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Une généreuse maman – Chapitre 1




Une petite mise au point simpose avant de poursuivre.

Le récit qui va suivre est une histoire que jai écrite il y a cinq ans et qui a déjà été publiée sur un site concurrent.

Suite à des divergences, elle a été supprimée du site en question.

Depuis, jai coupé tout contact avec eux, sans espoir de réconciliation.

Du coup, elle nexiste nulle part, et je naime pas ça.

Alors, avant quelle ne soit récupérée par des individus qui la proposeront un jour ou lautre comme étant la leur il ny a pas de copyright qui protègent les auteurs sur les sites comme le votre, nest-ce pas ? – je la (re)publie ici.

Enfin, si vous êtes daccord ?

Afin den conserver la paternité !

Pour finir, jinforme ceux qui connaissent le texte original que je lai pas mal remanié, mais comment faire autrement, cinq ans après

Jétais lycéen lorsque jai ressenti pour la première fois du désir sexuel envers ma mère.

Cest devenu une obsession qui, comme toute idée fixe, a une origine bien précise.

Cétait la fin de lété.

Jétais allongé sur un transat au bord de la piscine familiale, je lisais un magasine dun il distrait en rêvassant à la rentrée des classes qui approchait lorsque ma mère ma rejoint.

Bien sûr, je lavais déjà vue en maillot, sans y prêter une attention particulière, mais en la voyant se diriger vers moi, je ne saurais dire pourquoi, un détail ma fait frissonné.

Elle sest installée dans le transat en face du mien et a allumé une cigarette.

Ma mère est une belle femme de trente six ans, grande (1m78), avec une poitrine généreuse et naturelle, de longues jambes et une croupe qui font se retourner les hommes sur son passage.

Cétait la première fois que je la regardais de cette façon, alors quelle fumait avec nonchalance sa cigarette.

Ce jour là, jai pris conscience que ma mère était une femme avant dêtre ma maman, une femme qui avait un très beau corps et un fort potentiel sexuel. Cette découverte ma coupé le souffle et a bouleversé la perception que javais delle jusqualors.

A partir de cet instant, une longue quête a envahi mon quotidien. Je passais mon temps à épier maman, avec la ferme intention de la découvrir le plus dévêtue possible.

Entrer à limproviste dans la salle de bain le matin, ou dans sa chambre lorsquelle shabillait, est rapidement devenu mon passe temps favori.

Je me permets de croire quelle sen ait vite aperçu, mais comme jétais fils unique et quelle midolâtrait, elle a dû en éprouver une étrange fierté.

Aussi a-t-elle sans doute décidé de me laisser la marge de manuvre suffisante pour alimenter mes fantasmes, tout en restant dans les limites du raisonnable, de la décence.

Ce petit jeu a continué pendant plusieurs semaines.

Lorsque jétais récompensé par mon audace, quand je lavais enfin aperçue à moitié nue, javais loccasion de me branler, le soir venu, en pensant à ce que javais découvert.

Un matin où nous étions seuls à la maison, maman ma appelé.

Elle ma invité à la rejoindre à létage, pour laider à faire le lit.

Elle était dans sa chambre, en train de saffairer.

Je suis entré, alors quelle bordait le côté droit.

Elle ma demandé de moccuper de lautre, ce qui ma obligé à me placer en face delle.

Elle portait une chemise dintérieur qui lui descendait à mi cuisses, avec les trois boutons du haut ouverts, et, alors quelle se penchait pour enfiler les couvertures sous le matelas, jai eu une vue plongeante sur son décolleté qui baillait largement.

Ainsi, jai pu admirer, en toute impunité, sa gorge blanche, ainsi que le sillon profond formé par ses seins comprimés.

Cétait la première fois que je voyais sa poitrine daussi près, que javais loccasion de me repaître de sa chair abondante.

Cétait aussi la première fois que je la regardais en éprouvant le genre de désir quun fils nest pas supposé ressentir pour sa mère.

Ce qui devait arriver arriva : jai commencé à bander et jai réalisé aussitôt quelle allait sen apercevoir.

Jétais en pantalon de pyjama, ma grosse érection était visible. Maman ne tarderait pas à la découvrir.

Quand elle a levé ses yeux vers moi, elle sest retrouvée en face de ma queue qui semblait vouloir se frayer un passage, déborder, comme un animal autonome qui ne mobéirait plus.

Elle est restée figée, les yeux rivés sur mon sexe, et puis elle a eu une réaction à laquelle je ne mattendais pas du tout : elle a éclaté de rire.

Jétais cramoisi, javais envie de disparaître sous le tapis.

Elle ma demandé, sur un ton de reproche, si cétait elle qui me faisait cet effet, si je navais pas honte davoir en moi toute cette sève qui débordait à son contact.

« Je suis ta maman, Victor, quest-ce qui te prend ? »

Elle avait raison, jétais honteux. Honteux et humilié. Je ne savais pas quoi faire.

Quand jai enfin levé les yeux vers elle, jai été surpris de découvrir de la tendresse, et même de la compassion dans ses yeux. Un voile damertume aussi peut-être.

Le regard quelle posait sur moi était bien trop maternel vu la situation.

Elle navait pas lair en colère. Elle semblait même émue par ce quelle venait de provoquer, malgré elle.

Elle sest assise sur son lit et ma tendu les bras, dans une invitation tacite à la rejoindre.

Je suis venu me blottir contre elle, et elle ma serré fort contre son corps.

Je sentais sa poitrine qui palpitait, ses gros nichons sur mon torse. Jétais bien, rassuré, je bandais dur.

Nous sommes restés enlacés un long moment, sans bouger.

Elle me caressait la nuque de bas en haut, me démêlait les cheveux, faisait crisser ses ongles sur ma peau.

Je la tenais par les épaules, le visage enfoui dans son cou.

Je respirais son odeur, ses cheveux, cétait délicieux.

Et puis elle sest déplacée, très lentement, en conservant notre étreinte fusionnelle, pour venir sur moi.

Elle sest plusieurs fois déhanchée, sest assise sur mes genoux, et, alors quelle cherchait la meilleure position, sa chemise est remontée sur ses cuisses.

Elle sest installée, na plus bougé, ma serré très fort entre ses bras.

Il émanait delle une délicieuse chaleur, un parfum de sexe qui me faisait perdre la tête.

Je bandais. Ma bite, à létroit dans mon slip, débordait, et elle ne faisait rien pour lempêcher.

Elle respirait de plus en plus vite.

Jai caressé ses épaules, son dos, son cou.

Son cul moelleux contre ma queue.

Cétait une sensation si extraordinaire que je nai pas pu me retenir.

Jai agrippé ses épaules, me suis frotté contre ses fesses de manière compulsive, comme un petit chien en rut, et jai rapidement éjaculé.

« Pardon maman, pardon, pardonne-moi »

Jai éjaculé, sans pouvoir me retenir, plusieurs longs jets de sperme brulants qui ont imprégné la petite culotte de maman.

Nous sommes restés enlacés longtemps.

Nous nosions même plus respirer.

Et puis maman sest levée, ne ma même pas regardé.

Elle est sortie de la chambre sans dire un mot.

Je ne savais pas comment réagir face à lénormité de ce qui venait de se passer

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