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ARIANE – Chapitre 1




I – le parking

AVERTISSEMENT: L’histoire qui suit n’est que pur fantasme. Ceci n’est jamais arrivé. Toute ressemblance avec un fait réel ou une histoire similaire ne serait que pure coïncidence.

    . . . . . . .

    Je sortais de l’ascenseur et j’allais me diriger vers la place de stationnement où se trouvait mon véhicule: quand j’ai perçu un petit bruit venant de la gauche. Je n’y fis pas attention car de nombreuses personnes allaient et venaient en permanence dans ce sous-sol d’immeuble, soit pour se garer ou pour récupérer une voiture, soit, simplement, pour accéder rapidement au boulevard situé derrière l’immeuble ou j’habitais avec mon copain Eric. On vivait ensemble depuis cinq ans, dans un petit appartement, au 6ème étage, et j’avais pris l’habitude de l’appeler parfois "Mon mari".

    J’arpentai donc le parking pour rejoindre ma voiture, sans me soucier des autres. En fait, à cette heure, j’étais seule dans le parking, aucune activité à l’approche des quinze heures, surtout par cette chaleur. La plupart des gens étaient au travail, les autres, alanguis par la chaleur, devaient se reposer sur leurs terrasses, à l’ombre. D’ailleurs, dehors, la circulation semblait tourner au ralenti.

C’est quand j’ai mis la main sur la poignée de la portière que j’ai senti quelqu’un dans mon dos. Je n’ai pas eu le temps de me retourner, une main s’est plaquée sur ma bouche et j’ai été empoignée à bras le corps, littéralement soulevée de terre. Une panique incroyable s’est emparée de moi. J’avais les jambes dans le vide, un bras autour de mon ventre me serrait très fort, au point de m’étouffer. Paniquée, sans pouvoir crier, j’ai été jetée comme une plume sur le capot de ma voiture. Avant que j’aie pu me rétablir, un homme fondait sur moi, plaquant à nouveau sa main sur ma bouche. Une lame brillait dans sa main droite, il me la plaça aussitôt sur la gorge. J’ai bien cru ma dernière heure arrivée. L’inconnu m’ordonna de me taire, de ne pas crier, de ne pas me débattre et de ne pas essayer de fuir. Terrorisée, comprenant immédiatement ce qui se passait, je fis oui de la tête et des yeux. Mon cerveau travaillait à cent à l’heure malgré la panique. Je compris tout de suite que j’avais tout intérêt à obéir. Doucement, l’homme retira sa main de sur ma bouche, mais laissa sa lame sur ma gorge. Plaquée sur le dos, jupe retroussée à mi cuisses, l’homme s’était placé tout de suite entre mes jambes. Je sentis sa main passer sur mes seins. Tétanisée, je ne bougeai pas. La main se referma sur mon sein et l’homme entama un pelotage en règle. Je savais déjà ce qui allait se passer, j’en étais consciente. Je ne pouvais rien faire pour y échapper, seulement prier que quelqu’un arrive dans le parking. La lame glacée sur ma gorge me dissuadait de toute tentative pour me libérer et je sus que j’allais y passer, je me préparai mentalement à la suite des événements, afin de ne pas paniquer. Il fallait absolument que je garde mon calme, que je le laisse faire ce qu’il avait envie, pour ne pas l’énerver, pour ne pas lui faire perdre son calme. La meilleure chose à faire, en attendant un miracle, c’était de rester calme, le plus possible.

L’homme me pelotait rudement les seins mais je ne bougeai pas, son regard d’acier me glaçait le sang. Un rictus ironique se dessinait sur le coin de sa bouche. Me voyant mâtée, sa lame quitta ma gorge avec soulagement et se déplaça entre ma poitrine. Un petit craquement, puis un second, et un autre encore. Je sentis mon chemisier s’ouvrir. L’homme venait de faire sauter les boutons avec son couteau et me déshabillait. Je gardai mon calme le plus possible, pour l’instant, il n’était pas violent et il valait mieux qu’il reste ainsi. Je sentis le froid de la lame entre mes seins et aussitôt le petit craquement sec de la lame sectionnant mon soutien gorge. Il ne me tenait plus, il s’était légèrement redressé mais était toujours entre mes jambes. Sans un mot, il me montra sa lame, la faisant briller au dessus de mes yeux, me faisant comprendre sa détermination. Sagement, je fis oui de la tête, battant des paupières, le message était clair et je n’avais pas l’intention de le contrarier, je voulais vivre, vivre à tout prix. Cela eut pour effet de le rassurer, un petit sourire se dessina au coin de ses lèvres.

A nouveau, du bout de sa lame, l’homme entreprit d’écarter mon soutien gorge sectionné, libérant mes seins. Ma poitrine ronde et ferme, aux pointes brune et aux aréoles larges, était à sa merci. En me faisant cette réflexion, je sentis mes tétons durcir, sans que je comprenne pourquoi.

