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Mes deux soeurs, femmes modernes – Chapitre 3




Malheureusement, les ébats entre ma jeune sur blonde et moi étaient peu nombreux. La fin des vacances approchait et il devenait de plus en plus rare dêtre seuls, tous les deux. Un mois après notre premier rapport, nous navons dû le faire que trois ou quatre fois, nous contentant souvent de petites baises rapides. La gêne entre nous sétait dissipée et je pense que Natalie lavait remarqué, il y avait quelque chose de changer dans nos rapports. Pire même, la fréquence des fellations que je recevais de la part de mes deux surs avait fortement chuté. Je métais mis lidée en tête que cela nexcitait plus trop Natalie et quelle était passée à autre chose.

La dernière semaine des vacances, mes parents sont partis pour un dernier week-end en amoureux. Cétait Kayla qui était venu me le dire dans ma chambre :

« – Les parents ne sont pas là ce soir et ne reviennent que demain soir.

— Ah, fis-je.

— Et Natalie sort fêter lanniversaire dune de ces amies.

— Ah ? mexclamai-je alors.

— Oui. Cest le dernier week-end avant que les cours et le train-train quotidien ne recommencent, je propose donc quon termine en beauté, rien que toi et moi.

— Tu mintéresses, tu as une idée derrière la tête ?

— Hm, peut-être. »

Elle eut un grand sourire et sortit de la pièce. Au fil des heures, je devenais impatient, javais la queue dans le pantalon qui me démanger. Je dus attendre la fin daprès-midi pour que nous soyons enfin seuls. Kayla me prit par la main et mamena dans la chambre des parents.

« – Quoi, ici ? demandai-je interloqué. Tes sûr que cest une bonne idée ?

— Mais oui, me dit-elle, on aura un grand lit cette fois.

— Cest quand même le lit des vieux

— Justement, un tabou en plus, ça peut pas faire de mal. Déshabille-toi, assieds-toi et mets ça. »

Elle me tendit un bandeau à mettre sur mes yeux ; jhésitai, elle insista.

« – Il faut terminer en beauté. Fais-moi confiance. »

Je me suis alors mis tout nu, ma sur maida à serrer le bandeau noir autour de ma tête, je ny voyais effectivement rien du tout et je me suis allongé sur le lit. Je nétais pas inquiet, je savais que la surprise ne pouvait quêtre bonne, jétais même plutôt excité et affichait déjà une belle érection. Kayla sest éclipsée une minute, je lai entendue descendre puis remonter.

« – Voilà, me dit-elle, prêt ?

— Toujours.

— Ah oui, je vois ça. »

Elle sempara de ma queue et se mit à me branler, se focalisant dabord sur mon gland, puis me masturbant sur tout mon long pendant que sa bouche vint jouer avec ma bite. Cela démarrait très bien, elle me massait les couilles dune main, me branlait ou me caressait le corps de lautre. Et puis, jai entendu comme un glissement entre les draps et je pus sentir une bouche se coller contre moi, membrassant les côtes, puis le ventre, déposant plein de petits baisers sur mon corps. Une jambe nue vint me chevaucher de part et dautre et je sentis un entrejambe se frotter à moi. Jôtai ce qui me servait dillères et je découvris ma sur Natalie à quelques centimètres de mon visage, se tenant sur ses bras, ses petits seins pointant vers moi.

« – Quest-ce que tu fais là ?

— Shhh pas un mot, me dit-elle en me remettant le bandeau.

— Je te lai bien préparé, lança Kayla. »

Et je sentis sa main guider mon sexe vers le sexe de sa sur, qui vint sassoir sur moi. La première pénétration, surtout après tant dattente, est toujours majestueuse. Je posai mes mains le long des hanches de Natalie, qui entamer un lent va-et-vient sur ma queue. La petite blonde, quant à elle, sexécutait à me lécher et me sucer les bourses, devenues dures. Lorsque mon sexe sortit par inadvertance de celui de Natalie, Kayla en profitait toujours pour me sucer un peu, goûtant au passage à la propre cyprine de sa grande sur. Mes mains glissèrent alors de ses hanches vers son buste, jagrippai et malaxai ses petits seins et je la sentis cambrer son corps sur ma bite. Ses mouvements étaient si sensuels, on aurait dit presque quelle dansait sur mon sexe, cela mexcitait énormément et cela ma fait « danser » moi aussi. Nous étions synchro, je pouvais aller ainsi au plus profond delle. Elle leva son bras pour soutenir ses longs cheveux bruns, sa tête partait en arrière, elle fermait les yeux ; bref, elle prenait son pied. Surexcité, jai enlevé mon bandeau et je lai attrapé aux hanches pour pouvoir accélérer mes coups de bassin, ses gémissements se changèrent en cris :

« – Oui, me dit-elle, oui, vas-y, comme ça ! »

