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Après le week-end – Chapitre 1




Nous avons laissé Luc, Elodie, leur bonne Lisette et leurs jeunes amis Fabienne et Christophe, un peu fatigués à la fin dune rude journée (voir « un dimanche mouvementé). Retrouvons-les après une bonne nuit de repos

Elodie entend vaguement un réveil sonner. Elle soulève une paupière, il fait déjà jour. Il lui semble quelle vient juste de fermer les yeux et pourtant elle nest pas fatiguée. Elle se retourne sur le ventre. Elle paresse, une fois nest pas coutume. Une porte grince. Luc na pas graissé les gonds comme elle lui a demandé, pense-t-elle. Lisette se lève pour préparer le petit déjeuner. Elodie étire les jambes. Il faut se lever Elle devrait être déjà debout Encore une petite minute !

Luc perçoit le mouvement à ses cotés. Il nouvre pas encore les yeux attendant que les brumes du sommeil se dissipent. Sa verge est raide à faire mal. Il se sent reposé, en pleine forme. Une vague de désir parcourt ses veines à la pensée de la femme adorable, couchée à ses cotés. Il a brusquement envie delle, de la pénétrer, la faire jouir, mais se retient. Elodie apprécie peu les agressions au réveil et préfère une mise en train progressive.

Au moment ou elle a pris la résolution de sortir du lit, la main qui se pose entre ses omoplates, coupe son élan. Elle saplatit sur le drap offrant le dos à la caresse. La main gratte doucement le long de la colonne vertébrale. Elle se déplace vers une omoplate, puis lautre, pour revenir à la naissance du cou.

— Oui, gratte encore.

La main obéit et retourne sur chaque omoplate. La caresse se fait plus douce quand Luc dirige ses doigts vers les reins, repoussant le drap qui les recouvre. Elodie frissonne, la chambre est fraîche. La main, maintenant, se balade sur tout le dos, du cou aux fesses, débordant même sur les cotés. A chaque passage, la caresse se fait plus insidieuse dans la raie séparant les deux globes. Elodie du bout des doigts touche la peau dune cuisse. Luc réprime un frisson. Sa verge est tendue comme un arc, mais il ne se précipite pas. Il attend que son épouse prenne linitiative. Elle se retourne sur le dos, offrant la poitrine à la curiosité de Luc. Il patouille les seins faisant rouler les tétins entre les doigts. Elle glisse la main sur le ventre de son mari, emmêle les doigts dans les poils avant de saisir la queue raide. Luc insinue lindex dans le sexe dElodie. Ils se caressent lentement, avec application, presque sans bouger, jouissant du plaisir reçu et donné.

Il craque le premier. Il se soulève sur les avants bras et se place au-dessus delle. Elle na pas lâché son membre. Elle en promène le gland sur toute la surface de la vulve, lhumidifiant à la rosée qui sourd de son sexe, insistant sur le clitoris. Lenvie de recevoir sa queue devient irrésistible. Elle la présente au bon endroit et lenfonce. Il attend dêtre engagé pour pousser. Elle est tellement mouillée quil est presque aspiré. Elle le tient serré dans ses bras. Ils nont pas besoin de paroles. Il lui fait lamour variant la cadence, alternant fortes poussées et pénétrations lentes. Un premier orgasme la secoue. Il narrête pas. Immédiatement, le désir dElodie revient, tourne autour de son sexe et éclate à nouveau avant que lui-même ne succombe.

Couché sur le dos, il reprend son souffle. Elodie titille les petits tétons de sa poitrine velue :

— Tu es un adorable mari, mon chéri.

Il grogne une réponse incompréhensible.

— Je tautorise à rester encore un peu à flemmarder pendant que je rejoins Lisette qui est déjà debout.

Elle effleure ses lèvres dun baiser avant de se lever. Elle le recouvre du drap. Il sétale dans le lit pour les quelques instants de repos supplémentaires accordés. Elodie choisit dans larmoire un déshabillé transparent dont elle néglige de fermer la ceinture et laisse dormir son mari.

Lisette range la salle. Elle porte sur le bras les vêtements Christophe. Elle porte sa tenue de travail quand Luc est à la maison : chemisier largement échancré et courte jupe plissée qui lorsque la jeune bonne se baisse, découvre une magnifique paire de fesses.

— Bonjour Lisette.

— Bonjour Elodie.

— As-tu bien récupéré des frasques dhier ?

— Oh oui ! Sans problème. Javais pris la précaution déloigner Christophe et de dormir seule !

— Oui, jai vu. Te voilà dattaque pour une nouvelle journée ?

— En pleine forme !

— Que portes-tu sur les bras ?

— Les habits de Christophe quil avait laissé dans la cuisine hier soir.

— Laissé dans la cuisine ? Quelle drôle didée !

Elle ne répond pas se contentant de rougir ce qui la rend plus adorable encore. Elodie se rapproche. Elle lit ladmiration dans le regard de Lisette, car le déshabillé quelle porte, mérite son nom et ne cache pas son anatomie.

