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Reprise en mains – Chapitre 1




C’est ma première histoire, alors soyez indulgents s’il-vous-plaît 🙂 je ferais une suite si l’on me le demande, alors bonne lecture!

-Chéri, qu’est-ce-que tu fais? Reviens! J’ai vraiment envie de sentir ton corps contre le mien…

-J’arrive, j’ai juste besoin de faire un tour dans la salle de bain, attends quelques minutes ma douce…

-Viiiiiite!

Une fois que j’y suis, je m’enferme. J’ouvre le placard et je saisis la boite contenant les fameuses pilules magiques qui m’aideront à assurer cette nuit, j’en ingère quelques unes puis j’attends. Au début, je n’en avais pas besoin, j’arrivais à faire l’amour à ma femme naturellement, mais depuis quelques mois je ne pouvais plus jurer que par le viagra. Au lit c’est elle qui commande, je n’ai pas mon mot à dire et franchement, je déteste ça. Mais je ne dis rien, de peur de perdre ma chère et tendre Anna. Elle est si parfaite: un beau visage avec des yeux d’un vert qui rendrait jaloux des émeraudes, une bouche pulpeuse qui donne une irrésistible envie de l’embrasser, des cheveux blonds magnifiques qui tombent en cascades sur son dos, un corps svelte, avec des seins et un cul qui rend fous tous les hommes qui la mattent… mais pas moi, avec le temps je m’en suis lassé, et j’aimerais bien tester de nouvelles expériences sexuelles afin de ranimer mon désir perdu mais elle refuse, elle est de celles qui sont excitées par le pouvoir, ma femme prend son pied à me dominer. Et maintenant, je suis obligé de prendre du viagra pour bander, je suis tombé bien bas…

J’attends quelques minutesque les pilules fassent effet, puis je sors rejoindre Anna, qui s’excite en m’apercevant:

-Te voilà enfin! Vas-y, baise-moi!

Je m’approchai et commençai à la prendre en amazone. Elle poussa un cri de joie lorsque je m’introduis en elle et commence à la baiser en faisant des va-et-vient, j’essayais à tout prix d’y prendre du plaisir, en vain.

-Putain mais qu’est-ce-que tu fous? Je t’ai dis de me baiser pas de me caresser la chatte! Vas-y putain de lâche bourre-moi!

J’accélère pour lui faire plaisir mais, non satisfaite, elle m’ordonne de me mettre sur le dos, passe sa jambe au-dessus de mon corps puis me chevauche sauvagement.

-OH OUI PUTAIN OUI!

Excitée comme jamais, elle mouillait abondamment sur mon corps. Elle sautait violemment sur ma bite, tellement que j’avais peur qu’elle la casse. les mouvements de son cul qui frappait contre mon bassin me paraissaient mécaniques: "clap, clap, clap", j’étais hypnotisé par le bruit.

Enfin, au bout d’une quinzaine de minutes, elle jouit enfin et, sans se soucier de mon plaisir, arrêta et se coucha à mes côtés.

-Oh putain, cette fois on s’est surpassés, c’était trop bon! Et toi bébé, t’as aimé?

-J’ai adoré, lui répondis-je les yeux dans le vide.

Le lendemain, je me rendis à mon bureau. Je travaille en tant que détective privé depuis presque 10 ans maintenant. Je n’avais pas réussi à dormir cette nuit, et j’étais vraiment exténué.

-Oula, vu ta gueule t’as dû passer une sacrée nuit avec la belle Anna! Qu’est-ce-que je t’envie tu sais!

C’était Cameron (oui je sais moi aussi je croyais que c’était un prénom féminin, mon collaborateur depuis le début. On s’est connus au lycée, c’était un peu le mec qui foutait jamais rien en cours, mais il adorait le métier de détective depuis bien plus longtemps que moi, c’était un grand amateur des polars et autres livres du genre. On s’était perdus de vue quelques années puis, il y a 10 ans, le destin a fait en sorte que nos routes se recroisent, et on a décidé de fonder un cabinet de détectives privés sur un coup de tête. Depuis on rend certains services, comme lorsqu’une femme vient nous voir pour qu’on aille surveiller son mari qunelle suspecte d’être infidèle. À force, ce métier devenait lassant, mais je ne me plaignais pas, je ne me plains jamais.

Après une longue journée de travail, mon associé et moi rentrâmes au bureau.

-Bon, je te laisse t’occuper de la paperasse, j’ai un rendez-vous ce soir.

-Encore? M’écriai-je. Ça doit faire la troisième femme cette semaine! À force tu vas te lasser de la baise si t’arrêtes pas…

-Qu’est-ce-que tu veux? Tout le monde peut pas se maquer comme toi avec une femme aussi belle que la tienne!

