J’en ai marre de ma vie. Ma mère me couve et ça devient de plus en plus gênant. Je ne peux pas sortir sans qu’elle me pose dix mille questions et quand je sors il faut qu’elle m’appelle toutes les 5 minutes. Vous pensez que j’exagère, mais pas du tout. J’ai 19 ans et elle me traite toujours comme une gamine. J’ai trouvé un boulot en tant qu’agent de service dans une grande société. Les horaires me permettront de continuer tranquillement mes études. Dans une journée j’ai deux pages horaires de 7 h à 8 h 30 et de 18 h à 20 h. Je pourrai mettre de l’argent de côté et me tirer de chez elle. J’avoue que c’est loin d’être le travail de mes rêves, mais c’est assez bien payé. Le patron n’a pas l’air vieux, et m’a mis très à l’aise pendant l’entretien. Ma tenue de travail est offerte par la société.
J’arrivais devant l’entrée, et je vis une des agents de service qui ouvre la porte. C’était une très belle femme, brune, assez jeune.
— Bonjour.
— Bonjour, t’es la nouvelle ? Monsieur LAMARRE m’avait prévenu. Je m’appelle Karen et je vais te montrer un peu comment se passe le travail, ne t’inquiète pas c’est assez simple. Normalement nous sommes trois, mais bon comme d’habitude elle arrivera à l’heure qu’elle veut.
— D’accord, pas de soucis. Moi c’est Alicia.
— Enchantée. Pour commencer on va se changer. Je vais te montrer les vestiaires. Je vais te donner ta tenue de travail.
On rentra dans le bâtiment vide, mais l’endroit en lui-même est très beau. Le bâtiment compte environ deux étages plus un sous-sol. On arrivait dans les vestiaires des femmes. La salle était bien agencée. Karen me donna ma tenue, c’était une blouse rose, que je trouvais plutôt courte et des chaussures fermées noires.
— C’est ça, ma tenue ? C’est tout ?
— Oui tu t’attendais à quoi ?
— Je ne sais pas, je la trouve courte cette blouse.
Elle se déshabilla sans aucun complexe, après vu son corps ça ne m’étonnait pas. Tout était parfait sur elle, on voyait qu’elle s’entretenait. Sa poitrine, ses fesses étaient bien fermes, un ventre plat. Ce qui m’avait étonné c’était ses sous-vêtements, ils étaient très sexys. Sa blouse était aussi courte que la mienne, mais comme elle était un peu plus haute que moi, elle paraissait bien plus courte. Je l’imitais, mais un peu honteuse de mes sous-vêtements qui n’étaient absolument pas sexy.
— La prochaine fois, mets des dessous plus jolis, me dit-elle avec un léger sourire.
Je ne pris pas la peine de lui répondre, car je ne comprenais pas le lien entre mes dessous et mon travail.
Elle me fit une petite visite des lieux, et me décrivit le travail à faire.
C’était assez simple, balayer, passer la serpillière, nettoyer les meubles, enfin bref faire le ménage.
Comme il y avait deux étages, on se retrouvait chacune sur un étage. On devait prendre le matériel dans un petit local et bien sûr le ranger au même endroit.
Je me retrouvais au dernier étage. Le travail est simple mais colossal. Il était déjà 7 h 30, quand je commençais enfin à travailler. Bizarrement, j’avais l’impression d’entendre des voix, mais des voix d’hommes. Déjà, ils commençaient tôt, et je n’avais rien encore fait. Les voix s’intensifiaient et je voyais trois hommes, mais il y en avait un que je trouvais vraiment beau.
— Bonjour Messieurs.
— Bonjour Mademoiselle, répondirent-ils en chur.
L’un d’eux continua : "vous êtes nouvelle, je suppose, moi c’est Franck, lui c’est David et voici Anthony."
Anthony, très très beau, grand, musclé, métisse, tout à fait mon style.
— Moi c’est Alicia.
— Enchantés.
— Moi, aussi enchantée.
Je me suis sentie un peu mal à l’aise, par rapport à ma tenue, j’ai senti leurs yeux se balader un peu partout sur moi. Mais bon je continuais mon travail. Le temps passait vite, mais j’avais quand bien avancé.
Je passais près du bureau des trois hommes, et je commençais à entendre leur discussion.
— Elle est pas mal la nouvelle. (On dirait la voix de Franck)
— Mais un peu jeune.
— Ouais c’est vrai, mais moi ça ne me dérange pas.
— J’espère qu’elle mettra autre chose qu’une culotte de gamine.
A ces mots, j’étais super mal à l’aise. Ils ont vu ma culotte et pour eux c’était une culotte de gamine, mais de quoi je me mêle. Je mets ce que je veux comme culotte.
— Après une culotte ça s’enlève, j’aurai préféré qu’elle vienne sans culotte, et ils se mirent à rire.
— A ouais, elle serait plus facile à prendre. Là ma queue commence à être très intéressée.
Je me mis à rougir. Ils sont dégueulasses.
8 h 15, je descendis au premier étage pour voir Karen. Je la vis en pleine discussion avec un homme. Ils avaient l’air très proches. Elle était dos au mur et lui en face d’elle. J’avais l’impression que la main du gars était sous sa blouse. Quand elle me vit, elle le repoussa, et me fit un grand sourire "alors comment ça a été ?"
— Plutôt bien et toi ? Bonjour, je m’appelle Alicia.
— Bonjour, Adam, bon je te laisse on se voit après.
— D’accord Adam. Moi ça a été. On va rejoindre Laura.
On descendit au rez-de-chaussée pour rejoindre, la fameuse Laura. Bizarrement, pas de Laura en vue. Les commerciaux commencèrent à arriver.