L’homme promena sa main sur mes seins, les pelotant l’un après l’autre, faisant rouler mes tétons dans ses doigts. Ses yeux restaient plantés dans les miens et son regard d’acier ne variait pas. Sans le vouloir, sans désir, je bandais des seins et il s’en apercevait forcément. Je soufflais à présent, autant par peur que sous l’émotion de sentir ces mains étrangères sur mes seins. Étrangement, je retrouvais les mêmes sensations, les mêmes émotions, que lorsque mon copain me faisait peloter par l’un de ses amis, dans notre appartement, allongée sur la banquette. Malgré la peur, je sentais mon corps réagir, probablement par habitude, l’habitude de m’offrir à d’autres.

Constatant que je restais calme, que je n’offrais aucune résistance et que je n’avais aucune intention de tenter quelque chose contre son projet, l’homme se recula un peu, baissa les yeux à hauteur de mes cuisses. Sa main attrapa le bas de ma jupe et la releva sur mon ventre. Il se saisit de ma culotte à pleine main et l’arracha en tirant d’un coup sec. Je ne bronchai pas, sachant que cela était inutile et ne contribuerait qu’à le rendre violent. Je n’avais pas l’intention de résister. Cet homme allait probablement me violer, mais je n’avais aucun moyen de m’y opposer, dans ces conditions, le mieux était de se laisser faire pour subir le moins possible. Eric me faisait souvent faire l’amour, avec différents partenaires, et pour me calmer, je tentai de me persuader qu’il s’agissait d’un nouveau partenaire, un nouveau jeu avec mon copain.

L’homme jeta ma culotte par terre et porta son regard entre mes cuisses un instant. Il s’était calmé et semblait sur de lui à présent. En contemplant mon sexe épilé, il ne semblait même pas pressé d’en finir. Sa main se posa sur moi et je sentis ses doigts prendre possession de ma chatte. Je fus parcourue de frissons en sentant un doigt s’insinuer entre les lèvres de mon sexe et j’écartai machinalement les jambes. Ce geste parut le satisfaire, au rictus aperçu sur ses lèvres. Pourtant, je n’avais que très légèrement écarté ma jambe droite, par pur réflexe en sentant son doigt glisser entre mes lèvres. Un geste automatique destiné uniquement à dégager mes lèvres sous ses doigts, mais il dut prendre cela pour une attitude volontaire. En tout cas, cela contribua à le détendre car je sentis un changement dan son attitude. Alors qu’il n’avait pas desserré les dents, il s’adressa à moi.

— Hum je vois tu la veux romantique hein? Ok, ma mignonne, on va faire çà en douceur. Bouge pas surtout laisse toi faire comme çà!!!

— Huummmpppffff!!!! Heennn!

Mon drôle de râle accompagna un souffle profond, conséquence d’un attouchement en profondeur. L’inconnu plongeait deux doigts dans mon ventre. Mon sexe était pénétré et mon ventre fouillé par l’individu. Il faisait aller et venir ses doigts dans mon vagin, plongeant au fond, puis glissant lentement sur les parois vaginales en les faisant tourner. Il n’était pas violent, presque doux, et je préférais cela à tout autre chose. De toute façon, il allait me prendre, me posséder sur le capot de ma voiture, alors, autant que cela se passe bien, et vite de préférence. Cette fois, je repliai ma jambe droite, posant le talon sur le pare choc, en écartant les cuisses plus largement. En une seconde, il retira ses doigts et se déboutonna. Son sexe apparut. L’homme bandait déjà furieusement. Une verge longue et raide apparut à mes yeux, pointant dans ma direction, comme pour indiquer le chemin à prendre: celui de mon sexe. Il allait me l’enfiler, il allait me défoncer dans le parking et s’approprier mon corps.

Curieusement, au lieu de venir tout de suite sur moi, il posa une question qui me surprit et raviva quelque peu mes frayeurs:

— Tu préfères que je t’enfile d’abord ou t’as envie de te faire enculer?

Je ne pus rien répondre. De toute façon, il disposait de moi, à son bon vouloir, alors pourquoi me demandait-il ce que je désirais. Moi, je ne désirais rien d’autre que d’être libérée, relâchée. Que je puisse rentrer chez moi. Hélas!

Pour donner le change, et sans répondre à sa question, mon attitude lui donna une indication. Bien m’en pris! Je repliai ma jambe gauche comme je l’avais fait avec la droite et calai mon talon dans le pare-chocs. Dans cette position de "la grenouille", j’offrais complètement mon intimité, cuisses largement écartées. Je transpirais, la sueur dégoulinait entre mes seins. L’individu parut content de mon attitude:

— Très bien. Toi, t’as envie de te faire enfiler, hein? Si tu me l’avais dit tout de suite, j’aurais pas eu besoin de sortir mon couteau! Allez ma belle je vais pas te faire attendre écarte. T’as une belle chatte tu sais, et çà mouille bien là dedans! T’as l’habitude de te faire sauter toi, hein!?

