Bonjour je me présente je m’appelle Paul, je mesure un mètre 80 pour 75 kilos.
Je suis issu d’une famille assez aisée qui n’a jamais manqué de rien.
Actuellement j’ai 25 ans mais l’histoire que je vous raconte ici s’est déroulée il y a environ 3 ans.
Il y a 3 ans je vivais toujours chez mes et après son divorce il avait rencontré une autre femme de 42 ans quelques mois plus tard.
Mon père à 53 ans et il est quelqu’un d’assez compréhensible qui aime faire la fête, rares sont les fois où nous nous prenons la tête.
C’est pourquoi j’ai décidé de rester vivre chez mon père après leur divorce.
Ma mère est partie vivre en Espagne avec son nouveau copain et depuis je n’ai pas eu de contact.
À 22 ans étant toujours aussi réservé je suis donc encore puceau.
Comme vous l’aurez deviné nous allons maintenant parler de la nouvelle femme de mon père, qui s’appelle Justine.
Elle mesure environ un mètre 75, elle est blonde, des longues jambes fines, des fesses bien rondes qui ont l’air bien rebondies et une poitrine assez généreuse. Elle a une cambrure de rein à faire retourner n’importe quel homme dans la rue.
Depuis mon adolescence j’ai pris pour habitude de regarder des films pornos et de me masturber dans ma chambre le soir avant de me coucher.
Un soir je me suis couché vers 22 heures et j’ai même pas fini le film car j’étais épuisé de ma journée au ’’camp de scout’’ et je m’étais mis en caleçon pour dormir. Étonnamment mon père ce soir-là était allé se coucher tôt avec sa nouvelle conquête. Ma chambre est en face de celle de mon père, et ce soir-là…
J’avais fermé les yeux quand j’entendis des petits gémissement s’échapper de leur chambre. Déjà que je la trouvais attirante voilà que ses gémissement me donnaient des frissons. Étant puceau ses petits cris m’ont excité et j’ai commencé à bander. Je ne vous cache pas que je me suis masturbé en l’écoutant gémir.
Le problème c’est que toutes les nuits c’était pareil et même souvent deux fois dans la même nuit. Ça a duré plusieurs semaines avant que je fasse une bêtise regrettable. Depuis que j’avais entendu ses gémissement je ne pouvais plus m’empêcher de me masturber sans fantasmer sur elle. Un vendredi matin à la douche j’ai commencé à me masturber en pensant être seul à la maison. Je me suis décidé à fouiller dans le panier à linge sale pour trouver une de ses petites culottes. J’en ai trouvé une rose, et en plus c’était un string, que je portai à mon visage et que je commençai à humer pour découvrir l’odeur du sexe d’une femme pour la première fois. Je l’ai enroulé autour de mon sexe et j’ai continué à me masturber quand tout à coup la porte s’ouvrit.
J’étais la face à elle avec sa culotte autour de mon sexe.
— Tu fais quoi, là? Tu as pas honte? Donne moi ça et va te laver, et on reparle après.
J’avais honte, j’ai pris ma douche et je n’avais aucune idée de ce qui m’attendais après. Je la rejoignis dans le salon et elle me demanda de m’asseoir à côté d’elle.
— Je suis désolé j’ai honte de ce que j’ai fais ne dit rien à mon père s’il te plaît.
— Ça fais combien de temps que tu fais ça ?
— C’est la première fois. C’est vrai, je te promet.
— Il faut que tu arrête ça immédiatement. Tu as une copine?
— Heu non.
— Tu as déjà eu une relation intime avec une fille?
— Heu bah non.
— Tu as déjà fais quoi avec une fille ?
— C’est à dire… j’ai jamais rien fait.
— D’accord, je comprends mieux.
— Tu as au moins déjà embrassé une fille?
— Non plus… mais j’aimerais bien.
Elle s’approcha de moi et me dit de fermer les yeux. J’obéis sans hésiter et là elle m’embrassa avec de petit gémissement en enfonçant sa langue lentement dans ma bouche.
— Tu as aimé?
— Oui
Vu l’érection que j’avais dans mon short elle avait bien compris je crois. Mais ça en est resté là.
Le soir en rentrant mon père nous annonce qu’il doit partir 3 semaines en Australie dès le lundi suivant pour remplacer un collègue.
Il est parti très tôt et je me suis retrouvé seul avec sa nouvelle femme qui venait de m’embrasser trois jours plus tôt.
Au réveil elle était joyeuse et moi un peu gêné de la voir pour la première fois dans une nuisette qui dessinait ses formes et qui me faisait bander.
Impossible de me lever car j’étais en short, impossible de décrocher un mot en voyant son décolleté. Je ne pouvais pas passer la journée assis ici tout de même, donc je me suis levé en essayant de cacher au mieux mon érection, mais elle avait compris je pense.
En rentrant juste après le dîner le soir elle m’a proposé de regarder un film mais elle s’est changée avant. Quand elle est revenue, elle avait enfilé une nuisette encore plus sexy que celle du matin, presque transparente. En tout cas suffisamment pour qu’on voit bien qu’elle n’avait rien d’autre dessous qu’un string noir. Par contre, ses seins étaient libres et on voyait bien les tétons pointer à travers le tissu.
Elle lança le DVD, et je m’installai au bout du canapé. Et là, elle s’allongea et posa ses pied sur moi.
— Tu veux bien me masser les pieds?
— Oui, volontiers.
— Mmm, c’est bon, mais remonte un peu plus vers mes mollets.
Je caresse ses mollets tout en regardant sous sa nuisette qui est un peu retroussée sur ses cuisses parce qu’elle a replié ses genoux.
