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Texte pour Lololatex – Chapitre 1




Lololatex et moi avons fait un échange, je lui ai donc écrit un texte sur les thèmes suivants :

Sissification extrême, chasteté permanente et transformation en servante.

Voici donc ce que ça a donné. ;-)

Alors tu décides quoi ?

La voix de Chantale me ramène à la réalité. Je la considère un instant, son visage sévère et fermé m’intimide. De même que son tailleur strict et sa jupe serrée. Elle n’a vraiment pas l’air de plaisanter. Il faut dire que quand je regarde sa culotte sale souillée posée sur son bureau comme une pièce à conviction, je comprends qu’elle m’en veuille.

Depuis que j’ai 16 ans, je fantasme sur Chantale. Bien sûr, elle est plus âgée que moi (c’est une amie à ma mère), mais elle a toujours incarné cette autorité féminine sur laquelle je fantasme depuis mes premiers émois. Aussi lorsqu’en raison de ma profession, j’ai dû monter sur Paris, ma mère a demandé à Chantale de m’héberger quelque temps. Évidemment, j’étais aux anges, surtout devant le panier de linge sale de Chantale qui demeurait sans surveillance la nuit, dans la salle de bain. J’ai 21 ans maintenant, mais Chantale n’a jamais cessé de me plaire.

J’ai très vite craqué… Et Chantale l’a découvert.

Je suis désolé Chantale, je t’assure que ça ne se reproduira plus je…

Une gifle claque sur mon visage. Je reste sous le choc.

Je me fous de tes excuses sale pervers ! Eh oui ça ne se reproduira plus, ça c’est moi qui te l’assure. Mais pour le moment, j’exige de connaître ta décision. Soit je raconte tout ça à ta mère, mais aussi à toutes tes fréquentations. Soit je prends dès à présent en main ton éducation. Alors qu’est-ce que tu choisis ?

Vaincu, je ne parviens qu’à balbutier:

Je ferai ce que tu voudras Chantale.

Elle esquisse alors un sourire triomphant.

Bien, parfait. Alors, déshabille-toi.

Devant mon regard ébahi, elle insiste.

À poil !

Rouge de honte, je me déshabille et finis en caleçon devant son regard. Sa main droite se pose sur mes bijoux de famille et les comprime immédiatement avec v******e.

T’ai-je dit de te mettre en caleçon ?

Non Chantale…

Ça sera Maîtresse Chantale pour toi à présent,

gronde-t-elle en enfonçant ses ongles.

Pardon maîtresse Chantale.

C’est bien, tu apprends vite. Ton cas n’est peut-être pas si désespéré. Attends…

D’un geste ferme, elle arrache alors mon caleçon et sourit alors de toutes ses dents.

Ho non, je n’y crois pas… Tu bandes espèce de petite salope. Haha c’est parfait.

Incrédule, je baisse les yeux et le retrouve face à la plus belle érection que j’ai jamais eue. Mes joues chauffent, je deviens écarlate.

C’est parfait, me murmure Chantale qui rayonne de bonheur. Crois-moi, je vais bien m’occuper de toi. Mais d’abord…

Sans perdre un instant, elle se saisit de mes bourses et me tire jusqu’à la cuisine malgré mes gémissements de douleur. Elle se saisit alors d’une poche de glace et la plaque contre mon sexe en érection.

Mon cri de surprise et de douleur provoque chez elle en éclat de rire cruel qui renforce encore mon érection. Mais avec le froid, ma bite finit par devenir flasque et minuscule.

Avec un sourire cruel, ma désormais Maîtresse saisit une petite boîte contenant un étrange ensemble de plastique rose.

C’est une cage de chasteté, m’explique Maîtresse Chantale. C’est idéal pour lutter contre le pique de testostérone des pouffiasses dans ton genre.

Avant même que j’aie pu protester, la cage est en place et un petit clic m’informe que le cadenas est verrouillé.

Voilà une bonne chose de faite. Habille-toi maintenant, mais sans sous-vêtements. On sort.

Nous voici à marcher dans la rue. Maîtresse Chantale me tient fermement par le bras et m’emmène je ne sais où. J’ai encore du mal à réaliser ce qui est en train de se passer. Mais avant même que je n’ai pu me poser la question, nous nous arrêtons devant un institut de beauté 100% féminin appelé "les délices d’Eve". Sans une hésitation, Maîtresse sonne.

