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Comment je suis devenue femme – Chapitre 1




Je m’appelle Sandrine, j’ai 28 ans. Sandrine est un prénom qui fait plutôt penser à une femme de 40 ans. C’est peut-être pour ça que j’ai toujours été un peu « vieux jeu ».

J’ai passé mon adolescence dans un petit village de la campagne nantaise, où j’ai rencontré très jeune celui qui est devenu mon mari. J’ai vécu 10 ans de relatif bonheur, de 16 à 26 ans, avec lui. Une découverte du sexe en douceur, mais qui devint très vite répétitif et ennuyant.

Quand mes amies me racontaient leurs plans cul d’un soir, leurs découvertes de la sodomie, leurs orgasmes ; je me sentais diminuée. Mon mari ne me faisait que rarement jouir, et jamais il ne me faisait l’amour autrement que dans la bonne vieille position du missionnaire. Plus le temps passait, moins je me sentais désirée. Du coup, je me laissais aller: plus de maquillage, et chaque jour, je portais le même uniforme jean baskets.

Je sombrais petit à petit dans ma dépression jusqu’à ce jour incroyable de juin. Il faisait très chaud, j’étais en voiture sur l’autoroute vers Paris, seule. Je portais ma robe préférée, une robe légère, fermée par une série de boutons à l’avant et serrée à la taille par une ceinture nouée. Je faisais souvent ce trajet, et j’avais mes habitudes: une pause avant d’attaquer le périphérique parisien était une mes routines. Mais ce jour-là, j’étais perdue dans mes pensées. Aussi, j’oubliai de m’arrêter à la dernière aire d’autoroute « bien équipée » avant Paris. Par « bien équipée », je veux dire avec des toilettes propres, des machines à café et un snack où je pouvais m’acheter un cookie.

Je m’arrêtai donc à l’aire suivante, une aire de très basse fréquentation malgré la proximité de la capitale. Il n’y avait qu’un bloc de sanitaires au milieu d’une étendue herbeuse. Adieu donc, le café et le cookie réconfortant ! Lorsque j’entrai dans ces sanitaires, il y avait déjà un homme. A priori, il devait être commercial, à en juger par son costume malgré la chaleur. Le genre d’homme habitué à faire des kilomètres sur les autoroutes. Cet homme était plutôt propre sur lui, aussi, je ne m’en inquiétais pas. Une fois sortie des toilettes, je m’approchais du lavabo pour me laver les mains.

C’est à ce moment que je sentis une main glisser le long de mon dos et se poser sur mes fesses.

— Très belles fesses… me chuchota l’homme à l’oreille.

Je ne sais toujours pas m’expliquer pourquoi, mais je ne me suis pas retournée pour lui mettre une claque. Non, à la place, je n’ai pas bougé et j’ai simplement répondu « Merci ».

L’homme prit cela comme un encouragement. Il remonta jusqu’à mes seins qu’il prit à pleines mains. Il se colla aussi à moi. C’est à ce moment que je levai les yeux vers le miroir: j’étais en sandwich entre le lavabo et cet inconnu et il me pelotait les seins délicatement. Cette image de moi me fit frémir de plaisir. J’en eus honte et baisser immédiatement les yeux en rougissant.

— Ça te plaît d’être comme ça, je le vois bien. Il ne faut pas avoir honte. me glissa l’homme à l’oreille.

Je croisai alors pour la première fois son regard. Il avait les yeux perçants et je sus à cet instant que j’allais tout accepter de lui.

Il dut le comprendre car il se mit à déboutonner ma robe. Je fermai aussitôt les yeux et laissai ma tête glisser en arrière sur son épaule en signe d’abandon total. Une fois qu’il avait ouvert ma robe jusqu’au nombril, il commença à me donner des ordres:

— Retourne-toi et enlève ton soutien-gorge. Je m’exécutai immédiatement, comme une petite fille sage.

— Tripote tes seins, je veux que tu les fasses pointer pour moi.

Pendant que je me pinçais doucement la pointe des seins, il enleva sa veste, et baissa son pantalon.

— Tu vois, je veux que tu me fasses bander. Alors applique-toi un peu !

Je pris mes seins à pleines mains et les maltraitai un peu plus.

— Voilà c’est pas mal ça ! M’encouragea-t-il, enlève ta robe complètement maintenant.

Là encore, j’obéis instantanément. Je sentais que ma chatte devenait humide.

Il enleva son caleçon, son sexe commençait à bander, je savais que c’était grâce à moi, et ça me rendit fière. Un sourire se dessina sur mes lèvres.

— Haha tu aimes voir ma bite hein ! Petite cochonne, viens la mettre dans ta bouche.

