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[Sci-fi] Les plantes d'Akrana – Chapitre 7




7.

Depuis son retour sur le FPU-Atlas, le lieutenant Jones navait pas eu le temps de souffler. Lhatta, Belinda et Jenny furent amenées à linfirmerie, où elles étaient soignées et surveillées par léquipe médicale du vaisseau, et Jones, après avoir constaté que le deuxième vaisseau akranien était effectivement parti, sétait directement mis en contact avec lamirauté de la Fédération.

Elle fit un rapport sur la rencontre avec le vaisseau akranien, linvitation de certains membres de bord sur ledit vaisseau, puis sa colonisation agressive par une entité alien (sans entrer dans des détails que lamirauté naurait certainement pas pu apprécier), la perte du Capitaine Douglas, du Professeur Neil, du soldat Mike, et la demande du Zourk Menesis de détruire son vaisseau pour empêcher lentité alien de coloniser dautres planètes de la galaxie.

Jones reçut le commandement du FPU-Atlas, et lordre de détruire le vaisseau akranien. Revenue avec Ben, devenu son second, au poste de commande, elle regarda une dernière fois le vaisseau akranien. La tristesse monta en elle. Elle repensait au Capitaine Douglas, au professeur Neil, et même à la science des akraniens. Mais elle devait faire son devoir.

Elle fit un signe de tête, Ben donna un ordre, un homme appuya sur un bouton de la console, et un missile à neutron parti du FPU-Atlas, pour atteindre le vaisseau akranien. Il fut suivi par un deuxième, puis un troisième, et le FPU-Atlas alluma ses réacteurs pour se mettre hors de danger. Si le vaisseau akranien avait eu ses boucliers levés, ces tirs ne lui auraient occasionné aucun dommage. Mais ce nétait plus le cas. Sans bouclier, le gros vaisseau akranien était une cible facile. Les trois explosions furent suivies par une plus grosse, et le vaisseau akranien fut pulvérisé en petits débris, éparpillés autours et puis flottant au grès du hasard dans lunivers.

Jones eut un petit mouvement de dépit, puis se tourna vers Ben.

— Cap sur Orbital1. Je vous laisse la passerelle, je vais me reposer un peu. Nous changerons dans deux heures.

— Bien mon Lieutenant !

Elle quitta le poste de commande, et après quelques minutes arriva dans sa chambre. Elle se sentait épuisée par les derniers événements. Jones défit sa combinaison, et sallongea nue sur sa couche. Elle pensait au Capitaine Douglas, aux akraniens, puis lentement, sombra dans le sommeil

Un bruit furtif la tira de son sommeil. Elle séveilla, mais ne vit rien, il faisait sombre. Elle voulut se rendormir, mais elle sentit quil y avait quelquun, son instinct lavertissait dune présence. Elle se mit sur son dos, tous les sens en éveil. Son instinct la prévenait dun danger, elle en était sûre maintenant. Doucement, sa main alla vers sa table de chevet, où devait se trouver son désintégrator. Mais au lieu de rencontrer le manche rassurant de son arme, sa main toucha une matière inconnue, comme végétale. Jones, toujours sur sa couche, sur le dos, leva sa tête vers larrière, pour voir ce qui se trouvait derrière sa couche. Mais au fond delle-même, elle le savait déjà. Elle vit une longue tige vert foncé, qui dun côté descendait vers un bulbe fendu, et de lautre montait vers trois fleurs en trompette, de couleur pourpre et doù sortaient trois gros pénis jaunes, une des plantes des akraniens. Mais que faisait-elle là ? Jones neut pas le temps de se le demander. Une des tiges sallongea petit à petit, et un des gros pénis jaune descendait vers elle. La tête toujours en arrière, elle le vit passer devant ses yeux, tout jaune, granuleux, gros, son gland décalotté, suintant dun liquide clair, orangé. Il passa le long de son nez. Elle le sentit tiède et à la fois dur et doux. Puis il descendit lentement vers sa bouche, et sarrêta contre ses lèvres. Jones ne comprenait plus rien. Elle était perdue, se sentait si abandonnée, si seule. Que pouvait-elle faire ?

