Aurélia est une jeune femme plutôt prude de nature. D’une taille moyenne, mon épouse a la taille fine, une poitrine qui ne cesse de me faire fantasmer depuis bientôt huit ans que je la connais. Blonde et pâle de peau, ses yeux gris-bleus frappent au premier regard. Sa démarche souple et féminine me pousse à élaborer des fantasmes tous plus fous les uns que les autres. Et pourtant, elle n’est pas de ce genre de femmes à se laisser aller ainsi ouvertement au plaisir.
Nous vivons au centre ville, dans un immeuble dont nous sommes les uniques occupants au troisième étage. Il n’est pas rare que des squatters viennent se réfugier par temps de froid dans le garage dont la porte ne se ferme pas à clef, et que par soucis de sécuriser mon épouse, je leur demande de ne pas rester.
Pourtant, un soir où fantasmes et idées érotiques diverses se succédaient, je me suis imaginé le spectacle de ces deux ou trois squatters qui se refusaient de partir malgré la demande d’Aurélia et l’attiraient dans le garage sombre. L’imagination coure promptement, je descendais les escaliers pour une fois de plus demander à ces pauvres ères de quitter les lieux, et après avoir ouvert la porte du couloir qui donnait sur le garage, je ne la refermais pas comme à l’habitude. Je regardais dans l’obscurité et allumais la lumière découvrant trois de ces gars au visage inquiet. Ils étaient sales, et puaient le vin. Ils avaient une allure inconsciemment menaçante, bien qu’ils ne l’étaient pas, et pour ma part, comme à l’habitude, je n’étais pas très fier. – Non, ce soir je ne viens pas vous intimer l’ordre de sortir, dis-je immédiatement. J’ai une proposition à vous faire.
Le plus grand, à la longue chevelure grasse et hirsute, s’avança d’un pas, et me lança : – Qu’est-ce tu veux alors ? – Vous avez déjà vu mon épouse, n’est-ce pas ? Ils acquiescèrent presque inquiets. – Je la trouve plutôt gironde, mais je sais qu’une chose lui ferai un bien fou, et au fond lui ferait plaisir. Demain soir, elle rentre de son boulot vers 19h30. Il fera nuit. Je vous propose de la surprendre et d’en profiter. Moi, je me contenterai de regarder par la fenêtre qui donne sur la cours. – Tu te fou de nous ? fit le maigrelet blond. – Non. Pour preuve, ce soir je vous fous la paix. Mais attention, je ne veux pas que vous la blessiez. Prenez votre pieds comme vous l’entendez et laissez-moi regarder. Alors ??? Ils se regardèrent un instant, incrédules, puis le sourire déchira leur visage. Le plus grand me tendit la main. Ainsi se conclut notre pacte.
Je me hâtais ce soir là de rentrer du boulot, je garais ma voiture dans une ruelle voisine. J’entrais dans mon immeuble et me dirigeais directement vers le garage. J’avais apporté avec moi trois bonnes bouteilles de vin rouge, du pain et de la charcuterie. J’ouvris la porte et allumais la lumière. Je découvris avec surprise qu’ils étaient cinq. – Ce n’était pas prévu, lançais-je. – Ta proposition non plus, répondit le grand. Je haussais les épaules, malgré tout, l’idée de voir Aurelia en pareille posture m’avait excité toute la journée, je ne souhaitais pas y renoncer. Je leur tendis le sac. – Prenez, dis-je, cela vous remplira le ventre? – Avant que nous nous déchargeons, poursuivit un des deux inconnus en gloussant. – Je vais me placer, dis-je encore.
Ils épiaient l’heure avec impatience. Je les regardais et les détaillais durant ce temps. Ils étaient absolument révulsant de crasse, et leurs loques devaient tenir seule debout.
J’entendis le claquement de la porte d’entrée. Aurélia arrivait, elle claquait toujours ainsi la porte. Ses pas se rapprochèrent du garage. Soudain, deux des squatters se précipitèrent dans le couloir. Ils la happèrent à une vitesse et une force surprenante, l’envoyant dans le garage d’un geste commun. Elle n’eut pas le temps de crier. La porte se referma. Les cinq squatters étaient autour d’elle. Elle portait son long manteau de soie rubis. Elle accrocha son sac à main, son regard inquiet se portait tout autour d’elle. – Qu’est-ce que vous me voulez ? demanda-t-elle froidement. – On veut que tu enlève ton manteau, répondit le grand. Pas compliqué. Tu vas comprendre ce que c’est d’avoir froid. – Je ne l’enlèverais pas? Je vais crier? – Je te le déconseille, cela pourrait t’être fortement douloureux? Enlève ton manteau ! tonna-t-il.
Tremblante, elle obéit, le posant sur son bras. Je savais que ce qu’elle portait allait faire vibrer d’avantage l’envie des squatters. Je lui avais demandé au matin de mettre sa belle jupe flottante et une chemise qui offrait un décolleté plongeant sur ses seins volumineux et ronds. – Voilà, vous êtes contents maintenant ? Mon mari va arriver? – On lui fera un bon accueil, à moins que tu te montre gentille avec nous. – N’y comptez-pas. Il vous foutra dehors ! – C’est simple : ou tu prends le pari qu’il sera plus fort que nous cinq et alors tu résistes, ou tu te montres intelligente et tu l’épargne en étant gentille. Dégrafe ta chemise.
