Je ne peux plus crier car ma voix est épuisée. Deux hommes se succèdent et me violent le derrière.
D. se met au-dessus de moi. Je gis là sur le sol. J’ai du sperme qui coule de ma chatte et de mon anus. Les deux orifices sont détruits, grand ouverts et ruinés.
Mes bas sont déchirés, ma robe tachée.
D. relève ma tête avec sa cravache. On peut voir du sperme dans mes cheveux.
Je balbutie : « salauds »
Vous riez tous. D. me claque le cul avec sa cravache. « Nous allons éponger ta dette mais il me semble que tu aies apprécié d’être le centre d’attention de ces hommes. Combien de fois as-tu joui ? »
Il me frappe à nouveau et je réponds : « trois quatre fois »
Il annonce que dans deux semaines nous aurons une autre partie de poker. Cette fois si je gagne je reprendrai l’original de la vidéo qui a tout filmé.
° ° °
Deux semaines plus tard, remise, j’arrive au château.
Vêtue d’une robe grise moulante s’arrêtant juste au-dessus du genou, cintrée par une large ceinture de cuir noir, et des bottes en daim de grande marque aux talons de 10 cm montant au-dessus des genoux.
Maurice a préparé une pièce dans la cave.
° ° °
La garce est retournée chez elle les orifices béants et gluants de sperme et ses bonnes fesses zébrées ce qu’elle a pu gueuler quand j’ai fait siffler la cravache qui s’est abattue avec un claquement sec et cruel sur ses belles chairs !
Mais la revoilà, deux week-ends plus tard, toujours cachée par ses larges lunettes noires : elle a retrouvé une contenance.
Nous nous rendons compte qu’elle a quand même perdu de sa morgue et de sa superbe.
Il faut dire qu’au moins six des hommes présents ce soir l’ont vue le cul et les seins à l’air et lui ont envoyé leur queue raide tout au fond de sa chatte, de sa gueule et de son petit trou. Elle était repartie en titubant sur ses bottes, les orifices endoloris.
Nous la voyons tous esquisser une grimace quand Maurice évoque la cave « qu’il a préparée », et que Lionel dit en riant « en effet, ici, Maurice, tu n’as pas de donjon il faut bien faire avec ce qu’on a ! »
Madame joue, très concentrée, et comme à son habitude, certainement sûre d’elle, commence à gagner.
Les verres se remplissent.
Lionel toujours exigeant et très pervers a obtenu que la domestique de Maurice, en tenue rétro d’avant-guerre (jupe droite noire plissée stricte, tablier et coiffe blancs, escarpins sombres hauts et vernis) s’agenouille à ses pieds et le suce lentement, ce qui ne semble pas perturber son jeu.
Par contre, cela a semblé troubler Jenna qui a perdu cette partie. Mais elle s’y est remis et regarde intensément le jeu, sans quitter des yeux la table.
Mais Maurice a fait appeler la cuisinière, et sous prétexte qu’au dessert de ce soir le soufflet était raté, il l’a fait installer à genoux sur une chaise juste à son côté gauche.
La forte femme (qui doit approcher la soixantaine) n’a pas discuté et a remonté sa jupe réglementaire sur ses reins gras, dévoilant ses énormes fesses blanches que Maurice, d’une main ferme et vengeresse s’est mis au devoir de claquer vigoureusement.
Les chairs adipeuses valsent de part et d’autre, tremblotent sous les cris aigus de la vénérable professionnelle des fourneaux qui est à son service depuis plus de trente-cinq ans.
On voit bien qu’ils sont tous deux coutumiers du fait, et même si je sais qu’elle est cependant largement récompensée par Maurice d’une enveloppe bien garnie de billets à chaque fois, je suis certain que cette grosse vache aux larges hanches raffole d’être ainsi traitée, même en public, et prend son pied comme jamais.
D’ailleurs, Maurice, après son traitement, lui écarte ses grosses cuisses celluliteuses et examine longuement les lèvres mafflues de son sexe, sans émettre le moindre commentaire cependant.
