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Un arrangement très particulier – Chapitre 6




Dans la voiture de Richard, la tension était palpable. Julia navait aucune envie de revoir ce porc.de Charles-Édouard. Richard, lui, lavait connu à lépoque où il nétait que PDG dune boîte quil avait montée. Cest quand il a gagné au Loto quil a commencé à changer. Il a commencé à être malpoli, méprisant et imbu de lui-même. Voyant quavec sa fortune il pouvait obtenir quasiment ce quil voulait, Charles-Édouard a entrepris de réaliser son rêve : avoir un sérail. Il proposait à de jeunes et jolies filles une paye faramineuse, en échange de quoi elles devaient se soumettre à lui durant une période donnée. Tout manquement à ses règles entraînerait des sanctions. Inutile de dire quil choisissait ses filles parmi les plus jeunes et les plus naïves.

Quand ils sont arrivés, après avoir sonné à la porte, cest une jeune femme habillée en bikini qui leur ouvrit la porte. Ce qui choqua Julia, cétait que cette femme était enceinte dau moins six mois. Pour elle, accepter de se faire engrosser par un mufle comme lui était surréaliste. Étant arrivé trop en avance, Richard avait surestimé les bouchons sur le périf. Leur hôte nétait visiblement pas encore prêt ; du coup, elle les mena vers lui qui était dans son jacuzzi en compagnie de deux femmes nues blotties contre lui qui soccupaient de sa toilette.

Ah ! Richard ! Et cette chère Julia. Vous mexcuserez si je ne suis pas prêt, mais je vous attendais plus tard.

Cest nous qui sommes en avance

Les deux hommes étaient en train de discuter, mais Julia ne les écoutait pas. Son attention était plus focalisée sur les très fines bulles dair qui semblaient remonter à la surface approximativement au niveau de son entrejambe. « Ne me dites pas quil a pété dans le bain ? Je sais que cest un jacuzzi, mais quand même… En plus dêtre grossier, il na aucune manière ! » se dit-elle. Mais ce nétait pas ce quelle pensait, car quelques secondes plus tard une troisième jeune fille sortit de leau après une séance dapnée assez longue. Elle eut à peine le temps de reprendre son souffle quand il la renvoya sous leau pour une nouvelle épreuve sous-marine. Ne souhaitant pas en voir davantage, elle préféra quitter la pièce. Conscient de son malaise, Richard la rejoignit un peu plus tard.

Un souci ?

Oui. Voir ce type profiter de ces filles ça me révulse ! En plus, il soctroie le droit de leur faire des mômes.

Je dois admettre que ça va trop loin, sur le coup. Essayez de prendre sur vous, sil vous plaît. Ne faites pas desclandre ; restez éloignée de lui, et ça devrait bien se passer ensuite.

Jessayerai. Contrairement à lui, vous au moins vous me respectez. Cest ce que jaime chez vous.

Cest normal. Je vous propose de faire une promenade, de visiter le domaine en attendant que dautre narrivent.

Oui, merci, ça va me détendre.

Cest ainsi que Richard et Julia partirent se balader, parcourant ce magnifique domaine. Cest plus tard que dautres voitures arrivèrent. Quand le couple est revenu à lentrée du manoir, on pouvait voir quHenri et Anaëlle étaient arrivés, mais également un autre couple damis : Fernand et Léa. Les lecteurs de lhistoire « Rapport de bon voisinage » du même auteur auront peut-être reconnus ce couple atypique. Un vieux garçon qui voulait, au départ, punir sa voisine qui le méprisait, était parvenu à en faire sa maîtresse. Puis plus tard, délaissée dans son ménage, elle finit par se rapprocher de lui qui lui montrait plus dintérêt que son mari. Cest ainsi et après quelques péripéties que je vous laisse découvrir de leur histoire quils en sont arrivés à avoir deux mômes aujourdhui.

Avant que la soirée ne batte son plein, les hommes rejoignirent Charles-Édouard, laissant les femmes discuter entre elles. Julia fut rassurée de voir que toutes les femmes du groupe partageaient son inquiétude concernant celui qui les accueillait pour la soirée. Certaines étaient même choquées dabord par le nombre de soumises quil y avait, et surtout le fait que la moitié étaient déjà pleines.

Julia était également curieuse de savoir comment elles réagissaient face à ce quil se passait lors de ces soirées, comme le concours de fellations qui sétait tenu la dernière fois. Certaines dentre elles disaient aimer lexhibition, mais pour la plupart cétait un moyen de samuser, de pimenter le quotidien. Cétait aussi pour certaines de ces jeunes femmes loccasion de pouvoir négocier des petits cadeaux auprès de leurs hommes respectifs. Ainsi Léa pensait sen servir auprès de Fernand, qui nétait pas forcement partant, afin de négocier un troisième enfant en le menaçant dune grève du sexe et de ne plus participer à leurs petites sauteries. Plus ça allait, plus Julia se rendait compte que ce nétait pas forcément les hommes qui avaient le dessus dans ce groupe. Voilà qui était intéressant pour elle ; il allait falloir développer tout ça.