Elle eut un instant de mimétisme, puis je la vis posa sa veste délicatement au sol, et se redresser. Doucement, elle défit les boutons de sa chemise, révélant sa poitrine enserrée dans un soutien gorge de dentelle. Le maigrelet blond s’avança vers elle. Elle eut un mouvement de recul, mais se heurta à quelqu’un dans son dos, lequel referma ses deux mains sur les seins volumineux. – De ta réaction dépend la peau de ton mec, lança le grand. Aurélia ne broncha pas, son visage sévère. Deux mains plongèrent sous le soutien gorge et commencèrent à pétrir avec force les deux seins qu’elles firent fleurir. Le petit maigrelet se tint devant Aurélia et lui remonta la robe avec brusquerie. Il fut quoi de surprise. En effet elle ne portait rien en dessous (une petite faveur qu’elle acceptait de me faire de temps en temps). Il siffla longuement. – Sa chatte est à l’air ! Ils regardèrent tous, contemplant la blondeur claire de sa toison. Le petit blond plaqua sa main droite entre les jambes d’Aurélia, qui fit mine de dégoût. Sa jupe remonta à l’arrière également, des mains se plaquèrent sur ses fesses rondes. Ils se déshabillaient avec impatience, tandis que l’autre pétrissaient sans se languir et avec brusquerie les seins de mon épouse, lui pinçant les larges tétons. En un instant, ils furent à poil. Le mec derrière Aurélia l’obligea à se plier, et une grosse queue se tendit vers les lèvres fermées d’Aurélia. – Suces, suce bien et profondément, ordonna-t-il. Quelle ne fut pas ma surprise de voir mon épouse prendre de sa main droite le braquemart et l’enfourner dans sa gorge sans plus d’insistance de la part de ses violeurs. – C’est qu’elle a l’air d’aimer ça la garce? Elle le suçait avec profondeur et douceur, elle semblait apprécier la situation. Je fus un moment fou de jalousie. Le mec derrière elle lui écarta les fesses, sa queue tordue et gonflée s’appliqua entre elle, et tandis qu’un d’eux lui mordillait un sein par le dessous, celui de derrière s’enfonça en elle d’un coup sec et puissant. Elle gémit et allait relever son visage, mais celui qu’elle suçait lui tint la tête contre sa verge. Elle se faisait labourer avec violence, son sein libre se balançait sous elle, et elle se mit à sucer avec avidité. Elle accélérait ses mouvements tout en gémissant et en ondulant du cul, son adorable petit cul. – A moi, fit un autre gars qui se masturbait depuis un moment. Le grand se poussa pour lui laisser la place, s’arrachant des lèvres d’Aurélia. Elle prit l’autre queue dans ses lèvres sans qu’on le lui demande. Et elle l’astiqua aussitôt comme avec appétit. La situation m’excitait, dans mon slip, ma queue se raidissait, manquait de place. Je pris parti de la libérer de son entrave et me mit à la branler en regardant ma femme se faire violer devant mon émoi.
Un autre vint derrière elle, il la tira vers lui, et l’obligea à s’asseoir sur lui, à s’empaler sur sa longue queue. Doucement, je vis la queue s’engloutir dans le vagin humide de ma femme. Deux mecs se pointèrent sur ses côtés. Elle empoigna de ses deux mains leur queue, et se mit à les sucer l’un après l’autre, et toujours le même lui pétrissait, lui mordillait et lui embrassait les seins de sa bouche couverte d’une barbe sale. Elle remontait et s’empalait doucement sur la queue, ses jambes écartées étaient tendues de muscles qui travaillaient. Les fellations de ma femme étaient variées, tantôt profondes et amples, tantôt enserrant le vit entre ses lèvres, tantôt n’effleurant que le gland gonflé, elle leur léchait la queue sur tout le long, elle leur happait les bourses et s’en régalait. Soudain, l’un se mit à haleter et à râler. Il tira sur la tête d’Aurélia et donna un grand coup de rein. Ses bourses vinrent frapper le menton de ma femme, et il se mit à lâcher un long gémissement, tandis qu’il la maintenant ainsi contre lui. Sous elle, les mouvements se firent plus rapides et plus vigoureux. Ses seins fermes et ronds, à présent libres, se balançaient de bas en haut dans des mouvements follement érotiques. Le râle de celui auquel elle administrait cette fellation divine se prolongea, je vis couler d’un coin de la lèvre d’Aurélia un liquide épais et blanchâtre. L’étreint se dissipa et la verge brillante se dégagea de ses lèvres, elle en lécha le gland au passage. – Hmm? fit-elle d’une voix que je ne lui connaissais pas? Je les veux toutes, donnez les moi?
Atterré, je débandais immédiatement, je ne la savais pas si vicieuse, et pourtant, j’avais tout essayé. – Tu vas voir ce qu’on va te mettre d’un un des cinq types. Ils changèrent de position, et l’installèrent comme un pantin sur un autre type qui s’enfonça immédiatement dans sa chatte ouverte. Un autre tendit sa queue devant ses lèvres, sans avoir à trop attendre, car elle se précipita dessus comme s’il s’agissait d’un sucre d’orge. Mais je vis un autre arriver par derrière, et pliant les genoux, il appliqua sa queue contre son petit trou brun. Tenant sa queue fermement entre ses doigts, il la pénétra doucement. Et mon Aurélia gémissait de bonheur.
Cela dura, il me sembla, plusieurs heures, bien que ce fut moindre. Aurélia se révéla comme une véritable salope, avec une soif frénétique de foutre, de queue et de violence sexuelle. Elle se mit à en redemander, chacun lui passa dessus, trois la sodomisèrent. Dès que sa bouche était libre, elle criaillait de plaisir.
Cette expérience a totalement changé mon Aurélia. Bien plus vivante et amusante, elle est inassouvissable et perverse à souhait? Mais ceci est une autre histoire.