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Des gentils voisins – Chapitre 1




Des gentils voisins,

Lui, 1,65m frêle et le visage féminisé par des traits fins, en dautre mot un gringalet. Il a la trentaine et pendant toute sa jeunesse il sest fait chahuté à lécole, au lycée et à lUnif par ses condisciples. Il a été tous le temps le souffre douleur des plus grands de ses camarades.

Maintenant au travail, cest un peu la même chose, on lui fait des blagues, on le sous-estime et même se moque-t-on de lui. Pourtant dans toute cette noirceur, il y a un trait de blanc. Sa femme, une petite blonde de 23 ans, 1,69m, mince, ventre plat, petite poitrine mais pas inexistante et un visage dadolescente.

Si, on lui fait deux couettes, elle parait facilement 14,15 ans tellement son visage semble juvénile. Cest arrivé à deux reprises quon lui a demandé sa carte didentité pour entrée au cinéma. Bien entendu la caissière sest confondue en excuse lorsquelle à vu son âge.

Depuis, leur mariage, ils habitent un immeuble à appartement assez vaste. Il y a six appartements par étage et il y a 15 étages. Eux habitent au 10ième. Lappartement en face du leur est actuellement vide et laffiche de location vient dêtre retirer depuis quelques jours.

Cest un samedi matin que sortant de chez elle, Julie vit deux grand noirs, carrure dathlète et 1,90m vider lascenseur de caisses et sacs en tout genres.

— Heu !… Bonjour !…Vous Vous êtes les nouveaux locataires ? Demande-t-elle en rougissant devant cest deux monstres de la nature.

— Waouh !… Vous êtes la voisine ?

— Heu !…. Oui !

— Mazette !…. Regarde un peu Omar ! Vise-moi le châssis ! Sécrie le noir devant elle se reculant pour que son copain puisse la voir.

— Hum !…. Voilà qui va faire passer plus facilement le prix du loyer ! Dit Omar en ouvrant de grands yeux.

Julie est rouge comme une pivoine et ne sattendais vraiment pas à de tels remarques. Elle semble hésiter en rentrer chez elle ou attendre que lascenseur soit vide et pouvoir descendre chercher les pains aux chocolat de ce samedi matin, pour son mari.

— Attendez !…. On retire encore les deux caisses et lascenseur est à vous ! Dit le noir dont elle ne connait pas encore le nom.

Trois secondes plus tard, Omar lui tient la porte ouverte et linvite à entrer dans lascenseur. Julie prend son courage à deux mains ; fait les pas nécessaire pour avancer jusque dans lascenseur.

Le noir qui lui tenait la porte rentre directement après elle et referme la porte. Sans laissez le temps à Julie de faire ou de dire quoi que ce soit, il pousse sur le bouton du rez-de-chaussée et regarde Julie dans les yeux.

— Comment sappelle cette jolie voisine ?

— Je Heu Julie !

— Hum !… Moi cest Baka !

— Baka ?…

— Oui, cest un diminutif de Bakamounda et tout le monde mappelle ainsi.

— Heu !… Enchan Enchantée ! Dit-elle en tendant une main timide.

Julie reçu une décharge dadrénaline dans le sang en voyant sa minuscule main disparaitre dans celle de Baka.

Ce dernier emprisonna la main sans faire mal mais, suffisamment ferme pour empêcher Julie de la retirer.

— Comme nous sommes voisins, je crois quun bisou sur la joue simpose.

Baka se penche et place ses lèvres à un millimètre des lèvres de Julie, dévie au dernier moment et dépose un bisou baveux de salive sur la commissure des lèvres de Julie.

Julie ne peut sempêchée de sursauter car la manuvre de Baka, a été tellement rapide que sa réaction de retrait nas pas empêché le baiser.

De plus Baka lui tenant toujours la main, à presque obliger Julie de se rapprocher de lui.

— Je crois que nous allons bien nous entendre ! Conclu-t-il en se redressant et relâchant la main de Julie.