Je me mis à genoux et je pris cette bite inconnue. C’était la première fois que j’allais sucer une autre queue que celle de mon mari ! Cette idée m’excita beaucoup. Je fis de mon mieux pour sucer: des coups de langue autour du gland, des va-et-vient en variant la pression de mes lèvres. Mais apparemment, ça ne lui a pas suffi. Il prit ma tête à deux mains et commença à bouger son bassin. Il allait et venait dans ma bouche sans aucune douceur, il se servait de moi. Cette pensée m’excita énormément. Je fis de mon mieux pour ouvrir grand, qu’il puisse aller bien profond, qu’il puisse se faire bien plaisir. C’était dur, sa bite tapait le fond de ma bouche, j’avais les larmes aux yeux et je bavais. Mais lorsque je levai les yeux et que je voyais à quel point il prenait du plaisir, j’oubliai mes douleurs et je sentais ma chatte se gonfler de plaisir.

Après plusieurs minutes à me baiser ainsi la bouche, il me releva, me retourna. J’étais au-dessus du lavabo, baissée devant lui, mon cul offert. Il baissa ma culotte sauvagement et glissa une main entre mes cuisses.

— Tu mouilles bien, ça t’excite comme ça de me servir de vide couilles ?

— Oui ça m’excite que vous vous serviez de moi comme ça.

— C’est bien, tu es une bonne salope qui mérite d’être bien baisée.

Sur ces mots, il m’envoya une claque énorme sur les fesses:

— Ecarte tes jambes mieux que ça !

Je m’exécutai aussitôt. Pour me remercier, il me donna une série de fessées. Je gémis de douleur mais la chaleur de ses claques me faisait mouiller encore davantage.

A ce moment-là, un autre homme entra dans le bloc de sanitaire. Je me figeai de honte et de peur. Mais mon bourreau, lui, ne s’arrêta pas pour autant et me remit une volée de fessées devant l’homme. Je me mis à pleurer, de douleur mais aussi de honte. C’est alors que mon commercial se pencha tendrement sur moi:

— Ne t’inquiète pas comme ça ! Cet homme est ravi du spectacle que tu lui offres, n’est-ce pas Monsieur ?

— Oui effectivement, si vous êtes d’accord, je resterai bien regarder

— Avec grand plaisir !

Ils s’étaient mis d’accord sans même me poser la question. Je n’étais qu’une poupée.

Deux doigts du commercial pénétrèrent ma chatte brusquement, ce qui eut pour effet de couper net mes pensées. Il tournait ces doigts dans ma chatte, les sortait, les remettait. Le plaisir monta doucement, comme une chaleur qui m’enveloppait. L’autre homme était toujours à côté, je voyais que son pantalon de jogging caché mal une érection. J’étais en train de faire bander deux hommes ! J’étais honorée. J’ouvris donc les jambes un peu plus grand et me cambrai un peu plus. Le commercial comprit mon message et enfonça sa grande bite d’un coup dans ma chatte gonflée de désir. Mon visage s’illumina de plaisir et je ne pus m’empêcher de soupirer d’aise.

— Ça fait du bien n’est-ce pas, une bonne bite ? me demanda le nouvel arrivé. J’ouvris les yeux et je vis dans le miroir qu’il avait sorti sa queue pour se branler. Je lui répondis par un hochement de tête et un sourire.

Le commercial était en train de me limer la chatte bien fort. Enfin je me faisais baiser ! Plus de missionnaire à l’eau de rose ! Il m’avait pris par les cheveux et il me démontait ! Quel bonheur ! Je me sentais à sa merci. Je n’étais plus qu’une chatte, un trou pour qu’il prenne son plaisir. Il me remit deux claques sur les fesses, ce qui me fit l’effet d’une bombe: je jouis bruyamment. Et le commercial se retira de ma chatte aussitôt après m’avoir fait jouir comme jamais je n’avais joui.

— Ecoute comme elle jouit fort cette pute ! Maintenant c’est à nous de bien jouir sur sa petite gueule

Instinctivement, je me mis à genoux et me remis à me tripoter les seins. J’avais la chatte en feu, mais j’étais sur un petit nuage. Je voyais les deux bites à quelques centimètres de mon visage. Ils jouirent l’un après l’autre, me recouvrant les seins de sperme blanc. Le commercial essuya sa bite sur mon visage.

— Très heureux d’avoir pu te baiser me dit-il.

Il se rhabilla en 30 secondes et sortit des sanitaires. L’autre homme aussi avait disparu. Ils m’avaient laissée par terre, les seins et le visage plein de sperme. Mais j’étais heureuse, tellement heureuse.

Je sortis des sanitaires, après m’être essuyée avec les moyens du bord. Je marchais tranquillement vers ma voiture, le cur léger. Depuis longtemps, je ne m’étais pas sentie femme comme ça. J’avais envie de recommencer.

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