Elle ferma les yeux, et doucement, entrouvrit ses lèvres. Le gland jaune vint se frotter contre ses lèvres, doucement. Puis il pénétra lentement dans sa bouche. Elle sentit le gland tiède passer entre ses lèvres, puis entre ses dents, quelle écarta doucement, puis ce fut la hampe, longue, grosse et granuleuse qui passa ses lèvres. Comme elle avait la tête en arrière, le sexe jaune pouvait aller profondément dans sa gorge, presquà létouffer. Mais il ne le fit pas. Il racla son palais, en lent vas-et vient, Instinctivement, les lèvres de Jones enserrèrent se sexe qui était au trois-quarts dans sa bouche, sa langue cherchant sensuellement à enserrer le gland. Sa main vint caresser la partie en dehors de sa bouche, lencourageant à accélérer ses mouvements. Ce que fit le pénis jaune, accélérant ses mouvements, tandis que Jones accompagnait ce vas et vient de bruit de succion excitant. Elle sentit alors quelque chose remontant le long de ses jambes. Se souvenant de ce qui sétait passé sur le vaisseau akranien, elle comprit quelle était entourée de plantes, et donc de gros pénis jaunes. A ce moment, elle sentit le sexe battre dans sa bouche, taper contre son palais, puis reculer légèrement et éjaculer un sirop tiède, sucré dans sa gorge. Elle avala tout, sentant ce sirop couler dans sa gorge. Cétait si bon quelle lécha le gland et le suça de façon vulgaire, pour tout avaler jusquà la dernière goutte. Elle se sentait devenir folle, affamée de sexe. La tête lui tournait, elle ne voulait plus quune chose : du plaisir, être remplie, bourrée, devenir un vrai garage à bitte. Sentant un ou plusieurs pénis jaune arriver à hauteur de sa cuisse, elle écarta les jambes et suréleva son bassin de façon vulgaire, soffrant totalement à cette créature. Le premier pénis jaune glissa le long de sa cuisse, et longeant une fesse rebondie vint se mettre entre les fesses de la femme abandonnée. Le gland jaune se pressa contre la petite rondelle de Jones, qui sélargit doucement, jusquà avaler ce gland de belle dimension. Puis Jones sentit tout le sexe gros et granuleux passer lentement la frontière de son anus. Elle cria, mais son cri fut étouffé par le pénis jaune qui recommençait son vas et vient dans sa bouche. Et puis un autre pénis arriva à la hauteur de son sexe et la pénétra sans ménagement. Mais elle était tellement mouillée que le sexe entra sans mal en elle, tout entier. Elle jouit juste de se sentir pénétrée par ses deux gros sexes, qui commencèrent à la bourrer sans ménagement. Elle jouit après quils eurent déversé leurs semence orangée et sirupeuse en elle. Elle sentit ce liquide tiède couler de son anus, le long de ses fesses, tandis que son vagin gardait tout ! Mais sans lui laisser le temps de souffler, deux autres arrivèrent, encore plus gros que les premiers, et recommencèrent leurs vas et vient en elle. Cétait trop bon. Mais un autre sexe jaune vint remplacer le premier dans sa bouche. Il était aussi plus gros que le premier. Trop gros. Sa bouche pouvait à peine le prendre, et son vas et vient allait trop loin elle étouffait la plante allait la tuer, létouffer elle avait de moins en moins doxygène, et cest dans un orgasme quelle se sentit partir vers la mort

Cest à ce moment quelle se réveilla, le front en sueur. Cétait un cauchemar !

Jones sempara de son désintégrator et mit plus de lumière dans la pièce. Elle fouilla fébrilement sa chambre, sans rien trouver. Cétait un mauvais rêve, rien quun mauvais rêve ! Elle sassit sur sa couche. « Décidemment, jai vraiment besoin de repos moi ! Sitôt arrivé sur Orbital1, je demanderai un congé à lamirauté ». Pourtant, Jones ne pouvait sempêcher de ressentir un danger. Un mauvais pressentiment ne la quittait plus. Pour se détendre les nerfs, et plutôt que de tourner en rond dans la cabine, elle décida daller à linfirmerie prendre des nouvelles de Lhatta, Belinda et Jenny. « En même temps, pensa-t-elle, je pourrai demander quelques sédatifs, je pense que jen aurai besoin si je veux dormir avant quon arrive à Orbital1 ».

* *

*

Lorsque Jones arriva à linfirmerie, Lhatta, Belinda et Jenny dormait. Jones demanda à voir le docteur Wenz, médecin de bord, et chef du département scientifique depuis la tragique disparition du Professeur Neil. Wenz était un très bon médecin, et un assez bon scientifique, quoiquil fût un peu imbu de sa personne.

