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Les surprises des vacances dans la famille – Chapitre 2




Il était tard après le restaurant et tout le monde avait envie d’aller au se coucher. François s’est déshabillé et s’est mis au lit, en lisant une revue. Quelques minutes plus tard Rachel sort de la salle de bains, vêtue dans d’une grenouillère rose transparente, attaché ensemble au cou et ouverte en bas sur le devant et sans culotte. Il rejette le magazine quand elle se glisse entres les draps et vient se blottir contre son mari. En lançant une jambe sur François, Rachel cherche sous le drap à glisser ses doigts dans ses boxeurs. Une bite raide attend à l’intérieur. En réponse, son mari passe un bras derrière sa tête pendant que l’autre entoure ses épaules, sa main arrive en bas pour masser paresseusement son fessiers et la fente les séparant.

— Je t’ai dit que nous n’aurions pas dû faire les imbéciles cet après-midi.

Le réprimande doucement Rachel en caressant légèrement sa bite.

— Eh, ainsi que.

Chuchote en retour son mari.

— Tu as bien appréciée toi aussi, tu n’as pas refusée non plus. En plus il ne me semble pas tu as déjà été vue te faire baiser. eh ?

Rachel ricane et admet la vérité des deux déclarations.

— Enfin, ce n’est pas tout à fait la façon dont j’ai envisagée recevoir les gosses de ma sour sur leur première visite.

— Ouais, je suis sûr que tu avais prévu pour d’eux de les recevoir avec des biscuits et du lait. Rachel, Ce ne sont plus des gosses. Ils ont quoi. dix- huit, dix neuf ans ? Ce qui te fait penser que l’un d’entre eux n’a pas vu ou a fait quelque chose comme ça ? Etais-tu une vierge à cet âge ?

Il sourit, connaissant la réponse. Ils sont été des amours d’enfance et il l’a dépucelée, avec son agrément enthousiaste l’été de leurs quatorze ans. Rachel pouffe en répliquant :

— Tu es bien un fils de pute ! Peut-être dois-je découvrir juste si Benjamin est innocent, voir s’il a la même bite énorme dont Sophie avait l’habitude de se vanter que son père avait."

Elle donne une branlette à la tige qui remplit sa main.

— Je voudrais encore savoir si Sophie toujours une aussi bonne baiseuse.

— Humm mm, seulement si j’arrive à faire la même à Béatrice et à sa maman.

— Tu as toujours le béguin pour ma sour.

— Ouais, bien je suis assez impatient de voir Béatrice dans un maillot de bain. Cette gosse a le plus gros fessier que je n’ai jamais vu ! Je pari qu’elle est plus serrée que l’enfer, aussi. Sophie, aussi, probablement, si elle n’a jamais été enculée par son mari.

Remarque François.

— Quel sacré cochon tu fais !

Elle part pour râler, mais François serre son bras autour d’elle et la garde dans cette position.

— De quoi te plains-tu ? La part et la part pareillement, n’est pas cela ce que nous avons concordé ? Tu sais, je crois que ces gosses étaient vraiment la à nous mater depuis un certain temps. Ils ne nous ont pas fait connaître leur présence, n’est-ce pas ? En plus ils sont de ton côté de la famille. Aucun sang ne les lie à moi, ce ne serait pas du tout un inceste, n’est-ce pas ?

Avec sa main libre il commence à tordre ses mamelons.

— Bien, non pas vraiment, de toute façon.

Rachel halète aux soins soudains que ses seins reçoivent. En faisant tomber les couvertures, elle s’entortille au tour du cou de son mari et écarte ses jambes. François descend ses hanches et Rachel sens son gland frôler doucement sa chatte chaude et juteuse. Elle a commencé à se ruer contre lui, elle lui fait des remarques :

— Tu as apprécié cet après-midi, aussi.

Il lui lance un curieux regard.

— Je peux répéter. Tu apprécies toujours quand tu entre dans ma bouche !

Elle a coulé en bas contre lui et a commencé à se tortiller sa voie aux orgasmes multiples.

En bas dans le hall, Benjamin ferme la porte de salle de bains et retourne dans sa chambre. Il aperçoit la lumière sur sous la porte de chambre à coucher de sa tante et son oncle et se demande s’ils lisent ou parlent ou. autre chose. Il s’est assez excité par l’idée de cette autre chose et quand il est rentré dans la chambre, il prend rapidement une de ses chaussettes. Il quitte son slip, il se sert de la chaussette comme une énorme capote autour de son érection et commence à se branler en rêvant tout le temps à la pipe que sa tante a pratiquée cet après-midi. Dans sa chambre Béatrice s’est déjà endormi. Elle s’est branlée, mais c’est en pensant au cunnilingus de l’Oncle François et même pour un moment bref, ténébreux, son propre frère. En bas, Sophie vêtue pour la nuit avec une des épaisses chemises de flanelle qu’elle porte depuis son mari est mort. Avant cela, il préférait pour elle le moins de vêtement au lit, en expliquant qu’ainsi il pourrait la baiser chaque fois qu’il en avait envi. Depuis elle aimerait bien qu’il la baise elle aussi souvent que possible, toutes les nuits.même si elle porte une chemise de nuit, dès qu’ils avaient baisé, elle l’enlèverait et dormirait, se pelotonnerait autour de son corps également nue. Maintenant elle dort avec une chemise de nuit en flanelle et une culotte.

