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La conversion de Marie à la luxure – Chapitre 4




La conversion de Marie à la luxure 5

(lauberge Normande)

En rentrant le soir même Marie, m’annonça qu’elle avait prévenu Pierre que leur rendez-vous ne pouvait pas avoir lieu, qu’il était très déçu. Et qu’il ne savait pas quand il pourrait lui fixer une nouvelle date.

Je décidai que le reste de la semaine je ne poserai aucune question à Marie sur ses relations avec Pierre et que je serai sérieux jusquau vendredi. Que, par contre, j’enverrais à Pierre des textes érotiques pour que ce soit lui qui les lui adresse. Je voulais la rendre en attente d’une rencontre, tout en s’en sentant coupable dautant plus que j’allais l’emmener pour un super weekend.

Je lui envoyai, la lettre codée de George Sand à Alfred de Musset, des extraits du « dialogue des enculées » de Pierre Louÿs, ou encore ce poème de Paul Eluard :

Coucher avec elle

Pour le sommeil côte à côte

Pour les rêves parallèles

Coucher avec elle

Pour lamour absolu

Pour le vice pour le vice

Pour les baisers de toute espèce

Coucher avec elle

Pour un naufrage ineffable

Pour se prostituer lun à lautre

Pour se confondre

Coucher avec elle

Pour se prouver et prouver vraiment

Que jamais na pesé sur lâme

Et le corps des amants

Le mensonge dune tache originelle

En un mot, il fallait lui donner l’impression dune part que je ne m’intéressais plus à ses aventures avec son amant. Et dautre part que lui se morfondait pour elle. Parallèlement, je suggérai à Pierre de lui proposer des défis coquins que je pouvais être à même de vérifier si elle les exécutait ou pas.

Il ne lui en proposa qu’un seul: Passer une journée entière à son travail sans culotte. Et pour prouver qu’elle le faisait bien, de lui envoyer au moins 5 photos, avec sa jupe relevée pour qu’il "vérifie l’état de l’outil de travail de mon apprentie-salope en formation". Comme il m’en avait informé, je lui proposai de choisir le jeudi.

Outre ses activités habituelles, elle avait le matin, une entrevue avec le Recteur dans son bureau, en fin d’après-midi, une réunion avec ses profs et les représentants des parents. Puis d’exiger qu’elle lui fasse le compte-rendu de sa journée.

Je sus, qu’après avoir rechigné à s’exécuter, elle avait cédé sous la pression de Pierre qui lui dit avait dit que si elle ne le faisait pas, il ne ferait pas d’effort pour la voir la semaine prochaine.

Je pus vérifier, en l’embrassant le matin avant de partir et, sans qu’elle ne s’en rende compte que la belle était à l’air libre sous sa jupe. J’en informai Pierre.

Le soir, je reçu en mail la copie suivante du compte-rendu de la journée.

    "Mon amour, malgré la fraîcheur matinale, j’ai répondu ce matin à tes désirs. Jusqu’à 10 heures pas de problème. Là, je recevais le Recteur, son chef de cabinet et l’Inspecteur d’académie. Il a tenu à ce qu’on s’installe au salon de convivialité attenant à mon bureau, en me disant: "C’est une visite de courtoisie pour découvrir votre établissement.

On y sera mieux pour prendre le café avant que vous me fassiez un point".

Je ne m’y attendais pas. J’étais très mal à l’aise, craignant à tout moment qu’en décroisant les jambes, dans un moment d’inattention, l’un d’eux ne discerne ma "nudité".

Après, tout s’est passé naturellement, au point que je n’y pensais même plus jusqu’à midi, à la cafétéria du personnel. Ce sont deux profs qui étaient assis à une table éloignée en face de la mienne qui m’y ont fait repenser. Je les voyais pouffer en regardant en direction de ma table avec un air benêt je me suis dit que j’avais dû écarter un peu trop les jambes à un moment donné. Je fis celle qui n’y prêtait pas attention. C’était sans compter avec la réunion du soir que j’avais avec tous les profs. Ces deux balourds avaient dû en parler à un autre, car en arrivant en salle de réunion derrière la table qui était sur l’estrade il étaient 3 placés au premier rang juste en face et se donnait des coups de coude comme des ados boutonneux qui voient le haut des cuisses de leur prof en cours. J’en fus réduit à passer toute la réunion les jambes croisées.

Voilà, tu es content de ta petite salope, elle ta bien obéi ? "

    Et en pièce jointe 3 photos de Marie dans diverses positions, la jupe relevée, les jambes écartées qui montrait fièrement son sexe conquérant.

De retour à la maison, cette nouvelle révélation de la transformation de Marie, son message et ses photos mavaient tellement émoustillé que je décidai de mettre fin à mon abstinence, a peine après lavoir embrassée, je la retournai en lappuyant contre le mur de lentrée et lui soulevait sa jupe pour la pénétrer

Surprise ! Elle avait remis une culotte !

