Marc rentre avec un jour d’avance d’un déplacement à Londres. Il s’arrête au fleuriste de l’aéroport, pour acheter un bouquet à sa Sylvie, ravissante épouse. Il est vingt heures quand il arrive chez lui, espérant lui faire une agréable surprise.
Il est de suite attiré par des voix provenant de la chambre. Lentement, il monte à l’étage, colle son oreille à la porte entre ouverte.
Il reconnaît la voix de Guy, son éternel rival, et de son épouse. Il serre les poings, mais parvient à se contenir.
-Tu aimes te le faire mettre hein…salope, dit Guy.
-C’est vrai..j’aime quand tu me baises..et toi, tu ne te régales pas quand je te tailles une pipe? Quand tu te vides les couilles dans ma bouche, et que j’avale!!
-Une belle bite dans la chatte…çà te change du fifre de ton mari.
-Te moques pas, tu sais qu’il est complexé par rapport à çà, répond-elle. Surtout depuis que tu l’as vu tout nu dans les vestiaires. Et puis, s’il était bien monté, j’aurai pas besoin de toi.
Pendant la conversation, Guy n’a pas arrêté d’exciter le clitoris de Sylvie.
-Tu veux que je te mette une autre cartouche, propose-t-il
-Tu m’en as déjà mis trois, soupire-t-elle…il te reste encore des munitions…mais pourquoi pas…un petit dernier pour la route.
Sylvie se tourne, et roule sur son amant. Elle écarte ses lèvres intimes, et s’empale sur la bite en érection.
-Hum…sale mâle…tu sais que j’aime les gros calibres…tu en profites salaud…et en plus, tu aimes m’entendre crier..
-Mais bien sur que j’aime, répond Guy, ton mari ne te fait pas gueuler comme moi.
-Hou..oui..oui…vas-y…bourre moi la chatte..fais la couler cette pute…je jouis…oui…c’est vrai que Marc ne me fait pas jouir comme toi…sa queue est plus petite…
-Il sait pas se servir d’une femme, il sait pas ce qu’il perd le pauvre…avoir une bombe comme toi au lit. la prochaine fois que je rencontre aux vestiaires, je vais m’amuser avec lui.
-Déconne pas, il va se sentir humilié…mais j’aimerai bien voir çà.
-Tu m’as dit qu’il rentrait dans deux jours? demande Guy, si on allait à la plage demain, on pourrai préparer un plan.
Marc s’appuie contre la cloison, et se prend le visage à deux mains. il a mal, mais veut en savoir d’avantage. Il décide de faire le voyeur, et de suivre les amants.
Le lendemain, Guy récupère Sylvie, et l’emmène dans une calanque, à l’abri ds regard indiscrets, ou ils pourront se baigner tout nus. le couple joue dans l’eau. Guy parvient à attraper les parties intimes de Sylvie. Il insère deux doigts dans la chatte, un dans le petit trou.
-Aie…con…tu me fais mal…attends…tu vas voir comme je vais te faire couiner si je te chope les glaouis..
En effet, au moment ou Guy si attend le moins, elle glisse une main entre ses cuisses, et lui saisit les parties.
-Ha…ha…couine Guy…arrête grande folle..c’est sensible là…
Sylvie desserre son étreinte, le prend par la queue, et le tire hors de l’eau.
-Je t’avais averti polisson…je te tiens là…salaud..amis tu bandes…tu vas pas cracher dans la main j’espère, ce serai dommage.
Arrivé sur le sable, les deux tourtereaux s’enlacent, s’embrassent fougueusement, puis s’allonge. Sylvie se positionne perpendiculairement au corps de son amant, et appuie sa t^te sur son ventre. Guy n’a qu’à tendre le bras pour que sa main soit entre les cuisses écartées de sa maîtresse. Ses doigts ouvrent la fente humide, fouillent la chatte, doigtent le clitoris. Un doigt, plus vicieux, va plus loin.
-Hum…qu’est-ce-que tu me fais…il te faut deux trous maintenant…et si quelqu’un nous voit…tu y as pensé…
-Et bien, tant mieux pour lui, imagine que se soit ton mari…quel pied.
