Sidonie est une jeune femme de 28 ans, jolie blonde aux yeux bleus, grande au corps élancé, elle est avocate, marié à George 45 ans, homme daffaire connu et reconnu et éditeur.
Marc 30 ans est un très riche écrivain, il crée aussi des scénarios de films, il est marié, sa femme Rachel est une actrice de série télé de zone B.
Il a connu Sidonie au collège, cétait la reine et elle avait tous les garçons à ses pieds, elle na jamais eu un regard pour Marc, qui pourtant en était amoureux mais elle préférait les joueurs de foot ou les garçons plus âgés quelle, Marc nétait pas le premier de la classe et avait à lépoque un physique insignifiant, ils se sont perdus de vue à la fac et depuis, ils ne se sont pas revus.
La vie est parfois drôle et a des chemins détournés qui sont étonnants, rien nattirait Sidonie dans Marc à lépoque des études et elle va se retrouver face à un homme très séduisant, à lintelligence inouïe, qui ne va même pas la regarder, alors quelle en est amoureuse et folle de désir.
Marc a un problème de couple et pense divorcer, il est encore amoureux de sa femme mais celle-ci est infidèle et le cocufie avec tout ce qui bouge ou porte un pantalon, les jupes aussi dailleurs, après une histoire rocambolesque, il décide de voir un avocat et demande à sa secrétaire den trouver un, spécialisé dans les divorces.
Il se rend à son rendez-vous, il est introduit dans un bureau, une jeune femme blonde très belle vient lui serrer la main et se présente.
— Bonjour, je suis maître Sidonie le Marchand, asseyez-vous !
Marc ne reconnaît pas tout de suite Sidonie mais ce nom lui dit quelque chose et cela fait tilt dans sa tête, cest cette pimbêche qui snobait tout le monde et sortait avec les mecs en vue du lycée.
Il expose son problème et lavocate lui demande ce quil compte faire, sil veut vraiment demander le divorce ou juste avoir un avis, vis à vis de la loi.
— Je ne sais pas en réalité, un problème de couple ne porte pas obligatoirement au divorce et être cocu ne me dérange pas si cela reste dans le domaine du secret familial et nest pas exposé dans la presse, jai un métier qui ne me permet pas ce genre de débordements !
— Je comprends, jai lu vos livres, ils sont magnifiques, certain sont même des chefs duvres !
— Je nirais pas jusque là mais je vous remercie du compliment !
— Dire quon était dans le même lycée et quon ne s’est pas croisés, je me souviens de vous comme dun garçon timide et emprunté !
— Je me souviens de vous comme dune fille extravertie et délurée, hautaine et bêcheuse !
— Merci du compliment, jétais jeune et jen profitais !
— Oui jai vu ça et cracher sur les autres ne vous dérangeait pas à lépoque, je crois que je vais changer davocat !
— Allons monsieur Marc de St V, vous nallez pas me tenir rigueur de ce que jai pu être jeune, je suis une très bonne avocate et je mexcuse si jai pu un jour vous froisser, ce nétait pas mon intention, la preuve je me rappelle de vous en bien et quand jai vu votre nom sur une couverture de livre, jy ai sauté dessus!
— Oui mais vous couchiez avec les autres, jaurais aimé que vous me sautiez dessus au lycée !
— Je ne couchais pas, je mamusais et cela ne vous regarde pas mais je reconnais que javais remarqué lintérêt que vous me portier et ne voulais pas sortir avec un garçon insignifiant, à lépoque javais des critères de choix pour mes petits amis qui ne sont pas les mêmes pour mes clients!
— Et moi je ne veux pas dune avocate insignifiante et bêcheuse donc je vous souhaite une bonne journée, ce ne sont pas les avocats quil manque !
Sidonie sen voulait à mort, avoir un tel personnage dans son cabinet et en assurer la défense pour son divorce serait une publicité inespérée pour elle, quelle conne mais quelle conne, cest vrai que quand elle était jeune elle était bêcheuse et snobait tout ce qui nétait pas enfant de riche ou beau gosse et avait délibérément ignoré Marc qui pourtant lavait poursuivi un certain temps de ses assiduités.