Une jeune femme brune et un peu ronde nous ouvre et accueille Maîtresse avec une bise chaleureuse.

Bonjour Chantale. Ça me fait plaisir de te voir.

Bonjour Eve, à moi aussi. Comment vas-tu ?

Très bien. Que puis-je faire pour toi ?

J’aurais besoin d’un traitement de choc pour mon invitée.

Pour aujourd’hui ?

oui c’est une urgence. Elle s’amuse à souiller mes culottes en se prenant pour un homme.

Ho je comprends, tu as raison il faut agir. Heureusement pour toi, je n’ai pas de rendez-vous aujourd’hui. Allez espèce de souillonne, viens par là !

Atterré par la manière dont les deux femmes parlent de moi, je reste interdit. Eve me saisit par les cheveux et me tire alors dans son salon.

Tu pourras revenir la chercher dans quatre bonnes heures.

Parfait, merci Eve. Hey souillon, viens un peu ici.

Je m’approche de Maîtresse Chantale qui me saisit alors les bourses et les tourne avec vigueur.

Eve est une très bonne amie. Tu as intérêt à te montrer correcte avec elle c’est clair ?

Oui Maîtresse, très clair…

Bien, bonne traînée va.

Sur ces dernières paroles, Maîtresse Chantale quitte le salon, me laissant seul avec Eve qui ferme la porte à clé et baisse les rideaux.

Je n’ai jamais enduré pire souffrance que cette épilation au laser. La sensation de brûlure est tout simplement insoutenable. C’est comme de minuscules aiguilles en feu qu’on vous enfonce sous la peau. Le pire a certainement été le visage et le nez. J’ai bien sûr imploré Eve de m’épargner, mais je n’ai obtenu que des rires moqueurs ou sadiques en toutes réponses.

Une fois débarrassée de mes poils, Eve m’a badigeonné une crème sur mon corps pour que ma peau cicatrise plus vite.

Comme ça, tu seras en forme ce soir, me dit-elle avec un clin d’il.

La crème fait bien son effet. Mon corps a bien vite retrouvé son teint d’origine. Mais plus aucun poil ne pourra jamais pousser après un tel traitement.

Une tondeuse à la main, Eve ne fait pas grand cas de mes larmes et me rase complètement la tête. Puis elle rase minutieusement mon crâne avant de se pencher sur sa penderie. Elle revient toute contente en me présentant une perruque blonde avec des cheveux longs.

Chantale m’a donné carte blanche. Alors j’ai bien envie de te voir en blondasse écervelée. Le genre de fille qui ne sait qu’obéir sans réfléchir. Le genre de filles que tu vas vite devenir, crois-moi.

Comment ça ? Mais ce n’est pas possible… Je vous en prie, relâchez.

Dans tes rêves sale pouffe. Crois-moi dans quelque temps tu remercieras Chantale.

Sans un mot de plus, Eve m’applique avez attention de la colle chirurgicale sur le crâne et pose la perruque blonde.

Sans perdre un instant, elle place son visage face au mien et entreprend de me maquiller.

Arrête de chouiner. Crois-moi, il ne pouvait rien t’arriver de mieux.

Eve a à peine le temps de finir sa phrase que la sonnette retentit.

Pile à l’heure.

Apparemment impatiente, Eve ouvre à Maîtresse Chantale. Cette dernière se tourne vers moi et éclate de rire.

C’est parfait Eve. Elle est magnifique tu t’es surpassée.

Merci beaucoup, je me suis beaucoup amusée.

Mortifié par leurs propos, je me mets à trembler. Eve me tend alors un miroir et je fonds alors en larmes.

Mais qu’est-ce que vous m’avez fait…

On t’a transformé en potiche, s’esclaffe Eve entre deux éclats de rire.

Non ce n’est pas possible…

Ho si, et attends, tu ne sais pas le meilleur. Pouffe Chant. C’est du maquillage permanent !

À cette nouvelle, je m’ écroule, secouée par les sanglots. Maîtresse Chantale me prend alors avec tendresse dans ses bras.

Tout doux ma jolie Louise. Crois-moi c’est juste un mauvais moment à passer.

Louise ?