— Auriez-vous besoin de mes services, mon Lieutenant ?

— Comment vont vos trois patientes, docteur ?

— Bien, bien. Je les laisse encore sous sédatif, car nous faisons pas mal danalyse, et elles étaient déjà fort fatiguées en arrivant. Ainsi elles se reposent. Pour moi, dici quelques jours elles pourront reprendre leur service.

— Déjà ? Pas besoin de quarantaine ? Quont donné ces analyses ?

— Une quarantaine ? Grand Dieu non, pourquoi ?

— Et bien elles ont tout de même été en contact avec une créature alien inconnue

— Peut-être, mais nous navons rien relevé de dangereux. Pas de blessure interne ou externe, pas de parasite, vers ou ufs, comme cela pourrait arriver après certains contacts avec des aliens. Rien de spécial dans le sang, rien. La seule chose perceptible nous a été donnée par le neuro-scanner, qui a décelé une forte activité nerveuse dans la dilatation des vaisseaux sanguins, comme

— Comme ?

— Et bien comme lorsquon prend des produits aphrodisiaque. Vous savez, ces drogues qui jouent sur la libido ? Ces substances agissent sur les cellules nerveuses, en particulier sur les nerfs qui commandent la dilatation des vaisseaux sanguins. Le sang circule donc mieux ce qui se traduit par une érection facilitée chez l’homme et une sensation de légèreté, denvie chez la femme. Et bien, en fait, le scanner nous a montré des systèmes nerveux dans un état laissant penser à une forte prise de drogues aphrodisiaques. Comme elles sont illicites, je nai évidemment pas mis cela dans le rapport.

— Et vous navez rien trouvé dautre ?

— Non ! Mon assistant soccupe encore des analyse durine et de selles, mais jusquici rien danormal.

— Bien, merci docteur. Au fait, vous reste-t-il quelques sédatifs pour moi ? Jai le sommeil un peu difficile pour le moment

— Oui bien sûr, venez avec moi jusquà notre pharmacie, jaurai certainement quelque chose pour vous aider.

Pendant ce temps, Kyle, lassistant du docteur Wenz, maugréait dans le laboratoire. Il était occupé à analyser les urines et les selles des patientes. « Pffff ! Il a facile le docteur. Lui il peut ausculter ces trois bombes, les palper, et moi, janalyse le sang, la merde pfff, quel métier ! Jen ai marre ! Allez hop, tout dans le collecteur à déchet, et je dirai dans mon rapport que tout est normal ! » Et ainsi Kyle jeta au collecteur les échantillons de selles des patientes, sans voir les petits points orangés quelles contenaient

* *

*

— Comment ça nous ne pouvons plus avancer ?

— Désolé, Lieutenant Jones, ce sont les ordres de lamirauté. Votre vaisseau doit rester en orbite autour de la planète XC23 jusquà nouvel ordre. Il ne peut entrer dans un système de la Fédération tant quune équipe médicale externe à la vôtre nai pas fait un rapport positif. Cest la règle en cas de contamination avec des aliens inconnus. De plus certains aspects de la disparition du Capitaine Douglas doivent être éclaircis. Une navette de lamirauté fait route vers vous, mais vous devez lattendre. Si vous entrez dans un système de la Fédération, vous serez considéré comme hors-la-loi, et détruit par le premier vaisseau que vous rencontrerez. Ce sont les ordres. Terminé.

Et limage de lofficier disparut de lécran. Le Lieutenant Jones se tourna vers les autres membres présents sur la passerelle.

— Vous avez entendu les ordres ? Mettons-nous en orbite autour de XC23, et attendons léquipe dinspection de lamirauté. Je suis dans mon bureau.

Et, fâchée du manque de confiance de la Fédération, Jones sortit de la pièce les lèvres pincées. En faisant route vers le bureau du Capitaine Douglas, quelle occupait comme membre le plus gradée et commandant du vaisseau, elle réfléchit et constata que sa colère était surtout due au fait que cela confirmait le mauvais pressentiment qui ne la quittait plus. Cela avait commencé avec son cauchemar, il y avait trois jours maintenant, et ça ne la quittait plus. Quelque chose menaçait le vaisseau.

* *

*

— Bon, ouvrez le sas maintenant, et sans discuter !