La descente semble durer une éternité pour Julie et du coin de lil observe Baka dans les muscles saignants lui fait un drôle de nud dans le ventre.

Enfin lascenseur sarrête, Baka ouvre la porte et fait semblant de se retirer pour que Julie sorte de la cabine.

Cest en passant devant Baka que létroitesse de la porte loblige à frôler, avec son bras, le bassin de Baka et la bosse dure à lavant de son jogging.

— Heu !… Au revoir ! Dit-elle encore plus rouge et gênée.

— Salut, ma belle poupée ! Dit Baka en passant sur ses lèvres une grosse langue rose.

Julie couru jusqu’à la boulangerie pour se calmer un peu. Elle traina un maximum avant de revenir vers limmeuble et regarda si le noir était toujours là. Le chemin était libre mais, cétait sans compter avec la grosse camionnette devant lentrée qui était encore à moitié remplie de meubles et de cartons.

Au moment du passage de Julie derrière la camionnette grande ouverte, Baka sauta de celle-ci et accosta Julie.

— Hum !…. Cest pour moi ces bonnes petites choses ?

— Heu !…. Non ! Cest notre déjeuné ! Fit-elle candide et rougissante à nouveau.

— Dommage !…. On aurait pu faire connaissance devant un bon café et petits pains !

— Heu !… Ce Ce sera pour une autre fois ! Sentendit dire Julie étonnée elle-même de cette phrase.

— Top-là ! Ma belle ! Fit Baka en tendant la main paume vers le haut.

Une fois de plus, Julie pu voir la grandeur des mains du noir et une fois de plus son entre-jambe se mouilla sous lafflux dadrénaline.

Elle couru vers lascenseur en voyant un autre habitant ouvrir la porte. Elle nosa se retournée et monta dans un silence gênée jusqu’à son étage. Lautre locataire allait plus haut.

Julie rejoint son mari encore au lit et lorsquelle apporta le plateau du petit déj, Alex, son mari ne la remercia même pas de cette petite attention.

Julie regarda son mari et vis la différence de carrure entre lui et Baka, ensuite se remémora le bisou au coin de sa bouche dans lascenseur. Elle du reconnaitre que cela ne lavais pas laissée complètement indifférente et même lavait passablement excitée.

Le bruit dans le corridor se fit encore entendre pendant tous le reste de la matinée et ce nest que le soir vers 18h00 quon sonna à la porte de lappartement.

Alex affalée dans le divan sursauta et cria à Julie dans la cuisine daller voir qui étais-ce. Julie sessuya les mains et alla vers la porte dentrée, ouvrit celle-ci et se trouva en présence dOmar et de Baka tout sourire et encadrant totalement lentrée.

— Nous vous invitons à boire le verre de lamitié ! Disent-ils en cur en reluquant les formes de Julie seulement vêtue dune petite robe moulante.

— Heu !… Je Je ne sais. Je ne crois pas que Je

— Laisse-nous rentrer ! Dit Baka en entrant doffice dans lappartement de Julie.

Elle se recula et Omar suivit Baka pour entrer. Julie semblait toute petite à côté deux qui la dépassaient de presque 30cm.

Sans gène, ils entrèrent et virent Alex affalé dans le fauteuil. Celui-ci sursauta à leur vue, se leva et devint livide de peur.

Lorsque Baka lui tendit une main, sa peur redescendit légèrement mais quand sa mains fut écrasée par la poigne de Baka, son sourire se transforma en grimace douloureuse.

— Salut ! Mon pote ! Dit Baka dune voix forte. Cest ta petite poupée qui nous à invité à venir boire un verre de bienvenue !

— Heu !… Ou Oui !…. Entrer donc.

Omar lui serra la main de la même façon que Baka et Alex su quil ne pourrait plus se servir de sa main avant plusieurs heures. Le temps que ses os et muscle se remettent du choc et de lécrasement.

— Une bière pour mon pote et moi ! Commanda Baka en regardant Alex dans les yeux.

Alex nosa piper un mot et se dirigea vers la cuisine. Lorsquil revint, il failli lâcher les bouteilles et verre car les deux noirs avaient pris place dans le divan et Julie était entre eux.