Il se coucha sur moi et guida son sexe entre mes cuisses avec sa main. Je sentis le gland, dur et chaud, glisser entre mes lèvres pour se loger à l’entrée de ma chatte. L’homme me fixa droit dans les yeux; J’affrontai son regard à mon tour. A cet instant, il plongea en moi, propulsant une queue raide et dure au fond de mon ventre.

— Heeeennnn! Ummmppfff!

Çà me ramonait l’intérieur, çà remuait dans ma chatte, forçant mon ventre, plongeant tout au fond, et çà me faisait perdre tous mes moyens. La bite semblait gigantesque, tellement il poussait fort. Il me travailla sauvagement, rageusement, profondément, longtemps. Je sentais ses coups de boutoir tout au fond de moi; Et chaque fois, j’avais l’impression qu’il allait me faire traverser le capot de ma voiture. Puis l’incroyable se produisit. Quelque chose de puissant se déclencha dans mon ventre. Je commençai à haleter bruyamment, à onduler du ventre. Il me pelotait les seins en même temps qu’il me baisait, et je partais sans pouvoir m’y soustraire. J’étais en train de jouir sous les assauts d’un violeur! Inimaginable!

S’en apercevant, il augmenta la cadence, me limant de plus en plus rapidement, me défonçant littéralement. A cet instant, je sus qu’il irait au bout, qu’il ne se retirerait pas. A part quelques exceptions "intimes", j’utilisais toujours des capotes lors de nos rapports, mais là, il ne m’avait pas laissé le choix, il allait se répandre en moi et j’en étais consciente. Malgré cela, je soufflais de plus en plus fort. Ma tête, à présent, roulait de droite à gauche et j’avais même attrapé ses hanches, accompagnant les mouvements en moi. Une onde me parcourut soudain, ravageant mon ventre.

— Hhuuuaaaahhh! Noooonnnn! Oôôôôôô!!!

Je criai et nouai mes jambes derrière son dos. L’homme se planta au fond de mon vagin, le sexe raidi pris de soubresauts. L’instant d’après, la première giclée me perforait le fond de la chatte. Il éjaculait en moi et je ressentais comme une lance au fond de mon ventre. Je criai à nouveau:

— Ouuaahhhh!! Putain! C’est fort !!! Ouaiiis!

Il finit de décharger en criant à son tour, me traitant de salope et de traînée, plongeant rageusement sa queue tout au fond. Puis, lentement, la verge sortit doucement de mon ventre. Je la sentais décroître et glisser hors de moi. Tournant la tête sur le côté, je vis deux personnes entre les voitures, à seulement une dizaine de mètres, un jeune couple. Aucun n’avait bougé et ils semblaient nous contempler avec ardeur. Je réalisai que nous avions eu des spectateurs, la question c’était : "depuis combien de temps". Avaient ils tout vu? Je ne crois pas car ils ne seraient pas restés, auraient probablement appelé des secours.

Je détachai mes jambes et mon violeur me regarda en se rajustant, toujours allongée cuisses écartées sur le capot de la voiture.

— T’es une chaude toi, hein? T’aurais du le dire, je t’aurais fait reluire autrement que çà!

— Salaud!

— Quoi? T’as pris ton pied, non? Pas vrai? T’as pas pris ton pied? Je t’ai vue jouir, comme une salope! T’aimes çà, hein?

— C’est du viol! Je ne voulais pas. Vous m’avez forcée!

— Je t’ai forcée? Je n’en ai pas eu l’impression moi! C’est pas moi qui ai noué tes jambes dans mon dos et c’est pas moi qui t’ai obligée à crier ton plaisir. Tu t’ouvrais comme une fleur, tu en redemandais!

— C’est du viol!

— Ah ouais? Je sais que tu n’iras pas porter plainte, t’as trop joui. Et puis t’avais des spectateurs Tu les as vus? Eux non plus n’ont pas eu l’impression que tu te faisais violer!

— Salaud!

— Ouais! Un salaud qui t’a fait reluire et qui t’a fait jouir comme une salope en chaleur. Çà t’a plu non? Allez salut ma poule à un de ces jours, peut-être!

L’homme disparut rapidement, me laissant pantoise. Je me rajustai tant bien que mal et retournai à mon domicile prendre une douche et changer de vêtements. Dans le hall, je croisai le jeune couple qui nous avaient épiés. Leurs regards ne laissaient aucun doute sur ce qu’ils pensaient de moi. Je m’engouffrai dans l’ascenseur et montai à l’étage.

Ce soir, j’allais devoir avertir Eric de ce qui m’était arrivé dans ce parking. Je ne pourrais pas garder çà pour moi, je ne le supporterais pas. Naturellement, je devrai affronter ses questions, dont la plus évidente: "est-ce que tu veux porter plainte ". Comprendra-t-il que je ne désire pas faire cette démarche? Je me demandais simplement si cela aurait une influence ou des répercussions sur notre vie de couple.

A suivre – épisode II

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