Kyle nétait vraiment pas de bonne humeur. Le Docteur Wenz sétait vite rendu compte que le rapport des analyses de Kyle ne correspondait pas aux précédentes. Furieux, il avait envoyé Kyle dans la soute aux déchets, pour essayer de retrouver la boite avec les selles quil avait jeté. Non seulement il sétait fait passer un savon sévère par son patron, mais en plus la perspective de se retrouver dans cette soute puante ne lui plaisait vraiment pas. Et en plus, les deux ouvriers qui devaient se charger de lentretien de la soute avait tout fait pour quil naille pas, et le suivait maintenant en maugréant. Kyle avait un peu joué de sa supériorité hiérarchique pour les faire bouger.

Sous ses injonctions, ils ouvrirent le sas. Kyle entra, mais la puanteur quil redoutait ne lassaillit pas. Il y a avait une légère odeur dhumus, comme en forêt. Cétait étrange, dhabitude lodeur nauséabonde se faisait sentir dès quon approchait la porte du sas Dailleurs lui et les ouvriers navaient pas mis la combinaison de sécurité. Kyle avait juste emporté une paire de gant en caoutchouc, quil navait même pas encore enfilé. La soute des déchets avait une forme particulière, en L. Dans la partie où il se trouvait arrivait tous les déchets du vaisseau, par plusieurs canalisations qui constellaient le plafond. Puis, une fois par jour, une large plaque métallique poussait tous ces déchets dans le sens de la largeur, vers le fond de la pièce, où une autre plaque poussait les détritus dans le sens de la longueur, vers lextrémité de la pièce en L que Kyle ne pouvait voir doù il se trouvait. Là, une cloison étanche et hermétique se fermait, coupant la pièce en L en deux pièces, et les déchets étaient broyés par procédé chimique (une fois par mois, selon le décret écologique 3684 de la Fédération), puis jeté dans lespace.

En un coup dil, Kyle vit que ce quil cherchait ne se trouvait pas dans la première partie de la soute à déchet. « Mince ! pensa-t-il. Je vais devoir aller au fonds de la soute ». Une des deux ouvriers linterpella :

— Alors tas vus tout ce que tu voulais voir ? On peut fermer la soute ?

— Non pas encore. Vous navez pas encore broyé les déchets de ce mois ?

— Heu non en fait, on a un petit problème avec le système chimique. Il faudra attendre avant de procéder au broyage des déchets.

— Ouf ! Bon, il faut que je trouve mes déchets, sinon le docteur risque de nous virer, tous les trois !

Et Kyle savança dans la soute, marcha le long de sa largeur, indifférent aux cris des ouvriers qui voulaient que Kyle les attendent, puis tourna à droite pour aller vers le fonds de la soute. Mais il sarrêta net, lâchant de surprise les gants en caoutchouc quil tenait toujours en main. Au lieu du tas dimmondices puants, il y avait une sorte de couche dhumus sur le sol, et au milieu, une plante, avec des fleurs pourpres en forme de trompette. De stupeur, Kyle recula de quelque pas, trébucha sur quelque chose, et se retrouva par terre. Il avait trébuché sur une plante plus petite, quil navait pas vu au premier abord. Une bouture de la grande plante sans doute. Et en trébuchant il lavait cogné, répandant des spores orangées dans latmosphère.

Se mettant sur ses genoux, il se retourna vers les deux ouvriers.

— Mais quest-ce que cest que ça ?

— On sait pas. Elle a apparu hier, et la petite ce matin. Mais on veut pas quon la touche. Cette plante recycle les déchets en les transformant en humus. Pour nous fini le travail dégelasse, la puanteur et tout ça. Y faut rien dire à personne.

Kyle perçut de lagressivité chez les deux ouvriers. Il vit dans leurs yeux, quils étaient même prêts à lui faire du mal pour garder leur secret. Mais Kyle navait pas envie débruiter le secret. Il se sentait bien, tout dun coup, comme euphorique. Les deux ouvriers sapprochèrent de lui. Toujours sur ses genoux, il agrippa les jambes dun des ouvriers, les entourant de ces deux bras.

— Mais je ne veux rien dire à personne, je veux être votre amis on se sent si bien ici. Ce sera notre secret, à nous trois.