La main droite dOmar posé sur le début de la cuisse de Julie. La pauvre semblait être une petite fille à côté de ces deux malabares noirs. Cest en tremblant un peu quAlex déposa les verres et les bouteilles sur la table basse et regarda Omar comme sil attendait des ordres.

— Julie, va nous servir ! Ordonna Baka.

Julie se leva péniblement dentre les deux hommes et se pencha vers la table pour y prendre une bouteille et un verre. Elle versa la bière en tremblant un peu ce qui fit mousser la bière. La mousse déborda et coula sur la table du salon.

Elle tendit le verre à Baka et servit Omar de la même façon. Julie déposant la bouteille vide sur la table voulu séloigner pour se réfugier à la cuisine mais Omar fut bien plus rapide et attrapant Julie par le bas de sa robe la tira entre Baka et lui.

Julie retomba assise dans le divan et senti de suite la main ouverte de Baka sous ses fesses. À peine assise elle voulu se relever en sexcusant mais Omar lui posa la main sur la cuisse lobligeant à rester assise sur la main de son copain.

Une seconde plus tard, Julie senti un gros doigt lui caresser la vulve par-dessus le tissu. Le doigt de Baka toucha son clitoris par-dessus son string et sans le vouloir vraiment, un soupir de plaisir séchappa de la bouche de Julie.

Alex assista à tout cela et était complètement paralysé devant ses deux hommes faisant chacun le double de son poids.

Omar, vida la moitié de son verre, le posa sur la table en se penchant vers lavant et en se remettant dans le divan plaça la main qui venait de déposer le verre sur la petite poitrine de Julie et malaxa le sein dans sa main.

Le doigt de Baka poussa le tissu du string sur le côté de la vulve et se remis à la recherche du clitoris de Julie quil trouva directement tant il était gonflé.

— Tes une chaude, toi ! Dit Baka

— Super chaude ! Renchérit Omar. Tu devrais sentir ses tétons, ils sont durs comme de lacier.

— Et son clito est presque aussi gros quune quéquette de blanc. Dit Baka en rigolant.

Julie cru devenir folle, tant les sensations agréables envahissaient son corps et son esprit. Sans se rendre compte Baka lui pris une main et la mit dans son jogging.

Julie senti lénorme saucisse de Baka et cru jouir à cet instant. Omar profita de labsence de rébellion de Julie pour lui rouler un patin digne de ce nom. Le bruit de salive et de respiration que firent Julie et Omar déclencha un orgasme terrifiant à cette dernière.

Le sexe dans sa main grossit au-delà des possibilités de la main de Julie et Baka baissa lavant de son Jogging. Il ne portait aucun slip et lorsquAlex complètement paralysé par ce quil voyait cru sévanouir en voyant la grandeur et la grosseur du sexe que masturbait péniblement sa petite femme se faisant en même temps démonter la bouche par une langue géante.

Julie ne savait où elle était, seul un immense plaisir lenvahissait des orteils à la pointe des cheveux. Omar lâcha enfin la bouche de Julie et força la tête de celle-ci vers le sexe quelle masturbait.

Ses dents touchèrent le bout du gland et lorsquelle ouvrit la bouche le gland démesuré lui entre dedans.

Le gland et quelques centimètres de cette colonne de chair suffirent à remplir totalement la petite bouche de Julie. Mais, lorsque Baka donna des petits coups de rein, Le gros sexe senfonça toujours plus loin. La main de Baka remplaça celle de son copain Omar, sur la tête de Julie lui donnant un rythme à lui.

Omar, profita de lindisponibilité de Julie de se défendre, se recula un peu et ôta en quelques secondes le string de Julie. Il prit les hanches de la fille et les souleva pour mettre Julie à genoux sur le divan. Il baissa lavant de son jogging et laissa apparaître un sexe aussi gros et grand que celui de Baka.