Sophie n’est pas fatiguée, en dépit de l’heure tardive et elle décide de regarder les informations de la nuit sur la télévision dans le bureau. Quand elle allume elle n’a qu’un écran bleu, jusqu’à ce qu’elle pense qu’elle doit allumer le magnétoscope pour avoir les chaînes de télévision. Les infos du soir se terminent et Sophie remarque plusieurs bandes vidéo sans étiquette sur une étagère au-dessus de la télévision. Curieuse, elle en attrape une et la met dans l’appareil. Sophie se rend compte que c’est un film de famille. Sa sour marche dans la salle de séjour, mais Sophie ne pouvait pas comprendre ce qui arrive. D’une part, elle n’a jamais Rachel avec une telle robe, sa sour porte une blouse transparente et pas de soutien-gorge, donc ses gros seins sont clairement visibles, une jupe très courte, des bas nylons et des hauts talons, vraiment très hauts ! Elle s’arrête devant le miroir, brosse ses courts cheveux blonds, se recule ensuite, lève les mains et agite sa poitrine devant le miroir et fait éclater tous les boutons de la blouse qui la comprime ! Ensuite elle a s’avance jusqu’à la porte d’entrée et l’ouvre, permettant à François d’entrer. Il a été habillé comme un ouvrier, avec une salopette et une ceinture d’outil. Qu’est-ce qui se passe ? Si François et Rachel sont tous les deux sur l’image, qui s’occupe de la caméra ? Les scènes bougent ainsi cela ne peut pas être sur un trépied, même s’ils la télécommandent pour les suivre. Sa sour et son beau-frère font-ils des films pornos ? La qualité semble trop mauvaise pour cela, la prise de vue peu professionnelle et le son vraiment mauvais. Ensuite elle voit Rachel et François se met à réparer une prise électrique et l’appareil zoome sur Rachel quand elle s’est assise sur un canapé. En se penchant en arrière, elle écarte ses jambes largement et remonte sa jupe, en montrant qu’elle porte des bas nylons et des porte-jarretelles. Elle n’a pas de culotte et son sexe est rasé. Rachel a sorti ses seins, puis se masturbe pour la camera. Finalement, quand François a terminé, il se retourne. En voyant la ’dame de la maison’ jouant toute seule, il ôte sa ceinture et enlève sa salopette et présente son pieu bandé sur son visage. Sophie est surprise par la grosseur de la bite de François, elle est réellement aussi grande vraiment que Rachel le dit ! Après une fellation rapide Rachel le finit en le branlant et François balance sa semence sur la plantureuse poitrine. François se met à genoux et lèche Rachel. La caméra suit la progression, passe en trombe pour un plan rapproché convenable pour une école de médecine. Ensuite, François dépouille Rachel de sa blouse et de sa jupe, en ne lui laissant que les bas et les talons hauts. Ils s’agenouillent par terre, après quoi il la baise en levrette avant de se retirer et l’enculer. Le film se termine par un plan rapproché de François sortant son pieu mollet du cul de Rachel, son sperme dégoulinant le long de l’intérieur de ses cuisses. Sophie ne peut le croire! Pire, c’est qu’elle est plus allumée qu’elle ne l’a été au cours des années. Son mari louait souvent des films pornos pour les regarder avec sa femme excitée, souvent Sophie mimait les actrices sur l’écran. Rien ne l’avait préparée à voir une vidéo de sa sour et de son beau-frère comme ça, faisant leur propre petit film. Qui peut l’avoir fait ? Elle ne peut jamais imaginer faire une telle chose avec son mari ! Comme son esprit est un peu perturbé, elle éjecte la cassette et la remet où elle l’avait trouvé, retourne au lit ensuite et se masturbe pour s’endormir.

Le matin suivant est ensoleillé et chaud. Il y a un parfum de tension sexuelle dans l’air, bien que la seule rencontre sexuelle manifestation qui se soit produite c’est quand François est entré de la douche et a demandé à Rachel une pipe rapide. Elle l’a rapidement pompé et s’est ensuite douchée. La note du jour est mise par l’hôte et l’hôtesse, qui commence au petit déjeuner dans les essais faits pour les maillots de bain. Rachel porte le bikini le plus correct qu’elle a, qui n’est pas en fait trop bienséant, en connaissant les goûts de son mari. Directement après avoir pris le déjeuner, les autres trois mettent leurs maillots de bain. Sans que se soit étonnant, Sophie porte un maillot, un costume de bain très sage qu’elle a acheté après la mort de son mari, un maillot qui doit être sûrement porté par des religieuses bien différent des minis que son mari aimait. D’autre part, sa fille, Béatrice, n’a aucun remords contre le port d’un bikini sexy et elle montre plus de peau que ses ainées.

