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Valérie : l'insoupçonnée – Chapitre 5




Nous marchons tranquillement une grosse dizaine de minutes à plat et atteignons un surplomb. Deux cents mètres plus bas, un autre village borde le fleuve. Comme souvent par nuit sans nuage, la lune inonde le bassin d’une lumière blanchâtre, aussi belle qu’inquiétante. Et encore, ce soir, il n’y a pas de brume sur le fleuve sans quoi cette vue ressemble à un décor de film d’épouvante. Valérie n’est absolument pas impressionnée et la beauté du site semble la fasciner.

Je la laisse admirer la vue et vais m’asseoir sur un banc, un peu en retrait. Je sors la bouteille de champagne du sac à dos isotherme. Deux flûtes, malheureusement en plastique, et je fais sauter le bouchon dans un "Plop" sonore. Surprise, Valérie se retourne d’un coup et éclate de rire.

— Tu es fou !

Elle s’approche et je lui tends une flûte. Je sers la seconde et me lève.

— Tu es fou et j’adore ça ! Tu arrives toujours à me surprendre.

Je lève mon verre et dit :

— A cette soirée !

Valérie ajoute :

— A nous !

— A ta beauté !

— A ton charme !

Je ris et décide d’être plus coquin. Un argument exquis se dessine sous mes yeux :

— A la fraicheur de cette soirée, qui fait si joliment pointer tes seins !

Valérie éclate de rire.

— A mes tétons tout durs qui font gonfler ton si beau sexe !

Nous buvons quelques gorgées, entrecoupées de baisers, tantôt tendres, tantôt amusants. Les flûtes vidées, nous les lançons vers le banc et nous nous embrassons avec une intensité soudain plus marquée. Rapidement, Valérie déboutonne mon pantalon et sort ma queue. Elle s’agenouille devant moi et me gratifie d’une fellation grandiose.

Elle se relève et m’entraine sur le banc. Je m’y assieds et elle vient à califourchon sur moi. Elle m’embrasse :

— C’est quand la dernière fois que tu as fait l’amour avec ta femme ?

Je réponds du tac au tac :

— A Nouvel-An.

— Tu es aussi précis que moi. La rareté a cela d’intéressant qu’elle est conservée dans les souvenirs de manière plus vivace

— Pourquoi me demandes-tu ça ?

— Parce que moi, c’était à Noël, qu’on est en mai et que je n’ai pas envie que tu mettes de capote.

Je m’attendais à pleins de choses, mais pas à ça. Tout tourne dans ma tête. Je sais que je suis avec une fille bien. J’hésite quelques secondes, tout en embrassant le cou de ma partenaire.

— Je n’ai pas envie non plus.

Deux secondes plus tard, mon sexe glisse dans celui de Valérie. Voilà plus de dix ans que je n’ai pas eu de relations avec une autre partenaire que ma femme. Cela me donne un coup de stress violent. Valérie semble le remarquer et m’embrasse à pleine bouche tout en enserrant mon sexe entre ses cuisses. Ses mouvements de hanches font le reste.

— Je ne suis pas plus fière que toi

J’écarte les pans du haut de sa robe et fais sortir ses seins nus que je m’empresse de lécher. Valérie gémit bruyamment et son corps est traversé d’un puissant orgasme. Elle sautille sur mon sexe et m’enjoignant à lécher encore et encore sa poitrine. Elle jouit une seconde fois.

Je l’allonge ensuite sur le banc et plonge entre ses jambes écartées. Je me délecte de cette fente détrempée, ouverte et chaude. Valérie est pressée mais me laisse la faire jouir avant de m’attirer à nouveau en elle. Après plusieurs profonds allers-retours, je ne peux plus résister à mon excitation. Un dernier coup de rein et j’explose loin dans son vagin. Valérie accueille mon effort d’un long gémissement.

Je me retire, la redresse et l’embrasse. Assis à côté d’elle, je l’enlace tendrement. Elle dit :

— Je ne suis pas fière, mais je suis heureuse. Cette soirée est déjà gravée dans ma mémoire.

— Dans la mienne également. Je me sens si bien

Nous nous embrassons. Valérie dit :

— On ne va pas tarder, je n’habite pas vraiment à côté.

Trois-quarts d’heure de voiture l’attendent effectivement. A regrets, nous jetons la bouteille de champagne, à moitié pleine malgré une seconde coupe chacun. Main dans la main, nous reprenons le chemin en direction de la voiture. Seule la lune nous éclaire.

En chemin, je la taquine :

— Tu te promènes souvent sans soutif ni culotte ?

Elle éclate de rire.

— Je t’avais bien dit qu’il ne fallait pas me tenter.

Elle ajoute :

— En réalité, je ne suis pas du tout exhibitionniste et même plutôt du genre pudique. Pour répondre à ta question, il faut remonter à l’été de mes 14 ans. J’étais en vacances en camping avec mes parents et j’avais sympathisé avec la fille de la caravane voisine. Elle s’appelait Camille et avait 17 ans. Et elle ne portait pas de dessous. Aucun. De toutes les vacances, elle n’a jamais mis ni soutif ni culotte. A part des bikinis bien entendu.

— Et tu as fait pareil qu’elle ?

— Pas pendant les vacances, non. Mais en rentrant, j’ai essayé un jour à la maison et j’ai adoré. Depuis, l’été, durant les vacances, congés, week-ends, je ne porte plus de dessous.

— Noooooon ?

— Si tu me croises un dimanche d’été, je serai obligatoirement en jupe et je n’aurais rien dessous.

Je dois faire une sacrée tête, car Valérie ajoute :

— Ça te choque ?

— Heu non, pas du tout. J’adorerai que ma femme agisse de la même manière.

Valérie rit.

— Mais sincèrement, même mes meilleures amies ne le savent pas. Pour le bas, j’entends.

Je suis ravi de cette révélation.

— Et au travail ?

— Si je dis "jamais", ce n’est pas juste. Disons qu’il est arrivé que je craque certains après-midi d’été quand il fait très chaud, mais c’est rare.

Je me fais pleins de films bien agréables.

— Et à ton mariage ?

Elle éclate de rire.

— J’avais quand même un string. Vraiment pas grand, mais j’en portais un.

Elle me prend par la taille.

— Par contre, je n’en portais pas à mon pot de départ.

— Mmmh Robe trapèze bleu marine, talons noirs, soutien-gorge jaune.

Valérie en reste bouche bée.

— Tu avais vu mon soutien-gorge ?

— Une bretelle.

Elle s’arrête et m’embrasse. J’avoue :

— Je voulais que tout le monde s’en aille pour faire l’amour avec toi sur une des tables.

— Arrête. Ta main sur mon avant-bras au moment de se faire la bise. J’en frissonnais.

Nous rions.

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