Ce mec est riche, beau et intelligent et célèbre et tu viens de perdre le meilleur client que tu nas jamais eu, il faut que tu fasses quelque chose espèce de gourde.
Elle sort en courant de son bureau et rattrape Marc à la porte de lascenseur.
— Monsieur de St V attendez, je vous en prie veuillez mexcuser, jai été grossière peut-on reprendre du début sil vous plait ?
— Je ne pense pas Madame, jai dautre chat à fouetter que de me faire insulter par un avocat !
— Acceptez mes excuses au moins, je ne mattendais pas à vous trouver dans mon bureau et la surprise m’a fait dire des paroles que je regrette !
— Ce sont les paroles que vous regrettez ou le fait de perdre un client inespéré et la publicité que cela représente dans la presse pour votre cabinet et votre petite personne ?
Sidonie ne répond pas, elle sait quil vient encore de marquer un point, elle est en position de faiblesse, il vaut mieux couper court, elle tourne les talons et rentre dans son bureau.
Marc est divorcé, son divorce a fait la une des journaux à scandale et est maintenant un des célibataires à avoir dans ses fréquentations, il a complètement oublié Sidonie et sort den toutes les soirées mondaines.
Toujours au bras de belles filles, mannequins ou autres actrices en vues, pour la sortie de son dernier livre son éditeur organise une soirée, où il dédicacera son roman « les yeux de Marjorie ».
Il est à la table de signature et une voix le sort de ses sourires commerciaux.
— Pour une amie sil vous plait Marc et pour me faire enfin pardonner !
Il lève la tête et Sidonie le regarde de ses grands yeux bleus.
— Il prend le livre et écrit ces simples mots !
« Lespoir est un vain mot, les souvenirs sont amers ! Un regret radoucit-il la chose ? »
Marc de St V
— Vous men voulez encore, accepteriez-vous au moins une invitation à dîner ?
— Je ne crois pas madame, jai eu ma vengeance, je ne désire rien dautre, vous savez que lavocat qui ma défendu pour mon divorce refuse des clients !
Encore une fois il vient de lhumilier, elle en est consciente, elle tourne les talons mais prend le livre signé.
Une heure plus tard, les dédicaces sont terminées et Marc se joint à la réception, son éditeur vient le chercher et lui présente des amis et il lui présente Sidonie.
— Cher ami laissez moi vous présenter mon épouse, Sidonie, Sidonie mon auteur Fétiche, Marc de St V !
— Je connais déjà madame !
— Oui Marc et une connaissance de lycée !
— On ne peut pas dire ça, jétais un ignoré de lycée !
Elle rougit et baisse les yeux, un point de plus pour lui. En fin de soirée George tient à inviter Marc dans sa propriété en Sologne pour quelques jours et celui ci accepte.
Marc arrive le jeudi soir au volant de sa Ferrari, accompagné dune merveilleuse créature, sortie tout droit des pages de Mode, un des mannequins les plus en vue du moment.
Sa conquête parle très peu le français et les conversations se font en Anglais, dans le courant du dîner, Sidonie dit à Marc en français.
— Je pensais que vous némiez pas les pimbêches et les filles hautaines ?
— Je nai jamais dit cela, juste celle qui me snobe et celle-là, est loin de me snober moi, quelle vous snobe vous, mest égal, elle ne fait que rendre à César ce qui est à César, vous remarquerez quelle ne snobe pas George mais au contraire lui porte un intérêt grandissant, je suis sûr que si vous nétiez pas là, il y a longtemps quelle serait sur ses genoux !
— Nous sommes un couple libre, George fait ce quil veut et moi aussi, il y a longtemps que nous avons dépassé le stade de la jalousie !
— Tien donc ! Echangiste ?
— Non ! Libre de faire ce quil nous plait, quand ce nest pas caché et en petit comité !
