robe dans sa voiture. Elle l’avait passée sans dessous et nous étions allés manger un morceau au restaurant. Nous avions parlé plus ouvertement, plus sincèrement.

Nous étions ensuite retournés au travail pour baiser à nouveau. Pas dans son bureau cette fois-ci mais dans ceux de plusieurs personnes qu’elle n’appréciait pas, une dizaine en tout, à raison de deux ou trois minutes par bureau, alternant entre sa bouche, son vagin et son cul. Cela ne posait aucun problème à Sofia de me sucer quand ma bite sortait de son anus Nous avions évidemment fini sur le bureau du directeur, étonnamment ouvert, pour le plus grand plaisir de Sofia.

Si cette soirée fut le théâtre de nos seuls rapports sexuels, j’aurai tout de même droit durant les deux mois suivants à quelques intenses fellations. J’adorais ces jours où je sautais Monica à midi et où Sofia gobait ma queue et mon foutre vers 18h30. J’aurai également droit à de délicieuses exhibitions de la part de Sofia dont les tenues devinrent aussi élégantes que sexy après notre soirée. Elle me donnera également des strings mouillés de cyprine et des soutien-gorges. Mais surtout, je m’octroierai le droit de lui glisser mon majeur dans le cul, en tout temps, en tout lieu. Dans l’ascenseur, à la photocopieuse, aux toilettes, dans les salles de conférence, à la cafétéria, n’importe où. Le zénith sera atteint au cours de cet après-midi de décembre, à son bureau, en présence de ses trois collègues. Agenouillé à côté d’une Sofia dont une seule fesse repose sur la fauteuil, je glisserai mon majeur dans son cul tandis qu’elle fera mine de m’expliquer quelque chose à l’écran.

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