François embarque tout le monde sur le bateau, avec une paire de skis et des gilets de sauvetage et s’est retiré dans le canal. François et Rachel leur font visiter de la baie, les faire passer à côté des petites îles environnantes et des péninsules. Puis ils naviguent dans une eau plus profonde et s’arrêtent. En apprenant heureusement que leurs invités savent déjà faire du ski nautique, Benjamin et Béatrice sont vite équipés de gilets de sauvetage et passent par-dessus bord avec les cordes de remorquage et les skis. La famille passe le reste de la matinée autour de la Baie de l’est, Sophie, Béatrice, Rachel et Benjamin font du ski nautique

Après le déjeuner, François donne quelques coups de téléphone. Sophie et Béatrice vont faire une petite sieste, Rachel demande à Benjamin s’il veut encore faire du ski nautique. Il lui sourit et donne son accord de la tête, ils prennent une paire de skis et retournent au bateau. Rachel lui montre comment manouvrer le bateau quand quittent le quai et naviguent dans la Baie, les positions ensuite échangées pour permettre à l’ado de faire du ski d’abord. Après une vingtaine de minutes qu’il skie, elle s’arrête et le fait remonter, elle lui permet ensuite de mener le bateau pendant qu’elle fait du ski. Tout est parfait, jusqu’à ce qu’ils rencontrent le sillage d’un cargo se dirigeant vers la haute mer. Le coup est suffisant fort pour que Rachel fasse un signal de main à Benjamin de ralentir, mais le jeune inexpérimenté comprend mal et accélère. Quelques instants plus tard, Rachel tombe. Benjamin ralentit et retourne pour récupérer Rachel nageant. En s’arrêtant à côté d’elle, il se penche sur le côté du bateau pour l’aider à monter, mais elle se tourne.

— Envoie-moi une serviette !

Demande-t-elle.

— Hein ?

— Donne-moi une serviette, ou une chemise, ou quelque chose. J’ai perdu mon maillot !

Benjamin ne peux que l’observer ébahi. Elle a raison, elle se trouve topless tant que sans fond.

— Eh bien. envoie-moi quelque chose pour me couvrir !

Cette nouvelle demande l’interpelle et il court sur le bateau en cherchant quelque chose pour lancer à sa tante pour la couvrir, mais la recherche est infructueuse. Il n’y a pas de serviette à bord et ils n’ont rien amené ni affaires de plage ou vêtement. Il revient vers elle avec un haussement d’épaules gêné.

— Oh, bon dieu, prend ça.

Dit Rachel, en passant les skis. Benjamin les attrape et remonte la corde de remorquage. Il fait face à sa tante nue quand elle escalade l’échelle et descend dans le cockpit du petit bateau.

— Merde !

S’exclame-telle quand elle enlève le gilet de sauvetage et le rejette.

— Il ne vous semble pas que tu n’as pas tout vu hier, n’est-ce pas ?

Elle rit. Elle s’assied contre le plat-bord du bateau et lui sourit.

L’adolescent est abasourdi et regarde fixement sa tante. Elle a la même taille que sa mère, mais ses cheveux courts sont blond platine très clair. Sa peau est bien bronzée, sans marques, ce qui lui fait penser qu’elle doit se faire bronzer régulièrement nue. Même sa chatte est bronzée et Benjamin estomaqué par sa chatte entièrement rasée. Le mieux de tout, les seins de sa tante sont agréables et fermes, d’une grosseur acceptable.

— Assez bien pour un vieux pot, hein ?

Demande-t-elle, avec un sourire entendu. Elle voit l’effet qu’elle fait sur le garçon par la tente qui se forme dans son maillot de bain. Gêné, il se détourne, rougissant.

— Tu n’es pas vieille ! Tu es belle !

S’exclame-t-il.

— Ne sois pas bête. Tu peux regarder. Après hier, c’est du déjà vu ! Mais merci, j’essaie vraiment de rester en forme, simplement pour ne pas permettre à François de s’intéresser à d’autres, rien d’autre.

Annonce Rachel.

— Hein ?

Il laisse échapper un soupir, en se retournant bien qu’il essaie de garder ses yeux ailleurs. C’est une bataille perdue d’avance, ils viennent se poser sur ses seins et sa chatte.

— Bien, ton Oncle François est sacré baiseur et je veux être celle qu’il baise. Tu comprends !

Benjamin déglutit et bégaie. Il est tétanisé dans sa position, au-dessus d’elle.

— Maintenant, si je vais m’asseoir ici nue, je ne crois pas qu’il soit très juste que tu restes encore habillé.

Rachel lève ses mains vers son neveu stupéfié et elle saisit la ceinture de son maillot. Elle le baisse ses genoux avant qu’il ne puisse protester.

— Là, maintenant nous sommes tous les deux habillés de la même façon.

Elle le descend jusqu’à ses chevilles et fixe l’érection s’affichant devant son visage.

— Hou la, la. Benjamin ! C’est une bite d’enfer! Je crois que tu es encore mieux monté que ton oncle! C’est certain. et plus épaisse !

A Suivre…

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