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Un anniversaire fêté dignement. – Chapitre 1




Depuis un peu moins d’une année, je vis avec mon copain Hervé, un collègue de boulot.

Au fur et à mesure du temps, et à force de bavarder avec lui pendant les pauses ou le repas de midi à la cafette, nous nous sommes découvert des atomes crochus.

A cette époque, je vivais dans un grand appartement que je partageais avec deux autres filles de mon âge, mais avec lesquelles je ne m’entendais plus guère. La promiscuité qu’on accepte pendant les études vole souvent en éclats lorsque les unes et les autres trouvent du travail.

Lorsqu’Hervé m’a offert de partager son appartement (la chambre d’ami, disait-il…), j’ai accepté tout de suite.

Oh, je n’avais pas grand-chose à déménager ! Les vêtements entassés dans deux valises achetées pour l’occasion, quelques babioles souvenirs, et une centaine de CD des musiques que j’aime ont rapidement trouvé leur place dans les placards et sur les étagères de la chambre d’ami.

Avec Hervé, nous avons continué à bavarder, à évoquer nos goûts et nos passions… puis ce qui devait arriver… arriva !

Nous avions eu une discussion assez chaude sur nos souvenirs coquins et j’avais remarqué qu’il bandait dans son jogging alors que moi, j’avais la chatte en folie… Nous étions sur la même longueur d’onde… NOUS AVIONS ENVIE DE BAISER !

C’était juste sexuel !

Et cette nuit-là, j’ai découvert un amant exceptionnel : ardant, mais attentif aux réactions de sa partenaire ; inventif, comme je n’en avais jamais rarement rencontré… et lorsque nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre, il m’avait fait jouir quatre fois… et le lendemain samedi, il m’avait sautée en levrette en disant qu’il aimait bien mes petites fesses rondes…

Eh oui, j’ai de petites fesses rondes…à 25 ans, je suis une jeune femme « normale »… Je ne suis pas une bombasse (comme disent les plus jeunes), mais j’ai ce qu’il faut aux bons endroits… J’ai une jolie paire de seins dont je suis fière… Pas très gros (du « 90 B ») en forme de chapeau chinois, ils sont haut perchés. Ma taille n’est pas trop marquée, car j’ai une silhouette svelte et mes hanches sont assorties à ma poitrine… Brune de poils et de peau, j’ai les cheveux coupés court, des yeux marron et des lèvres fines, rarement maquillées.

Avec un peu plus d’un 1m70, Hervé est légèrement plus grand que moi… Nous sommes bien assortis, il est aussi brun que moi, mais il a de magnifiques yeux bleus, des lèvres gourmandes dont j’apprécie les baisers et une carrure de sportif… Il a pratiqué le rugby en amateur pendant de longues années quand il vivait dans le sud-ouest. Il a deux ans de plus que moi.

Je passe volontiers sur un détail anatomique, mais il est normalement pourvu !

Je ne suis pas une oie blanche… tant s’en faut…

Dépucelée à 15 ans par le demi-frère cadet de mon père, j’ai eu de nombreuses aventures qui n’ont guère duré… des copains de lycée qui me sautaient vite fait dans un coin, des amants plus âgés qui aimaient parader avec une jeunette à leur bras… et qui me faisaient des cadeaux somptueux que je cachais soigneusement dans ma chambre, chez mes parents. J’ai même eu une aventure avec une nana lors d’un séjour à Djerba à la morte-saison…

Hervé a eu une éducation sexuelle particulièrement bien réussie…

Un jour qu’il se branlait dans sa chambre en regardant un film X sur son ordinateur portable, il avait été surpris par sa tante (la sur de son père).

Honteux de s’être fait surprendre, il avait demandé à sa tante de ne rien dire aux parents, qu’en échange, il ferait tout ce qu’elle voudrait !

C’est ainsi que pendant presque une année complète, il avait retrouvé sa tante dans son studio, sous prétexte de cours de maths renforcés (une matière où il avait des lacunes).