Et Kyle releva la tête, pour saisir le regard de louvrier dont il enlaçait les jambes. Mais ce quil vit, très près de son visage, ce fut la bosse dans la combinaison de lhomme. A son entre-jambe sétait formée une bosse, longue, dure Kyle ne savait plus très bien où il en était. Il se sentait si euphorique, si léger. Il ne pouvait quitter cette bosse de son regard, elle excitait sa curiosité, lexcitait lui Timidement, il avança sa main, toucha la bosse. Sa main en dessina le contour, puis caressa doucement la bosse sur toute sa longueur. Cétait agréable. Kyle sentit la présence de lautre ouvrier près de lui. Il se retourna et vit que lui aussi avait une bosse à lentrejambe. Sa main continuait à caresser lhomme devant lui. Il sentait le sexe de lhomme dessous la combinaison, il sentait la hampe, le gland Puis sa main passa sous la bosse, sentant les testicules de lhomme, puis la naissance des fesses. La main caressa les fesses, puis revint lentement, caressant les testicules, puis le sexe, et remonta vers le bas-ventre de louvrier. Et là, il sentit deux pressions. Les combinaisons des employés du vaisseau qui nétaient pas des militaires avaient ces deux pressions, pour les ouvrir facilement, rabattre lentrejambe du pantalon pour pouvoir aller à la toilette facilement. Inconsciemment, ses mains avaient cherché ces pressions, et maintenant, il les défit le pan de la combinaison cachant lentrejambe de louvrier sabattit lâchement, dévoilant son sexe, tout bandé. Cest la première fois que Kyle voyait une bite daussi près. Elle était si belle, elle lhypnotisait. Sa main redescendit lentement le long du bas-ventre, passa dans les poils pubiens, puis attrapa la hampe du pénis tendu. Elle remonta, glissant sur cette hampe si chaude, si raide, jusquau gland, rouge et gonflé, suintant, puis redescendit lentement, puis remonte, redescend, Kyle sent quil bande raide dans sa combinaison ! Puis il sent la main de louvrier qui lui caresse la tête, puis, doucement et fermement, entraine sa tête vers ce sexe tendu. Kyle voit ce gland mouillé de désir sapprocher de son visage. Il sent son odeur mâle, si entêtante. Le gland vient doucement buter sur ses lèvres. Il ouvre la bouche, lèche le désir suintant du gland, lèche le petit trou au sommet du gland, puis lèche ce gland, entièrement, et lavale. Kyle sent ce sexe raide entrer dans la bouche de Kyle. Il sent le gland racler le long de son palais, sa langue lèche le sexe. Puis il commence à sucer cette bite. Cétait une première pour lui, et quest-ce quil trouvait ça bon ! Il sentait ce sexe dur et chaud aller et venir dans sa bouche.

Tout en suçant louvrier, il sentit quelque chose de chaud contre sa joue. Lautre ouvrier avait sorti son sexe et le caressait contre la joue de Kyle. Celui-ci se tourna pour faire face aux deux ouvriers, et suça les deux bites, lune après lautre. Il était tellement excité, quil défit les pressions de sa combinaison, pour pouvoir sortir son sexe et se branler tout en suçant ces deux sexes raides. Voyant cela, un des deux ouvriers se décala et passa derrière lui. Kyle sattaqua alors de plus belle à la pine qui restait devant lui, suçant le gland, puis sa langue descendant le long de la hampe, jusquau scrotum, léchant les couilles velues, le début des fesses, puis remontant le long de la hampe, puis enfournant le sexe, sentant ce sexe aller et venir dans sa bouche. A ce moment quelque chose de tiède et de mouillé lui donna une décharge de plaisir : lautre ouvrier, par derrière, lui léchait le scrotum et les couilles, puis remonta vers ses fesses. La grosse langue mouillée remonta le long de son sillon, jusquà son anus. Kyle gémit de plaisir lorsque cette langue lui titilla lanus, y entrant de plus en plus profondément, lui mouillant abondamment la rondelle. Puis il sentit un doigt lui titiller lanus. Il navait jamais connus cela avant, mais il soupirait de plaisir en songeant ce que cela préludait. En effet, un deuxième doigt vint rapidement rejoindre le premier dans son anus louvrier lui doigtait lanus, et rudement bien ! Sa langue redescendit le long du sexe de louvrier quil suçait, redescendit jusquaux testicules. Kyle trouvait enivrant de lécher le cul de ce type, pendant que sa bite mouillée de salive cognait contre son nez et sa joue, qui se mouillait de salive et de mouille. Puis il remonta, et enfourna à nouveau cette bite dans sa bouche, lâchant un soupir de plaisir. A ce moment, il sentit quelque chose de doux et de chaud contre son anus : le gland de louvrier derrière lui vint buter contre sa rondelle. Louvrier poussa son bassin en avant, et son gland força lanus de Kyle. Ce dernier sentit lintrusion dans son rectum. Mais il avait été si bien doigté que le gland passa sans problème, lui arrachant un gémissement de plaisir. Puis il sentit le sexe de lhomme entrer profondément en lui. Quelle sensation ! Lhomme enfonça son sexe totalement dans son cul, et lorsque son gland vint caresser la prostate de Kyle, il ne put sempêcher de séjaculer sur le ventre. Et lhomme commença son va-et-vient dans son cul, de plus en plus vite. Kyle suçait lautre homme au même rythme, de plus en plus vite Puis il sentit le sexe se cabrer entièrement, le gland taper de plus en plus fort contre son palais, se rétracter, et éjaculer un liquide épais et tiède dans sa bouche. Le sperme remplit la bouche de Kyle, coula dans sa gorge. Il branla le sexe plus vite, et malaxa doucement les couilles, pour avoir tous le jus de lhomme, pour ne pas en perdre une goutte, avalant le sperme abondant de louvrier. Il sentit son propre sperme, qui coulait le long de son ventre, vers son pubis. Alors quil léchait encore le gland du premier ouvrier, il sentit le sexe de lautre homme accélérer sa cadence, de plus en plus profond en lui, puis battre dans son cul, et un liquide chaud lui remplir le rectum, lui arrachant un cri de plaisir. Louvrier sortit son sexe du cul de Kyle, puis vint le lui présenter devant sa bouche. Sans hésita Kyle lécha ce sexe, qui était mouillé et gluant de salive, de sperme et de mouille anale, qui sentait le musc et goûtait le sperme Lautre ouvrier lui mis encore un doigt dans son cul, le ressorti, plein de sperme et le présenta à Kyle, qui le lécha avec délectation.