Je décidai de lui prendre ses deux trous. Sans attendre, jétirai la culotte, elle ne protesta que légèrement. Lui, écartai les jambes et menfonçai avec fermeté dans son « il de cyclope » comme javais vu que Pierre lui faisait sans autre fioriture. Et je la secouai et vis quaprès un moment de surprise (je navais jamais été aussi rude avec elle), elle commençait à geindre et même mit une main derrière son dos pour me caresser les couilles pendant que je lenfilais. Après quelques minutes je décidai de passer au plat de résistance. Je la pris par la main, lui intima lordre denlever sa culotte. Je la portai à mon nez et lui dis :

— Dis-donc, tas eu une journée sérieuse, ta culotte ne sens rien ? Je vais rattraper ça !

Et je lallongeai sur la grande table de la salle à manger, lui soulevai les jambes en lair et alors quelle sattendait à ce que je lui reprenne le con, je lui enfonçai mon membre entre les jumelles. Là encore je fus surpris dy rentrer sans trop deffort, surtout à sec. Sûrement que le régime que Pierre avait fait subir à sa caverne lavait déjà bien attendrie. Aucun problème, à part un :

— Oh ! Tu me fais un peu mal, chéri !

Suivi de :

— Ah ! Jaime mieux ça, je croyais que tu me faisais la gueule parce que javais prévu un rendez-vous samedi avec Pierre.

— Mais non, ma chérie, je vais dailleurs ten donner la preuve. Ça va être ta fête dans tous les sens et tu as intérêt à être en forme.

Ce disant, je continuai à la pilonner. Pour moi, cétait une première, si lon excepte lépisode du Mexique où javais profité de son état débriété avancée. Et je « découvrais » combien elle était intéressante à visiter de ce côté-là aussi. De plus, visiblement, même si jétais moins bien monter que Pierre, elle y prenait du plaisir. Javais prévu de ne me lâcher que lorsque je la verrai totalement en extase. Après 4 à 5 minutes voyant quelle poussait des râles plus ou moins appuyés et langoureux, sans que lorgasme narrive, je décidai, vue sa position sur la table et comme elle était à bonne hauteur, de passer alternativement dun trou à lautre. Elle retenait de moins en moins ses cris.

  Ses vocalises, étaient de plus en plus saccadées. Et soudain je sentis un raidissement et des petits tremblements symptomatiques. L’orgasme! Je passai très vite dans son passage privé et lâchait ce que je lui gardai comme témoignage de ma reconnaissance éternelle. Puis, sans avoir tout envoyé, je lui commandais de se mettre à genoux et de me finir avec sa bouche, de "prendre sa ration de corps d’homme". De temps en temps, j’accompagnai ses mouvements de la tête par des coups de rein d’abord lents puis plus affirmés. En lui enlevant la tête, je lui dis:

    -Dis-donc, vue ta réaction et comment ton petit trou est bien accueillant, ton amant ne l’aurait pas visité activement l’autre fois quand vous vous êtes rencontrés bibliquement après l’exposition du grand peintre?

Elle eut un instant de perplexité et finit par me dire:

    – Oui, mais je n’osais pas te le dire comme je te l’avais toujours refusé. Mais tu n’es pas fâché. D’ailleurs tu viens bien d’en profiter.

    -Et alors, tu sais que les cachotteries exigent une punition?

    -Non, pas tes trucs comme la semaine dernière! Je ne suis pas un objet offert à tous.

    -Non, ma chérie, là, ta punition sera uniquement entre toi et moi.

Je ne savais pas encore ce que j’allais lui demander. C’est alors que je me souvins que Pierre lui avait dit qu’il la verrai bien en soubrette.

Le lendemain, je passai discrètement dans sexshop, pour acheter un costume de soubrette hypersexy.

Et fis faire un paquet cadeau.

Le samedi avant de partir pour Honfleur, je lui dis:

    – Déshabille-toi que je t’offre ton cadeau d’anniversaire, petite pute. Tu rangeras les vêtements que tu avais prévus dans la valise. J’ai prévu autre chose pour le voyage.

Quand elle se fut mise nue, je lui présentai le paquet du sexshop.

Après l’avoir ouvert, surprise, elle me dit:

    -Tu ne veux pas que j’aille comme ça jusqu’en Normandie?

    -Bien sûr que si! Dans la voiture! Je m’arrêterai dans un endroit reculé avant d’arriver pour que tu te changes!

  Elle passa le costume. Ça ne faisait pas pute, mais quand même très très salope… Je lui dis:

    -Ça te va parfaitement. Allez, on y va!

En prenant la voiture je ne pus pas m’empêcher après quelques kilomètres de lui dire:

    -Tu prends combien pour la pipe? Et tu acceptes tous?

    -Arrête, sinon je me change!

  -Chiche! Comme ça tu vas te trouver nue en roulant parce qu’il n’est pas question que je m’arrête déjà pour te laisser faire.

J’avais dit une connerie! Elle n’était pas encore prête à s’entendre traiter ainsi. Alors que je voulais la mettre en bonne condition pour qu’elle se laisse vraiment aller ce weekend. Je commençais par la braquer. Je décidai de mettre fin, rapidement à cette erreur. Je sortis de l’autoroute à Marly, pris la direction de la forêt de Saint-Germain et après m’être arrêté dans un chemin éloigné de la route, je lui dis:

    -Bon, maintenant tu fais le tour de la voiture, tu me fais une petite gâterie et après tu pourras te changer. Je te veux en femme de classe comme tu sais l’être aussi, pour cette résidence de classe, faite tout à fait pour toi. J’ai cette chance immense d’avoir pour m’accompagner dans ce lieu deux femmes en une: Une salope de concours et une princesse.