Pourtant, lors d’une pause, nous l’avons coincée, Lionel et moi, au sortir de sa cuisine, et j’ai passé ma main sous sa jupe, directement à sa chatte elle était trempée ! Bien entendu elle ne porte jamais de culotte, et je ne sais pas si c’est parce qu’elle aime ou si c’est une consigne de son vicelard de patron.
Quand je suis retourné au petit salon, Lionel était déjà en train de l’enfiler à la hussarde, par derrière, renversée sur la table en métal de la grande cuisine, et elle couinait comme une truie qui jouit.
Quand chacun a eu repris ses esprits nous nous sommes remis à notre partie. Mais cette fois, Jenna, malgré tous ses efforts de concentration et toute son intelligence du jeu, s’est mise à perdre sans discontinuer. C’était comme une longue et inéluctable descente aux enfers, ça ne s’arrêtait pas. Jenna avait le visage déformé de grimaces crispées et de rides, de la sueur commençait à perler sur son front.
Quand la cloche a sonné marquant la fin elle était KO. Elle devait plus de trois-cents plaques.
Tous ont commencé à la regarder avec un sourire carnassier et entendu.
Elle a fait mine de se lever péniblement, se tenant à la table comme quelqu’un ivre ou qui va défaillir, puis d’un seul coup, d’un bond et comme mue par un ressort elle a essayé de fuir, de se ruer vers la porte.
Mais Lionel l’avait déjà ceinturée : elle était cuite la belle salope ! Il faut dire que sa jupe souple est quand même serrée et entrave ses mouvements.
Quatre paires de bras puissants la saisissent et la réduisent à l’impuissance. Elle a beau se débattre la voilà soulevée de terre et emmenée vers la porte du sous-sol.
La cuisinière est là, étonnamment, un petit sourire vicieux, qui nous ouvre la porte qui donne sur l’escalier.
Lionel, énervé dit :
« – Madame est mauvaise joueuse, mauvaise perdante. Elle savait pourtant ce qui l’attendait, parce qu’elle sait depuis le début que nous ne faisons pas crédit.
— Allez, cessez de vous agiter ainsi, Jenna, vous allez vous blesser ou même nous allons tous tomber dans cet escalier dont les marches sont hautes et irrégulières !
— Il y a une solution, sinon » dit Jean-Edouard. « Nous pouvons la ligoter, la saucissonner et la descendre comme un paquet, comme un vulgaire tapis. Ça nous prendra un plus de temps mais peu importe et puis Rolande (la cuisinière) sait à merveille attacher un rôti et elle saura s’en occuper avec sa « douceur » légendaire ! Franchement, je ne nous conseille pas Jenna. »
Jenna, convaincue par ces arguments et ayant jaugé cette perspective inquiétante au vu de la cuisinière épaisse et mal commode, se calme et se laisse mener. Pressée par devant et par derrière elle descend tant bien que mal les degrés qui mènent à la cave.
En bas, c’est une vraie cave de château : on y sent la fraîcheur disons plutôt le froid et l’humidité, et même l’odeur de moisi et de salpêtre. Les portes sont basses, les bases des murs sont en pierre, le reste en briques.
Jenna est emmenée jusque devant une porte en bois clair. On ouvre la porte et on pousse la belle brune en dedans. La pièce est grande, claire (les murs de briques sont blanchis à la chaux ou bien ont été peints), le plafond est haut et vouté.
Elle n’a pas vu tout de suite qu’une chaîne pend du plafond. Il y a également un cheval d’arçons, une croix de Saint André contre une des murailles.
On passe un bracelet de cuir à chacun de ses poignets et chacun des mousquetons se referme sur l’extrémité de la grosse chaîne.
Un bruit de métal et de mécanisme la fait sursauter : Jean-Edouard a actionné le treuil et les bras de Jenna s’élèvent, bientôt tirés vers le haut.
