Précision : les personnages nommé(e)s dans ce récit le sont sous un nom d’emprunt. Bonne lecture
Le jour des résultats du Bac, enfin. Etant plutôt bon élève, je m’attendais à avoir réussi les exams mais n’imaginais tout de même pas recevoir une mention très bien. Lors de la remise des dossiers scolaires, on me prévint que Céline et Louise, mes deux anciennes profs d’allemand, absentes à ce moment-là, souhaitaient me voir à 17 heures au lycée pour me féliciter personnellement. Ayant gardé un très bon souvenir de ces profs (sur leur physique et sur leur enseignement), je me décidai à revenir, n’habitant pas loin du lycée.
Un peu avant l’heure dite, j’arrive donc pour une dernière entrevue. Alors que je me dirigeai vers les toilettes pour me rafraîchir un peu, j’entends des gémissements provenir de la pièce. J’ouvre la porte en silence pour vérifier si personne n’est là et jette un coup dil à l’intérieur. Les lavabos à gauche, les urinoirs au fond et le petit cagibi entrouvert, avec deux mains féminines accrochées aux parois et un couple entrain de baiser intensément !
La jeune fille est agrippée à la tranche du haut tandis qu’une main lui arrache le soutien-gorge et lui pétrit les gros seins. Son short très court est à terre, ainsi que sa culotte, et un sexe est en train de la défoncer. Je reconnais cette fille, c’est une allumeuse de ma classe depuis 3 ans, qui est sorti avec une dizaine de mecs rien que dans ce lycée. Il faut dire que ces longs cheveux bruns, sa poitrine généreuse et son gros cul en font une égérie du X. Le chanceux qui lui donne des coups de butoirs sans trop de ménagement se penche alors pour l’embrasser. Je l’ai également déjà vu, une connaissance aux (très) longs cheveux attachés à l’arrière de sa nuque. Vêtu d’un T-shirt sombre, il tient sa partenaire par la taille, celle-ci ayant nouée ses jambes autour de son bassin. Il lui assène de nombreux coups de pilon, lui arrachant des râles de plaisir.
Je décide de les laisser à leur jouissance et me dirige vers le deuxième étage. Je remarque par ailleurs que le lycée est entièrement vide, les deux amants ont bien choisis leur moment. je suis entré dans la salle de TP des scientifiques, celle avec les grandes tables spacieuses…
Céline, ma prof d’allemand de l’an dernier se trouvait assise sur le bureau. Je lui donnais le début de la trentaine, des beaux seins ronds et fermes, cheveux mi-longs. Mariée et mère d’un petit bambin, elle était très désirable et les lunettes qu’elle portait lui donnait un petit air coquin. Louise, à côté, était quant à elle tout aussi bien pourvue par la nature, une poitrine volumineuse, des cuisses parfaites et des cheveux en cascade jusqu’à sa poitrine. Bien qu’atteignant la quarantaine, ma prof d’allemand en AP restait tout aussi bandante, tant pour son mari que pour les mâles en général.
Ces deux charmantes femmes me saluèrent et me félicitèrent pour mon Bac.
"On voudrait vraiment te récompenser comme il se doit, surtout après ta note en allemand. Tu as vraiment fourni un gros effort pour remonter tes lacunes."
Tout en discutant, elles s’approchèrent. Soudain, Céline me toucha le torse et me susurra à l’oreille qu’elles voudraient me laisser un cadeau d’adieu. Louise passa alors sa main sur mon pantalon et je ne pus répondre que par un sourire gêné. Elles se regardèrent en riant puis commencèrent à retirer mon haut. Je restai tétanisé et Louise me prit les mains pour se caresser la poitrine. Je ne réfléchit alors plus et retira son T-shirt puis dégrafa son soutien-gorge. Céline avait déjà enlevé tous ses vêtements et refermai la porte sans pour autant à clé. Elle se dirigea vers une table et s’y étendit.
Je m’approchais d’elle, mes mains commencèrent par malaxer ses seins, je titillais ses mamelons avec mes doigts pendant que je me baissais, la regardant dans les yeux. Elle écarta ses cuisses et je pus embrasser ses fines jambes. Ma main gauche remonte alors doucement vers ses lèvres tout en la caressant, tandis que ma main droite descend sous sa cuisse pour la relever et me laisser la toucher avec ma bouche. Ses lèvres sucèrent mon index et les miennes la couvrirent de baisers. Je descendis alors plus bas, me courbant pour atteindre son vagin. Ma langue explora d’abord les alentours et je sentis sa main se mêler à mes cheveux. De l’autre, elle se touchait les obus, tout en poussant de petits cris de plaisir. Ma main gauche tourne à nouveau autour de ses tétons jouant avec.