Même si toutes saccordaient à dire quelles avaient une influence plus ou moins forte en ces messieurs, elles étaient toutes unanimes pour dire que leurs relations sinstallaient dans un respect mutuel. Chacun de leurs hommes aimant le sexe et la compagnie de jolies dames, prendre du plaisir avec eux faisait partie des bons côtés de cette vie. Ayant deviné que Julia nen était quau début de ses rapports avec Richard, sans en connaître les termes, Léa la prit à part pour discuter. Elle aussi, lorsquils avaient intégré ce club avec Fernand, avait été déstabilisée. Elle lui révéla son histoire, à savoir que Fernand avait débuté par un chantage concernant son adultère de lépoque, mais quelle ne regrettait rien, au contraire. Devant tant dhonnêteté, Julia lui raconta quelle nétait que sa bonne, quelle bossait pour lui pour racheter son château familial, mais que plus le temps passait plus elle était intime avec Richard. À cela, Léa lui répondit : « Profites-en, ma grande. Donne-lui ce quil veut, et il ne pourra rien te refuser. En plus, daprès ses ex, il paraît que cest un super coup au lit. Vas-y, fonce ! »

Julia est ressortie de cette conversation plus quindécise. Avant que le repas ne commence, elle partit aux toilettes afin de satisfaire une envie pressante ; mais au moment den sortir, elle fut bloquée par Charles-Édouard.

Alors ma jolie, on se refait une beauté ?

Oui, je tiens à être parfaite pour ce soir. Dailleurs, je vous félicite pour votre maison : elle est superbe, répondit-elle tout en pensant « Dommage que ce ne soit pas le cas du propriétaire »

Pas aussi superbe que vous. Passez-vous une bonne soirée ?

Euh oui. Merci de vous en soucier, répondit-elle avec un air inquiet, le voyant se rapprocher delle avec un air pas rassurant.

Puisque que tu passes une bonne soirée, tu pourrais men remercier ? dit-il avant dessayer de lui mettre la main au cul.

Je viens de le faire. Excusez-moi, mais Richard doit mattendre.

Reste là. Ce que je veux, cest un baiser.

Si vous voulez.

Elle lui fit un smack sur le front.

Tu te fous de ma gueule ? Ce que je veux, cest ça ! dit-il avant de lui bloquer la tête pour lui rouler une grosse pelle bien baveuse.

Julia trouva la force de le repousser, par réflexe, ce qui ne plut pas du tout à Charles-Édouard. Elle se doutait bien quil préparait un sale coup, et encore plus à partir du moment où il avait commencé à la tutoyer. Cest à ce moment-là quil sortit une grosse liasse de billets.

Écoute-moi bien. Si tu acceptes de te laisser faire, tous ces biftons sont à toi.

Y y a combien là-dedans ?

Deux mille euros. Je te donne les deux mille euros, tu te fous à poil et tu te laisses faire.

.

Cinq mille ! annonça-t-il en sortant dautres billets.

Cinq mille euros pour quelques minutes de sexe avec lui Elle hésitait, car elle navait jamais perdu son but damasser de largent. Cinq mille euros discrètement sans que Richard nen sache rien Non, elle ne pouvait pas. Cétait impossible pour elle de prendre le risque de trahir Richard. Qui sait comment il allait réagir. Il pourrait décider de tout arrêter, de faire valoir ses droits sur le château familial, et tout serait perdu.

Alors ? Tu ne vas pas me dire que coucher pour du pognon ça te fait peur ?

Non cest que Je dois refuser, je suis désolée.

Alors quelle voulait repartir, elle sest sentie tiré par le bras et jetée contre un mur. Elle vit Charles-Édouard refermer la porte et déboucler son pantalon.

Que tu le veuilles ou non, tu vas passer à la casserole. Je te prendrai par tous les trous. Je vais te faire connaître ce que cest quun vrai mec, et tu en redemanderas. Rien à voir avec lautre tarlouze de Richard. Allez, viens par là, salope ! Tu me fais bander depuis si longtemps…

Non ! Lâchez-moi ! cria-t-elle alors quelle était plaquée contre un mur, les mains bloquées par une des mains de son ravisseur alors que lautre lui palpait les seins puis fouillait sa culotte.

Oh, la petite pute Elle est toute trempée ! Et en plus, ses gros nibards ne sont pas siliconés Il doit bien samuser, Richard. Allez, embrasse-moi.