En un clin d’il elle se retrouve suspendue par les bras, tendus au maximum au-dessus de sa tête.
Notre compère actionne encore un peu le moteur électrique et la voilà maintenant sur la pointe de ses bottes, oscillant pour ne pas perdre son équilibre.
Sa jupe, dans cette posture, est relevée au maximum et on voit la moitié de ses cuisses gainées par les bas.
« – Ah, elle n’a pas l’air maligne, comme ça, la mauvaise joueuse ! » dit Lionel
— Moi je dirais qu’elle l’a cherché » ajoute Jean-Edouard.
« – C’est sûr » dis-je, « elle savait très bien qu’en revenant elle risquait de perdre, et de ne nous êtes redevable de sa dette
— Ce que je veux dire » continue Jean-Edouard, poursuivant « c’est qu’à mon avis elle a envie de ce traitement sinon elle ne serait pas revenue ! »
Jenna proteste mollement :
« – Non, ça n’est pas vrai, je suis une femme honnête, respectable et mariée.
— Et ça ne le dérangerait pas, ton mari, de te savoir ainsi, suspendue comme un jambon, livrée à six hommes qui vont te passer à la casserole, te faire subir les derniers outrages, les pires traitements, les plus humiliants ceux qu’on réserve à une vulgaire pute du port ?!
— Mais non » répond à sa place Lionel, « Madame ne le racontera pas, tu penses. Elle réalise, l’air de rien, ses fantasmes les plus secrets, les plus honteux, et compte bien sur notre discrétion
— Et nous nous comptons sur ses penchants pour la soumission, sur son besoin de jouir d’humiliation et de prendre son pied sous les traitements les plus avilissants Madame la grande Bourgeoise feint de s’indigner, de se défendre, mais c’est pour mieux prendre son pied sous la domination et le pseudo-viol collectif ! »
Jenna ne répond plus rien.
Moi j’ai déjà passé ma main sous sa jupe, et brutalement je descends sa culotte et lui fais tomber sur ses pieds. Bien entendu elle porte encore des bas auto-fixants.
Mes doigts se sont insinués entre les lèvres de sa chatte :
« – Qu’est-ce que je disais ? Elle est trempée !
— C’est indépendant de ma volonté » marmonne-t-elle de façon à peine audible.
« – C’est surtout que tu aimes ça, salope ! » lui jeté-je à la face, tout lui exhibant mes trois doigts gluants et luisants de sève, que je lui expose de longues secondes à quelques centimètres de son nez.
Elle baisse la tête autant qu’elle peut, rougit de honte, comme une jeune fille.
« – Suce mes doigts, suce ta mouille, salope ! Goûte la saveur d’une bourgeoise en chaleur, la sève d’une chienne lubrique ravalée au rang de catin par ses fantasmes de bas étage. »
Elle hésite un peu, avec un air penaud mais elle prend mes deux doigts entre ses lèvres et les suce deux à trois fois, assez lentement.
« – Quelle salope ! Je n’aurais jamais cru qu’une femme de la haute bourgeoisie d’affaires comme elle, surtout avec son air guindé et coincé, pouvait être aussi salope. »
Ça c’est Rolande qui vient de le lâcher, et c’est sorti tout seul comme un cri du cur. Cette grosse femme simple s’exprime avec la spontanéité et la franchise d’un enfant.
Car elle nous a tous accompagnés jusque dans cette cave, cette salle de supplices. Aucun de nous n’a pensé lui refuser l’entrée.
Et Maurice qui l’emploie, voyant sur son visage son air mauvais et vicelard, a soudain envie de lui faire changer de rôle, de laisser libre cours à ce qu’il devine comme une envie vacharde de faire payer à cette femme riche son arrogance :
« – Vous avez raison, Rolande ! Prenez donc le martinet aux longues lanières de caoutchouc et donnez donc à notre « invitée » une leçon d’humilité. Punissez-moi sa croupe d’allumeuse. Je veux qu’elle s’en souvienne longtemps. Marquez-là. »
(A suivre…)