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Mon homme violoniste – Chapitre 1




Tout a commencé lorsque mon homme m’a invité au concert qu’il donnait avec son orchestre en fin d’année. Il jouait du violon depuis l’âge de cinq ans au conservatoire et il se produisait avec son orchestre un peu partout en France. Je l’avais souvent entendu jouer devant moi mais jamais vu en concert. J’étais très curieuse de savoir ce que ça allait me faire ressentir de le voir sur scène devant un millier de spectateurs.

La veille il avait travaillé quelques traits difficiles pour les avoir bien en main et ensuite après une bonne douche il était venu s’allonger contre moi. Ses doigts agiles et musclés s’étaient posés sur mon dos pour y prodiguer un massage exquis. De bas en haut, appuyant avec fermeté et légèreté il balayait mes points sensibles comme s’il les voyait s’agiter devant lui. Je sentais ses belles et grosses couilles encore chaudes et molles de la douche qui s’écrasaient sur mes fesses et sa queue tombant de tout son poids sur le bas de mon dos. Je jubilais littéralement et il ajoutait à cela de temps à autre sa main pour me serrer la nuque, une sensation que j’adore. J’avais littéralement envie d’être pénétrée et de pouvoir jouir avant un bon sommeil réparateur mais il préféra remettre cela à demain. Je m’assoupis quelque peu frustrée mais heureuse quand même.

Le lendemain soir, je m’habillais pour me rendre à son concert qui avait lieu dans une grande salle très connue de la capitale. Une salle de 2000 personnes dans un quartier fameux. J’hésitais entre deux robes, l’une plutôt moulante au niveau des fesses de couleur taupe avec les épaules découvertes et qui mettait parfaitement en valeur mon cul rebondi; l’autre plutôt ample et évasée mais qui me permettait de mettre quelque chose en dessous de très sexy et dont mon homme apprécie.

Finalement je décidai de prendre la robe moulante et de ne pas mettre de culotte. L’occasion d’être prise vite et bien. Je mettais des caches tétons mais aucun soutien-gorge, j’avais envie d’être libre de toute part pour séduire mon homme. J’enfilais une paire de bas autofixants et une paire de talons aiguille qui mettent en valeur mes longues et fines jambes. A cela j’ajoutai un rouge à lèvres dense et profond, des cheveux laqués et bien tirés ainsi qu’un peu de mascara.

Ça y est après quelques heures de préparation j’étais prête et follement excitée à l’idée de voir mon bel homme se produire en public.

Lorsque j’arrivai au lieu du concert, il y avait déjà une foule de spectateurs qui attendaient l’ouverture dans l’entrée. Tous étaient bien habillés mais ma robe provocante faisait un certain effet. On distinguait aisément les courbes de mes deux fesses sans aucune trace de culotte et on pouvait remarquer que je ne portais rien en dessous. Je dénotais dans le paysage mais tous les hommes n’avaient d’yeux que pour moi, délaissant leurs épouses trop guindées et habillées. Je me dirigeai au bar pour prendre un verre.

Attendant pour la commande un homme me proposa de m’offrir un verre. Il était plutôt jeune et plutôt beau ce qui ne me déplaisait pas. Bien habillé avec une veste en tweed. A ce moment mon homme qui passait pour me chercher s’approcha de derrière et posa sa main sur mes hanches délicatement. Je sentis sa présence et au fond de moi un frisson me parcourut le corps. Ma chatte s’humidifia instantanément et je fermai les yeux. L’homme d’en face se détourna et je tournai ma tête vers mon chéri qui m’embrassa en me serrant le dos. J’avais déjà extrêmement envie de lui. Il était magnifique, sexy et brillant. Une petite veste noire Prada, un pantalon satiné moulant qui mettait en valeur son gros paquet et tout à coup je distinguai qu’il n’avait pas mis de caleçon, sa queue descendait le long de la braguette et je pouvais deviner la forme de son gland. Lorsqu’il s’approcha de moi, je glissai ma main sur son sexe et je le sentis facilement. Il me glissa à l’oreille : « ma queue est prête pour toi, libre, sans retenue… ».

Il me présenta sa main et nous nous dirigions alors vers les backstage. Le public nous regardait comme si nous étions un couple people et nous enviait de notre jeunesse et notre fougue. Son badge autour du cou nous exempta de commentaires lors de notre passage au placier qui ouvrit instantanément la barrière. Nous marchions tous deux et je pouvais admirer de derrière son magnifique cul rebondi moulé dans son pantalon satiné.

Au détour d’un couloir dans un petit recoin inaccessible, caché de la lumière il me saisit et me plaqua au mur. Il se colla contre moi pour l’embrasser langoureusement et je sentis sa queue toute grosse qui se collait contre le bas de mon ventre. Il m’embrassa dans le cou descendant sur mes épaules, sur mes seins. C’était bon, tellement bon que ma chatte devenait de plus en plus humide. Je saisissais son visage caressant ses cheveux bien peignés et il remontait à genoux ma robe pour découvrir devant lui ma chatte nue sans culotte. Il me regarda et me sourit. Puis il se précipita pour m’embrasser le clitoris, le lécher de toutes parts et le sucer. Il lécha aussi mon vagin qui ne demandait maintenant qu’une vive pénétration. Il y rentrait sa langue et au fond de moi je sentais ce bonheur indescriptible, cette chaleur qui me transperçait, ce frisson qui vous fait vous redresser sur la pointe des pieds sans effort. J’étais debout adossée contre le mur, les jambes écartées, perchée sur mes hauts talons, tenant la tête de mon homme qui me faisait un cunnilingus magnifique.