Elle arriva derrière la porte conducteur. Je lui dis:

    – Ah non, j’ai payé, c’est toi qui fais tout: ouverture de porte et du reste et comme le ferait une pro que j’aurai ramassé dans le bois. C’est ça ta punition, tu vois y’a personne à l’horizon. C’est pas bien méchant pour une bonne pompeuse comme toi. Je te dirai après combien je te paye. Mais d’abord une photo pour mon album de costumes pour bal.

Trop contente de s’en tirer à si bon compte, elle s’attela à la tâche avec entrain. J’en profitai pour faire une autre photo en plongée. Je me dis que je l’enverrai à Pierre dans la soirée avec un petit mot d’explication. Marie en soubrette en train de me limer le dard, ça pourrait lui donner des idées. J’interrompis rapidement l’exercice, je craignais qu’après cette halte et ce détour nous n’arrivions tard à l’hôtel. Quand elle fut habillée, je lui dis:

    -Regarde dans le sac de voyage, il y a un autre paquet pour toi tu l’ouvriras pendant qu’on roule.

  Il se passa quelques minutes après que nous soyons repartis, et j’entendis un:

    -Mais tu es complètement fou, ça a dû te coûter une fortune!

    -Il faut bien faire des efforts quand on a peur que sa femme vous quitte pour partir avec son amant,

    -T’es fou, je t’aime et crois-le, s’il me fallait choisir entre toi et lui je n’hésiterais pas une seconde. Même si maintenant que tu m’as poussée à prendre un amant et que je connais Pierre, je ne le regrette pas. Mais ce n’est pas la même chose.

    -Mets-les! Je t’ai dit que je voulais arriver à l’hôtel au bras d’une princesse!

…. Après avoir pris la clé, le garçon nous conduisit à notre chambre. En ouvrant la porte, il dit:

    – Bon anniversaire, Madame.

Et ouvrit la porte. Les roses étaient sur une table en face de l’entrée dans un magnifique vase.

Marie eut un nouveau cri.

    -Chéri, c’est trop, mais qu’est-ce que je t’aime!

Le garçon s’était déjà éclipsé.

    -Tu me pardonnes pour ne pas être à la hauteur de tout ce que tu attends de moi?

    -Mais non, mon amour, tu es parfaite, et maintenant que tu t’es libéré la tête de tous les interdits qui empêchaient ta nature de s’exprimer tu es une perle, encore plus superbe que celles de ton collier.

    -Maintenant, avant que nous descendions dîner, je veux te voir nue avec uniquement les bijoux que je t’ai offerts.

Elle se déshabilla, et sans que j’aie à lui demander elle se mit à genoux devant moi, baissa mon pantalon et me dit:

  -Reprenons où nous en étions restés tout à l’heure.

    -Chérie, on va être en retard au repas. Je leur ai dit 21 heures.

    -On a bien le temps pour un petit apéritif!

  Tout cela avait tout de même libéré sa parole, elle se laissait aller. Il est vrai qu’il n’était que 20 h et que nous avions encore un peu de temps devant nous. Je me laissai guider. Avec ses mains, sa langue, puis ses seins elle m’enveloppa le gland et me l’énerva, le malaxa, le lécha, le suça, l’agita, enfin le vénéra au point qu’on aurait pu penser qu’elle était l’adepte d’un culte quelconque à une bite dont j’étais le grand maître.

Elle m’excita tellement qu’après au moins dix minutes de ce régime, je ne pus résister.

Je la retournai sur la moquette pour l’embrocher, avec rage. Je crois que c’est ce qu’elle attendait. Sa vulve était déjà tellement humide que son liquide suintait sur le haut de ses cuisses. Je lui caressai le bouton et les lèvres avec le bout de mon sexe. Elle ne mit pas longtemps à faire entendre l’étendue de sa tessiture vocale.

Je fus obligé de lui dire que si elle continuait, j’allais être obligé de la bâillonner pour que tous l’hôtel ne croit pas qu’on avait amené avec nous une chatte en chaleur. Ce fut un véritable combat elle agitait tellement son cul que plusieurs fois je faillis être expulsé de ses entrailles. Je fus contraint de la plaquer encore plus au sol et de lui asséner des coups de reins d’une telle force qu’à chacun je craignais de lui faire des bleus. Elle se tortillait, enserrait ma verge, en faisant des mouvements de son ventre et de son périnée. Elle ne m’avait jamais fait une telle démonstration de ses compétences depuis qu’on se connaissait.

