Pour diminuer la quantité de poussières en suspension dans l’air, une rampe de jets d’eau sous pression arrosait les wagons pendant, et après leur remplissage. Pour réprimer les appétits d’une Opale au comble de lexcitation, Sassita trouva plus commode d’utiliser son "car wash" industriel que le classique seau d’eau glacée.

— Impératifs d’hygiène et de sécurité obligent, Ilse. Tu la feras systématiquement passer sous cette rampe avant qu’elle ne se lance dans la descente.

Son rut calmé et la fureur de sa vulve amortie par l’eau glaciale, Opale parvint enfin à s’exprimer normalement. Elle avait fort heureusement retrouvé toute sa concentration quand Cobra lui intima l’ordre de se positionner devant la première rame de wagon.

— Nattends surtout pas davoir pris trop de vitesse pour enjamber le timon ! Et accroche-toi pour ne pas tomber !

— J’ai fait de la poutre journellement pendant des années avec mes profs, et je ne suis jamais tombée. Pourtant, j’en ai connu, des délires sur cet engin. Elsa m’obligeait à me frictionner le clito dessus pour qu’il devienne hypersensible. Je ne pouvais en descendre qu’après avoir joui au minimum trois fois. Même plus besoin de le frotter maintenant : il darde tout seul. Le plus grand risque n’est pas de me ramasser, mais de jouir dès que mon bouton touchera ce timon. Cest devenu un véritable réflexe conditionné chez moi. Le contact du bois avec ma chatte est synonyme dorgasme.

— Ne sois pas défaitiste,! Si tu te serres très fort les cuisses sur le billot, ton clitoris échappera au polissage.

— Je ne pourrai jamais me retenir. Aie ! Vous me faites mal !

— Une claque sur tes seins, puis une sur ton mont de Vénus. Je continue comme ça ou tu la boucles, petite dinde ? La première vertu dune ascète est la discrétion. Tu sautes sur ton timon, tu te masturbes jusqu’à épuisement sans t’abandonner et tu te tais. Point final.

— J’adore quand vous me faites peur en exigeant de moi des choses impossibles. Aie !

Sassita lui frappa à toute volée les cuisses, le pubis et le ventre. La souplesse des bandes de cuir les rendait cruellement cinglantes, mais fort heureusement indulgentes pour son épiderme.

— Quand vous me faites mal, j’adore aussi. Aie !

— Tu ne peux t’empêcher de nous provoquer, petite garce. Quand vas-tu réaliser que ton corps ne t’appartient plus et que tes états d’âme nous indiffèrent ?

— Quand je comprendrai ce que le Maître attend exactement de moi. Alors seulement, je pourrai éventuellement envisager de devenir votre complice obligeante.

— Et obligée. Il me serait très facile, vois-tu, de brancher ton portable et de laisser le Maître répondre à cette question. Je ne suis pas la seule à penser que le moment est peut-être venu de vous mettre en contact direct. Encore faudrait-il que tu acceptes de réparer les dégâts que tu as occasionnés à notre réseau informatique.

— C’est dingue ! Qui a pu faire cela sans que vous ne vous en rendiez compte ?

— Ne joue pas les innocentes ! Les informaticiennes allemandes ont découvert le pot aux roses. Gerda et Anke ! Expliquez-lui !

Une lame effilée s’enfonça contre la carotide de la métisse tandis qu’un cutter malveillant semblait s’intéresser à sa poitrine insolente, et tout particulièrement à ses aspérités érigées. Sans états d’âme particuliers, Anke souleva un à un ses jolis tétons chauffés par le soleil.

— Je commence par lequel, Cobra ?

Cobra refusa de répondre et désigna du doigt Sassita qui avait pris le pouvoir depuis un certain temps.

— Gerda ! Chatouille-lui le clitoris avec la pointe de ta lame ! Elle adore cela, et lui en aura besoin assez rapidement. Ne traîne pas ! Rien de grave, mais il a tendance à débander, me semble-t-il.

