Bonjour, je m?appelle Elise et je vais vous raconter la première fois où je me suis retrouvée seule avec Christine, ma banquière, dans une position pas du tout de circonstance.
C?est une femme d?environ 45 ans, blonde qui porte toujours des tenues très BCBG pour travailler à l?agence. Depuis quelques mois je la regardais un peu différemment et je multipliais les occasions de passer la voir pour des broutilles. Pourtant je n?osais pas lui parler franchement, j?avais un peu peur de me faire rembarrer.
Un jour pourtant l?occasion tant espérée s?est présentée enfin…
C?était l?été dernier, une de ces journées très chaudes comme on en connaît quand même en Bretagne (n?en déplaise aux mauvaises langues). Je devais ramener des papiers après les avoir signés et je l?ai appelée sur son portable. Elle s?occupe de mes comptes depuis plusieurs années et on en est venues à avoir des relations privilégiées même si elles sont toujours restées dans un cadre très professionnel.
Ce jour là, elle m?a dit qu?elle ne travaillait pas ( merci aux RTT ), mais que je pouvais passer chez elle les déposer si je le souhaitais. OK, pourquoi pas, elle m?a donné son adresse.
Vers 15 heures j?ai sonné chez elle. Personne n?a répondu. Sa voiture était là, j?ai fait le tour par le jardin. Elle était allongée sur un transat sur la terrasse. Elle portait un maillot et avait sans doute dû s?assoupir au soleil.
Je me suis approchée et me suis assise juste au bord du transat. Je détaillais son corps superbe, ses seins me semblaient encore plus magnifiques que ce que j?avais imaginé. Elle ne s?était même pas réveillée quand je me suis approchée.
Je me suis penchée vers elle et je l?ai embrassée. D?un coup elle s?est réveillée. Elle s?est redressée et m?a regardée surprise.
>’ Mais qu?est ce qui te prends ? ’
’J?en avais envie depuis très longtemps. Tu es fâchée ? ’
’ Ecoutes, non je ne suis pas fâchée, mais je ne me suis jamais intéressée aux femmes. Je suis mariée depuis 25 ans tu le sais, et Marc me comble tout à fait ’
’ Excuses moi, je ne voulais pas te blesser. Mais de te voir allongée ainsi, je n?ai pas pu résister ’
’ D?accord, mais on n?en parle plus ’
Elle s?est levée et s?est dirigée vers la maison. Je l?ai suivie. Elle m?a proposé un café, j?aurais accepté n?importe quoi qui puisse me permettre de rester près d?elle et de contempler son corps. Elle n?avait pas pensé à mettre quelque chose sur son maillot. On a discuté un moment, de tout et de rien… des vacances, de l?ambiance à l?agence où elle met beaucoup de bonne humeur…
’ Je ne savais pas que tu aimais les femmes ’
C?est elle qui ramenait la conversation là dessus cette fois !
’ En fait j?aime les deux, çà dépend des rencontres que je fais. Je me laisse toujours porter par mes envies ’
’ C?est drôle, je ne m?en suis jamais doutée ’
’ Pourtant tu sais, je suis très attirée par toi depuis un bon moment maintenant. Quand je te vois à la banque j?en ressort un peu frustrée parce que je n?ose pas t?en parler ’
Elle se tortillait un peu sur sa chaise, elle était je pense un peu mal à l?aise par la tournure que prenait la conversation qu?elle avait elle même amorcée.
’ Tu es seule ici aujourd?hui ? ’
’ Oui, Marc rentrera vers 19 heures et les garçons sont partis camper avec leurs copains ’
Quand je me suis levée et que je me suis approchée d?elle dans son dos, elle n?a pas fait un mouvement. J?ai posé mes mains sur ses épaules et je les caressais très doucement en murmurant à son oreille.
’ J?ai très envie de t?embrasser… ’
’ Non, il ne faut pas… ’
’ de te caresser… ’
’ Je ne peux pas… ’
’ de faire courir ma langue partout sur ton corps… ’
Elle n?avait pas essayé de se lever, je ne l?aurais pas retenue de force. Insensiblement elle avait mit sa tête un peu en arrière. J?ai fait descendre mes mains sur ses seins, elle n?a pas résisté, alors je me suis penchée et j?ai pris sa bouche.
Elle s?est laissée faire un moment et puis elle a entrouvert les lèvres pour répondre à mon baiser. Nos langues se mêlaient et se recherchaient.
’ Où est ta chambre ? J?ai envie de te faire l?amour’
’ Je ne sais pas si… ’
’ Chut ! Ne dis rien. Tu n?auras rien à de faire, juste savourer chacune de mes caresses. Et si tu n?aimes pas on n?en parlera plus… ’
Elle s?est levée, m?a pris la main et s?est dirigée vers les escaliers. Je l?ai suivie jusqu?à sa chambre. Une fois entrées dans la chambre, elle est restée debout devant moi, intimidée je pense. Je me suis approchée tout contre elle, je sentais sa respiration qui s?accélérait.
’ Je vais t?enlever ton haut de maillot, tu veux bien ? ’
’ Oui ’
Quand j?ai libéré ses seins, ma bouche s?en est emparée. Oh oui, ils étaient vraiment superbes. Je les léchais et les suçais avidement. Christine a commencé à gémir. Je lui ai dit de s?allonger sur le lit et je suis venue près d?elle. Ses tétons étaient bien tendus, je les embrassais et les mordillais. A chaque fois elle gémissait plus fort. J?ai senti ses mains sur mes cheveux, elle appuyait sur ma tête et l?écrasait un peu plus contre elle… Envolée la prude banquière si sage, elle appréciait vraiment mes caresses et en voulait encore …
Ma bouche est descendue le long de son ventre, elle a soulevé les fesses pour me permettre de lui retirer son slip. Oh comme sa chatte était belle, épilée, bien lisse, et bien humide !
’ Hmm, je vois que tu apprécies, tu est toute mouillée ’
’ Oui c?est vrai, je suis très excitée ’
’ Tu veux que je continue ? ’
’ Oh oui, surtout que tu n?arrêtes pas… Bouffes moi la chatte ’
’ Ho là Madame la banquière ! Ce n?est pas un langage çà … Tu en veux vraiment on dirait ’
A suivre…