Même si je ne voulais pas lui livrer mon sperme aussi vite, je ne pus me retenir plus longtemps. Dès qu’elle sentit le liquide couler en elle, elle me repoussa, se retourna, me fit mettre à genoux à mon tour et filant la métaphore que je venais d’utiliser, après s’être allongée à mes pieds elle emprisonna le manche entre ses seins en faisant des mouvements de son buste de bas en haut et me dit:

    -Tu vois que je suis une chatte en chaleur, qui a trouvé son Raminagrobis et qui est prête à accepter toutes les sentences qu’il prononcera pour la punir d’être allée voir ailleurs d’autres matous.

Elle s’y prit avec une telle constance que par saccades successives de nouveaux jets blanchâtres lui aspergeaient le cou et le visage, sans que cela ne la fasse arrêter son action. Je dirai même, au contraire cela semblait lui donner plus de vigueur dans l’exercice. Quelle furie! Et je vivais avec depuis plus de 20 ans en en ayant les bénéfices que maintenant!

    -Stop., je veux faire une photo pour ma collection de chattes. Et en plus il faut que tu en laisses un peu pour ce soir et demain!

    -Pas de problème mon amour, mais, toi qui est un admirateur de Manara, tu devrais savoir que son héroïne du "déclic" a réussi à survivre pendant plusieurs jours après son naufrage en pompant ses deux compagnons d’infortune, et que s’ils en sont sortis en loque ils n’en sont pas morts. Scientifiquement, vos coucougnètes ont une grande capacité à renouveler ce qui nous intéresse, nous.

Ce faisant elle entra dans la salle de bain et en sortit 25 minutes après. La bête de sexe s’était transformée en belle femme BCBG. Qui pouvait penser que quelques instants auparavant cette femme si bien mise, à l’air si "convenable" était en train de masturber, d’aspirer, de baiser un homme comme une vraie professionnelle du sexe?

J’avais profité de ces quelques minutes d’interlude pour envoyer à Pierre les photos que j’avais prises en forêt avec le commentaire:

  « Un arrêt au bois sur la route (entretien d’embauche de soubrette, moi aussi!), puis une chatte en chaleur (c’est elle qui le dit). J’espère qu’elle t’en donnera autant. »

Nous descendîmes au restaurant. Sans que nous ne nous soyons présentés, le maître d’hôtel, nous conduisit à une table au fond de la salle. L’emplacement était très agréable et très intime. D’un côté nous avions une grande baie vitrée et de l’autre le mur qui prolongeait la cheminée. Bien que nous soyons en Mai, celle-ci était allumée. Ce qui renforçait encore cette atmosphère chaleureuse. Par la baie, malgré l’heure et la pénombre on pouvait encore distinguer au loin, les côtes et en contrebas les lumières de la ville.

Je commandai une coupe de Ruinart pour Marie et pris un whisky. Ils en avaient des excellents. Je neus pas besoin dutiliser la fiole que javais toujours avec moi, qui servait lorsque les whiskys proposés ne me convenaient pas. Quand Marie eut ouvert la carte, elle découvrit tous les personnages célèbres qui étaient passés dans la maison. Elle m’en fit la remarque.

Je lui dis:

  – Je t’en avais parlé. Maintenant ils pourront ajouter une page.

"Ici, est passée la Princesse Marie, reine des nuits érotiques parisiennes" en citant tous les exploits qui vont te rendre célèbre dans les prochaines années.

Le dîner fut parfait en tous points… Vers 22h30, il ne restait plus que nous en salle. Je décidai de demander au garçon de salle de bien vouloir rapprocher nos deux couverts afin que nous puissions rendre le dessert l’un à côté de l’autre. Après quelques minutes, comme Marie avait opté pour une jupe serrée, je lui glissai doucement à l’oreille de la relever discrètement. Rapide coup d’il vers la salle, personne! Elle releva sa jupe jusqu’à mi-cuisse. A peine l’eut-elle fait qu’elle sentit ma main remonter jusquà la plissure de sa cuisse. Elle me regarda. Fronça les sourcils. Je lui répondis.

    -Jésuite, tu ne savais pas pourquoi je te demandais de relever ta jupe, peut-être?

Le repas terminé, nous remontâmes très vite dans notre chambre. Je n’avais pas l’intention que nous nous endormions trop tard. Il fallait qu’elle soit en forme pour le lendemain. Pour être à la hauteur des attentes de Pierre..

A peine arrivés dans la chambre, elle me prit par la main, m’entraîna vers le lit et tout en me déshabillant.

  -Merci, mon homme! Je vis un rêve en ce moment. J’ai tout pour moi. Deux hommes qui me gâtent et me donnent du plaisir. Je suis dans un endroit fabuleux et chargé d’histoire….Que puis-je espérer de mieux?

    -D’autres hommes en plus à tes pieds!

    -Non, j’arriverai pas à les satisfaire!

    – Allons, avec la santé que tu m’as montrée tout à l’heure, je crois qu’il en faudrait pas mal pour te faire mettre les pouces.

    -Tais-toi, maintenant, tu parles trop! Maintenant, c’est moi qui commande, et tu obéis!