Si ses cours avaient été efficaces, elle lui avait beaucoup enseigné aussi sur le sexe ! Elle avait trouvé un bon étalon pour la satisfaire ! Elle lui a tout appris…

Avec Hervé, nous étions tombés d’accord pour dire que nous étions libres d’avoir des liaisons hors de notre « couple » et que le jour où j’aurais envie de partir, j’étais libre.

Quelques semaines ont passé.

Ce soir-là, nous avons convenu que nous devions garder un souvenir des mois vécus ensemble…

C’est ainsi qu’est née l’idée de nous faire filmer en pleine action et conserver chacun un exemplaire de la vidéo.

Mais qui, parmi notre entourage, accepterait de nous filmer ? Nous ne voulions pas non plus que nos ébats soient filmés par des personnes que nous connaissions… C’était intime et juste entre nous !

Nous avions entendu parler d’un site qui mettait en ligne des vidéos de femmes ou de couples qui, après une première fois, revenaient parfois pour d’autres séquences…

Certes, ce pouvait être intéressant, mais il y avait un MAIS ! Il ne devait y avoir que deux exemplaires de notre film et il était hors de question que nos ébats soient vus par les internautes.

Un week-end, nous avons pris contact, et après négociations, nos interlocuteurs ont accepté nos exigences… Bien sûr, cela nous coûterait de l’argent…

Quelque temps plus tard, nous nous sommes rendus dans le quartier Montmartre où un appartement avait été transformé en studio de tournage pour l’équipe qui allait nous filmer…

Personnellement, j’avais retaillé la pilosité de mon sexe de manière à n’avoir plus qu’un ticket de métro au poil court… j’avais soigneusement peigné mes cheveux noirs courts, mais il serait temps de redonner un coup de brosse au début en cours de route si cela était nécessaire.

Hervé avait laissé pousser sa barbe et il portait désormais un collier fin qui lui donnait un air de pirate !

Nous avions choisi des vêtements confortables qu’il nous serait facile d’enlever…

Nous avons été accueillis dans ce loft par un couple d’une quarantaine d’années. L’homme nous filmerait pendant que la femme prendrait des photos et récupérerait nos vêtements afin qu’ils ne viennent pas parasiter la prise de vue. Après avoir mis au point le tournage et signé le contrat d’exclusivité, nous avons eu le feu VERT pour commencer… Les spots se sont allumés…

Nous étions tous les deux sur un immense canapé d’angle, mais qui laissait un de côté, accessible… Hervé a commencé à me peloter par-dessus mon T-shirt largement décolleté, puis il a glissé une main dans l’échancrure afin d’agacer les pointes de mes seins qui saillaient au-dessus d’un soutien-gorge à demi-bonnet que j’avais acheté pour l’occasion dans un sex-shop de notre quartier.

J’étais déjà passablement excitée ; et mes tétons dardaient durs comme du bois, mais pas du tout insensibles aux caresses…

Ma minijupe remontait sur mes cuisses et découvrait largement les hauts de mes bas qui étaient maintenus par un porte-jarretelles assorti au soutif… Lorsque plus tard nous avons visionné la vidéo, nous nous sommes aperçus que dès le début de cette séquence, mon string était bien visible dans l’ombre de la jupe… Un gros plan ne laissait rien dans l’ombre…

Selon le scénario, j’avais l’initiative !

Je me suis relevée avant de me pencher sur le bas-ventre d’Hervé et aller débusquer le sexe déjà à moitié bandé sous son boxer ! Il avait déjà une goutte de présperme qui luisait dans le méat du gland !

Après avoir léché le gland, je me suis agenouillée devant Hervé, et d’un même mouvement, j’ai ôté le pantalon et le boxer qui se sont retrouvés roulés en boule dans un coin de la pièce… Je voulais absolument qu’il soit en super forme pour commencer la séance !

Je l’ai fait s’allonger sur l’assise du divan et je me suis agenouillée entre ses cuisses pour jouer avec ses boules pendant que je sucerais sa queue pour qu’il bande bien…

Je savais ce qui lui faisait plaisir : enfoncer sa bite au plus profond de ma gorge jusqu’à ce que j’aie un hoquet, puis il ressortirait lentement pour que son mat soit bien imprégné de salive… après, ce serait le va-et-vient entre mes lèvres.