Elle serre la jeune fille contre sa poitrine et pose les lèvres sur sa bouche. Lisette écarte ses bras encombrés et répond au baiser. Sa langue tourne entre les dents dElodie. Une bouffée de chaleur envahit celle-ci lorsque profitant des facilités vestimentaires elle pose les mains à même la peau des fesses.

— Pose ces vêtements un instant.

La jeune bonne se tourne vers la table proche et y dépose les affaires. Elle attire la figure dElodie et rend le baiser. Dune main, elle écarte le déshabillé et empaume un sein. La jeune femme aime le contact des doigts sur sa poitrine. Elle soulève la jupe par-devant et introduit la main dans la fente. Lisette écarte les jambes et avance le ventre. Sa main fouille à son tour le sexe de sa partenaire. Les deux femmes se tiennent debout, une main sur lépaule, lautre entre les cuisses. Tour à tour, elles tremblent sous lintensité du plaisir. La jeune fille gémit plusieurs fois avant quElodie la libère. Elle se rattrape de justesse au dossier dune chaise, tant ses jambes flageolent. Sa compagne nest pas plus solide et doit se retenir à la table.

— Jaime tembrasser, ma petite Lisette, et jaime bien quand tu me caresses comme maintenant.

— Moi aussi.

Elles sembrassent de nouveau

— Eh bien ! Cest du joli ! Je ne peux pas vous laisser seules une minute sans que vous en profitiez pour vous peloter ! Cest ainsi que mon petit déjeuner se prépare ?

Luc les interpelle du sommet de lescalier. Il sest assoupi quelques minutes, le temps de récupérer. Il sest enveloppé dune robe de chambre, car sil adore voir les autres nus dans la maison, il naime pas déambuler en tenue dAdam. Les deux femmes le dévisagent en riant sans se délacer.

— Si tu es si pressé, tu peux le préparer toi-même ! répond Elodie pendant quil descend les rejoindre.

— Ce nest pas gentil ça !

— Aujourdhui je suis magnanime, répond Elodie. On va te le préparer, ton précieux petit déjeuner. Installe-toi confortablement et regarde-nous, nous démener à ton service.

Il sassied sur une chaise. Au passage, il attrape Lisette et lattire entre ses genoux.

— Viens ici, cest toi qui seras mon petit déjeuner !

— Au secours ! Elodie ! Il mempêche daccomplir mon service !

— Débrouille-toi toute seule ! Je ne men mêle pas !

Il passe la main sous la jupe et la retire trempée. Les deux femmes nont pas fait que sembrasser !

— Oh ! Elle est toute mouillée, la coquine ! Cest moi qui te fais cet effet ? Cest gentil !

— Tu es présomptueux ! Comme sil ny avait que toi qui as le droit de samuser avec cette petite !

La « petite » apprécie le traitement subit. Les caresses dElodie ne lont pas rassasiée. Sa respiration saccélère. Elle recommence à sémouvoir et place les deux mains sur les épaules de Luc. La jeune femme sapproche du couple. Luc sourit de la voir, le déshabillé ouvert sur la poitrine et la toison sombre du sexe. Dune main, elle flatte le cou de son mari tandis que lautre sintroduit entre les fesses de la jeune fille. Luc nest pas peu fier de constater que sa femme apprécie autant que lui, la tenue coquine imposée à la bonne. De caresser aiguise son désir. Ce nest plus du doigt mais de la queue quil veut toucher son sexe. Il la repousse.

— Attends un peu.

Il écarte sa robe de chambre et dresse son vit. Lisette le contemple, lil humide, la langue passant sur ses lèvres luisantes. Le sexe de Luc est le plus beau quelle ait eu loccasion de voir ! Plus triomphant que celui des garçons quelle a connus, que celui de son beau-père et même celui de Christophe. Elodie ladmire aussi. Il est aussi droit et raide que tout à lheure dans le lit.

— Lisette sil te plaît ! Tourne-toi et assieds-toi sur mes cuisses.

Elodie sursaute :

— Tes cuisses, tes cuisses ! Assume tes désirs et demande-lui franchement de sasseoir sur ta queue !

— Je lui laisse le choix, moi !

— Eh ! Vous deux ! Je peux faire comme je veux ? Non ?

Luc sexcuse faussement contrit :

— Mais je ten prie Lisette.

Elle soulève sa jupe, recule à califourchon sur les genoux de Luc, guide la verge vers son vagin et sempale dessus.

— Ahhh ! Ça fait du bien !

Sa satisfaction fait plaisir à voir et à entendre, le cri du cur dune femelle assouvie ! Luc fourrage sous le chemisier pour la maintenir contre lui, les mains sur les seins.

— Vas-y Lisette, danse sur moi !

Elle se soulève un peu pour retomber immédiatement.

— Ce nest pas commode.

Elodie se sent une âme de bon samaritain. Elle prend son bras :

— Je vais taider.