Julia essayait de se libérer mais elle ny parvint quen lui donnant un grand coup de genou dans les joyeuses. Au moment de partir, son ravisseur essaya de la retenir mais il ne parvint quà lui arracher une des bretelles qui maintenaient sa robe. Cest en pleurs quelle fit son apparition dans la salle où tout le monde prenait lapéritif. Lors de son entrée, tout le monde sest tu. Les autres femmes de la soirée venaient la rassurer quand Charles-Édouard, ayant du mal à marcher, fit son apparition sous le regard dégoûté des invités qui semblaient deviner ce quil sétait passé.

Richard, faut la faire enfermer, ta copine.

Et pourquoi ? Je la connais suffisamment bien pour savoir quelle ne taurait pas frappé si tu navais pas tenté quoi que ce soit.

Je voulais juste lui faire un bisou, et

À ce moment-là, Julia confirma ce que tout le monde soupçonnait en criant « Ce salopard a essayé de me violer ! » Les paroles de Julia venaient de jeter un froid. Alors quelle était prise en charge par les femmes présentes, Richard se rapprocha de son hôte avec un regard méprisant.

Comment as-tu osé la toucher ?

Attends, on est potes non ? Ce ne serait pas la première fille quon se partage. Dailleurs, si tu veux essayer une des miennes

Mais tu tentends parler ou tu le fais exprès ? Tu nas vraiment aucun respect pour les femmes. Je men veux de tavoir un jour appelé « mon ami ». Je ne sais pas ce qui me retient de tenvoyer ma main dans la figure.

La peur, sûrement.

Non, plutôt la politesse. Cette même politesse qui va mobliger à prendre congé avant quil ne se passe autre chose de fâcheux.

Ouais, cest ça. Bah, vas-y, casse-toi avec ta copine, et laisse-nous entre hommes. Javais prévu une partouze ce soir ; tu vas manquer pas mal de choses et Mais que faites-vous tous ? Pourquoi vous vous rhabillez ? Vous nallez pas partir quand même ?

Visiblement, tas rien compris. Depuis que tu as divorcé pour satisfaire tes envies de luxure avec toutes les minettes qui passent, tu as changé. Tu nous déranges de plus en plus. Tout ce quil se passe ce soir, cest de ta faute. Julia, venez ; nous rentrons.

Charles-Édouard voyait ses invités prêts à repartir sans quil ne puisse rien y faire. Henri, qui faisait office de président de ce club, lui signifia quil nétait plus le bienvenu parmi eux. Anaëlle lui marcha sur le pied : « Oh, zut ! Mais je lai fait exprès. » Léa lui cracha à la figure alors que Fernand sarrêtait devant lui pour lui dire : « Richard na pas voulu te mettre son poing dans la gueule. Sache que moi, je nai pas de scrupule à le faire ! » avant de lui envoyer une bonne droite sous le regard amusé de ses soumises.

Cette soirée avait tourné court. Dans sa voiture, Richard se confondait en excuses auprès de Julia. Alors que le soleil commençait à décliner, Richard décida de sarrêter sur une aire dautoroute et sortit son téléphone pour appeler la police, leur décrire ce quil sétait passé dans ce manoir quil venait de quitter, la détresse des jeunes filles sur place et leur exploitation sexuelle. Il leur recommanda dy faire une descente. Richard avait horreur de la trahison et considérait ce que son ex-ami avait fait comme tel. Julia, ravie de linitiative, commença à défaire sa ceinture afin de lui offrir une petite récompense buccale dont elle avait le secret. Alors que sa bouche saffairait avec attention sur le membre de Richard, elle pouvait lentendre porter plainte à la police contre celui qui avait trahi sa confiance. Il y décrivait tout ce quil sétait passé ce soir-là. Ce nest que quand il raccrocha quil put pleinement profiter de ce quil se passait au niveau de son entrejambe.

Le soleil se couchait, et de lextérieur de la voiture, on pouvait voir un Richard aux yeux fermés faisant onduler sa main dans lair au rythme du concerto de Vivaldi diffusé par son autoradio, et au gré des mouvements de succion de Julia. Richard était tellement dans son plaisir quil na pas vu les deux motards de la gendarmerie qui, curieux de voir une voiture de luxe isolée seule, sétaient approchés deux alors quils rentraient après avoir terminé leur service. Ce nest que lorsque lun deux frappa à la vitre que Richard reprit ses esprits.

Messieurs-Dames, bonsoir. Gendarmerie nationale. Veuillez cesser disons toute activité ; coupez votre moteur et présentez-moi les papiers du véhicule.

Les voilà Veuillez-vous rhabiller, Julia, chuchota-t-il à loreille de sa passagère.

Alors Monsieur Vernel Cest bon, tout semble en règle. Vous savez, cependant, que ce que vous étiez en train de faire il y a deux minutes est interdit sur la voie publique ?