Au bout de quelques minutes lorsqu’il sentit que ma chatte était prête à le recevoir il se releva, se mit face à moi et saisissant mes bretelles de robe sur les épaules, il les écarta pour faire tomber ma robe à terre. J’étais nue. Il m’embrassa le cou et me susurra à l’oreille : « je vais te baiser comme jamais mon amour tu l’aurais espéré… ».

Il me retourna pour disposer de mes fesses face à lui, j’entendis le bruit de sa braguette qui s’ouvrit, de sa bouche qui humidifia ses doigts pour mouiller son gland et alors que je posais mes mains sur le mur je sentis son gros gland découvert toucher mes fesses, il faisait exprès de faire durer ce moment indescriptible, cette attente impatiente où tu veux plus que tout sentir au fond de ton vagin le pénis de ton homme. Je fermais les yeux j’étais comme transporté sur une étoile filante en fusion qui scinde le ciel en deux. Nous entendions au loin la rumeur de la foule qui pénétrait dans la salle, de plus en plus de bruit, je commençais à gémir alors que son sexe rentrait petit à petit à l’intérieur de moi. Il cramponna mes hanches de ses mains et venait avec sa queue d’avant en arrière. Je gémissais plus fort, le son de ma voix couvert par le brouhaha du public qui s’installe. Il y allait de plus en plus fort, de plus en plus vite et ma chatte tout humide recevait avec audace sa grande et grosse queue toute raide.

J’exaltais, je jouissais, tous mes sens étaient en éveil, tous les compteurs d’alarme retentissaient, l’orgasme était proche, très proche et très fort.

De sa main gauche il me saisit les cheveux, j’aimais être traitée comme une traînée, je sentais toute sa nature sauvage prendre le dessus et l’instinct animal était bien présent. Il me baisait comme il me l’avait prédit, le chérissant de toute sa belle personne. Il me fessait de son autre main et maintenant j’avais envie de l’entendre dire des mots cochons, je lui demandai et quel plaisir j’eus d’entendre « tu aimes ça petite salope te faire prendre comme une traînée dans les coulisses avant le concert ? Tu le veux mon jus bien chaud ? »

Ouiiiiiiiii je le désirais plus que tout, je n’en pouvais plus de sentir sa grosse queue toute mouillée aux veines bien grosses qui me limait de fond en comble. Je voulais l’entendre jouir, l’entendre râler de plaisir, sentir au fond de moi cette chaleur liquide qui vous envahit et qui vous remplit de bonheur. Je criais maintenant comme une petite salope, on devait peut être entendre mes cris mais ça m’était bien égal j’étais en train de me faire prendre et c’est ça qui m’importait le plus.

Son bassin tapait contre mes fesses, j’ouvrais la bouche pour crier, il me tenait par les cheveux et balançait sa queue à grand coup de reins et d’un coup mon vagin qui se contractait fortement je sentis sa queue grossir, grossir, encore plus et toujours. Elle comprimait mon sexe, ils étaient en harmonie parfaite, je jouissais encore et tellement, mon cur battait le tambour, mes yeux étaient révulsés et je n’attendais plus que le bouquet final, une rasade de sperme qui s’échappa tel un éclair, un jus bien chaud et en profusion qui sortit de sa verge, les coups s’accentuèrent pour ne laisser qu’un seul coup de queue, l’orgasme était fou, tellement puissant que j’accrochai de mes mains les câbles électriques qui longeaient le mur, je recevais ce cadeau comme une femme qui désire son homme depuis des mois, c’était bon c’était fort c’était mon homme qui se vidait en moi.

Après une étreinte complice et des baisers dans le cou il se dégagea de mon sexe et revêtit ma robe. J’étais immobile encore accrochée aux fils électriques tellement ça avait été puissant. Il me glissa un mot à l’oreille « à tout à l’heure après le en concert… » et il me prit par la main pour m’indiquer le chemin à suivre. Je le vis disparaître à l’autre bout du couloir avec son allure romanesque. Peu à peu je réussis à reprendre mes esprits et je me dirigeai vers la salle pour m’asseoir. Je sentais le sperme qui tombait par terre avant de partir et ma chatte était toute pleine de son jus.

Je m’asseyais à ma place et j’avais encore très chaud, le front en sueur à côté de mes voisins qui remarquèrent mon allure désinvolte. Je m’en préoccupais le moins du monde, j’avais ce bonheur d’être comblée, la chatte pleine, le cur heureux et je ne pouvais maintenant que me délecter de ce merveilleux spectacle que mon homme allait donner.

La foule se tut, la scène s’éclaira et les musiciens rentrèrent. Mon homme était au-devant d’eux, l’allure fière et son violon brillant qui me reflétait comme un soleil complice. Le chef d’orchestre leva sa baguette et la symphonie pouvait alors commencer !

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