Quand il se sentait assez excité, il me baisait d’une manière ou d’une autre, mais pour le faire gicler dans ma bouche ou sur ma poitrine, il fallait le supplier : Gicler dans ta chatte, c’est mon plaisir… laisse-le-moi !

Pendant que je lui faisais un cunnilingus du plus bel effet (je m’appliquais…), ma minijupe avait remonté sur mes fesses et le cordon de mon string et les jarretelles devaient être bien visibles… J’avais conscience d’offrir à nos hôtes le spectacle affriolant de mon petit cul rond barré d’un élastique noir ! (les photos prises en gros plan étaient vraiment très sexuelles : on me voyait pomper la bite d’Hervé, mes fesses barrées par le cordon du string, etc.).

Les mouvements d’Hervé étaient de plus en plus désordonnés aussi, j’ai cessé de le sucer : sa bite était dressée comme un pal sur son pubis… Et elle me faisait envie !

J’ai ôté mon T-shirt et lui ai retiré sa chemisette avant de m’empaler sur ce sexe qui n’attendait que cela…

J’avais opté pour la cavalière inversée, mes mains en appui sur ses cuisses, je pouvais monter et descendre sur son vit au rythme qui me plaisait… Tantôt je savourais la pénétration en allant le plus doucement possible, tantôt, j’étais une cavale en furie qui s’agitait dans tous les sens, mais je veillais à ne pas faire sortir la queue d’Hervé de ma chatte…

Je savais qu’il regardait mes fesses s’écraser sur son pubis et parfois, il pouvait voir mon sphincter entre mes globes… Ce que je ne lui avais pas dit et qu’il a découvert à ce moment-là, c’est le petit Plug que j’y avais glissé avant de quitter la maison…

Quand il a éjaculé en moi, il a poussé une sorte de rugissement et j’ai senti les giclées de sperme s’écraser au fond de mon vagin !

Waouh… que c’était bon !

Le premier round était terminé…

La fille nous a dit qu’elle garderait le rugissement d’Hervé au montage, que cela illustrerait bien cette première séquence.

Après une demi-heure de pause, je constatai qu’Hervé bandait à nouveau et personnellement, j’avais le feu au cul…

Etait-ce l’ambiance ou avions-nous pris sans le savoir un quelconque excitant ?

Hervé m’a renversée sur le divan, il a remonté mes jambes de chaque côté de ma tête et m’a éperonnée de son dard comme s’il me violait… (Cétait d’ailleurs l’idée… UN VIOL !)

Ma chatte ruisselait d’envie aussi lorsqu’il y est entré en force ; j’ai accueilli son sceptre avec un grand « Aaahhh » de contentement !

Et Hervé a commencé à me pilonner ainsi, les chevilles à la hauteur des oreilles, complètement pliée et offerte à sa copulation qui était de plus en plus rapide… On aurait dit que son sexe ressemblait à une bielle bien huilée tant elle allait vite…

En moi-même, je pensais qu’il allait prendre son plaisir égoïstement sans m’attendre, mais il n’en était rien… Il bandait, il allait et venait dans ma chatte, mais il semblait ne pas pouvoir jouir… et moi, je sentais que la jouissance montait dans mes reins ; de plus en plus pressante ! J’avais aussi le pouvoir de masser sa bite avec les muscles internes de ma chatte, et je me m’en suis pas privée… ce qui a déclenché la déferlante de sperme au fond de mon vagin ! Nous jouissions de concert une fois encore !

Fin du deuxième round…

La chaleur dégagée par les spots et notre activité nous faisaient transpirer… Une douche serait la bienvenue !

Pendant que je prenais ma douche, la fille était venue avec moi dans la salle de bains et elle prenait de nombreuses photos en disant que cela nous ferait des souvenirs plus faciles à regarder que la vidéo.

Elle n’avait pas tort !