Et m’ayant poussé en arrière sur le lit. Elle se mit à me sucer puis me branler énergiquement. Après quoi, sans avoir enlevé ni sa jupe ni son string qu’elle ne fit qu’écarter légèrement, elle sassit au-dessus de moi sur mon membre et introduisit le client dans la boutique. Elle était tellement chaude que je sentis sa mouille couler sur mon ventre. Elle me baisa en me tenant les mains le long du corps, elle voulait que l’éjaculation qu’elle souhaitait voir venir, (malgré tout le plus tard possible) ne soit due qu’à sa seule action. Pour prolonger au maximum ces instants que je trouvais fabuleux, je n’avais qu’une chose à faire. Me consacrer entièrement à me retenir. Ce n’était pas insurmontable vu qu’elle m’avait déjà bien vidé depuis que nous étions partis. Je le faisais surtout parce que je voulais qu’elle ait un orgasme en même temps que je me lâcherais. C’est un plaisir hors du commun de jouir ensemble. Sentir, enveloppant son sexe les contractions que provoque l’orgasme de sa partenaire qui ne font que vous démultiplier votre propre jouissance. Et visiblement pour elle aussi.

Avec ses oscillations du tronc, ses mouvements des reins, ses va-et-vient langoureux puis rapides, les caresses de sa vulve sur le bout de mon gland quand elle le ressortait. D’où tenait-elle toute cette maîtrise? J’étais incapable de le dire. Mais à ce régime, on y arriva vite. Elle soufflait, poussait, geignait, s’exclamait, protestait même. Et ce fut un long miaulement. J’envoyai tout. S’en suivit soudain "une clameur, un cri de supplicié", comme le dit Pierre Perret de " La Corinne". Je n’eus que le temps de mettre ma main sur sa bouche pour atténuer le bruit. Je vérifiai cependant le lendemain, aux sourires du personnel lors de notre départ, que le chant n’était pas passé inaperçu

Après cette lutte, dont nous étions, tous les deux, sortis vainqueurs, nous nous écroulâmes sur le lit un long moment dans les bras l’un de l’autre. Nous étions encore tous les deux habillés, même si quelqu’un qui serait entré, à ce moment, n’aurait eu aucun doute sur ce qui venait de se passer.

Une fois déshabillés, je l’embrassai en commençant par les seins, les léchai, les suçai. Puis en passant rapidement sur le nombril, je m’attelai à faire "chanter la cigale" avec ma langue et mes doigts. (Comme on dit dans le midi.). Je commençai, tout en léchant le bouton par des petit coups le langue à lui aiguiser le renflement intérieur avec l’index et le majeur pendant que, mon pouce allait et venait par l’entrée des artistes.. Il n’y eut pas longtemps à attendre pour le concerto en ré majeur.

    -Non, arrête, j’en peux plus!!! Oui! Ah! Oui, c’est bon!

    -C’est qui la petite salope qui aime se faire tringler?….C’est qui ?

    -C’est moi! Ahahahaaaaaa!

    -C’est qui, qui a le cul en feu et qui pourrait, là, maintenant, accepter toutes les bites qui passeraient devant comme derrière?

    -C’est moi!

    -T’aime ça, hein, te faire ramoner la cheminée? Peu importe comment et par qui?

    -Non, pas n’importe qui!

Pendant tout ce temps ses paroles étaient entrecoupées de plaintes, de râles. Visiblement elle prenait des pieds en rafale. Et……

    -Vas-y prends-moi, viens! S’il te plait viens!

    -D’accord mais que l’arrière et c’est toi qui viens t’empaler comme tu as fait tout à l’heure mais cette fois avec ta rondelle.

Elle s’installa tranquillement en position, comme si elle était habituée à se faire prendre le cul, alors que 15 jours plus tôt elle aurait rechigné à ce que je lui touche l’orifice avec un doigt de manière un peu prolongée.

    -Bien, maintenant, l’objectif c’est qu’un jour prochain je puisse voir ton oignon dépasser la taille d’une pièce d’1 , puis ensuite de 2 .

  -T’es fou….

    -Non, si on s’y met régulièrement et à plusieurs. On est déjà deux sur le coup, il suffit de continuer dans cette voie!

Elle ne répondit pas. Je ne sais pas si c’était dû à sa circonspection face à mes paroles, ou si elle était trop préoccupée à me besogner. Toujours est-il qu’elle le faisait avec ardeur et visiblement en y éprouvant un plaisir qu’elle ne cherchait pas à dissimuler. Elle agitait son petit brun, le tournait autour de ma queue, le sortait, le rentrait tout en continuant à pousser des gémissements qui, suivant le moment pouvaient être, ou bien une suite de petits cris ou un tendre appel qui donnait l’impression qu’elle se pâmait. À d’autres moments on pouvait croire qu’elle psalmodiait, en prière devant le dieu sodomite.

Il faut reconnaître que ce qu’elle me faisait vivre m’arrachait aussi quelques sons peu gracieux.

Avec sa « dextérité » de la rosette, (si je peux dire) et sa constance dans l’effort, et alors que j’avais déjà bien donné de ma personne à la science, elle finit par me faire sortir encore une bonne quantité de foutre qui améliora la lubrification de ses bases arrières.

Je ne savais pas où mes burnes pouvaient aller chercher tout ça en si peu de temps. Elle devait avoir raison, les mâles étaient peut-être faits pour en fabriquer à la demande de la première qui savait le leur bien tirer.

