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Je remplace ma collègue Sophie – Chapitre 3




Salut c’est votre folle de lycra.

Dans les épisodes précédents, je vous racontais comment avec une certaine expérience, j’avais changé de boulot pour me retrouver dans un cabinet d’assurance. L’ambiance y était très sympa, il y avait un petit côté familial qui me plaisait beaucoup. J’étais très complice avec ma collègue Sophie et je le devenais de plus en plus avec notre chef Gilles. Notre patron était marié à une femme d’une grande beauté prénommée Muriel, sans vouloir me vanter ma femme prénommée Marie n’avait pas grand chose à lui envier; quant à Sophie c’était une jolie fille mariée à un homme très effacé qui répondait au prénom de Claude. Mon patron et sa femme, étaient adeptes des boîtes échangistes, je savais que ma collègue passait régulièrement à la casserole dans la dépendance qui se trouvait accolée au bureau du patron. Quand Sophie est partie en vacances, elle m’a demandé à ce que je la remplace totalement en son absence et j’ai accepté car je n’y voyais aucun inconvénient. Dans ces termes Gilles avait compris que je devais passer à la casserole comme il le faisait avec Sophie quand elle était là.

J’ai rapidement constaté qu’il avait une emprise sexuelle sur moi, et j’acceptais tout de lui à ce niveau-là. Dès les premiers jours d’absence de Sophie, je me suis retrouvé à le pomper, puis me faire épiler pour le satisfaire et finalement me faire prendre par lui. À ma grande surprise Sophie suivait de très près l’évolution de ce qu’il m’arrivait, mais surtout Marie était au courant de ce qui m’arrivait. En revenant de ma séance d’épilation Gilles s’était occupé de me dépuceler du cul et j’avais repris le boulot en sachant qu’à l’heure du repas j’allais repasser à la casserole. Peu avant l’heure du repas, il était venu me voir en se mettant derrière moi et avait commencé à me masser les épaules d’une façon très sensuelle, je commençais à apprécier ses mains sur mon corps. Juste avant l’heure du repas, le téléphone a sonné, c’était Sophie qui m’appelait de son lieu de villégiature.

— Je suis sûr que Gilles est en train de te masser les épaules.

— Sois conscient Franck, que pendant plusieurs jours tu vas te faire baiser une à deux fois par jour, car Gilles aimerait que ton anus se distende un peu.

J’avais l’impression que tu étais à côté de moi tellement elle était au courant de tout.

Quand l’heure de midi est arrivée, Gilles est parti fermer la porte de l’agence, puis il m’a pris par la main pour m’emmener dans le petit appartement qui se trouvait à côté de son bureau. Je l’ai suivi sans rien dire, j’avais vraiment l’impression de lui appartenir; en quelques secondes il m’avait débarrassé et immédiatement venu constater mon érection sous ma tenue civile. J’étais désormais devant lui, habillé en femme avec une belle érection, bien qu’elle soit contenue dans ma gaine de maintien. La douceur qu’il avait à mon égard, me donnait vraiment envie de m’offrir à lui; ma femme avait raison, il y avait une cochonne qui sommeillait en moi. Il est immédiatement venu constater mon érection, en même temps il se mit à m’embrasser avec passion, je n’ai pas pu lui refuser son baiser. La délicatesse qu’il avait à mon égard le rendait irrésistible, je me sentais vraiment une femme entre ses mains. Mon sexe, qui ne faisait que grossir, était maintenant indisposé car il était trop comprimé par la gaine.

Quand je lui ai fait savoir, il s’est immédiatement arrêté de m’embrasser, il est parti chercher un tanga ainsi qu’un collant fendu les deux étant formidablement doux. Il m’a invité à me changer, il m’a regardé faire avec un côté amusé mais avec du sentiment dans le regard.

— Tu es vraiment magnifique ma chérie..

— Tu as des gestes féminins insoupçonnés.

— Sophie et ta femme avaient vraiment raison à ton égard.

Cela m’excitait énormément que d’enfiler le collant, je faisais ça délicatement de peur de le filer. Bien évidemment je m’étais baissé pour enfiler le collant, une fois l’opération terminée j’ai constaté que de son côté Gilles en avait profité pour sortir son sexe, je me suis retrouvé nez à nez avec son dard désireux. Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais mon patron n’a pas eu besoin de me saisir la tête pour me remplir la bouche, c’est avec beaucoup de naturel que je me suis mis à lui entamer une fellation. J’avais vraiment l’impression qu’il y avait une salope qui dormait en moi, et qu’elle venait de se réveiller.