Pendant ce temps-là, Hervé regardait avec le caméraman les premières images filmées et les commentait… L’excitation était visible dans leur regard… et le sexe d’Hervé était toujours aussi rigide…

Je demandai à la fille ce qu’ils avaient mis dans notre boisson… elle a éclaté de rire en disant que c’était juste pour s’assurer qu’il n’y aurait pas de défaillance en cours de route et que les effets disparaîtraient rapidement…

En tout cas, c’était efficace… jamais le sexe d’Hervé n’avait été aussi rigide et un feu brûlait à l’intérieur de mon ventre ! Je n’aurais pas cessé de me faire baiser… un peu comme si j’avais participé à un gang-bang !

La suite s’est déroulée sur un immense lit rond trônant dans un angle du studio… Il y avait plusieurs grands miroirs en angle, et dès que nous étions sur le lit, notre image se démultipliait…

Hervé m’a dit tout bas :

Tu vas prendre cher…

OK… je t’attends…

T’a mis du gel à la place du Plug ?

Oui, je m’attends au bouquet final !

Il n’y avait que deux manières pour que je sois sodomisée « confortablement »… Dans la paresseuse arrière, on ne verrait pas grand-chose… Restait la levrette que j’appréciais particulièrement dans les deux orifices…

On verra… J’ai une idée pour qu’on voie bien ma bite dans ton cul !

J’ai donc pris la position, et Hervé n’a pas tardé à investir mon boyau étroit après avoir musardé un peu dans ma chatte qui bavait déjà… Ce n’était certes pas la première fois qu’un homme pénétrerait la voie arrière, mais le fait d’être filmée décuplait mes envies et sensations…

Il est allé doucement pour me pénétrer, mais dès qu’il a senti que j’étais bien embrochée, Hervé s’est déchaîné : les mains accrochées à ma taille, il allait et venait dans mon boyau étroit de plus en plus vite… Je croyais qu’il allait prendre son plaisir égoïstement, mais il a laissé refluer notre excitation avant de recommencer à me pilonner le cul…

Lorsqu’il me baisait, j’avais remarqué que souvent, il me faisait grimper deux fois avant de jouir, comme s’il m’attendait pour s’éclater en même temps que moi…

Mais là, il m’a surpris… je venais de jouir une première fois, et il recommençait à me sodomiser pour me faire jouir du cul une seconde fois. Il est sorti de mon sphincter et il s’est allongé sur le lit, la bite dressée comme un pal sur son pubis…

Vas-y, ma belle ! Fais-toi plaisir ! Montre à la caméra que tu aimes bien avoir une bite dans le cul !

Oh oui… Elle me fait du bien !

En me tournant le dos, elle s’est laissée couler sur mon sexe qui est entré dans son cul…

Je nous voyais dans les miroirs et la pose était d’un érotisme torride… Tous les deux, nous avions les cuisses écartées et je voyais mon sexe se perdre dans le sphincter…

Quelques mouvements alternatifs plus tard, Hervé se répandait dans la capote… et je jouissais à mon tour.

La fille qui nous prenait en photo s’est tournée vers le caméraman :

Je pense qu’on a assez de quoi tirer un film d’une heure ?

Oui, je pense… On ajoutera une sélection de tes photos…ça devrait être bon.

Puis se tournant vers nous qui récupérions enlacés sur le lit :

Ça ne vous dit vraiment pas de revenir… Tous les deux ou séparément… Vous êtes de fameux baiseurs… On n’avait presque pas besoin de vous guider !

NON, nous préférons en rester là… c’est juste une fantaisie…

La semaine suivante, nous avons trouvé dans la boîte aux lettres une forte enveloppe contenant deux DVD et une bonne vingtaine de photos 13 x 18 qui illustraient les meilleurs moments dans notre séance filmée…

Il est inutile de vous dire que nous les avons regardées aussitôt et Hervé m’a baisée en levrette en faisant aller et venir un de mes godes dans mon cul…

Il est inutile aussi de vous préciser qu’à plusieurs reprises, nous avons pris l’un et l’autre un pied d’enfer…

Je n’étais pas très fraîche pour aller au travail le lendemain matin…

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