    -Pousse! Je joue plus, j’aurais dû contacter Pierre avant pour qu’il vienne un peu me relayer. Maintenant, on va faire un gros dodo, pour être en forme demain. N’est-ce pas Madame? Parce que je suppose que tu vas encore en vouloir, puisque le vrai jour de ton anniversaire, c’est demain.

    -On verra, ça dépendra de comment tu es gentil, mon chéri! Peut-être que je serai plus sérieuse, ou alors une obsédée sexuelle déchaînée! Bonne nuit mon petit braquemard adoré!

Elle se pencha sur mon vit et l’embrassa puis se blottit dans mes bras. Nous ne nous étions même pas nettoyés. Elle s’endormit presque immédiatement. Il était 1h30. Et moi qui voulais mettre fin aux amusements de bonne heure. Décidément, Pierre avait fait un super boulot en si peu de temps. Il méritait bien d’avoir le lendemain sa part de notre salope.

Le lendemain matin, je me réveillai vers 8h30. J’avais demandé le petit déjeuner dans la chambre pour 9 heures. Marie dormait encore à poings fermés. J’en profitai pour passer à la salle de bain. J’eus le temps de me remettre à neuf, et décidai de m’habiller pour éviter de me faire encore violer.

On frappa. Je fis porter le plateau sur le lit, à coté de Marie. C’était somptueux. Le garçon sortit.

    – Ah! Mon homme, je t’aime! On déjeune, et je te fais une gâterie. Mais tu es déjà habillé?

    -Oui, ma chérie, vue l’heure, en comptant ton temps de toilette et de maquillage, il faut bien qu’il nous reste un peu une certaine latitude pour se promener sur la plage, avant de dîner. J’aurais aimé aller en direction d’Étretat, et ça fait une petite trotte! Et avant faire un petit tour en ville.

Même en passant par le pont de Normandie on en a pour une petite heure, et il faut régler la note avant.

Elle se pressa pour déjeuner, puis pour se préparer.

A la sortie de chambre avec bagages, il était plus de 10 heures.

Quand nous arrivâmes pour payer, le réceptionniste nous dit:

    -C’est réglé Monsieur, c’était convenu avec Mr Albert, qui a dit que c’était pour vous remercier de tout ce que vous aviez fait pour lui et de tout ce que vous lui aviez dit que vous alliez faire….

Et il enchaîna:

    -Il y a un Monsieur qui attend Mr et Mme dans le petit salon du bar. Il y a pris son petit déjeuner et a dit de ne pas vous déranger, qu’il vous y attendait.

Je vis Marie complètement interloquée.

Quand nous nous fûmes éloignés de l’entrée, elle m’arrêta.

  -C’est quoi cette histoire avec Albert?

Comment savait-il qu’on étaient ici?

Pourquoi il nous paye ça pour te remercier?

Et c’est quoi ce type?

Je cherchai vite ce que je pouvais dire. Albert me le paierait. Et pour le type, je compris tout de suite qu’il s’agissait de Pierre.

  – Pour Albert, c’est facile! Il y a 1 mois, il m’a raconté une de ses escapades coquines. Tu sais, c’est un grand libertin. Il avait dragué une super nana. Pour lui faire le grand jeu, il l’avait emmené en weekend ici.

Tu sais qu’il est expert-comptable. Ce sont des clients à lui. Il était dans mon bureau pour une affaire que j’ai résolue pour lui. Et m’a dit:

    -Regarde sur internet la" Ferme St Siméon"! Et si tu veux y emmener une conquête présente-toi de ma part, tu ne pourras qu’être bien accueilli. Dans la semaine qui a suivi, j’ai cherché où j’allais t’emmener pour notre voyage de noces annuel, je me suis souvenu de ce qu’il m’avait dit. J’ai regardé leur site et je me suis tout de suite dit qu’Albert avait raison, qu’il fallait que j’y emmène ma dernière conquête. J’ai d’abord appelé sans me recommander de sa part mais l’on m’a dit que c’était complet pour le Samedi 20 Mai. Mais quand, après, j’ai dit que je les avais appelé de la part d’Albert. La fille à la réception m’a dit qu’elle en parlerait au patron et elle m’a demandé mon numéro de téléphone. Le lendemain, le patron ma rappelé, en me disant : « C’est réglé, Mr, je vous ai réservé une chambre luxe pour le 20 c’est bien ça? Nous avons eu une défection. Désolé, nous ne pouvons pas vous mettre dans une suite.

J’ai su, après, lorsque j’ai rappelé pour les fleurs qu’ils avaient eu Albert au téléphone. Je ne sais pas comment il s’est débrouillé ni ce qu’il leur a dit pour nous faire libérer une chambre et je savais encore moins qu’il ne voulait pas qu’on paye.

Pour le type qui attend, je ne sais pas. Quel coup Albert a-t-il encore inventé? Au fait, je ne vais quand même pas lui faire payer les roses. Et en plus je voulais les ramener. Attends-moi là je retourne?

J’exigeai la note du fleuriste et demandai que rapidement on me prépare un bouquet qui pourrait tenir jusqu’à Paris et jusqu au soir.

