17 octobre 1906.

Bonne nouvelle. Mon oncle, le frère de mon père, est arrivé. Il m’aide à orchestrer les travaux, qui avancent bien d’ailleurs. Les terrains ont été défrichés, plantés, et un verger a été planté. Si tout va bien, d’ici deux ans, l’exploitation tournera à plein régime. Plusieurs hommes sont venus se proposer, et nous sommes maintenant plus de 50. De nouveaux logis ont été construits à la hâte, mais ils seront améliorés pendant l’hiver. De même, un médecin a pris ses quartiers parmi nous.

Toutefois, des problèmes entre John et mon oncle, que tout le monde semble préférer, sont survenus. Un est sudiste et esclavagiste, l’autre est nordiste et convaincu que les hommes travailleront mieux correctement traité. Je suis d’accord avec mon oncle. Pour être plus fort, John a débauché un certain Arwin, du même tonneau que lui.

Diego et moi continuons notre idylle. Il est toujours mon amant, et je ne peux imaginer de vivre sans lui.

A force de travail, mon corps se muscle et bronze quelque peu. Je me sens mieux, moins fragile. Diego me complimente souvent en disant que je vais prochainement devenir presque aussi beau que lui.

Ma mère va arriver la semaine prochaine, afin de vérifier que l’argent dont je dispose est bien investi. Cette visite me fait moins plaisir, mais cela fait partie des obligation. Un court moment, j’espère. Diego va rentrer, je l’attend avec impatience.

18 octobre 1906.

Ce qui s’est passé hier nous a marqué, tous. Rien ne sera plus pareil.

Après avoir complété ce journal, je suis sorti attendre Diego dehors. J’ai reçu un coup sur la tête qui me fit mévanouir. Lorsque je revins à moi, j’étais attaché à un des piliers en bois de la cabane. On m’avait totalement déshabillé et j’étais bastillonné. Un homme se leva, il s’agissait d’Arwin. Il empestait l’alcool. Il se tenait à quelques centimètres de moi lorsqu’il commença à

parler : "Alors, on aime jouer à la femme ? On aime bien jouer avec des bites ? On va s’amuser".

Je doutais que nous ayons les même motifs de s’amuser mais j’étais terrifié.

John entra avec Diego et Douglas. Il les poussait sans ménagement. Diego me regarda, horrifié. Il voulu combattre les deux tortionnaires mais reçu un formidable coup de poing et tomba inanimé au sol. John s’esclaffait : "La face de terre cuite est hors service, il faudra se contenter du nègre". Il enleva mon bâillon tout en m’ordonnant de ne pas crier. Il avait son six-coups à la ceinture et tenait une cravache. Il me détache ensuite. Douglas semblait paralysé par la peur. Il n’osait pas me regarder.

Je demandai à John et Arwin de partir, et que rien ne leur serait reproché, mais comme pour seule réponse, je n’eus qu’un rire gras et les deux hommes qui répondirent qu’il était temps que je reprenne mon rôle de femme. Ils ordonnèrent à Douglas de se déshabiller. Une fois nu, ils s’adressèrent à moi : "Vas-y, suce le chocolat, et qu’il prenne du plaisir".

Douglas était à la fois mince et très musclé. Une grâce quasi féminine s’échappait de chaque mouvement. Je m’approchai de lui et vit qu’il sanglotait. Je le rassurai en lui disant que ce n’était pas sa faute, mais qu’il valait mieux faire tout ce que les deux fous exigeaient. Je passai mon pouce sur sa joue pour sécher une larme et lui sourit.

Je me mis à genoux et pris son pénis, qui était plus long mais plus fin que celui de Diego, et le mis en bouche. Il ne durcissait pas. Douglas semblait trop apeuré. Il reçut un coup de cravache de la part d’Arwin. "Ta patronne ne t’excite pas", hurlât-il  ? J’en reçu un de la part d’Arwin qui me conseilla de faire mieux.

Je recommençai à sucer Douglas et sentit son membre grandir et durcir. Je m’appliquais à faire du mieux que je pouvais et cela avait l’air de marcher. Je léchais son gland et ses boules lorsque la cravache de John s’abattit à nouveau sur Douglas. Il lui demanda s’il n’était pas honteux de ne pas dire à sa patronne qu’il aimait ça. Je reçu un coup à mon tour et Arwin me dit que je devais être un bien mauvais coup.

Mon dos me faisait souffrir. Je vis dans le miroir les deux marques de cravache. Mais je n’avais pas le temps pour ça. Je me remis à sucer Douglas, dont le membre se banda instantanément, et qui poussa de profond gémissements. Les deux hommes crièrent en cur que c’était mieux.

Après quelques minutes, ils lancèrent à Douglas qu’il devait honorer sa patronne. Je me mis à quatre pattes sur le bord du lit et amenai Douglas. Je plaçai son gland sur mon anus et il s’y enfonça sous le regards des deux pervers qui semblaient s’amuser beaucoup. Douglas jouit et se retira assez vite. John se rua dessus en hurlant qu’il ne lui avait pas donné l’autorisation de jouir. Quant à Arwin, il commença à me donner des coups de cravache en disant que je n’étais qu’une putain à négro.

J’allais perdre connaissance lorsque la porte s’ouvrit. Mon oncle entra et écarquilla les yeux. Il pris son révolver et tira deux fois en l’air, ce qui eut pour effet de figer les deux hommes. Il les fit sortir sous la menace de son arme et fit appeler le médecin. Je ne le vit pas arriver car je mévanouis et ne repris mes esprits que ce matin. Je suis au coté de Douglas, nous sommes tous deux couverts de bandages, et attendons patiemment que mon oncle viennent nous raconter ce que nous avons manqué.

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