-Bon, je laisse passer cette fois mais la prochaine fois compte pas sur moi.

-Chef, oui chef!

J’attendis qu’il parte pour commencer à me mettre au boulot. Grosse soirée en perspective! Je pensais rédiger la paperasse rapidement lorsque quelqu’un frappa contre la porte vitrée du bureau.

-Entrez!

L’inconnu ne se fit pas prier. Quelle fut ma surprise lorsque je l’apercevai! C’était une superbe blonde au visage angélique et au corps magnifique. Elle s’habillait avec une classe incontestable et avait des formes à en faire chavirer un homme de foi. Il m’était rare de recevoir une telle femme, je dois même dire que cela ne m’arrivait jamais. Elle était sûrement mannequin vu sa beauté, mais que faisait-elle ici?

-Que puis-je faire pour vous? Demandai-je.

-J’ai besoin d’un service, répondis-t-elle d’une voix douce. J’ai bien peur que mon compagnon me trompe.

"Encore?" me décourageai-je mentalement.

-Et vous voulez donc que je le surveille afin de le prendre sur le fait?

-Au début oui, mais maintenant, en vous voyant, j’ai d’autres idées en tête. Faut dire que vous êtes vraiment mignon…

-Comment ça? Demandais-je, incrédule.

Elle s’approcha et, avec un regard lubrique, posa sa main sur mon sexe. Je me levai précipitamment de mon siège surpris.

-Mais qu’est-ce que vous faites? Je… je suis marié! Baffouillai-je.

-Moi aussi, et alors? Écoutez, je veux me venger de mon mari et vous… vous n’avez pas l’air d’être insensible à mes charmes d’après ce que j’ai senti dans votre pantalon. Quel mal y’a-t-il à vouloir se faire du bien?

-Je…je…

-Taisez-vous, et laissez-vous faire. Je vous promets que vous allez aimer ce qui va se passer.

Sur ces mots, elle s’approcha de moi et se mit à genoux, puis commença à défaire mon pantalon. Excité comme jamais je ne l’avais été auparavant, je la laissai faire. Je bandai comme un taureau, cette coquine le voyait bien. Elle baissa mon caleçon puis s’émerveilla devant ma verge.

-Alors ça, c’est sûr que c’est un gros morceau! S’écria-t’elle en gloussant.

Lorsqu’elle saisit mon pénis dans sa petite main caude et douce comme de la soie, mon sang se chauffa comme jamais, mes sens s’affolèrent. Elle approcha ensuite sa bouche pulpeuse de ma verge et, lorsque sa langue entra en contact avec, ce fut l’apothéose. Je pouvais exploser à tout moment. Ensuite elle prit ma queue en bouche et commença à me sucer, d’abord délicatement puis de plus en plus rapidement. C’était si bon de sentir sa langue tournoyer autour de ma bite plus dure que jamais. Ses va-et-vient étaient de plus en plus audacieux, elle allait toujours plus loin, jusqu’au moment où elle réussit à atteindre mon pubis avec son nez. C’est la première fois qu’une femme me faisait une gorge profonde, et j’adorais ça! Anna n’avait jamais voulu, et c’était un vrai régal! Jamais je n’avais pris autant mon pied. La superbe inconnue continuait à me sucer langoureusement, et, au bout d’un moment, les mouvements frénétiques de sa langue contre ma verge eurent raison de moi: j’éjaculai soudainement dans sa bouche. Surprise, elle faillit tour recracher mais tint bon et avala tout.

-Je… je suis vraiment désolé…

Elle parut amusée:

-C’est pas grave, ne t’inquiète pas. Je sens que nous nous reverrons de toute façon.

Sans me laissef le temps de répondre, elle se leva et s’en alla me laissant sur place, hébété. Étrangement, j’étais toujours excité. C’était la première fois que ça m’arrivait. Finalement, je décidai de rentrer chez moi, encore secoué par ce qui venait de se passer.

Enfin à la maison, je me rendis à la cuisine. Anna faisait la vaisselle, elle ne m’avait pas attendu pour dîner.

-C’est maintenant que tu rentres? Me questionna-t-elle sans même prendre la peine de se retourner.

Pour la première fois depuis longtemps, la vue de son magnifique cul rebondi me fit bander.

-Désolé, ça a été une longue journée…

Je me rapprochai d’elle et, posant mes mains sur ses hanches, je collai mon pénis en érection entre ses fesses et l’embrassai dans le cou.

-Mais qu’est-ce-que tu fais? Fit-elle, surprise.

-Ça se voit pas?

-Pas ce soir chéri, je suis crevée…

Je commençai à frotter ma queue contre son magnifique derrière.

-Arrête je t’ai dit!

-Cette fois, chérie, c’est moi qui décide.

Et je l’embrassai de plus belle.

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