— Je pense que Laura est encore très occupée. Tu la verras ce soir, je pense. Moi tu me verras après-demain.
— D’accord.
— Au fait, tu as vu Anthony, David et Franck ?
— Oui, vite fait.
— Ils sont super sympa. T’as de la chance de travailler ici, on est quasiment payé à rien faire.
— Tu trouves ?
— En général, je me la coule douce et surtout on s’amuse beaucoup.
— On est surtout là pour travailler.
— T’as déjà vu des agents de service habillés comme ça ? me dit-elle avec un petit rire.
Elle continue en me disant :" ne soit pas naïve. Une jolie fille avec ce genre de tenue, et avec des hommes autour, ça te fait penser à quoi ?
Et elle me tourna le dos.
J’arrivais chez moi, ma mère m’attendait pour savoir comment ça sétait passé. Je lui ai répondu vite :"c’était cool".
Je me rappelais ce que Karen m’avait dit, en plus des commentaires des trois gars. De toutes les façons on m’a engagé pour quelque chose, je ne laisserai personne abusé de moi.
Deux semaines sont passées, je commence à avoir ma routine dans le travail. Je parle tout juste avec les autres. J’entends beaucoup de rumeurs sur ce qui se passe dans cette société. Apparemment, tout le monde couche avec tout le monde ici. Je continue à mettre mes culottes de gamine. J’ai pu voir Laura une ou deux fois. Très mignonne, je n’ai pas trop le temps de parler avec elle, on dirait qu’elle est toujours occupée.
On est jeudi soir, je commence à 18 h, je vois les filles, Laura et Amanda on est 4 en tout en tant qu’agent de service. Amanda, comme les autres, très belle femme et très gentille.
Laura me dit :" je reste au rez-de-chaussée, vous, vous faites comme vous voulez.
Amanda me dit qu’elle préfère aller au deuxième étage et donc moi je suis au premier étage. A cette heure, il y a encore des commerciaux, on pourrait croire, qu’ils seraient pressés de rentrer chez eux et ben ici, non. Après avoir mis ma tenue, je me dirigeais au premier étage, après avoir récupéré mon matériel. Je commençais mon travail tranquillement. J’entendis deux hommes parler, dont Anthony :
" Je descends tout à l’heure, au sous-sol, tu viens ?
— Ouais pourquoi pas ? Il y aura qui ?
— Laura, bien sûr, et ton pote Franck.
— Laura, ouais OK. Il y a qui d’autres comme filles ce soir ?
— La nouvelle, et Amanda.
— La nouvelle m’intrigue, j’espère qu’elle se lâchera enfin. J’aurai préféré Amanda que Laura.
— Tu peux aller la voir, en général elle te dit "oui" facilement.
— D’accord. Donc on prépare une belle partouze en bas. On se voit dans une demi-heure.
Une partouze ? Il faut que je voie ça.
Une heure plus tard, je me dirigeais au sous-sol. J’entendis du bruit. Plus je m’avançais, plus j’entendis des gémissements, des voix, des rires. Je comprenais très bien ce que cela voulait dire. Il y avait une porte fermée, je l’entrouvris doucement, et là je vis Franck, Anthony et un autre gars avec Laura et Amanda. Ils étaient tous nus ou à moitié nus. Amanda était accroupie et faisait une fellation à Anthony, Laura s’occupait des deux autres. Je ne croyais pas ce que je voyais. J’étais dégoûtée mais en même temps excitée. Je ne pouvais détacher mes yeux de ce que je voyais. Je regardais surtout Anthony. Surtout au moment où ce dernier commençait à baiser Amanda. Ils enchaînaient les positions. Les filles gémissaient de plaisir, j’avais presque envie d’être à leur place. Je me sentis mouillée. Je ne suis plus vierge mais ça fait un moment que je n’avais rien fait, et en général je ne couche pas avec plusieurs hommes en même temps. Les gars ne ménageaient aucune des filles, surtout quand Laura devait être doublement pénétrée.
Anthony prenait son pied. Je me mis à m’imaginer avec Anthony. J’ai envie qu’il me prenne comme ça. Soudain, j’entendis Franck dire :" je vais jouir". Il enleva sa capote et mit sa queue dans la bouche de Laura, et elle commença à le sucer de plus en plus vite. Je vis le visage de Franck se décomposer, et un liquide légèrement blanc sortit de la bouche de Laura. Laura n’a pas le temps de se reposer qu’Anthony continua à la baiser. Brusquement, je vis le visage d’Anthony se retourner vers moi, et son regard plonger dans le mien. Je ressortis tout de suite. M’avait-il vraiment vu ? Ils n’ont pas l’air d’être au courant de ma présence. Je remontais au rez-de-chaussée. Ce que je venais de voir m’avait bizarrement, excitée.
Il était 20 H, je me changeais, les affaires de Laura et d’Amanda sont encore là. Moi je rentrais chez moi. Dans mon lit, je n’ai pu faire autrement que de repenser à ça. J’ai envie de sexe, mais comme ça, c’est pas mon genre.
Le lendemain, la journée commence comme d’habitude. Je vis bien sûr Franck et Anthony, que je ne vois absolument plus comme avant.
— Bonjour Messieurs
— Bonjour, Alicia.
Je continuais mon travail, quand quelques minutes plus tard je vis Anthony venir vers moi.
— T’as aimé ce que t’as vu hier ?
— Hein ?
— Au lieu de jouer les voyeuses, rejoins-nous.
Je rougis de honte. Il m’avait vraiment vu.
Il mit sa main dans ma culotte et commença à me doigter. Je ne le repoussais pas au contraire, je me mis à gémir légèrement. Il comprit que j’étais consentante et que j’en voulais plus.
— La prochaine fois vient toute nue sous ta blouse.
Et il partit.