Le fait qu’il me parle au féminin avait un effet psychologique très important sur moi, je me sentais encore plus femme. Quand je voyais oh combien il était doux avec moi, je comprenais parfaitement que Sophie prenne grand plaisir à s’offrir à lui. Il m’a fait interrompre la turlutte que j’étais en train de lui pratiquer pour me faire enfiler des escarpins. Il estimait que perché sur mes chaussures, lui faire une fellation me donnait de meilleures courbes. Mes mains étaient posées sur le haut de ses cuisses et c’est Gilles qui donnait des coups de reins pour faire aller et venir son sexe dans ma bouche. Je m’étonnais de constater combien j’étais gourmand à lui faire du bien, j’ai trouvé très agréable que de sentir ma langue caresser les moindres détails de sa queue. En plus de cela il y avait le goût typique et l’odeur bien masculine, j’étais totalement offert et soumis à mon patron. À l’entendre m’encourager mais surtout soupirer, je savais que je m’y prenais bien; maintenant il me caressait les cheveux mais surtout mes petites fesses qui avaient l’air de bien l’inspirer.

J’étais assez fier de moi, car maintenant je savais que je remplaçais parfaitement Sophie au travail et dans ses extras. Le téléphone portable de Gilles a sonné, je me suis dit que j’avais peur qu’il se déconcentre, c’était encore Sophie qui voulait savoir comment se passait ma première journée de salope. J’étais un peu gêné car Gilles lui donnait tous les détails comme quoi j’étais en train de le pomper, il donnait aussi des détails sur la vue qu’il avait sur mes fesses qui lui faisaient très envie. J’en étais à me dire que je n’aimais pas qu’il téléphone pendant que je le suçais, car cela lui bloquait une main et du coup j’avais moitié moins de caresses. Heureusement la communication n’a pas été trop longue, j’ai senti de nouveau ses deux mains en train de me caresser le dos, les hanches et surtout les fesses. Voilà maintenant un bon quart d’heure que je le suçais avec passion, je ne voulais plus lâcher son sexe, je voulais qu’il me balance la purée dans la bouche. Maintenant, à travers ma douce robe, il m’écartait les fesses pour accéder à ma raie culière et venir exciter mon petit trou.

Même si mon tanga n’était pas un gros remparts, heureusement ma robe était là pour me protéger de toute intrusion digitale dans mon petit cul. Gilles n’avait pas besoin de m’introduire son doigt pour me chauffer, juste le fait de passer dans les parages me mettait dans tous mes états. J’en étais maintenant arrivé à regretter d’être protégé par ma robe et mon tanga car je le désirais vraiment, son majeur dans mon fondement. J’étais vraiment heureux qu’il me traite ainsi et j’en voulais maintenant encore plus, j’en étais maintenant à envier ce que vivait, depuis je ne sais combien de temps, Sophie avec son patron. J’étais en train de réaliser quau rythme où j’allais, j’étais parti pour me retrouver en concurrence avec ma collègue pour faire du bien à mon patron. En même temps, le doute s’installait en moi et sil avait une petite préférence pour les culs masculins. Bon pour l’instant il ne fallait pas que je me déconcentre, il fallait que je donne du plaisir à mon patron. Subitement il s’est retiré de ma bouche avec beaucoup de délicatesse, il m’a pris par la main pour m’amener à son bureau il m’a mis à la place où il s’assoit d’habitude puis m’a allongé.

Je ne sais pas sil avait prévu le coup à l’avance mais son bureau était bien rangé, maintenant mes bras pendaient à l’avant du bureau. Mon patron a soulevé l’arrière de ma robe pour le déposer sur mon dos, il m’a ensuite débarrassé de mon tanga et mon collant. Je savais que maintenant il allait me prendre, comme il prenait régulièrement Sophie, je le sentais maintenant me caresser les jambes les fesses et même un peu le bas des hanches. Je comprenais maintenant pourquoi il m’avait envoyé chez l’esthéticienne, c’est vrai qu’il était vraiment agréable que de sentir ses mains se promener sur mon corps dépourvu de tout poil. Dans le parcours de ses caresses, il passait de plus en plus régulièrement entre mes deux lobes fessiers. À chacun de ses passages, je désirais que ses doigts s’attardent sur mon intimité, pour essayer de le motiver à rester sur place, j’ondulais des fesses et il m’arrivait même de les reculer. Maintenant en plus de ses mains, je sentais son sexe qui me caressait l’entre- fesses, ce dernier s’écartait de temps à autre de ma raie pour se frotter contre le gras de mes fesses.

Maintenant son sexe était en train de se positionner à l’entrée de ma chatte, ses mains s’étaient agrippées à mes hanches. Même sil me tenait fermement par la taille, je savourais quand même la douceur de ses mains sur ma peau. Ça y est maintenant Gilles exerçait une pression à l’entrée de mon petit trou et déjà son prépuce c’était faufilé dans le noir. Déjà ce matin je m’étais fait visiter, mais ce coup-ci il prenait tout son temps, là je découvrais que je pouvais contracter mon sphincter. J’avais maintenant l’occasion, quand je le voulais, de bien mieux sentir son sexe entrer en moi, tout en sachant quensuite il allait me limer pendant un petit bout de temps. À titre ponctuel, lui aussi contractait la pression sanguine dans son sexe, je le sentais aussi bien mieux en moi. J’appréciais aussi le fait de sentir son sexe et le haut de ses cuisses venir se coller contre mes fesses par alternance, à chaque fois qu’il était au fond de moi une grande partie de nos jambes se collait les unes aux autres.