Alors que je me décidai à lui lécher le con, voilà que je sens un doigt se placer sur mon entrejambe. J’entends alors mon pantalon s’ouvrir et une bouche m’embrasse le sexe, très à l’étroit dans mon boxer. Ce dernier se baisse alors que ma langue commence à lécher le vagin de Cécile.
"Han, continue….petit salaud…je t’en prie suce-moi !"
Alors que Céline s’abandonnait à son plaisir, une main se saisit de ma bite et après deux trois bons mouvements, mon gland se retrouve parsemé de baisers Louise commence alors une fellation du tonnerre, à genoux entre la table et mes jambes, ses doigts caressant mes couilles tandis que sa bouche engloutissait mon engin. Je me sentis défaillir et faillis m’écrouler tant elle y mettait de l’ardeur.
Tout en léchant le con de mon ex-prof, je priais pour que personne ne nous surprenne, Céline couchée sur la table, gémissant de plaisir, moi lui léchant la chatte et Louise agenouillée devant moi, sa main sur ma jambe, me pompant le dard.
Céline était alors au bord de l’implosion et les coups de langues de Louise avait tendance à ralentir, voire stopper mon travail, tant le besoin de crier se faisait ressentir. Céline jouit la première, sa main s’agrippant à mes cheveux, son corps se tendit comme un arc, tandis qu’elle hurlait. Aussitôt Louise accélérant encore la cadence, s’efforçant d’avaler ma bite entière. Je saisis alors les coins de la table, fus saisis d’un spasme et mon corps frissonna. Je déchargeais tout mon foutre dans sa gorge. Louise se releva et je l’embrassais à pleine bouche tandis que Céline descendit de la table. Je passais mes bras autour de la taille de Louise, je la dépose alors sur la table et mordille ses tétons. Je saisis ses mains tout en voulant m’étendre sur elle mais elle se libéra et me fit basculer sur le côté. Son corps se posa alors sur le mien, ses seins s’écrasaient sur ma poitrine.
Elle cessa de m’embrasser et se redressa, approchant ses fesses de mon chibre. Je les saisis à deux mains, puis les fit lentement descendre ma verge. Elle s’empala doucement sur ma bite en respirant très fort. Elle commença doucement à faire des mouvements de haut en bas, chaque nouvelle descente sur ma queue lui arrachant des cris de plaisir. Je voulus caresser son corps mais Céline profita de cette occasion pour bloquer mes bras avec ses mains et m’offrit ses seins en pâture, les ballottant au-dessus de ma tête. Je suçai alors sa poitrine pendant que Louise continuait à projetait son con sur ma bite. Au bout d’un moment, elle posa ses mains sur mon torse et me chevaucha. Céline se pencha alors un peu plus, cherchant les lèvres de sa complice, et j’en profitais pour lécher son corps, ses mamelons étant hors de portée. Louise accéléra le rythme et goûtait au sein de sa collègue, je ne pus retenir mes gémissements.
"Han, han tu me fais bien, je vais jouir"
A Céline de surenchérir, soufflotant : "Tu…aimes….cela hein ?"
Oh ouii !, si vous saviez"
Elle rapprocha alors son visage du mien, ses mains lachant mes bras, elle m’embrassa à pleine bouche. Elle se détacha ensuite pour se diriger vers ses affaires.
Toute mon attention se porta alors vers Louise, je caressais sa cuisse avec ma main droite tandis que ma gauche, posée à plat sur sa peau, remonta délicatement jusqu’à ses seins. Je les malaxais puis pris un de ces longs cheveux noirs entre mes doigts et m’en servit pour électriser son téton. Elle se cambra, ses mains passèrent dans ses cheveux, ses cuisses bougèrent encore plus, ma bite toujours coincée et ballottée dans son con. Bordel, que c’était bon ! Elle hurla son plaisir en rejetant la tête en arrière et mes mains attrapèrent alors chacune un de ces seins.
"Aah ! je vais tout lâcher !"
A peine avais-je prononcé ces mots que j’éjaculais au fond de sa grotte. Dans un dernier sursaut, je propulsais ma bite vers le haut pour la pénétrer de toutes mes dernières forces. Elle cria et jouit à son tour avant de seffondrer sur mon corps, sa tête sur ma poitrine. Plusieurs secondes s’écoulèrent avant je ne caresse ses cheveux. Elle, toujours appuyée sur mon torse, me touchait tendrement la bite, puis elle se redressa.