Un instant, O se retrouva sans force. Pétrifiée devant le coutelas qui lui égratignait si malignement le bourgeon jusqu’à la douleur. De véritables décharges électriques lui parcouraient l’échine tandis que son sphincter vaginal souffrait dune nouvelle crise d’épilepsie. L’intensité de sa frustration n’en finissait pas d’augmenter, et la vibration intérieure qui prenait possession de sa chair lui sembla bien plus bouleversante que le plus déstructurant des orgasmes qu’elle avait connus jusqu’alors. La douleur devint rapidement si vive quelle comprit que la jouissance serait impossible à atteindre. Elle se laissa happer par ce délicieux vertige et décida, dans un ultime éclair de lucidité, de le partager avec le Maître.

— CRUCIFIXION ! C’est le mot de passe pour débloquer le son et la webcam.

Océane se précipita pour saisir le code dans le fichier ad hoc.

— Ca marche ! J’appelle Monsieur. J’en étais certaine. Torturez-lui le clito et elle deviendra rapidement intarissable !

Animée par lenvie de dépasser ses limites et de se laisser aller à l’obscénité envoûtante de sa situation, Opale choisit la voie audacieuse de la surenchère.

— Idiotie ! Je ne ressens rien d’autre qu’un léger chatouillis assez plaisant, ma foi.

— La demoiselle insiste pour que tu y ailles plus fort, Gerda ! Embroche ce bouton obscène comme une petite saucisse pour voir si elle trouvera cela toujours aussi plaisant !

— Aaaah ! Je blaguais. C’est trop fort, maintenant.

— Cette truie va nous donner au compte-goutte les codes quelle a introduits dans le système. Il y a de quoi faire. Je ne compte pas moins d’une bonne centaine de fichiers qu’elle a sciemment bloqués.

O était loin de ces considérations. Quelque chose venait d’exploser dans sa tête, quelque chose de géant et de nouveau. Les douleurs vives censées la domestiquer avaient sur elle un effet aphrodisiaque étourdissant.

— Oh ! Mon Dieu cest horrible.

— Elle veut dire horriblement excitant. Ne lécoute pas, Gerda ! Conserve la rythmique ! La petite gueuse prendra dautant mieux son pied que tu obligeras son petit organe à gigoter.

— Aie ! Elle va me blesser. Oooh ! Que me faites-vous ? Non ! Pas ça !

Anke la saisit aux hanches et souleva son bassin en lui écartant largement les cuisses. En moins de temps quil ne faut pour le dire, O se retrouva attachée sur un tabouret, les coudes liés dans le dos et les jambes en grand écart. Pour que le Maître puisse se régaler de son minou à lagonie, Océane braqua la caméra sur la grotte inondée.

— Maintenez-lui fermement les cuisseaux ! Je veux que le Maître assiste au spectacle insolite de cet anneau vaginal qui se contracte à lenvi.

Sa chatte tourmentée souvrit comme une fleur au printemps. A chaque agression de la lame, le clitoris sanimait à la manière dune clochette sonnant la consécration.

— Tu vois ! Ton grelot est beaucoup plus rigolo quand tu écartes bien les cuisses.

Les replis moites de sa vulve ondulaient comme une huître aspergée de citron vert. En apercevant son reflet dans l’écran, O se découvrit un visage de martyre antique. Quand le Maître apparut, le visage à moitié caché sous un loup opaque, la métisse reconnut immédiatement le vieux monsieur qui lui avait offert la statue à son image. Cette voix si particulière qui lui provoquait chaque soir des frissons durant leurs longues séances de chat… Tout devenait limpide. Son confident et le vieux satyre ne faisaient quun. Il nen fallut pas plus pour achever de la désarçonner.

— Je suis désolée, Maître adoré. Je ne voulais pas que vous me voyiez dans mes transes. Elles mont déjà emmenée si loin Ooooh ! Pardonnez mon trouble ! Javais simplement envie de vous honorer en vous offrant, comme au bon vieux temps, la vision de mes courbes. Aie ! Ooooh ! Nooon ! Nooon !

— Et de ton admirable protubérance, O. Je vous félicite pour la découpe, mesdemoiselles. Ce petit bijou remuant, affranchi de son capuchon et de son frein, est devenu si saillant quil me laisse entrevoir d’étourdissantes possibilités de supplices. Te souviens-tu de cette devise issue de ton esprit dissolu et qui te servait de signature dans tes courriels ? "Quand la souffrance devient plaisir, il ny a plus de limite à la jouissance." Ce slogan est très révélateur de tes déviances enfouies, n’est-ce pas ?

