Pierre
Je retourne maman qui est réveillée, je présente mon sexe devant le sien avec appréhension. Cette odeur inconnue m’attire, je lance un violent coup de reins et rien ne se passe comme précédemment. Mon sexe rentre sans difficulté dans l’antre humide, je commence des va-et-vient dans la précipitation, tellement je suis excité, mais je veux que le plaisir dure, je me concentre. Tout à coup, je sens bouger légèrement le bassin de maman, ce simple mouvement me perturbe et je lâche un jet de sperme, trop précipitamment, trop vite. Malgré le bonheur d’asperger le ventre de ma mère, j’ai honte de ne pas me contrôler de ce plaisir égoïste. Je me lève sans rien dire et me précipite dans ma chambre.
Ce matin, je me tire du lit de bonne heure, j’ai mal dormi. Je ne veux pas croiser maman, j’ai passé le reste de la nuit à penser à mes actes. Je suis honteux. Je prends une douche rapide et déjeune pour partir à la fac avant son lever. J’ai le nez dans mon bol quand elle rentre dans la cuisine. Je lui dis bonjour sans lever les yeux, finis mon bol et pars après m’être habillé, sans un mot. Aujourd’hui, la journée est bien remplie, cours magistraux et TP se suivent, cela m’évitera de penser à cette nuit. En rentrant en milieu d’après-midi, je passe devant la porte de la salle de bains fermée, je veux par curiosité savoir ce qu’il se passe à l’intérieur. En collant mon oreille à la porte, j’entends des ciseaux et un appareil électrique sans comprendre ce que fait maman à l’intérieur. Dans ma chambre, je me mets à mon bureau et étudie mes cours, je ne veux pas penser à autre chose.
En fin de journée, maman m’appelle pour dîner, nous mangeons des pâtes bolognaises en silence, plat qu’elle a préparé ce soir. D’habitude, le soir, nous mangeons les restes du repas du midi ; excepté les jours où elle a dormi. Ce soir, je comprends qu’elle n’a rien mangé de la journée. Maman part au travail.
Bonsoir, Pierre, je pars au travail.
Bonsoir, maman, à demain.
Une fois dans mon lit, je repense à la nuit précédente. Je n’aurais pas dû prendre maman comme je l’ai fait. Je comprends qu’elle y pense aussi, elle n’a rien dit de la journée. Je ne suis plus son fils extraordinaire, je l’ai prise, j’ai éjaculé dans son ventre. Maman qui a toujours aimé mon père n’a regardé aucun autre homme depuis 3 ans qu’il est décédé. Je ne peux plus la regarder dans les yeux, je suis persuadé qu’elle a pleuré toute la journée et toute la nuit. Demain, je lui annoncerai que je pars de l’appartement, je trouverai un copain pour m’héberger dans sa chambre d’étudiant. Je dois me réveiller de bonne heure pour le lui dire dès son retour de travail.
Je me réveille en sursaut et regarde le réveil déjà 10 heures. J’ai tourné dans le lit, une grande partie de la nuit, et je me suis endormi au petit matin. Je me lève rapidement, décidé à annoncer les décisions prises, si maman ne dort pas encore. La porte de sa chambre est fermée, je l’ouvre doucement pour voir si elle est encore réveillée. Une fois la porte ouverte, un miracle devant mes yeux, maman couchée sur le dos, nue. Jamais à ma connaissance elle na dormi nue. Ses seins sont légèrement gros et bien ronds au milieu d’une silhouette de Vénus, jamais je ne pourrais croire que ce corps a enfanté trois fois. Je m’approche, et je vois son pubis nettoyé, coupé, épilé ; ce n’est plus « l’origine du monde » de Courbet, ce n’est plus la préhistoire, c’est le monde moderne. Je comprends maintenant les bruits que j’entendais hier dans la salle de bains, elle se faisait une beauté, elle ne pleurait pas, elle prenait soin de son corps.
Une érection énorme survient dans mon caleçon de pyjama.
Je dois me soulager, je retourne à la salle de bains et vois le slip de maman au-dessus de la corbeille à linge sale. Je le prends et respire le slip humide collé sur mon nez. Je reconnais l’odeur de la nuit précédente, l’odeur de l’humidité sortant du haut de ses cuisses. Je prends mon sexe à pleine main, me masturbe et lance deux giclées de foutre dans ce morceau de dentelle blanche. Je reviens dans la chambre ; maman est toujours sur le dos, la jambe droite écartée et repliée, le pied contre le genou gauche. Je peux voir, maintenant que la touffe est débroussaillée, le bel abricot. Sa main gauche commence à bouger ; elle va vers le sein droit, le caresse délicatement. Un doigt tourne autour du mamelon qui réagit en s’érigeant. Elle rêve. Maintenant, la main descend doucement vers le pubis, s’arrête au niveau de la pelouse fraîchement tondue. Le bel abricot se déploie maintenant en une superbe fleur, les lèvres s’écartent doucement, de la rosée s’est déposée sur la fleur.
Spectacle splendide, l’index et le majeur se trouvent de chaque côté, et écartent encore un peu plus ce sexe ; au milieu, je vois en partie supérieure un bouton, peut-être est-ce le fameux clitoris dont tout le monde parle et que je n’ai encore jamais vu. Dans la partie inférieure, je peux voir le trou par lequel je suis sorti vers ce monde et dans lequel j’ai englouti ma semence. Mes yeux sont fixés vers cette scène et je ne contrôle plus mon sexe collé contre le pied du lit et qui jette une fulgurante giclée sur les draps. Mon organisme est une vraie usine à sperme. Reprenant mes esprits, je quitte la chambre pour me nettoyer et reviens. Maman a repris sa position préférée pour dormir ; elle est en chien de fusil et me permet d’admirer ses superbes fesses rebondies et fermes ; entre les cuisses, je peux voir l’abricot qui s’est refermé.
Mes belles intentions de ce matin ont disparu en pensant à maman qui a pris du temps hier pour se faire une beauté sexuelle, au geste de son bassin imperceptible, et, je me rappelle maintenant, la position de ses mains sur mes fesses la nuit dernière lors de mon deuxième assaut. J’avais rejeté cette action de mon esprit, mais maintenant j’en suis sûre, le geste qu’elle a esquissé n’était pas pour me rejeter. Pour quelle raison je ne le sais, mais pas pour cela ! Les heures se sont écoulées, je me suis assis dans un fauteuil mis en pied de lit pour regarder maman dormir. Il va être 17 heures, le moment de son réveil, j’ai envie d’elle et je m’installe dans son dos en chien de fusil. Le réveil sonne, maman bouge et me vois, elle a une hésitation, et j’en profite pour me mettre sur elle, elle écarte les jambes et je pénètre dans cette fleur pleine de rosée que j’ai aperçue tout à l’heure. Je veux commencer mes va-et-vient, mais je sens ses jambes m’enserrer, je ne peux plus bouger.
D’un mouvement du bassin, je sens maman s’exciter avec mon sexe, elle joue avec, mon membre est aspiré. Un cri transperce la chambre :
Je jouiiiiis……….!
Maman vient d’avoir un orgasme violent, son corps se relâche, ses jambes desserrent leurs étreintes, je suis libre de mes mouvements, je commence à limer, mon plaisir grandit, je ne dois plus penser à me maîtriser, je pense juste à mon plaisir. Mon corps commence à se raidir de plus en plus, je retarde l’échéance et me lâche soudainement, je jouis, j’éjacule une grande quantité de sperme malgré tout ce que j’ai semé aujourd’hui. Une jouissance extraordinaire.
J’ai fait l’amour avec ma mère, non, une femme…