A deux, Lisette poussant sur ses jambes, Elodie la soulevant par un bras, elles arrivent tant bien que mal à monter et descendre le bassin de la bonne sur la queue. Ce nest pas facile. Elles soufflent toutes les deux

Fabienne se retourne dans le lit. Elle a oublié de fermer les volets et la lumière du jour la dérange. Elle sétire. Un obstacle lempêche détendre la jambe. Christophe ! Elle vient de passer sa première nuit avec Christophe ! Il dort comme un bienheureux. Elle le regarde émue. Dans le sommeil, sa jeunesse ressort, touchante. Un brouhaha franchit la porte. Les autres habitants de la maison sont debout. Elle se lève avec précautions. Le garçon se retourne sans se réveiller. Elle cherche du regard quelque chose pour se couvrir. Il ny a que la robe repassée sur le dossier dune chaise. Elle hésite à la prendre. Elle ne veut pas la froisser et ne la mettra quau moment de partir. Elodie lui prêtera une robe de chambre. Elle referme sans bruit.

Fabienne se penche à la balustrade. Dans la salle, Lisette soutenue par Elodie danse sur les genoux de Luc. A entendre leur tapage, ce quils font nest pas aisé ! Elle les regarde se démener un instant. Elle hésite à les interrompre, mais sans rien pour se couvrir, elle a la désagréable impression de violer leur intimité.

— Elodie, sil te plaît, aurais-tu une robe de chambre ou quelque chose déquivalent à me prêter. Je naime pas me balader toute nue.

Le trio arrête ses ébats pour lever la tête. Luc lui sourit.

— Bonjour ma petite Fabienne ! Et pourtant, tu es adorable :

    « Belle sans ornement, dans le simple appareil »

    « Dune beauté quon vient darracher au sommeil »

— Bonjour à tous ! Cest joli ce que tu me dis là ! On dirait des vers, cest de toi, Luc ?

Cest vrai que cest joli et particulièrement adapté à la situation, pense Elodie, mais ce nest pas de lui, elle en est sûre. Où a-t-elle lu cela ?

— Non mon chou, admet lhomme. Si tu avais des lettres, tu aurais reconnu deux vers de Racine dans Britannicus.

Fabienne les regarde perplexe. Jamais lu ! Ce nest plus aux programmes des lycées ! Par contre, cela revient à Elodie : Néron qui narre sa rencontre avec Junie ! Toute fière davoir retrouvé lorigine de la citation (il ny a pas que Luc qui a des lettres !) elle répond à la jeune fille.

— Bonjour, Fabienne ! Oui, je te prête un déshabillé, mais avant, viens ici nous aider sil te plaît.

Elle ne veut pas laisser tomber Lisette. Celle-ci, essoufflée, implore :

— Bon bon jour, Oui vi iens, nou nous ai der.

Fabienne sait quelle décevrait ses amis si elle refusait.

— Oui, Lisette, jarrive.

Surmontant sa gêne, elle descend les marches.

— Place-toi de lautre coté de Lisette et tiens-la comme moi.

Elodie passe les mains sous une cuisse, Fabienne fait de même. Lisette pose les bras sur leur épaule.

— Allez ! En cadence ! commande Luc.

Laide apportée par Fabienne est bénéfique. La jeune bonne nest pas trop lourde et il leur est facile de la soulever. Luc laisse les femmes se démener. Il ne touche Lisette que de la queue et du bout des doigts sur les seins quil effleure. Cest comme sil était caressé, masturbé, pompé, tout à la fois ! Il nage sur un nuage rose.

Entre les jambes écartées de la bonne, Fabienne fixe la tige qui apparaît et disparaît dans les poils. Une bouffée de chaleur monte à sa figure puis descend sur le ventre. Elle ne voit plus que le manchon, en gros plan, comme sur une cassette porno. Dans un état second, ses bras soulèvent mécaniquement Lisette tandis que son corps, son ventre, vibre. Cest elle qui en pensée, reçoit la verge de Luc.

La jeune bonne profère des mots sans suite et incompréhensibles. Elle ferme les yeux et grimace son plaisir. La sève monte dans le sexe de Luc. Il donnerait bien des coups de reins libérateurs, mais a peur de contrarier les mouvements de ses amazones. Il agrippe la chaise, tend les jambes et serre les lèvres, le temps de lexplosion. Simultanément Lisette bêle sa jouissance :

— Aahhh ! Ahhh ! AAAhhhh !

Elle prend son pied. Les contractions de son vagin pompent les dernières gouttes de sperme. Ses muscles se relâchent. La verge diminue de volume dans létui du sexe. Fabienne à moitié inconsciente continue de soulever la jeune fille. Elodie larrête.

— Ça suffit, Fabienne, reposons-la.

Lisette telle une poupée désarticulée penche en avant.

— Eh ! Luc retiens-la, elle va tomber !

Il la rattrape de justesse et la maintient contre sa poitrine.

— Viens, laissons-les, allons te choisir une jolie robe de chambre

A suivre…

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