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Surprise de femmes – Chapitre 1




Je m’appelle Charles, j’ai 39 ans, mon épouse Corinne a 37 ans, c’est une belle petite brune aux yeux bleus avec une belle poitrine. Nous sommes très complices et connaissons tout de nos passés.

Elle sait comment, adolescent, j’ai découvert les plaisirs du sexe avec mes copains de l’époque (masturbation, puis fellation pour finir par la pénétration… mais c’est une autre histoire). Elle m’a raconté comment elle jouait avec sa demi-sur puis sa cousine. Des jeux de simulacre de soumission qui tournèrent vite en jeux sexuels. Sexe contre sexe ou en 69 mais sans jamais se pénétrer.

Nous ne sommes ni échangistes ni même mélangistes mais la bisexualité est très présente dans nos fantasmes. L’idée de la voir avec une autre m’excite au plus haut point et elle aime que je lui raconte comment nous pourrions nous occuper d’une amante. Elle ne souhaite pas réellement me voir avec un mec mais, dans le feu de l’action, m’imaginer pris par un homme pendant que je la possède la fait aussi monter « au rideau ».

C’est donc dans cet état d’esprit que mon histoire commence.

Un jour, après avoir fait l’amour, nous discutons dans le lit pendant qu’elle joue avec mon sexe encore en demie érection. Petits scenaris de soumission de telle amie ou de telle cousine, leur faisant subir comme souvent les derniers outrages. Comment elle lui ferait lécher sa chatte ou comment elle introduirait ma bite dans l’anus serré de notre amante tout en lui prodiguant les meilleurs soins. En fait nous jouons les prolongations

Bien évidement je rebande rapidement et ma femme commence elle aussi à frotter son pubis sur ma cuisse. L’excitation montant, nous faisons le tour des femmes de notre entourage, amies et famille. Telle copine doit être une cochonne, telle cousine ou tante doit aimer la sodomie ou les femmes (ou les deux). C’est alors je me laisse aller à dévoiler l’un des rares secrets que j’ai pour ma femme.

« Et ta mère est encore bien jolie aussi » Dis-je en me souvenant de cet instant où j’ai aperçu les petits seins de ma belle-mère. Une petite poitrine mais des tétons proéminents qui pointaient fièrement dans son peignoir. Depuis, je me masturbe souvent en fantasmant sur elle, mais jamais je n’avais osé aborder le sujet avec ma femme.

A ma grande surprise, ma femme ne se fâche pas, elle reste sans réaction, interdite et visiblement gênée. Sentant que j’ai mis le doigt sur quelque chose (sans mauvais jeu de mots) je poursuis.

« Elle est encore très bien faite pour ses 58 ans. Ton père doit prendre encore du bon temps. Je crois que j’aimerai bien être à sa place. J’adore ses petits seins et ses gros tétons ». Ma femme reste encore silencieuse un moment puis elle me dit tout bas.

« Elle peut jouir rien qu’en les lui suçant. Et son clitoris est énorme, comme une petite bite. »

Ses paroles me font l’effet d’un électrochoc, je comprend immédiatement que ma femme ne sait manifestement pas limitée à sa sur et sa cousine. Je suis impatient d’en savoir plus et mon sexe est maintenant droit et dur comme l’acier.

– »Et tu sais ça comment toi ? » Le ton de ma question ne laisse aucun doute sur le fait que je connais déjà la réponse mais les circonstances m’intéressent.

C’est alors que ma femme commence son récit.

«  Je venais de fêter mes 18 ans, ma cousine Sandrine était venue en vacances au chalet pendant l’été et nous avions repris notre petit jeu. Même si nous n’avions rien fait toutes les deux depuis deux ou trois ans, nous nous sommes vite retrouvées. Un après-midi pendant l’une de nos soi-disantes siestes je me suis aperçue que ma mère nous regardait par la porte entrebâillée de ma chambre. Nous étions en 69 sur le coté et je pouvais voir ma mère dans l’entre-jambe de ma cousine. Pendant une seconde mon coeur s’est arrêté de battre, j’étais pétrifiée de peur. Sandrine, qui ne pouvait pas la voir, continuait tranquillement à me lécher la chatte. La frayeur fit rapidement place à la stupeur. Ma mère avait une main dans sa culotte et l’autre sur sa poitrine sous son tee-shirt. Visiblement, elle prenait beaucoup de plaisir à nous observer et se masturbait debout derrière ma porte. Je fermais les yeux et ressentit une vague de chaleur dans mon bas ventre. Sandrine n’y était pas étrangère, elle lèche comme une reine, mais le fait d’être observée et en plus par ma mère m’excitait comme jamais. Instinctivement j’ai replongé entre les cuisses de ma cousine et me suis mise à lui manger son abricot comme une folle. Les images se troublaient dans mon esprit, enivrée par les effluves de cette chatte juteuse, par le plaisir d’être si bien mangée et par l’excitation, j’ai fini par imaginer que c’était la chatte de ma mère. J’ai pris un pied mémorable.

Le soir, ma mère est venue me voir dans ma chambre pendant que Sandrine regardait la série de l’été à la télé.

Alors ma puce, ça se passe bien tes vacances. Vous ne sortez pas beaucoup avec Sandrine.

Tu sais maman, je t’ai vue cet après-midi….

De quoi tu parles?

Derrière la porte de ma chambre pendant que Sandrine et moi on… enfin tu vois bien.

Pardonne moi ma chérie. Elle se mit à pleurer.

Mais maman ne pleure pas. Tu aimais ce que tu voyais visiblement et moi j’ai adoré que tu sois là. Pour tout te dire, j’ai même imaginer que j’étais avec toi à un moment.

Tu sais, cela faisait longtemps, j’avais ton âge la dernière fois. En fait, ta tante Marie et moi..nous aussi….Alors quand je vous ai vues toutes les deux, si belles, le souvenir de la jouissance aidant, mes mains sont devenues comme indépendantes.

Le souvenir de la jouissance? Pourtant toi et papa vous…. enfin vous le faites encore.

Ton père ne s’est jamais vraiment préoccupé de moi. Nous étions vierges tous les deux quand nous nous sommes connus et je n’ai jamais eu d’autre expérience mis à part ma soeur.

A ce moment là, l’amour, la tendresse, l’envie se sont mêlés dans mon esprit, j’ai ouvert le peignoir de ma mère et j’ai déposé un baiser sur son sein. Son téton s’est dressé instantanément et elle a saisi ma tête à deux mains en gémissant. Comme prise dans un tourbillon, j’ai couvert son corps de baiser, caressant chaque partie de sa peau. Nous avons basculé sur le lit et c’est comme ça que j’ai fait l’amour avec ma mère pour la première fois. Rassure toi, depuis que l’on se connaît il ne se passe plus rien.

Les dernières paroles de ma femme n’avaient résonné que comme un lointain échos. Les images dans mon esprit se bousculaient et je visionnais déjà le meilleur des scenaris. Je me voyais avec ma femme et ma belle-mère tant désirée dans les positions les plus variées. Je refis l’amour à ma femme instantanément, mon sexe presque douloureux de trop bander la ramonait depuis peu quand elle me dit.

Parle-moi de nous avec ma mère.

Parfois, pendant que nous faisions l’amour, je racontais des histoires à ma femme pour nous exciter. Nos fantasmes y passaient tous. Cette fois ci, le stade du fantasme était dépassé, j’élaborais vraiment un plan pour mettre ma belle-mère dans notre lit et avec l’accord de ma femme.

A suivre, si vous le souhaitez.

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