Pendant qu’il me limait, je regardais mon bureau, celui de Sophie et en même temps je soupirais de plaisir à chaque fois qu’il rentrait à fond dans mon tunnel non éclairé.

— Tu sais ma chérie, tu es faite pour te faire prendre par derrière.

— Tu es faite pour vivre en femme.

— Mon petit doigt me dit que tu vas donner du plaisir à beaucoup d’hommes.

Gilles me parlait avec beaucoup de douceur, ses mots étaient des caresses qui me touchaient en plein cur. Le soleil éclairait l’entrée du cabinet, j’avais l’impression qu’il voulait voir ce qui m’arrivait, on aurait dit un voyeur. Je pense que j’avais le visage radieux, tout à fait présentable pour n’importe quel voyeur, d’aussi loin qu’il vienne. À force de me ramoner le fondement, Gilles a fini par espacer ses coups de reins tout en contractant son sexe, je savais qu’il allait me déposer sa semence au plus profond de moi dans quelques instants.

J’ai essayé de savourer ces derniers instants à le sentir me besogner, j’essayais d’imaginer ce que devait ressentir Sophie quand elle était dans ma position. Ça y est maintenant, mon patron était totalement au fond de moi et ne bougeait plus, je sentais juste maintenant sa verge se contracter régulièrement et je savais qu’il me déversait son nectar dans mes entrailles. Il a encore donné quelques coups de reins et je savais que c’était juste pour me balancer les dernières gouttes.

— Tu es vraiment bonne ma chérie.

— Je ne sais pas si tu vas prendre goût à te faire prendre par ton patron.

— Mais je peux te dire que ton patron a déjà pris un goût à te prendre.

Claude était toujours emboîté dans mon boyau, mais il ne bougeait plus, il était en train de reprendre ses esprits. Je sentais son sexe perdre du volume, pour compenser, je contractais mon anneau rectal, peut-être était-ce ma façon à moi de dire au revoir à son sexe et à bientôt. Pendant qu’il reprenait ses esprits, il me caressait les fesses mais surtout les hanches, je peux vous dire que c’était sans doute ma zone érogène la plus sensible.

J’aurais voulu qu’il n’arrête jamais ses caresses tant elles me faisaient de l’effet, ça y est, il était en train de se retirer de mon rectum. J’étais un peu déçu de ne pas avoir pris mon pied de mon côté, mais il m’a quand même procuré de très bonnes sensations. Il m’a pris par la main puis m’a emmené dans sa garçonnière et nous avons pris l’escalier qui monte à l’étage pour nous retrouver dans son superbe appartement. Quelle ne fut pas ma surprise et surtout ma honte, quand je suis tombé nez à nez avec Muriel. Elle était vêtue d’une magnifique robe qui descendait légèrement sous les genoux, de couleur multicolore très printanière. J’étais là, devant elle sans réagir je ne savais plus quoi faire, elle est venue m’embrasser, je lui ai tendu la joue mais elle m’a roulé une belle digne de ce nom.

— Tu es magnifique ma chérie.

— Mon mari a pris beaucoup de plaisir à te faire du bien.

Cela ne me déplaisait pas que Claude parle de moi au féminin, mais cela me faisait tout drôle que même Muriel le fasse. Pendant qu’elle m’embrassait avec passion une main me caressait mon sexe et l’autre les fesses.

— Viens ma chérie nous allons nous occuper de faire ta toilette.

— Je crois que Gilles t’a déposé beaucoup de liqueur dans ton boyau.

— Il va falloir que j’appelle ta femme pour lui dire que tout se passe bien.

Muriel était une grande et belle femme, avec de l’assurance et une autorité naturelle, j’avais la sensation qu’elle me faisait perdre tous mes moyens. J’avais l’impression de ne même pas contrôler mes pas, mais je la suivais jusqu’à la salle de bain, là je me suis déshabillé. Je me suis retrouvé nu devant la femme du patron, elle ne pouvait que constater mon érection, ça a été plus fort qu’elle il a fallu qu’elle me caresse, pour savourer la douceur de mon corps. J’étais sur le point de rentrer dans la douche, quand elle s’est agenouillée devant moi, la femme du patron allait me faire une turlutte. Je la voyais maintenant à genoux devant moi, elle me regardait dans les yeux et elle était sur le point de prendre mon sexe dans sa bouche. J’étais nu comme un ver et ses mains étaient accrochées à mes cuisses, Muriel venait d’enfoncer mon sexe le plus profondément possible dans sa bouche.

En espérant que ce troisième chapitre vous ait donné envie d’en lire un quatrième.

Gros bisous à vous.

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