— Nooon ! Nooon ! Mon Dieu ! Mademoiselle Gerda ! Je n’arrive plus à me contrôler. Plus vous me faites mal, plus je coule.

— Et plus Titi grossit

— Cest terriiiible comme ça Jai le pépette qui me chatouille. Ouiiii ! Ouiii !

— Tu auras toute la vie, maintenant, pour souffrir en méditant ta devise. Je me réjouis de voir que tu nas pas tardé à la mettre en application. Tu mas lair de prendre plus de plaisir encore que lors de la déconcertante démonstration d’onanisme que tu m’as fait partager l’an dernier.

— C’est humiliant de parler de cela devant toutes ces filles ; j’étais malade. Vous savez pertinemment que le médecin a attribué ce délire au clitorisme dont je souffrais périodiquement. Il a d’ailleurs insisté pour que je ne me touche plus là quand je fais une crise. Ooooh ! C’est de plus en plus fort. Arrêtez !

— Souviens-toi ! Nous avons chatté des heures sur les sensations prodigieuses que tu éprouvais quand ta tigelle avait atteint un stade d’hypersensibilité extrême. Replonge-toi dans l’ambiance de cette nuit blanche que nous avons passée ensemble sur le net. Devant ta webcam, prise d’une folie masturbatoire, tu avais décidé de punir ton clitoris en le polissant avec du sable blanc pour qu’il devienne hypersensible.

— Cest parce que je n’avais rien d’autre de plus abrasif sous la main.

— J’ai bonne mémoire, tu vois. Même si tu as toujours refusé de ladmettre, tu venais dassocier pour la première fois de ta vie les plaisirs de lexhibition avec ceux du masochisme. Tu mavoueras, par la suite, avoir été stupéfaite de découvrir combien la souffrance et lattente du plaisir attisaient ton désir. De mon côté, jentrevoyais déjà combien tes galbes et la "Sunna" stimuleraient un jour la cruauté de tes bourreaux. J’aime beaucoup le choix de ton mot de passe. CRUCIFIXION ! Est-ce l’expression d’un désir immédiat, ou d’un fantasme refoulé ?

— Les deux ! Vous connaissez très bien leffet aphrodisiaque de la souffrance quand le plaisir mest refusé trop longtemps. Ooooh ! Ooooh ! Cest dégoûtant. Elles vont me faire grimper aux rideaux. C’est plus que cruel. Vous allez finir par me faire déraisonner. Ooooh ! Comment ai-je été assez stupide pour vous expliquer dans le détail comment je fonctionnais ? Vous êtes le plus abominable tyran de la planète. Vous avez patiemment abusé de ma confiance durant des années en me tirant les vers du nez, uniquement pour me violenter plus efficacement. Je vous ai dit mille fois que des douleurs sexuelles aussi vives ne me conduiraient jamais à lorgasme et ne peuvent servir quà galvaniser inutilement ma libido.

— Et ta sensualité, ma beauté. Je sais, oui ! Tu mas déclaré que tu te servais secrètement de ce subterfuge pour retarder le plaisir que tu prenais avec tes préceptrices.

— Uniquement avant de recevoir des invitées désireuses d’abuser d’une vraie tigresse en chaleur et dont je savais qu’elles exigeraient de moi des performances orgasmiques exorbitantes. Cétait le meilleur moyen que jaie jamais trouvé pour assurer les cent éjaculations journalières quelles exigeaient de moi. Jai le vilain défaut déjaculer dautant plus facilement que ma chatoune est irritée.