Kyle sentait son anus dilaté, le sperme qui coulait de lanus, dans le sillon de ses fesses. Il se sentait si bien, et encore tellement excité ! Il se laissa donc faire lorsque les deux ouvriers le portèrent vers le fond de la soute. Ils le déposèrent à terre, au pied de la plante. Puis ils se reculèrent, et saluèrent la plante, comme on salue une idole, et partirent à reculons. Kyle, encore dans les vaps du plaisir, vit les ouvriers partir. Puis il sentit quelque chose bouger derrière lui. Quelque chose de doux et de chaud. Il tourna la tête, et vit avec étonnement que les pistils de la fleur étaient devenus aussi gros que des pénis, et tout jaune ! En fait, ils étaient même de belle taille, de beaux gros pénis Kyle était encore tellement excité Il sapprocha docilement dun pénis, lattrapa, le caressa, et le mit en bouche, recommençant une fellation. Il venait de découvrir quil adorait faire ça ! Lorsquil sentit un autre pistil-pénis remonter le long de ses fesses, il présenta automatiquement son cul pour pouvoir être bien pris il était devenu une vraie petite salope ! Il sentit le gros gland, quil devinait jaune, faire pression sur son anus, et grâce au sperme de louvrier, il pénétra lanus dans un petit bruit de succion humide, qui excita Kyle, lui faisant oublier la petite douleur de la pénétration, car ce sexe était plus gros que celui de louvrier. Il suça de plus belle ce sexe jaune, qui devenait de plus en plus poisseux, et sentit un troisième pistil-pénis venir contre son sexe, puis lenrober, petit à petit comme pour le docteur Zingl, le gland jaune souvrit et goba le sexe humain, jusquà la garde. Puis Kyle sentit un phénomène de succion, plus fort, plus serré, plus doux, quune fellation. Son sexe était comme massé et sucé en même temps, et lintérieur des pénis jaunes étaient plus tiède et doux quun sexe féminin. Il lâche le pénis jaune quil suçait et sa bouche sentre-ouvrit dans un râle de plaisir. Bien vite, il éjacula, et tout son sperme fut avalé par la créature. Mais la succion de la plante saccéléra. Le plaisir de Kyle augmenta, et il éjacula une seconde fois. Son plaisir augmenta encore, jusquà ce quil tomba dans ce coma euphorique. La plante suça encore et encore, vidant littéralement Kyle, qui maigrissait à vue dil. La plante suça toute les forces et les nutriments de lhomme, et lorsquelle sarrêta, il était sans vie, le corps aussi sec quune momie.

La plante avait repris des forces. Un nouveau cycle pouvait commencer.

* *

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