Oui ma chérie, avec ta nouvelle apparence tu ne pensais tout de même pas que tu allais garder ton prénom de garçon non ? Louise je trouve ça jolie, qu’en dis-tu ?

Je ne sais pas Maîtresse…

Ce n’est pas grave, je t’ai apporté des vêtements. On va rentrer à la maison.

Le retour s’est effectué sans encombre. À part un ou deux regards appuyés auxquels je n’ai pas prêté attention, je suis passée inaperçue. Maîtresse me serrait fort la main, autant pour me guider que pour me soutenir dans cette épreuve.

Une fois chez elle, Maîtresse m’a mise à nue pour contempler le travail d’Eve. Puis elle m’a allongée sur le canapé en menottant mes mains. Et là, elle s’est penchée sur la cage avec un sourire aux lèvres.

Ça fait combien de temps que tu fantasmes sur moi Louise ?

Depuis que je vous connais Madame.

Hé ben…

siffle-t-elle en se déshabillant.

Ça fait cinq ans que tu fantasmes sur moi…

Oui Maîtresse.

Je sens alors mon érection se réveiller en la voyant se déshabiller.

Ce doit être un moment béni pour toi alors, susurre-t-elle en se mettant à califourchon sur moi. Car l’objet de tes fantasmes est juste en face de toi. Entièrement nue, tout comme toi.

En sentant sa peau se frotter contre la mienne, je pousse un gémissement de désir. Mais très vite mon sexe s’écrase contre la paroi de la cage. Mon gémissement se mue alors en gémissement de douleur.

Le sourire cruel de ma Maîtresse réapparaît alors. Ses mains se lancent à l’assaut de mon corps et lui prodiguent caresses et agréables blessures.

Mon sexe se débat contre la cage et lutte pour obtenir plus d’espace. La douleur me fait crier.

Maîtresse découvre alors que je suis très sensible des tétons. Elle les saisit alors entre ses griffes et ricane en voyant mes soupirs de plaisir se transformer en grimace de douleur.

Mon corps ne sait plus où donner de la tête et je crie, implorant ma Maîtresse de m’épargner. Mais je n’obtiens pour toutes réponses qu’un long rire sadique.

Pour se libérer les mains tout en continuant à me faire souffrir elle place une pince japonaise sur chacun de mes tétons. Mes cris s’amplifient. Mon corps demande grâce. Ma bite me semble sur le point d’ exploser.

Je sens alors le corps de Maîtresse être parcouru de frissons. Elle est en train de se masturber. Le plaisir monte en elle au fur et à mesure qu’elle savoure ma détresse.

Regarde-moi Louise. Regarde ton fantasme se masturber si près de toi. Regarde-moi en sachant que tu n’auras jamais le privilège de me faire jouir, ni même de me toucher. Tu vas rester dans cette cage Louise, tu vas…

Son corps semble soudain traverser par une décharge électrique. Elle pousse un mugissement de plaisir et s’écroule sur moi. Essoufflée, mais comblée.

Quelques instants de récupération plus tard, elle me libère et m’enfile un uniforme de soubrette, une paire de bottines munies de talons de 12 centimètres cadenassés à mes pieds et elle ajoute comme touche finale un rosebud entre mes fesses, un collier cadenassé à mon cou et surtout un bracelet à chaque poignet pour qu’à chaque instant je puisse être immobilisée.

Conformément à ses ordres, je nettoie l’appartement dans cette tenue. Je tombe à de nombreuses reprises à cause des talons, mais les coups de cravache m’apprennent à être à peu près stable très vite.

Une fois l’ appartement nettoyé, je mets donc la table pour 4 personnes comme Maîtresse me l’a ordonnée. Mais à peine ai-je fini que la sonnette retentit.

Maîtresse me passe donc une laisse à mon collier et me met à genoux devant la porte avant d’ouvrir.

Eve et deux autres jeunes femmes (une rousse et une brune) entrent alors et font la bise à Maîtresse sans même me regarder. Chantale les invite à table et m’ordonne de faire le service.

Elles discutent entre elles ne m’accordant pour seule attention que griffures et pincement. Puis Maîtresse m’interpelle.

Souillon ! J’ai fait tomber ma fourchette sous la table. Ramasse là !