— A chacun ses défauts. Moi, par exemple, je suis maladivement perfectionniste. Depuis plusieurs mois, je dissèque nos échanges. Je pense que je suis parvenu à retirer la quintessence de tes délires. Le plus croustillant était sans conteste le jeu de rôles auquel tu m’invitais subtilement pour te mettre en condition la veille des grands rendez-vous. Systématiquement, tu choisissais d’incarner une fille très masochiste prisonnière d’une secte cruelle que je symbolisais à moi seul. Prétextant que personne mieux qu’une fille ne pouvait en faire souffrir une autre, tu finissais par t’associer à moi pour satisfaire notre prisonnière virtuelle dans sa quête de douleurs extrêmes. Ton excitation montait alors de plusieurs crans. Oubliant toute bienséance, tu te dénudais intégralement devant moi en te pinçant les seins. Pour me permettre de me régaler de tes interminables jambes et de ta longue fente, véritable hymne à la féminité, tu réalisais un grand écart spectaculaire qui t’ouvrait toute grande. Tu devenais alors intarissable pour me détailler comment s’y prendre pour te faire souffrir horriblement sans abîmer définitivement ta plastique. Un vendredi soir, tu me confias qu’Elsa et ses amies t’avaient préparé un week-end sexuel de folie. Il était question de réunir une dizaine de filles qui se proposaient de te traire à tour de rôle.

— Si vous voulez parler des collègues d’Elsa, elles n’étaient pas psychologues mais psychopathes, celles-là. Elles me comparaient à une jeune chèvre et prétendaient me faire éjaculer tout un week-end.

— Ce que tu es parvenue à faire dailleurs après m’avoir convié au spectacle de ce que tu appelas "Le martyre de Titi". Je revois encore ton sublime arrière-train de gazelle escalant le fauteuil de bureau avant de poser tes jambes sur les accoudoirs pour ouvrir en grand le compas de tes cuisses. Tu avais rassemblé tout un petit matériel près de ton clavier.

Les fantasmes dO semballaient à la vitesse de léclair en revivant ce délire quelle croyait enfoui aux tréfonds de sa mémoire.

— Tu as fait un nud coulant avec une cordelette pour garroter la racine de ton arrogant clitoris. Comme tu enrageais de ne pas y parvenir ! Tu choisis alors, pour le punir, de le faire rouler en l’écrasant entre deux crayons.

Cette révélation publique de lhyperstimulation sensorielle quelle était capable de simposer avant de se laisser emporter par lorgasme effara les spectatrices. Il n’en fallut pas plus pour la faire mouiller à grands flots.

— Arrêtez ! J’ai trop honte. Je ne veux pas que vous parliez de ce que je faisais à mon Titi. Pas devant elles.

— Tu n’es pas en position de me donner des ordres, je crois. Dernier avertissement ! Lâchez-lui les jambes ! Je veux tentendre demander aux deux filles qui touvraient les cuisses de griffer en rythme avec leurs lames tes tétons turgescents pendant que Gerda continuera à te stimuler le clitoris en le frictionnant avec la sève de cette racine magique qui possède le pouvoir de le congestionner magnifiquement pendant quelques heures.

Le Maître devisait tout en analysant lévolution du comportement de son esclave. Il ressentit soudain une ivresse jouissive devant la possibilité de pousser le raffinement de la violence physique et psychique jusquà faire participer sa victime à son propre viol, ou du moins lui en donner le sentiment.

Insensiblement, O disjoignit ses cuisses en cherchant à accrocher des pieds les pattes du tabouret. O pleura de bonheur, pressentant bien qu’elle ne pourrait plus faire quoi que ce soit maintenant pour échapper au destin singulier que ce sadique émérite lui réservait. Elle prenait indubitablement le large sur un navire qui prenait leau de toutes parts.

— Jai peur de ce que vous allez leur demander de faire à mon petit corps. Si vous ne mavez pas menti sur votre passé, vous devez toujours garder dans un coin de votre mémoire le calvaire que vous avez fait subir à une jeune femme durant plus dune semaine. Elle vous avait laissé un goût dinachevé, je crois, en rendant lâme trop tôt à votre goût. Je connais énormément de choses sur vos penchants pervers qui vous mettront dans lembarras.