Quand je revins dans la salle, je vis Marie défaite, le visage blême.

  – Je viens de regarder par l’entrebâillement de la porte. Tu sais qui est là? Non, c’est pas possible, t’as pas fait ça?

  -Quoi, de quoi tu parles? Explique! Je ne comprends rien!

  -Pierre!

Le nom claqua, mais non pas comme un bonheur, mais comme un signal d’alarme.

  -Comment savait-il qu’on étaient là? Qui lui a dit?

Elle ne savait pas quoi penser. Et moi, je me demandai aussi comment il avait fait pour nous trouver et pourquoi, il ne nous attendait pas dans Honfleur comme on avait prévu.

  -Mais moi, je ne l’ai pas vu depuis plusieurs années!

  -Moi, je lui ai seulement dit que tu m’emmenais à Honfleur pour mon anniversaire, pour expliquer pourquoi, après l’avoir sollicité, j’annulai notre rendez-vous du samedi.

  -Ah! Voilà, la fautive.

    -Mais je ne lui ai pas donné le nom de l’hôtel ! Je ne le connaissais même pas ! Comment a-t-il fait et pourquoi il est là?

    -Ecoute, au lieu de se perdre en conjecture, le mieux c’est quand même de le lui demander…On ne peut pas l’ignorer. Il est là.

Elle entra la première dans le salon, se dirigea vers Pierre, hésita un petit moment, avant de l’embrasser devant moi.

    – Je ne te présente pas mon mari, tu connais.

Et, accompagné d’un air réprobateur.

    -Qu’est-ce que tu fais là?

    -Bonjour, René, comment tu vas, depuis le temps?

C’est moi qu’il regardait. Visiblement, il avait décidé de ne fournir qu’à moi seul ses explications.

    -René, je sais que tu es au courant que je couche avec Marie, et que tu n’en prends pas ombrage. Merci, d’abord. Cest surprenant, mais une grande preuve damour pour ta femme, et pour son plaisir. Je n’ai pas l’intention de foutre la merde dans votre ménage. J’aime faire l’amour avec elle et je crois que c’est réciproque.

Je l’aime aussi. Pas comme toi, autrement. Mais je l’aime.

J’avais décidé de le laisser parler, sans l’interrompre et de scruter comment Marie réagissait à son discours. Elle nous regardait alternativement. Je pense que dans un premier temps elle souhaitait que j’intervienne.

    – J’en viens à ma présence ici. Comme Marie, m’avait dit que tu l’emmenais ici.

    – Je ne t’ai pas dit ici, mais seulement à Honfleur!

    -Oui, mais ma chérie, comme tu m’as dit que ton mari ne faisait jamais les choses à moitié, j’étais sûr que vous étiez dans un des hôtels classe du coin, j’ai regardé sur internet et j’en ai vu 3. Je me suis dit que j’allais appeler chacun pour savoir dans lequel, vous étiez, en disant que j’avais une surprise à te faire pour ton anniversaire. J’ai commencé par ici et Bingo. C’était le bon.

Marie tourna la tête vers moi, l’air penaude….

    -Maintenant que j’ai répondu à Marie. René, je finis de t’expliquer. Marie et moi, nous devions nous voir hier soir. Peut-être t’en a-t-elle parlé. Quand, elle m’a appelé pour annuler. Elle m’a dit que c’était son anniversaire. Elle ne m’en avait pas parlé avant. Je l’ai disputée. Et je lui ai dit que comme elle ne m’en avait pas parlé avant, je ne pourrais pas lui fêter, en temps utile, que je trouverais bien un moyen de le faire quand même.

J’ai acheté un cadeau, et après mure réflexion, comme je savais où vous étiez, je me suis dit que le mieux serait de l’apporter aujourd’hui et de m’en aller, en vous laissant finir votre weekend en amoureux.

Le visage de Marie n’était plus figé. Elle était plutôt perplexe, elle me fixait en se demandant comment j’allais réagir.

    -Bon, raisonnons! On aime, tous les deux, Marie.

Ça c’est pas un problème pour moi, tu viens de me dire que pour toi non plus. Et pour elle, ça ne devrait pas en être un non plus puisqu’elle est gagnante des 2 côtés. Si je peux dire. Ensuite, elle a un mari qui l’emmène dans un super manoir, lui offre de beaux cadeaux …N’est-ce pas ma chérie.

    -Oh, Ouih, en exhibant ses perles.

Elle commençait à se détendre voyant que je ne le prenais pas mal

    -Un amant qui se lève aux aurores et qui fait des heures de voitures dans les embouteillages pour lui apporter un cadeau, juste à temps pour son anniversaire. Là encore de quoi pourrait-elle se plaindre, si, moi, je n’en prends pas ombrage?

Bien, alors, va-t-on maintenant laisser cet homme valeureux, qui a fait de telles recherches pour te trouver et bravé tous les éléments déchaînés pour livrer son colis, repartir comme ça?

Marie était maintenant rassurée du tour que prenaient les événements. Elle laissait paraître un léger sourire qui manifestait à la fois un soulagement et la satisfaction que ses deux galants se parlent et qu’elle soit l’objet de leur préoccupation.