Alex, vit avec horreur quOmar attrapa les deux poignets de Julie, les croisa dans sur son dos, se mit à genoux derrière Julie tout en tenant dune main, les poignets de Julie et approcha le gland de son sexe sur lanus de la pauvres Julie.

— Putain !…. Sécrie Omar, son trou dégouline ! Je vais y renter comme dans du beurre !

Aussitôt dit, aussitôt fait. Omar abaissa un peu son sexe et le rentra presque dune seule poussée, profondément dans le vagin de Julie.

Alex vit parfaitement le spasme de Julie au moment de lintroduction dans son vagin de la bite dOmar qui était plus du double de la sienne et malgré la bite profondément dans sa bouche, elle émit un grognement assez significatif dune respiration coupé par la douleur.

Omar, tous en tenant les poignets de Julie, croisé sur son dos, commença un défonçage de son vagin. Il entrait plus du trois quart dans sa femme qui à chaque pénétration aussi profonde arquait son corps vers le haut et émettait un cri étouffé par le sexe remplissant totalement sa bouche.

Cest Baka qui du jouir le premier car il souleva ses fesses, se bloqua au fond de la bouche de Julie et eut des spasmes représentant parfaitement les jets de sperme quil envoyait au fond de la gorge de Julie.

Cest au même moment quAlex jouit avec une puissance jamais surpasser depuis lors et envoya au moins deux jets à plus de 50 cm de haut, qui retomba sur ses cuisses et sa chemise.

Le reste lui englua sa main et lorsquil ouvrit les yeux après son orgasme, il pu voir le sexe dOmar complètement dans sa petite femme et Omar avoir des soubresauts éjaculatoires.

Il nen cru pas ses yeux et son sexe ne débanda pas. Omar se collait sur les fesses de Julie. Pas un centimètre entre son bassin et les fesses de Julie.

Cette dernière avait toujours le sexe de Baka bien enfoncé dans sa bouche. Ils restèrent ainsi bien enfoncés pendant plusieurs minutes qui semblaient une éternité tant pour la pauvre Julie que pour Alex et comme si tout était prévu à lavance, les deux noirs se retirèrent dans un ensemble parfait.

Julie complètement exténuée ayant eu plusieurs orgasmes pendant son viol, tomba ou plutôt glissa lentement hors du divan lorsque ses poignets, sa bouche et son vagin furent libérés des deux noirs.

— Waouh ! Quel accueil ! Sécria Baka qui remis son sexe toujours bandé dans son jogging.

— Putain ! Tu peux le dire ! Sexclama à son tour Omar en prenant sa bière sur la table et vidant son verre en une ou deux gorgés.

Baka rhabillé, fit la même chose et se tourna vers Alex, toujours assis, son sexe gluant de sperme dans sa main, les regardant comme des extra-terrestres.

— Bon ! Boire un coup cest bien mais il faut aussi quon aille un peu samuser ! Dit-il en sadressant à Alex.

— Ouais ! Tas raison !…. Mais faut reconnaître que notre voisin sait recevoir ! Continua Omar finissant de se remettre le sexe correctement.

— En tous les cas, nhésite pas à nous offrir un verre à loccasion !

— De toute façon, on va surement se croiser souvent ! dit Omar qui sétait approché dAlex et lui donna une tape gentille sur lépaule.

— Merci, mec !… Toi au moins tu sais ce que veux dire : « Lhospitalité » dit Baka en se dirigeant vers la porte.

Les deux hommes souriants et visiblement satisfait de cette soirée quittèrent lappartement dAlex et Julie non sans avoir promit de revenir souvent.

Julie les vêtements en bataille, le regard hagard, les yeux vitreux essayait péniblement de se relever. Elle retomba assise dans le divan et sécroula dessus, laissant ses jambes à lextérieur et cuisses ouvertes.

Du sperme dOmar ressortait par petites volutes de son vagin encore luisant et entre-ouvert. Alex voyant sa femme ainsi offerte respiration haletante et le corps secouer de petits sanglot, se leva sapprocha delle et se masturba au-dessus de son entre-jambe offert.