— Et sachant cela, tu nhésites pas à mouvrir le compas de tes jambes. Ton chantage est minable, ma poulette. Mes amies de stupre connaissent tout de mon passé de scélérat. Toi, tu nen connais quune infime partie. Jai beaucoup progressé depuis dans le choix de mes captives. Cette fois, je nai rien laissé au hasard. Si je tai choisie pour texploiter sexuellement et physiquement, cest que toutes celles qui tont pratiquée ont affirmé que tu regorgeais d’énergie. Tu as vingt ans de moins que la femme que jai fait martyriser, je te rappelle, et bien plus dendurance selon moi. Nous avons acquis pas mal dexpérience depuis ces temps lointains. Crois-moi, nous saurons te faire durer. Je ne suis plus homme à me contenter de plaisirs fugaces. Mes érections sont dun tout autre ordre. Je te promets de combler tes suppliques masochistes inavouables en inondant ton sexe de sensations démentielles que mes collaboratrices reproduiront à l’infini. Profite bien de cette dernière fenêtre de liberté que généreusement je taccorde pour texprimer et cracher ton venin, car ton foutre m’est encore trop précieux pour le dilapider !

— Rendez-moi Jade et les otages, et vous pourrez vous servir de moi autant que vous le souhaitez !

Une lueur sadique fugace traversa son iris.

— Si tu me connaissais aussi bien que tu le prétends, tu devrais savoir quune fille qui pose de pareilles exigences sexpose à damères représailles. Mais peut-être est-ce cela que tu recherches ? Hans te rendra Jade à la minute même à laquelle je le lui demanderai. Entière ou en tronçons: tout dépendra de ta conduite.

— Je nai plus que le choix que de vous obéir, je crois.

— Erreur ! Il y a plusieurs façons de mobéir. Par exemple, en écartelant spontanément tes cuisses selon le degré de tes attentes, ma beauté.

O ressentait une envie monstrueuse de se livrer corps et âme à ce Maître impitoyable et à ses alliées de circonstance qui manifestement se réjouissaient à la pensée de la supplicier. Nul doute que dans son ingénieuse cruauté, ce satyre procurerait à sa victime de cuisantes et incessantes souffrances, digne de Tibère, dun Inquisiteur ou dun tortionnaire chinois. Dévorée d’un appétit colossal, elle choisit de s’étourdir davantage. La jeune femme ondula à la manière dun serpent en reptation. Elle se laissa glisser sur le bord du tabouret en offrande totale. Usant de toute sa souplesse pour parvenir à un degré décartèlement ahurissant, elle poussa la hardiesse jusquà poser son clitoris de façon à accentuer le contact avec la racine maléfique que lui tendait Gerda.

— Cest très bien. Tu es intelligente. Nous sommes fiers de toi. De gré ou de force, tu finiras par comprendre et aimer ce que jentends par le chemin de la méditation. Si tu nous aides de toutes tes forces à te projeter dans le vide insondable de la privation orgasmique, je promets solennellement que la femme qui taime te reviendra pour te prendre en charge comme tu le mérites.

— Chouette ! Je serai toute mimi. Je peux vous le dire maintenant. Promettez-moi dêtre féroces avec mes petits lolos ! Je suis capable de jouir si elles sont trop douces avec mes seins quand je suis dans cet état-là. Si vous voulez quelles me rendent complètement chèvre, demandez-leur ! Oh Gerda ! Oh ! Oh ! On ne peut pas faire ça avec le Titi de la petite fille.

En une fraction de seconde, le Maître comprit que la souffrance la faisait chavirer.

— Il aura fallu le temps, mais je pense quelle est bien partie, cette fois. Quen penses-tu, ma chérie ?

A bonne distance, deux yeux noirs, rivés à une paire de jumelles, suivaient la scène. Un casque de haute technologie collé sur ses oreilles, Elsa se repaissait de la cruauté de son père envers la petite garce. Consciente davoir atteint un instant crucial dans la progression de lesclavage de la métisse, elle se décida à orienter la suite des événements.

— La régression infantile qui sempare de son cerveau est révélatrice du stade notable dexcitation qui est le sien en ce moment. Je nai vécu quune fois un moment pareil avec Opale. Cela sest passé vers la fin du fameux week-end de folie sexuelle. Jai dabord cru quelle devenait schizophrène. Elle parlait delle à la troisième personne. Un peu comme si son esprit avait quitté son corps et quelle se voyait jouir derrière un miroir. Elle doit être extrêmement vulnérable. Papa ! Cest le moment ou jamais dutiliser le pouvoir de lhypnose.

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