— Continue, encore un peut plus haut s’il te plaît.
Je passai mes mains sur ses cuisses un moment puis je décidé de tenter ma chance. Je commençai à glisser ma main sous sa nuisette.
— Eh, tu essaies de faire quoi?
— Euh rien.
— Je peux te poser une question?
— Oui, bien sûr.
— Tu as vraiment arrêté de te masturber dans mes culottes ?
— Euh.
— Parce que c’est bizarre, elle ont encore été souillées.
— OK, j’ai continué. Je m’excuse mais tes gémissement quand tu fait l’amour avec mon père m’excitent trop, donc je peux pas m’empêcher de le faire.
— Tu veux ma culotte pour te soulager?
— Maintenant là tout de suite?
-Oui pourquoi pas? Tu bandes, non? Alors autant en finir.
Elle enleva son string et le balança du bout des doigts sous mon nez, m’exposant par là même sa chatte que je découvris toute épilée.
— Vas’y sort la bête et fais-toi plaisir!
Fort de cette proposition, je m’exécutai sans hésiter. Je virai mon caleçon et commençai à me masturber en reniflant son joli petit string en dentelle noire qui n’avait rien à envier au rose que j’avais utilisé la première fois quand elle m’avais surpris.
— Stop! Arrête tu va trop vite, c’est pas comme ça qu’il faut faire. Attend je vais te montrer. Enlève aussi ton T-shirt.
Je finis donc de me déshabiller, puis elle me poussa sur le canapé en position assise bien confortable et se mit à genoux sur le tapis devant moi.
Elle prit mon sexe dans sa main et sortit mon gland autour duquel elle passa son index pour le lubrifier avec mon liquide séminal. Enfin elle commença à me branler doucement en gémissant comme une coquine.
— Laisse-toi faire. Tu aime ça ?
— Oh oui.
— Tu veux que j’arrête?
— Ah non, s(il te plait, continue.
— Tu crois que tu vas tenir longtemps avant de jouir ?
— Non, je crois que ça viens.
— Allez, retiens-toi mon cur.
— Désolé, pardon je peux pas.
Et là j’éjaculai sur elle, lui maculant copieusement sa nuisette. Elle se redressa et fit passer ce bout de tissu par-dessus sa tête et se retrouva entièrement nue elle aussi, me dévoilant ses seins superbes. Elle me tira par la main et me prit dans ses bras. Je l’ai serrée fort contre moi, je l’ai embrassée dans le cou, j’ai posé mes mains sur ses fesses, puis elle a fait un demi-tour pour s’allonger sur le canapé.
— Ouah, tu es toujours est toujours en érection? Comme c’est chou de voir que je te fais autant d’effet. Maintenant je vais faire de toi un homme. Viens sur moi.
Je m’allongeai sur elle comme je le pouvais, je plaçai une main à côté de sa tête et avec l’autre main je pris mon sexe pour la pénétrer.
— C’est pas comme qu’il faut faire, embrasse-moi enlace-moi et frotte ton sexe bien dur contre mon minou tout humide. Ça va entrer tout seul, tu verras, mon cur.
Je fis ce qu’elle me disait et ça a glissé tout seul, j’étais enfin en elle. J’ai fait des va-et-vient sauvagement. Mon cur s’emballait tandis qu’elle se mettait à gémir très fort. Puis à nouveau elle m’arrêta.
— Attends pas si vite, tu vas pas tenir longtemps comme ça. Retire ton sexe mais arrête-toi avant que ton gland sorte de mon minou puis tu l’enfonce à nouveau, doucement. Et tu recommence, lentement.
J’ai entamé ce mouvement et elle s’est remise à gémir, plus faiblement mais plus intensément. Elle s’accrochait à mes fesses et je sentais ses ongles s’y incruster mais j’avais du mal à me contrôler malgré ses conseils. J’ai repris un rythme de plus en plus rapide jusqu’à faire des va-et-vient brutaux et elle s’est mise à crier.
— Encore, j’aime ça, continue, je vais jouir, tu es vraiment bon mon amour.
J’ai pas résisté longtemps à ce rythme j’ai joui en elle sans retenue. Je suis resté là, écroulé sur elle sans savoir quoi dire ni quoi faire et elle s’est mise à rire.
— Je suis désolée, j’ai l’air de me moquer de toi, mais en fait c’est la première fois que je dépucelle un homme.
— Je suis désolé moi aussi, j’ai été trop rapide.
— Ne t’inquiète pas pour ça, c’est normal la première fois. Va te doucher et va dormir ensuite.
Je me suis donc levé et j’ai filé vers la douche. A peine j’avais fait trois pas qu’elle me rappela.
— Hé-ho, ça va? Je te dérange pas trop?
— Heuquoi?
— Ben, j’ai même pas droit a un bisou, ni un petit merci?
— Oh, excuse moi. Oui, merci de m’avoir dépucelé, tu es vraiment une femme merveilleuse.
— Allez file, dépêche-toi!
Après une bonne douche je suis allé me coucher. A mon réveil le lendemain matin personne, juste un mot sur table: " bonne journée, mon cur. Je te dit à ce soir". Je commençai donc ma journée par un petit-déjeuner classique et partis pour ma journée au camp.
A 22 heures elle n’était toujours pas rentrée et au moment où je me venais de me décider à l’appeler elle rentre.
Je lui dis juste bonsoir elle me répond sans plus d’effusions. Je n’avais qu’une envie c’était de lui faire l’amour à nouveau.
-Tu n’es pas couché?
— Non je t’attendais.
— Ha oui? Pourquoi?
— Bah… Je sais pas.
La suite plus tard