  – Non, on peut l’inviter à boire un verre en ville!

  -C’est tout? Mais ma chérie, te rends- tu compte que tu traites tes deux hommes avec une profonde inégalité. Certes, moi, j’ai signé chez le maire pour t’avoir. C’est moi qui t’ai offert ce weekend….dailleurs pas tout à fait que moi….

Je crois avoir reçu hier soir et cette nuit tout ce que je pouvais espérer et même plus en remerciements. N’est-ce pas?

Marie baissa la tête puis la releva rapidement, me regarda, regarda Pierre et moi de nouveau.

Je pense qu’elle commençait à discerner que j’avais une petite idée derrière la tête qui la concernait.

    -Oui, elle m’a tout donné plusieurs fois. Je dois te remercier Pierre, en amour, tu lui as fait faire une évolution dont je n’ai qu’à me satisfaire.

Maintenant, elle souriait carrément, fière d’elle comme un gamin qui vient de recevoir le premier prix de conduite sous la 3ème République.

Et m’adressant à Pierre.

    – Donc, il ne serait pas normal que pour son anniversaire, je ne te remercie pas, et elle non plus! Comment résoudre le problème? Je ne vois qu’une solution. Elle m’a offert son samedi et sa nuit de Samedi à Dimanche, il serait juste que vous ayez le reste du weekend rien que pour vous deux; et en plus ça lui permettrait d’ouvrir son cadeau en ta présence, car vu l’emballage je crois avoir deviné de quoi il s’agit.

Bien sûr, si d’abord tu peux ne rentrer sur Paris que dans la soirée et que tu es d’accord et elle aussi.

  -Qu’en penses-tu chérie?

Comme depuis le début de l’échange, nous nous adressions l’un à l’autre, Marie fut surprise que je l’interroge en premier et sur le coup, ne trouva à répondre que:

    -Mais tu ne devais pas m’emmener faire une ballade sur la plage d’Etretat?

Pierre intervint immédiatement.

    -Mais si c’est ton seul problème, je t’y emmène, moi, à Étretat. Et comme je suis un lointain descendant d’Arsène Lupin, je te ferai l’amour dans la chambre de l’Aiguille Creuse comme un gentleman du début du XXème siècle et en plus sur des peaux de bêtes….

Il se passa un petit moment. Puis :

    -C’est toi qui le propose, chérie, t’es sûr que ça ne te pose aucun problème? Alors tu me pardonnes d’avoir sans le faire exprès donner notre lieu de voyage à Pierre.

  -Bien sûr que non, ma petite salope! Mais comme tu as encore fait une bêtise, après le weekend tu auras une autre punition. Ce ne sera pas comme celle d’hier, mais je trouverai bien.

    -Tu l’as punie? Quest-ce que tu lui as fait faire cette fois ? Parce qu’elle m’a raconté le coup des camions sur l’autoroute?

    – Non, je ne te dis rien, vous gardez le sac de voyage. Moi, je rentre à Paris. Si elle veut te le dire tu verras , l’objet du délit est dedans.

Et regardant Marie.

    -Dis-le moi, toi !

    – Il m’a fait habiller en soubrette coquine, dans la voiture pour venir.

    -C’est tout? C’est pas bien méchant? Et il t’a fait passer un entretien d’embauche comme moi Lundi à mon bureau?

    Après un moment de surprise, je vis Marie pâlir. Me regarder. Elle cherchait quoi dire et ne savait pas comment s’en sortir.

— Un entretien à ton bureau ? Tiens, encore une nouvelle cachotterie! Il faudra m’expliquer ça demain!

— Mais pour l’instant ce n’est pas ça qui compte. Là, il faut être très gentille avec le Mr si tu veux garder ta place, sinon, c’est le licenciement.

Elle me regarda de nouveau, interrogative, se jeta à mon cou pour m’embrasser avec fougue, comme une petite fille qui se jetterait au cou de son papa pour se faire pardonner de sa dernière bêtise.

Elle me murmura à l’oreille:

    -Je taime, je te dirai tout, tout, tout. Tu es un super mari Essaie de ne pas trop t’ennuyer sans moi. Essaie de ne pas trop penser que je suis dans les bras d’un autre….

    -Pierre tu vas me donner ton numéro de portable. Je t’appelle demain pour savoir si elle t’a bien obéi, la coquine. Et toi, tu me fais demain dans la journée, un compte-rendu écrit, détaillé de toutes tes frasques du Dimanche.

…..Pierre, pourquoi, tu l’emmènerais pas en club quelque part ce soir. Ça permettrait de parfaire son éducation.

….. Tiens, ma chérie, je sais que tu as besoin d’être un peu pompette (souviens-toi le Mexique) pour affronter de nouvelles expériences lunaires.

Javais lancé la suggestion. Aucune réaction.

Et je lui tendis, la fiole de whisky que j’avais toujours dans ma poche. Nous sortîmes de l’hôtel, je pris les fleurs au passage en lui disant.

    -Faute de femme, je ramène d’autres fleurs à la maison.

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