Maintenant nous nous regardions droit dans les yeux. Je ne sais par quel miracle jai su tenir et ne pas éjaculer. Je pouvais sentir son petit con autour de moi qui en redemandait, encore et encore ; tout en me fixant, elle se mordait les lèvres, les yeux plissés et me faisait signe de la tête pour mencourager. Honnêtement, sur le moment, nous avions un peu oublié Kayla, il ny avait plus quelle et moi dans la pièce. Finalement, elle lâcha un gros râle, serra les dents lorsquelle fut parcourue par lorgasme et retomba sur moi. Je pouvais sentir son cur battre la chamade tandis que je posai la main sur son dos maintenant plein de sueur ; il faut dire que puisque la chambre de nos parents donnait directement sur la rue, nous avions préféré fermer les rideaux et les fenêtres, la pièce était donc étouffante et dans une légère pénombre. Mais avant même que je puisse récupérer, Kayla sexclama :

« – À mon tour, un peu ! Il y en a rien que pour elle. »

Elle poussa sa grande sur et plaça ma queue, encore bandée, en elle. Mais au moins avec ma petite sur blonde, je pus reprendre ma respiration puisquelle faisait tout le boulot : elle me chevauchait comme un cheval, montant même sur ses talons pour dencore plus puissants et profonds vas et viens. Je dois bien lavouer, Kayla avec un abricot très serré, cétait un vrai bonheur. Jai invité Natalie, après quelle se soit remise de son orgasme, à venir au-dessus de mon visage, javais envie de la goûter. Ma langue était dans la bonne position pour venir racler contre son clitoris encore un peu sensible. Elle était délicieuse ! Le calme était retombé dans la chambre, nous profitions chacun du plaisir quon recevait et celui quon donnait. Ce que je faisais avec ma bouche devait apparemment bien marcher puisque Natalie redevint très vite excitée : elle serrait alors les dents, laissant échapper de longs geignements aspirés. Elle passait ses mains sur mon torse, mon ventre et plus lextase lui montait, plus elle sortait les ongles.

Puis, jen ai eu un peu marre dêtre allongé, je me suis alors levé, je suis sorti du lit et jai tiré Kayla par les jambes pour la ramener vers moi. Cette fois, plus de pudeur, elle écartait les jambes, soffrant complètement à moi et je lai dégustée à son tour. Natalie est venue nous rejoindre, elle sest penchée vers sa sur et a commencé à lui suçoter les seins.

« – Ohhh, fit Kayla, oui, continuez ! Vous allez me faire jouir avec bouches. Hmmm, vous me rendez folle ! »

Ces encouragements nous ont bien entendu poussés à continuer, même à être plus agressifs sur ses petits mamelons et sa petite chatte. Je mempressai alors de lui fourrer deux doigts, fouillant le haut de son antre secret à la recherche de son point G. Je navais même pas besoin de me branler pour maintenir mon érection, la seule vue de la langue de ma sur jouant avec le corps de mon autre sur suffisait amplement à ce que je reste bien dur. Kayla ne tarda pas à jouir de sa manière habituelle : son ventre doux se contractant dans des spasmes, faisant bouger son piercing, pendant quelle sagrippait aux draps, le visage froncé. Comme elle lavait fait pour moi, je ne lui laissai pas le temps de souffler que je la pénétrai déjà ; encore sous leffet de son orgasme, elle lâche un long « oh ! » de soupir au moment de la pénétration, décontenancée.

Natalie se mit à califourchon sur sa sur, son sexe venait frotter contre ses seins et elle se mit à masturber notre petite sur chérie, pendant que je la baisais en missionnaire. Elle massait son clitoris, sûrement mieux que moi et donnait aussi par moment des coups de langue dessus et sur mon sexe lorsquil venait senfoncer profondément en elle. Elle lapait ainsi en une longue ligne droite, du pubis de Kayla jusquau mien. Parfois, je sortais mon sexe complètement et Natalie me suçait, goûtant au con de sa propre sur, sa petite bouche chaude venait senrouler autour de ma queue et sa langue jouait sur les bords de mon gland. Il fallut plusieurs fois que je lui tienne le menton pour la retenir car jétais sur le point déjaculer, elle me lançait alors un de ses regards sexy dont elle a le secret, avec un sourire au coin des lèvres, contente de voir leffet quelle me faisait. Je ne tenais plus, javais envie de lui faire lamour à nouveau. Je lui ai alors demandé de se retourner, afin que je puisse la prendre en levrette.

« – Comme ça ? me demanda-t-elle, en dandinant du cul. »

Sa chatte était encore plus étroite dans cette position, cela me rendait fou et je lui tirai les cheveux en arrière. Mon autre petite sur sinstalla devant elle :

« – Elle est bonne sa queue, hein ?

— O Oui lâchait Natalie, tête en arrière, subjuguée par le plaisir de la soumission.