Arrive alors Céline avec une bouteille d’eau. Lorsque ce fut mon tour de me désaltérer, je ne laissais que le tiers de la bouteille. C’est à cet instant qu’une idée germa dans mon esprit. Au point où j’en étais avec ces deux femmes, autant aller jusqu’au bout. J’ai donc commencé par durcir les mamelons de Céline, et versant ensuite un peu d’eau sur ma main, je l’étalais sur ses seins. Comprenant mon intention, elle se servit à son tour et lubrifia ma verge. J’enfonçais alors mon index mouillé dans l’anus de Louise, qui se tenait debout à côté de nous. Elle poussa un long soupir de plaisir quand mon doigt entra dans son cul. Céline s’amusa alors avec mon engin, à nouveau droit comme un i. Louise approcha sa bouche et les deux femmes me sucèrent pendant quelques instants. Ma bit ayant retrouvé sa vigueur, je me suis redressé sur la table et ai embrassé Céline tout en malaxant les seins de Louise. J’ai soulevé Céline et l’ai déposé délicatement sur la table.
Je ne pouvais plus tenir : il fallait que je la baise !
Je me suis étendu sur elle et ai ramené ma bite à la hauteur de sa chatte. J’ai commencé par quelques petites caresses, ma bite en main, à l’entrée de sa grotte. Puis je suis lentement entré en elle, allant la pénétrer jusqu’à la garde. Louise était assise sur une chaise à nos côtés, se touchant le clitoris. J’ai ressorti ma verge de Céline puis ai recommencé. J’ai alors effectué de lents mouvements de va-et-vient, ma bouche dévorant ses seins, passant d’un globe à l’autre, puis j’accélérais le rythme.
"Han….. que j’aime……te sauter
Aah…..c’est réciproque…..mon chou"
Je la défonçais désormais sans ménagement, lui démolissant la chatte, mon corps redressé au-dessus du sien, mes mains sur ses seins. Elle jouit dans un orgasme libérateur.
"Aah….aah…..AAAAH !"
Ne l’ayant pas encore rempli de ma semence, j’accélérais encore, ma langue lui léchait le cou. Nos mains se joignirent ainsi que nos bouches quand je me vidais enfin dans son intimité.
Je me suis retiré avec lenteur, me couchait à son côté, lui caressant le corps. Toujours assise, Louise me fixait des yeux. Elle se leva subitement, m’attrapa les mains et me releva. Elle m’embrassa avec fougue et la main dans mon dos, elle m’entraîna vers la fenêtre. Elle voyait dans mes yeux une certaine fatigue mais surtout du désir de la satisfaire à nouveau.
Elle se tourna face à la fenêtre et sans lâcher mes poignets, posa mes mains sur ses hanches.
J’approchai alors timidement de son anus mais Céline, arrivé dans mon dos, la tête posée sur mon épaule, une main sur mon cur battant la chamade, l’autre sur mon engin, guida ma bite dans la bonne direction. J’entrai doucement, pressant son anneau tout en ramenant doucement les hanches de Louise vers moi. Ma verge se trouva ainsi entièrement enfoncée dans son cul et je commençai à aller et venir. Louise se colla à la fenêtre, sa joue contre, ses seins pressés contre la vitre, sa jambe droite légèrement posée sur le rebord en pierre, ses bras levés et ses mains sur la paroi, comme si elle tentait de s’agripper à quelque chose.
La sensation ressentie n’était pas la même que dans les chattes de ces femelles, j’étais plus à l’étroit et avais bien plus peur de faire mal à Louise. Cependant, chaque aller-retour imprimait sur mon dard une forme de massage. Je saisis les cheveux de Louise afin de redresser légèrement sa tête, en essayant toutefois d’être le plus doux possible. Céline était elle occupée à passer ses mains sur les cuisses de notre partenaire. Louise passa à nouveau ses mains dans ses cheveux avant de passer son bras autour de ma tête. Je profitais de la situation pour caresser son clito et saisir un de ses seins. Je l’embrassais puis mes lèvres se portèrent sur son cou. Sa peau était chaude comme la braise et mes baisers l’électrisait. Elle cria et je fis des mouvements plus rapides, elle posa alors ses mains sur la fenêtre, sa tête regardant le sol, et hurla pendant que je lui défonçais l’anus. Nous avons jouit ensemble, je me suis vidé dans ses fesses et ressorti de son cul.
Je n’en pouvais plus tant ces deux femmes venaient de me demander. Je les ai embrassé chacune tout en parcourant leurs corps de mes doigts, avant de les remercier pour ce moment intense. Je me suis ensuite rhabillé puis suis reparti chez moi. J’ai alors croisé devant le lycée le gars des toilettes qui s’en allait à vélo. Un petit signe de la main, un sourire, et c’est tout.