J’obéis et me glisse sous la table, mais ne vois pas de fourchettes. Maîtresse me saisit alors le visage et le plaque sur son sexe. Je comprends alors qu’elle exige de moi un cunni.

Tandis que ma langue s’active, je les entends parler.

Alors elle est comment ta Louise ? demande Eve.

Encore un peu gauche, mais elle a du potentiel cette souillon, répond Maîtresse.

Tu l’as rencontré comment ? demande la fille rousse.

Sa mère me l’a confié.

La table entière explose de rire.

Haha elle n’a aucune idée de ce qu’elle va récupérer, plaisante la brune.

Avant qu’elle ne la récupère, j’ai six mois, de quoi bien m’amuser.

Ça te fera faire des économies en femmes de ménage, fait remarquer Eve.

Entre autres oui. Tu veux l’essayer ?

Maîtresse tend alors la laisse à Eve qui me tire jusqu’à son sexe et me plaque le visage contre son clitoris. Les filles reprennent leurs discussions jusqu’à ce que sous mes coups de langue Eve finisse par jouir. Elle est alors applaudie par la tablée. Quant à moi on m’ordonne d’aller faire la vaisselle. Je me retire donc en titubant à cause des talons.

Une fois la vaisselle faite, je rejoins Maîtresse Chantale et ses invitées dans le salon. D’un geste de la tête, Maîtresse Chantale ordonne à ses invités de me menotter et de me remettre le bâillon. Puis je suis mise à genoux devant Maîtresse Chantale qui saisit son téléphone portable en me regardant droit dans les yeux.

Oui Stéphanie ? C’est Chantale, comment vas-tu ?

Je deviens rouge cramoisi en réalisant qu’elle est en train d’appeler ma mère. Je tente de me débattre, mais les filles me maintiennent sans problèmes à genoux.

Moi ça va très bien merci. Mais je t’appelle juste à propos de ton fils. Non non ça se passe très bien avec lui. Seulement à son boulot ça a l’air compliqué, les horaires sont rudes et l’ambiance vraiment pas terrible. Ça lui pèse beaucoup moralement. Il a même envoyé sa lettre de démission ce matin.

Tout en discutant Chantale me fait un clin d’il appuyé. Je comprends alors que pendant qu’Eve s’occupait de moi elle a envoyé ma lettre de démission. Je suis mortifié.

Mais ne t’inquiète pas, j’ai organisé un repas avec toutes mes collègues et figure-toi qu’on est tombé d’accord sur le fait qu’il serait parfait pour effectuer un stage de longue durée de mon entreprise. C’est mieux et je pourrais garder un il sur lui. Parfait, non c’est un plaisir, crois-moi.

Chantale raccroche et le considère avec un sourire sadique.

Bienvenue dans mon entreprise stagiaire.

Les filles autour gloussent.

Sans perdre plus de temps, Chantale saisit sa clé et déverrouille ma cage. Elle saisit alors mon sexe flasque qui récupère bien vite de la vigueur entre ses doigts.

Mesdames, soyez toutes témoins. La petite Louise sera désormais notre stagiaire à plein temps. Et ne vous fiez pas à ses larmes. En réalité elle est aux anges. Voyez comme son érection en témoigne.

Maîtresse Chantale place à nouveau les pinces sur mes tétons. Immédiatement mon érection est décuplée. Elle se met alors dans mon dos et continue de me masturber.

Voyez comme elle est heureuse. Elle va jouir habillée en servante, elle va jouir menottée, elle va jouir humiliée devant vous, bâillonné et les tétons pincés. Elle va jouir comme une gentille petite Louise. Elle va jouir pour la toute dernière fois de sa vie.

À ces mots je cède. Mon sperme se répand et je suis traversé par le plus puissant orgasme de ma vie.

Immédiatement les filles verrouillent sur mon sexe un imposant dispositif de chasteté. Plus confortable, mais alors qu’elles achèvent de le visser je constate qu’il n’y a pas de cadenas.

Cette cage n’a pas besoin de cadena car elle n’est pas faite pour être retirée. Une fois qu’elle est posée et vissée on ne peut plus l’enlever. Explique Maîtresse Chantale.

Sauf en te sectionnant le pénis. Ajoute Eve cruellement.

Bienvenue dans ta nouvelle vie Louise. Déclare Chantale.

Mes larmes coulent, mais je souris, je suis au paradis.

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