— Regarde-toi, rigola Kayla, ten as trop, trop envie, ça se voit. Il fallait pas te retenir autant, lui dit-elle en frottant la transpiration de son visage tiraillé par la jouissance. »

Lorsque je ralentis mes coups de queue, dégoulinant de transpiration à mon tour, haletant, la petite blonde me demanda :

« – À mon tour ! Et avec la même intensité hein ! »

Elle se mit à quatre pattes et là, attrapa ses fesses et les écarta, me montrant son deuxième trou le plus serré. Javais limpression que ma queue allait exploser. Je lui crachai dessus et entra pour la première fois dans lanus de ma sur.

« – Oh ! Pu-tain ! sexclama Kayla lorsque jentrai de tout mon long en elle. Putain que cest bon ! »

Voyant cela, Natalie imita sa surette et me présenta son fion :

« – Moi aussi, jen veux, sil te plait. »

Et je les ramonai ainsi toutes les deux, passant dun cul à un autre. Si Kayla avait la chatte la plus serrée, Natalie gagnait le titre de cul le plus serré. Jétais même surpris à quel point il métait facile de les pénétrer.

Jétais aux anges et cen fut trop pour moi : je sentis la sève monter et annonçai à mes surs que jétais sur le point de jouir à mon tour. Jai fait un dernier va-et-vient dans chacune dentre elles, puis jai sorti ma queue et me suis branlé, leur laissant le temps de se mettre en position. Elles se collèrent lune à lautre, ayant envie autant lune que lautre de recevoir mon sperme. Je me déversai alors, ne cherchant même pas à viser, mes surs vinrent se placer delles-mêmes au bon endroit pour recevoir mes coups de semence, Kayla se tenant même les nichons pour récolter tout ce qui coulerait. Résultats : mes surs avaient le visage traversé par de longs filets de sperme épais. Natalie plus que sa petite sur dailleurs. Elles se raclèrent le visage avec un doigt, ramenant tout vers leur bouche pour goûter mon précieux liquide.

« – Cest pas juste, râla Kayla, tu en as eu plus que moi ! Tu en as encore un peu là-dedans ? me demanda-t-elle tout en commençant à me branler de nouveau le sexe. »

Javais la queue sensible ; à chaque fois quelle venait recouvrir mon gland de sa main, mon corps entier était parcouru par un spasme. Je gémissais bruyamment, tentant tant bien que mal de résister aux assauts de ma sur sur mon sensible nud. Mais elle ne lâchait rien jusquà ce quenfin la sève me remonta enfin et elle attrapa directement dans la bouche ce qui me restait de foutre amer dans les couilles. Elle avala le tout comme une grande fille, déglutissant bruyamment :

« – Ah ! Voilà, là, je suis servie ! (Natalie la regardé dun drôle dair, cela la fit rire) Ben quoi ? dit-elle en se léchant les lèvres. »

Le week-end était loin dêtre fini et nous comptions en profiter pleinement. Surtout Natalie et moi. Je ne sais pas comment lexpliquer : quelque chose sétait débloqué entre nous. Nous faisions lamour constamment, même Kayla ne nous joignait plus à la fin. Ma sur et moi narrivions pas à nous détacher lun de lautre, nos multiples orgasmes ne nous suffisaient pas, nous en voulions plus, nous voulions lautre. Je me rappelle lorsque nous baisions dans ma chambre pour la énième fois, nous étions en missionnaire, serrés lun contre lautre, bougeant lun comme lautre frénétiquement le bassin. Quand jai joui de toutes mes forces au plus profond delle, la remplissant de tout mon être, nous sommes restés lun sur lautre quelque temps et cest là quelle ma expliqué que si elle navait pas osé passer à lacte au début, cétait parce quelle avait peur den devenir accro, dêtre prisonnière du puissant désir quelle avait. Cétait dailleurs pour ça quelle sétait un peu éloignée de moi et ne moffrait plus de fellations, mais rien ny faisait, son désir restait. Elle était contente que nous layons fait, cela lui avait retiré une grosse écharde du pied, ainsi quune forte tension sexuelle en elle. Kayla nétait pas du tout jalouse (cest lavantage du sexe sans sentiments amoureux), elle comprenait et nous avait même dit : « faut bien que vous rattrapiez le temps perdu par les sottises de la morale ». Et cest ce que nous avons fait : nous avons fait lamour encore et encore, chargeant nos corps dorgasmes. Nous lavons même fait une dernière fois à peine trois minutes avant que les parents ne reviennent.

Depuis, avec les cours, la reprise du quotidien, les ébats que jai avec mes surs sont bien moins fréquents, mais il y a toujours un week-end par-ci, par-là où nous pouvons le faire, parfois à trois, parfois à deux. Elles-mêmes mavaient avoué quil nétait pas rare quelle saccorde un peu de plaisir lesbien le soir dans leur chambre, elles mont promis de minviter la prochaine fois. Et puis, jai décidé de me prendre un petit studio pour étudiant, ainsi mes surs pourront venir me visiter Cela promet !

FIN ?

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