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ma mère, secrétaire très particulière – Chapitre 1




Jai quitté la maison familiale à 20 ans pour aller travailler à 800 km de là.

Je revenais assez peu car les rapports avec mon père étaient tendus, du fait que je n’avais pas voulu suivre ses pas et reprendre ensuite son entreprise de bâtiment.

Mais je téléphonais tout de même régulièrement, et restait en bons termes avec maman.

Jai maintenant 32 ans et comme j’ai réussi dans la boite ou je bosse, on m’a confié la création d’une nouvelle agence dans ma ville natale.

Mon père est décédé depuis 2 ans et ma mère (55 ans) vit seule et a revendu la société.

En attendant de trouver un logement, je suis revenu vivre dans sa grande maison.

Pour fêter mon retour et ma promotion, j’ai préparé une soirée juste pour nous 2, le champagne est bon et maman qui ne boit guère est vite pompette.

Nous parlons un peu de tout et quand j’évoque mes difficultés à trouver une secrétaire compétente, elle me propose de prendre le poste.

En effet, elle s’occupait du bureau pour mon père et a donc les capacités pour ça. De plus, elle s’ennuie.

Je dis pourquoi pas, et puis en souriant, j’ajoute que javais plutôt pensé à une jeune coquine

Maman, bien éméchée tout de même, (nous en sommes à la deuxième bouteille de champagne) éclate de rire.

Et se met à me raconter qu’avec papa, ils jouaient souvent au patron et à la secrétaire coquine.

Surpris mais intéressé par ses révélations, je ne dis rien et la laisse poursuivre pour savoir jusquoù elle va aller dans ses confidences.

En riant toujours, elle se met à me donner des détails très osés de leurs jeux

Je nai jamais vu ma mère comme ça, lalcool lui fait oublier toute retenue,

Je suis abasourdi dentendre ma mère mavouer ce genre de relations, mais comme je suis bien imbibé aussi, ça mexcite énormément et je bande déjà.

Elle se rend bien compte de leffet de ses révélations sur moi, mais cela semble lui plaire car elle me dit

-ne fais pas linnocent, tu as bien du en profiter dans ton ancien poste.

Cest vrai que ma secrétaire était bien faite et que je laurai sauté sil ny avait pas eu de risques.

Ma mère me dit que ça les excitait beaucoup et même lorsquils ont faillis être pris en pleine action.

Jessaie quand même de la raisonner.

-Tu as trop bu ! Ne me raconte pas ces choses.

-allons mon fils, tu nes plus un gamin et tu peux comprendre que tes parents avaient une vie sexuelle. Dailleurs ça me manque tu sais, et je ne demanderai quà remettre ça.

Je me rends compte quelle est vraiment ivre, et je devrais couper court, mais éméché moi aussi, je ne peux mempêcher de demander.

-comment ça ?

En riant et de façon naturelle, elle me dit

-refaire le jeu de la secrétaire sans culotte

— mais tu es saoule ! Je suis ton fils tout de même !

-oui mon chéri, ici à la maison tu es mon fils. Mais au bureau, tu seras mon patron et je ne refuserai rien à mon patron.

Voyant que je ne pourrai pas lui faire entendre raison, je vais me coucher. Et me branler aussi car ses révélations mont excités au possible.

Le lendemain, dimanche, je suis parti tôt (avant son réveil) et jai passé la journée dehors pour ne rentrer que tard. Nous ne nous sommes donc pas vu et cela a évité des explications difficiles.

La semaine au bureau sest déroulée normalement, mais le vendredi matin, maman est arrivée avec une jupe courte que je ne lui connaissais pas.

Je nai rien dit mais ses aveux de lautre soir me sont revenus. Ou Voulait-elle en venir ?

Jai eu la réponse très vite, en mapportant le courrier, elle sest penchée face à moi et je nai pu ignorer quelle ne portait pas de soutien-gorge.

— Maman ! tu es folle, tu te rends compte de ta tenue ?

— Bien sur, ça ne te plaît pas ?

Je ne savais plus quoi dire ou faire, elle a prit ça pour un accord et sest assise face à moi sur le bord de mon bureau. Elle ne portait pas de culotte non plus et je voyais son sexe rasé en gros plan.

Elle ma dit que depuis notre conversation de lautre soir, elle ne pensait quà ça. Et voulait vraiment être ma « pute »

Je ne savais pas quoi dire, jétais gêné et en même temps très attiré par cette femme qui soffrait sans retenue. Dailleurs ma queue avait durcie instantanément et maman la vu.

-tu vois, ma-t-elle dit, tu peux dire non mais ton corps dit oui !

Et dajouter quon est deux adultes et que ce quon fait ensemble ne regarde que nous.

Elle écarte un peu plus les cuisses et je ne peux plus détacher mon regard de son minou.

Elle a un petit sourire vainqueur car elle sait quelle a gagné.

Quittant le bureau, ma mère vient se placer à genoux entre mes jambes et ouvre ma braguette pour sortir ma bite bien raide et sans attendre, elle lengloutit.

Je suis tellement tendu que je tiens à peine quelques minutes et quand je sens venir la jouissance, je la préviens, mais elle me tète goulûment et quand je gicle, elle avale tout.

La suite plus tard.

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