Oui ; je suis navré. Voyant que nous étions seuls, nous avons été pris, avec mon amie, dune pulsion soudaine. Je sais que je mérite une contredanse ; donc, si vous men donnez le montant, je vous la règle de suite et ainsi nous pourrons repartir, dit-il en sortant son chéquier.

Bon, nous allons être magnanimes : nous avons fini notre service, alors on va vous laisser comme ça.

Ah ? Eh bien, merci.

Promettez-moi de ne pas recommencer. Monsieur, Mademoiselle

Déçu davoir été interrompu par les forces de lordre qui les ont suivis un bon moment, ce nest que de retour chez lui que les hostilités ont pu reprendre. À peine avaient-ils passé la porte que Julia plaqua Richard contre un mur et se mit à genoux pour terminer ce quelle avait commencé dans la voiture. Richard était ravi de linitiative. Julia, quant à elle, navait pas oublié sa conversation avec Léa qui lui avait conseillé den profiter à fond. Ainsi elle comptait, en lui donnant du plaisir, négocier quelques cadeaux supplémentaires. Cadeaux quelle pourrait revendre soit pour racheter sa dette avant échéance, soit pour avoir largent nécessaire pour entamer des travaux dans la demeure familiale quand tout sera terminé.

La vie dans lappartement de Richard reprit comme avant. Julia soccupait de tenir le domicile propre et bien rangé. Elle faisait la cuisine, le ménage, et quand Richard arrivait, elle se mettait entièrement à sa disposition. Un soir, après sêtre vidé les bourses au fond de la gorge de Julia, Richard lui fit une proposition.

Julia, je sais que vous êtes venue à coucher avec moi pour de largent. Non, nessayez pas de le cacher. Je dois admettre que cest une situation qui me convient, compte tenu de lassiduité que vous mettez à la tâche. Toutefois, je dois admettre que le calcul de vos revenus devient de plus en plus compliqué. Au rythme de nos rapports, jai fait un rapide calcul et on arrive à, grosso modo, treize mille euros mensuels. Ce que je vous propose, cest de vous payer une somme de quinze mille euros chaque mois. Ça fait un chiffre rond, et ça mévitera de me lancer dans des calculs longs et fastidieux. Quen pensez-vous ?

Ça me convient, Monsieur, du moment que vous respectez notre accord.

Bien évidemment. Ce nest pas parce que vous percevrez une somme forfaitaire quil faut se relâcher. Jattends de vous autant de dextérité dans le travail.

Monsieur, jaimerais vous remercier. Tout dabord pour moi et ma famille, mais aussi pour les esclaves de Charles-Édouard. Jai lu dans le journal quil avait été arrêté et que ses soumises avaient été prises en charge par les services sociaux.

Merci ; mais moi, je men veux. En fait, dans notre petit groupe, on sen veut tous de ne pas être intervenus plus tôt. On appliquait la politique de lautruche et on ne disait rien tant quon nétait pas personnellement impliqué.

Jai eu raison de rejeter sa proposition, alors ?

Quelle proposition ?

Il me proposait cinq mille euros pour coucher avec moi. Je devais me laisser faire.

Ah oui, vous avez bien fait. Vous auriez accepté, non seulement je vous aurais laissée chez lui, mais en plus le lendemain votre famille aurait été SDF. À lheure quil est, vous auriez sûrement un bâtard dans le ventre.

Merci, Monsieur. Je constate que chez vous la vengeance est démesurée, que vous naimez pas quon manigance quelque chose dans votre dos.

Oui, je naime pas être trahi. Mais arrêtons de parler dune chose qui fâche. Venez me rejoindre sur le canapé. Venez-vous blottir contre moi ; on va se faire un gros câlin.

Cest ainsi que cette soirée prit fin. Julia, entièrement nue, blottie contre Richard sur le canapé, sa main entrant dans le pantalon par la braguette restée ouverte et lui massant le service trois pièces en prévision du gros câlin prévu. Richard nétait pas dupe : Julia semblait de plus en plus offerte et docile pour lui, mais il savait que ce nétait pas uniquement les effets cumulés du fameux gel-douche qui la faisaient agir de la sorte. Il avait bien compris quelle profitait aussi de sa générosité pour accumuler les cadeaux et les revendre plus tard. Quà cela ne tienne. Du moment quil pouvait coucher avec elle, il sen foutait. Lui, qui avait prévu de lui monter un coup du genre « grève du sexe » pour provoquer une sensation de manque chez elle grâce à lexcitation perpétuelle quelle ressentait, avait finalement profité de ce quil sétait passé pour paraître, à ses yeux, comme un sauveur. Aujourdhui il la sentait prête à soffrir complètement à lui sous condition financière. OK, Julia lui coûtait cher, mais quest-ce que cétait bon !

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