— Cher ami, votre épouse me dit que si vous le désirez vous pouvez draguer en toute impunité mon amie ici présente et moi je ne suis pas jaloux, je nai pas lintention de lépouser, alors ne vous privez pas et si le cur vous en dit, elle est à vous, si elle le désire bien sûr!
— Merci beaucoup mais en contre partie je dois vous laisser faire la cour à mon épouse si vous le désirez, je crois quelle a un faible pour vous, il vous sera donc facile de faire sa conquête !
— Là nest pas mon intention, je vous laisse les deux, votre épouse nest pas de mon goût, je naime pas les femmes snobs !
— Chérie, je ne sais pas ce que tu as fait à monsieur de St V mais je crois quil a une dent contre toi !
— En effet, il fait payer cher les erreurs ce cher Marc et il devient grossier, je vous laisse bonne nuit à vous trois!
Elle vient de prendre une nouvelle claque et laffront est cinglant, malgré cela, elle est de plus en plus attirée par Marc, elle était jalouse de cette belle femme et la snobait, il lui fait payer cher son caractère de pimbêche et darriviste. Elle se rend compte en fait que la jeune femme nétait quaimable avec son époux et que les deux hommes ont joué le même jeu et que rien dans les manières de la fille nétait vulgaire ou provoquant simplement poli, sa jalousie à elle, a. gâché la soirée.
Une heure plus tard Marc se retire avec Ingrid dans la chambre qui leur est réservée, ils vont ensemble sous la douche et ils font lamour.
Ingrid na que 22 ans mais une grande expérience de lamour, elle prend Marc dans sa bouche et a vite fait de le mener à la jouissance, il déverse dans sa bouche de longs jets de sperme, il ne débande pas pour autant, il la prend debout contre le mur de la salle de bain, une jambe repliée dans son dos, elle hurle sa jouissance, la grosse verge fait des ravages dans son intimité, ce nest pas la première fois quelle fait lamour mais cest la première fois quelle jouit ainsi et la première fois avec Marc, Marc est un amant formidable, long à venir et connaissant tous les secrets des femmes.
Il a porté Ingrid sur le lit, lui lèche la vulve de haut en bas, sa langue perfore son antre juteuse, dilatée par le vit énorme, il pince le clitoris entre ses lèvres et le titille de la langue, il le mordille des dents, suce les grandes lèvres, va jusquà lanus quil lèche et enfonce sa langue, quil remplace par les doigts, il a le pouce dans son vagin et deux doigts dans lanus, la langue sur le clitoris, elle explose une nouvelle fois.
Il vient sur elle, tète les seins pointus et durs comme le fer, caresse la vulve de son gland et senfonce en elle dun seul coup de rein.
Le cri que pousse Ingrid est un cri de plaisir, le même que lon entend dans les maisons de fou, le cri du délire, elle jouit depuis quil est en elle et cela narrête pas, quand il la retourne pour senfoncer dans son anus, cest encore plus fort, elle est tellement bien dilatée que la jouissance vient immédiatement et cela dure tout le long de la sodomie, quand il reprend enfin son abricot pour venir butter au fond de sa vulve, elle ne peut retenir un autre hurlement, les jets puissants, qui cognent contre son utérus déclenchent dans son ventre des ondes de plaisirs extrêmes, épuisée, elle saffale sur le lit, incapable de bouger, il faut quelle reprenne ses esprits.
Marc la caresse, lui parle avec des mots doux.
— Là ! Ma beauté, là ! Calme-toi, repose-toi ma belle, laisse-toi aller, ferme tes yeux, laisse-moi te caresser, tu es belle, calme-toi, fais de doux rêve !
Cest dans un rêve quelle sent les caresses de Marc, les mains sur ses seins, son corps, la langue qui caresse, les doigts sur son intimité, discrets mais bien présents, qui caressent plus quils ne font pression, la langue qui lèche discrètement son intimité et son corps repus.
Elle sendort ainsi, sous la bouche et les mains de Marc, cet homme vient de la faire jouir mieux que personne et cest avec le sentiment dêtre amoureuse quelle sendort.
Jécris la suite, dites moi, si vous aimez !
Merci de me lire !
Barbebleue