Sylvie commence à gémir, à vibrer sous les caresses de plus en plus précises. Elle tourne la tête, et se retrouve la bouche en contact avec l’énorme bite de Guy. Elle ouvre les lèvres, la décalotte et l’avale.
Caché derrière un arbuste, Marc assiste impuissant à la torride scène. Il voit la queue de son rival coulisser dans la bouche de son épouse. Il la voit se cambrer sur les doigts qui la branlent, puis, l’apothéose. Il voit les joues se creuser, et un filet de sperme couler sur ses lèvres. Le reste à du être avalé. Soudain, le corps de Sylvie se tord comme un ver, pris de violents spasmes.
-Oui..oui..hurle-t-elle..enfonce les….bourre moi…profond….tu m’enculeras après…en levrette…tans pis s’il y a un voyeur.
Malgré la douleur, Marc est pris d’une petite érection. N’y tenant plus, il écarte son short, et sort sa quéquette. Il fait coulisser l e prépuce sur la gland, et se tape une queue. Rapidement, il éjacule en poussant un "han" de bûcheron.
-Tu as entendu, sursaute Sylvie, je te dis que quelqu’un nous épie.
D’un simple coup d’oeil, Guy repaire l’intrus derrière le massif. Il reconnais Marc. Un large sourire éclaire alors son visage.
-Mais non ma chérie, répond Guy, tu te fais des idées…allez, taille moi une bonne pipe, après, on rentre, d’accord,
-Tu me fais faire n’importe quoi, dit Sylvie, et moi, comme une conne, je t’écoutes.
Guy se dresse, et se place de telle façon que le mari cocu ne rate rien de la scène.
-Houa…quelle pipe…oh putain…si ton mari voyait comme tu me suces…tu lui fais pas des gâteries comme çà, hein, salope.
-Non…jamais…répond Sylvie…il ne m’a jamais sodomisée non plus…tu es le seul..
Guy exige que Sylvie avale tout, jusqu’à la dernière goutte, et qu’elle lui nettoie le gland, pour bien faire voir à Marc comme il domine sa femme. Après un sulfureux baiser, et jugeant que l’humiliation avait assez durée, Guy prend Sylvie par la taille, et quitte la plage en promettant de l’appeler.
Le samedi vers quinze heures, Sylvie reçoit un appel de la part de Guy, qui lui donne rendez-vous aux vestiaires, mais prise dans les embouteillages, elle arrive en retard. Elle se précipite et entend des plaintes émanant des douches. elle rentre, se cache derrière un pilier, et assiste à la déchéance de son mari. En effet, elle voit Marc se faire prendre en levrette par Guy.
Même si Marc en est à sa seconde sodomie, la douleur est toujours aussi vive.
-Arrêtes…implore Marc…tu n’en as pas assez de niquer ma femme…il faut que tu m’encules aussi…assez…tu m’a déjà rempli le petit trou…tu veux quoi maintenant…
-Chut…calme toi lopette…sourit Guy, tu aimes avoir une grosse bite dans le cul? Même si c’est la mienne…et tu sens mes couilles taper contre tes fesses…elles sont dures hein…ta femme aussi les aime…si tu l’entendrais gueuler quand je la nique…comme toi en ce moment…et puis…il te reste un autre trou que je sache…il faut bien l’honorer aussi…
Guy se relève et approche sa bite de la bouche de son rival.
-Jamais, pleure Marc…c’est hors de question…tu entends…jamais…je suis un homme…
-Oh que si tu vas avaler, ajoute Guy, tu n’es plus un homme, tu es devenu ma petite lopette…allez…ouvre…
La queue de Guy envoie alors de violent jets de sperme au fond de la gorge du cocu soumis, qui referme les lèvres autour de la bite tendue. En une heure, Marc est devenu le vide couilles de Guy.
Dix minutes plus tard, Guy quitte les vestiaires en tenant Sylvie par la taille, laissant Marc sur le carrelage.
-Allez ma chérie, allons chez toi, toi aussi tu mérites ta petite enculette.