Il avait complètement perdu la tête et ne se rendait pas compte de ce quil faisait. Il accéléra ses mouvements faisant tomber des gouttes de sa précédente éjaculation sur la robe complètement chiffonnée et formant pour la partie basse, une ceinture autour des hanches de sa femme.

Julie ne réagit même pas et plusieurs minutes passèrent avant quAlex se baissa brusquement entra dans le vagin gluant de sa femme et juta dedans comme un damné, mélangeant son sperme à celui dOmar.

Julie eut un sursaut au moment de lintroduction, puis retomba dans sa démence de post-jouissance. Alex se vida les couilles de quelques malheureux jets de sperme et sorti du vagin dès quil senti que sa jouissance était finie.

Il se dirigea vers la salle de bain sans un mot et pris une douche. Vingt minutes plus tard, il retourna au salon et vit que Julie dormait dans la même position que lorsquil, lavait quitté.

Elle se réveilla plus dune heure et demie plus tard. Se leva difficilement, tituba jusquà la salle de bain et prit la plus longue douche de sa vie.

Une heure plus tard, Julie sorti complètement nue de la salle de bain et se mit au lit. Alex mangea tous seul et alla rejoindre Julie quil cru endormie.

Au matin, cétait un dimanche, Alex se réveilla et trouva le lit vide. Julie nétait pas dedans. Il regarda lheure et vit quil était près de 11h00 du matin.

Il nentendait rien dans lappartement. Il se leva fouilla les quatre pièces que composaient son appartement et ne trouva pas sa femme. Pas de petit mot, sur aucune table ou meuble. Il chercha son Gsm et fit le numéro de Julie.

A la première sonnerie, la porte de lappartement souvrit et Julie entra. Elle était habillée dune petite mini-jupe en cuir, dun débardeur ultra moulant et de bottes remontant jusqu’à ses cuisses.

Alex la regarda comme si il la voyait pour la première fois de sa vie. Il se rappela que ce genre de tenue, Julie lutilisait avant leur mariage et uniquement lorsquil sortait en « Boîte ».

Depuis quils étaient mariés, elle navait plus jamais mit ce genre de tenue. Il la dévisagea et lui trouva un air coquin et joyeux.

Julie se retourna pour refermer la porte et il vit quelle faisait un signe de la main à quelquun dans le couloir de létage.

— Déjà debout, mon chéri ? Dit-elle dès que la porte fut refermée.

— Je Heu !… Mais doù viens-tu ?

— Oh !… Tu sais, cette nuit, je nai pas beaucoup dormi et je me suis levée tôt. Je suis partie chercher les petits pains aux chocolats et en revenant, jai croisée Baka et Omar. Ils mont invité à boire le café chez eux et comme, tu dormais toujours jai acceptée !

— Mais mais ?… Tu ne leur en veux pas ?

— De quoi ?…. Mon chéri ?…. De mavoir donné des orgasmes comme je nai jamais eue ?

— Mais, enfin ?….

— Tu sais,. pendant quils mangeaient TES petits pains aux chocolats, ils mont gentiment demandés de les sucer. Je nai pu leur refuser et jai pris mon déjeuner avec eux.

— Tu Tu Tu les à sucé ?… .

— Ben oui !….

— Mais. Heu !…. Tas av Avalé ? Demanda Alex en voyant encore une trace sur la joue de sa femme.

— Oh, oui !…. Et ils ont bon goût ! Tu sais !

— Mais Mais tes une sal

— Salope !… Je ne sais pas mais, sils me le demande encore. Je nhésiterai pas !

Puis Julie, balançant son derrière comme une putain faisant le trottoir, elle se dirigea vers la cuisine. Alex resta dans le hall dentrée muet et tétanisé par ce quil avait vu et entendu.

Impossible, pour Alex de prononcer un mot, tant dans sa tête se bousculait dégout et excitation. Il se rendit compte que sa petite femme allait devenir le jouet sexuel de ses deux noirs et quelle semblait aimer ça !

Sa vie allait complètement changer et à un point quil ne se doutait vraiment pas. Mais, ça cest une autre histoire..

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